« Les Fées » (Lecture / Compréhension / Etude de la langue - CM2 ) Julie Robert – 2009/2010 A travailler pour l’écriture d’un récit : Désignation des personnages : nom propre, groupe nominal, … , Suppression des répétitions : pronoms, substituts, synonymes, … , Temps du récit / Temps du discours, Expressions des circonstances : groupes nominaux circonstanciels, adverbes, … , Indicateurs de temps, Connecteurs logiques, Phrase complexe, Ponctuation du dialogue, Vocabulaire spécifique. Objectifs : LECTURE GRAMMAIRE o Lire silencieusement un texte littéraire et le comprendre (reformuler, résumer, répondre à des questions sur ce texte). o Lire à haute voix avec fluidité et de manière expressive un texte de plus de dix lignes, après préparation. Identifier les personnages : nom propre, groupe nominal, … Identifier les verbes conjugués dans des phrases simples et complexes, Fournir leur infinitif, Identifier le sujet, Identifier la phrase complexe : verbes, propositions, conjonctions de coordinations o Distinguer les pronoms possessifs, démonstratifs, ORTHOGRAPHE o Écrire sans erreur les homophones grammaticaux ses/ces. CONJUGAISON o Identifier le temps du récit et le temps du discours, o Reconnaître les temps du passé : imparfait et passé simple, o Accorder le sujet et le verbe à l’imparfait et au passé simple, (aide : cahier de règles) VOCABULAIRE o Commencer à utiliser des termes renvoyant à des notions abstraites (émotions, sentiments), o Utiliser un dictionnaire pour trouver des mots (consigne simple), o Classer des mots de sens voisin en repérant les variations d’intensité. o o o o o Déroulement Séance 1 – Lecture/Compréhension simple Julie Robert – 2009/2010 - Lecture du texte « Les Fées ». Mots de vocabulaire (oral) :. Compréhension Quels sont les personnages ? Mère, fille 1, fille 2, une pauvre femme (la Fée). Quelles sont les étapes de ce conte ? Situation initiale : Mère avec deux filles, l’un est mal aimée. Evènement perturbateur : La mal aimée obtient un don, la mère veut que son autre fille ait ce don, elle ne l’a pas. Action : la fille est chassée. Elément de résolution : le prince veut la secourir Situation finale :la gentille fille devient princesse. Disproportion du don (chaque mot dit se transformera en pierre précieuse) par rapport au service rendu (donner à boire). Séance 2 - ORL Rechercher - A quel temps est ce texte ? imparfait et passé simple. - Le nombre de phrases du 1er paragraphe (5). Indiquer par un trait bleu la fin de chaque phrase. - Entourer tous les verbes du 1er paragraphe au crayon de bois. Collecter (Différencier du reste dans le cahier en faisant un trait au surligneur bleu dans la marge) - Les dialogues (sur le texte) : voir les verbes introducteurs (répétition : dire 5 fois) - Les désignations des personnages (4 groupes de collecte). (A partir de cette collecte inventer des adjectifs pour chaque personnage). - Les GN contenant des pronoms possessifs : son, son, sa, son, sa, leur, ses, son - Les GN contenant des pronoms démonstratifs : cette, ces, ce (Compléter le tableau établit avec « Le prince et l’écureuil » : quel pronom pour quelle personne/sujet). Julie Robert – 2009/2010 GRAMMAIRE Les phrases complexes Il y a deux types de phrases complexes : * 2 propositions indépendantes ou plus séparées par une virgule ou reliées par une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car). Ex : Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. * 1 proposition principale et une proposition subordonnée : la deuxième dépend de la première. La proposition subordonnée peut être introduite par : qui, que, quoi, quand, parce que, lorsque… Ex : 1Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. GRAM - Sépare d’un trait les différentes propositions de ces phrases (1 verbe conjugué par proposition). 1Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. (3 phrases : , et qui). 2Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 3Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. GS/GV GRAM - Dans les phrases suivantes souligne le verbe conjugué, indique son infinitif, puis entoure le sujet. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté. Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Les groupes dans la phrase GRAM – Dans les phrases suivantes, entoure les groupes de mots qui donnent une indication sur le lieu CCT. a- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. b- Il fallait entre autre chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. c- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. d- Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard. e- Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine. f- Elle y alla, mais en grondant. Julie Robert – 2009/2010 GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. Séance 2 - ORTHOGRAPHE A partir de la collecte des pronoms possessifs et démonstratifs revoir la règle de distinction entre ces et ses. Exercices ces/ses (suite « Le Prince et l’écureuil »). Séance 3 – CONJUGAISON Julie Robert – 2009/2010 CONJ – Conjugue les phrases suivantes en inversant le nombre du sujet (GS). 1- L'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. 2- Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. 3- La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. 4- Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 5- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. AUTRES 1. Dans ces extraits de contes, complète les verbes avec les terminaisons de l’imparfait. Il était une fois un bûcheron et une bûcheronne qui av……. sept enfants, tous des garçons. L'aîné n'av……… que dix ans et le plus jeune n'en av…….. que sept. Ils ét………. très pauvres, et leurs sept enfants ne pouv……… pas encore gagner leur vie. Ce qui les chagrin……… encore, c'est que le plus jeune ét……… fort délicat et ne dis…….. mot. Il ét……. tout petit, et quand il vint au monde, il n'ét……. guère plus gros que le pouce, ce qui fit que l'on l'appela le petit Poucet. Ce pauvre enfant ét…….. le souffre-douleurs de la maison, et on lui donn……… toujours tort. Cependant il ét……… le plus fin de tous ses frères, et s'il parl…….. peu, il écout……. beaucoup. Le petit Poucet (C.Perrault) 2. Complète l’extrait du conte en écrivant les verbes à l’imparfait. Cela se (passer) ………………………. en plein hiver et les flocons de neige (tomber) ……………………….. du ciel comme un duvet léger. Une reine (être) ………………… assise à sa fenêtre encadrée de bois d'ébène et elle (coudre) ………………………... Tout en tirant l'aiguille, elle (regardait) ………………………… voler les blancs flocons. Elle se piqua au doigt et trois gouttes de sang tombèrent sur la neige. Ce rouge sur ce blanc (faire ) ………………………….. si bel effet qu'elle se dit : Si seulement j'(avoir) …………………………avais un enfant aussi blanc que la neige, aussi rose que le sang, aussi noir que le bois de ma fenêtre ! Peu de temps après, une fille lui naquit ; elle (être) …………………………. blanche comme neige, rose comme sang et ses cheveux (être) ………………………………. noirs comme de l'ébène. On l'appela Blanche-Neige. Blanche-Neige (Grimm) 3. Recherchons les verbes conjugués. Ecris-les à l’imparfait. Oh ! qu'il fait bon, dehors à la campagne ! C'est l'été. Les blés sont jaunes, l'avoine verte, et la ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… cigogne marche sur ses longues jambes rouges. Autour des champs et des prés il y a de grandes ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Julie Robert – 2009/2010 forêts et des lacs profonds ; oui, vraiment, il fait bon à la campagne. En plein ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… soleil s'élève un vieux château, et depuis le mur de base jusqu'à l'eau, poussent des arbres à ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… larges feuilles, si hautes que les petits enfants peuvent se cacher debout derrière les plus ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… grandes. Une cane est là sur son nid : elle couve ses canetons mais elle commence à en avoir ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… assez, car cela dure depuis longtemps et on vient rarement la voir. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Les autres canards aiment mieux nager… …………………………………………………………………………………………………………………. Le vilain petit canard (Andersen) Séance 4 - Vocabulaire A partir des désignations des personnages relevés en grammaire, trouver d’autres expressions, imaginer de nouvelles descriptions. Relever les sentiments : Tristesse, Amour, Méchanceté, Egoïsme, … Julie Robert – 2009/2010 Les Fées LECTURE/ORLF (Conte de Charles Perrault) Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autre chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. "Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu'elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : "Vous êtes si belle, si bonne, et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don (car c'était une Fée qui avait pris la forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de cette jeune fille). Je vous donne pour don, poursuivit la Fée, qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une Fleur, ou une Pierre précieuse." Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. "Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps" ; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants. "Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée ; je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants ; d'où vient cela, ma fille ? " (ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille). La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants. "Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille ; tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre soeur quand elle parle ; ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don ? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement. - Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine. - Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure." Elle y alla, mais toujours en grondant.[…] Julie Robert – 2009/2010 Elle prit le plus beau Flacon d'argent qui fût dans le logis. Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu'elle vit sortir du bois une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire : c'était la même Fée qui avait apparu à sa soeur, mais qui avait pris l'air et les habits d'une Princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille. "Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire ? Justement j'ai apporté un Flacon d'argent tout exprès pour donner à boire à Madame ! J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez. - Vous n'êtes guère honnête, reprit la Fée, sans se mettre en colère ; hé bien ! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud." D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria : "Hé bien, ma fille ! - Hé bien, ma mère ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds. - O Ciel ! s'écria la mère, que vois-je là ? C'est sa soeur qui en est cause, elle me le paiera" ; et aussitôt elle courut pour la battre. La pauvre enfant s'enfuit, et alla se sauver dans la Forêt prochaine. Le fils du Roi qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer. "Hélas ! Monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis." Le fils du Roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six Perles, et autant de Diamants, la pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Le fils du Roi en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena au Palais du Roi son père, où il l'épousa. Pour sa soeur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir, alla mourir au coin d'un bois. MORALITE Les Diamants et les Pistoles, Peuvent beaucoup