appréhendé le phénomène doit être pensé et compris par l’entendement à
partir de concepts ou catégories propre au sujet pensant.
L’espace comme intuition pure est la forme du sens externe.
Le temps comme intuition pure est la forme du sens interne.
Le schème : Il est ce qui permet à la sensibilité et à l’entendement de
fonctionner correctement et complémentairement. Il est la détermination de
l’apriori, d’après des règles.
Un jugement synthétique n’est vrai et légitime que s’il réalise l’unité du divers
grâce à l’utilisation combinée de l’intuition sensible du concept de
l’entendement de l’unité synthétique de l’aperception et du schème.
Les principes essentiels de l’entendement sont :
L’analogie de l’expérience. (Liaison des perceptions.)
Objet de la sensation. Grandeur intensive. (Réel)
Axiomes de l’intuition. sont des grandeurs extensives. (Les intuitions.)
L’intuition peut être sensible ou intelligible, la première se ramène
phénomène, la deuxième se ramène ai noumène.
Les idées cosmologiques intriguent la raison dans le sens où elle la plonge dans
une certaine opposition à elle-même désignée par l’antinomie. Cependant les
idées même dans leur « force de contradiction » sont comme un horizon ou
cap de la connaissance, de la science des phénomènes, elles sont « des
principes régulateurs. »
Si ces idées sont des « principes régulateurs », sortir du champs sensible n’est
pas anodin et appelle la philosophie à faire un usage avec précaution de la
raison et à gardé une certaine humilité.
Unité des
représentations
Synthèse des
représentations
du divers.
Concepts ou
catégories
qui unifient
les intuitions