sur les Esprits ; Cependant les douces paroles Ont encor plus de force, et sont d'un plus grand prix. AUTRE MORALITE L'honnêteté coûte des soins, Et veut un peu de complaisance, Mais tôt ou tard elle a sa récompense, Et souvent dans le temps qu'on y pense le moins. Julie Robert – 2009/2010 Le temps des contes S'il était encore une fois Nous partirions à l'aventure, Moi, je serais Robin des Bois, Et toi, tu mettrais ton armure. Nous irions sur nos alezans Animaux de belle prestance, Nous serions armés jusqu'aux dents Parcourant les forêts immenses. S'il était encore une fois Vers le château des contes bleus Je serais le beau-fils du roi Et toi tu cracherais le feu. Nous irions trouver Blanche-neige Dormant dans son cercueil de verre, Nous pourrions croiser le cortège De Malbrough revenant de guerre. S'il était encore une fois Au balcon de Monsieur Perrault, Nous irions voir ma Mère l'Oye Qui me prendrait pour un héros. Et je dirais à ces gens-là : Moi qui suis allé dans la lune, Moi qui vois ce qu'on ne voit pas Quand la télé le soir s'allume ; Je vous le dis, vos fées, vos bêtes, Font encore rêver mes copains Et mon grand-père le poète Quand nous marchons main dans la main. Georges Jean Julie Robert – 2009/2010 GRAM - Sépare d’un trait les différentes propositions de ces phrases (1 verbe conjugué par proposition). 1- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. 2Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 3Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. GRAM - Sépare d’un trait les différentes propositions de ces phrases (1 verbe conjugué par proposition). 1- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. 2Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 3Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. GRAM - Sépare d’un trait les différentes propositions de ces phrases (1 verbe conjugué par proposition). 1- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. 2Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 3Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. GRAM - Sépare d’un trait les différentes propositions de ces phrases (1 verbe conjugué par proposition). 1- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. 2Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 3Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. GRAM - Sépare d’un trait les différentes propositions de ces phrases (1 verbe conjugué par proposition). 1- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. 2Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. 3Je crois qu'il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants. Julie Robert – 2009/2010 GRAM - Dans les phrases suivantes souligne le verbe conjugué, indique son infinitif, puis entoure le sujet. a- Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. b- La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté. c- Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. d- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. GRAM - Dans les phrases suivantes souligne le verbe conjugué, indique son infinitif, puis entoure le sujet. a- Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. b- La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté. c- Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. d- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. GRAM - Dans les phrases suivantes souligne le verbe conjugué, indique son infinitif, puis entoure le sujet. a- Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. b- La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté. c- Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. d- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. GRAM - Dans les phrases suivantes souligne le verbe conjugué, indique son infinitif, puis entoure le sujet. a- Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. b- La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté. c- Cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. d- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Julie Robert – 2009/2010 GRAM – Dans les phrases suivantes, entoure les groupes de mots qui donnent une indication sur le lieu CCT. a- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. b- Il fallait entre autre chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. c- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. d- Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard. e- Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine. f- Elle y alla, mais en grondant. GRAM – Dans les phrases suivantes, entoure les groupes de mots qui donnent une indication sur le lieu CCT. a- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. b- Il fallait entre autre chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. c- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. d- Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard. e- Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine. f- Elle y alla, mais en grondant. GRAM – Dans les phrases suivantes, entoure les groupes de mots qui donnent une indication sur le lieu CCT. a- Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. b- Il fallait entre autre chose que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle en rapportât plein une grande cruche. c- Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. d- Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard. e- Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine. f- Elle y alla, mais en grondant. Julie Robert – 2009/2010 GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. GRAM – Remplace les verbes introducteurs suivants par d’autres (attention au contexte). Oui-dà, ma bonne mère", dit cette belle fille. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps. Que vois-je là ! dit sa mère toute étonnée. Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille.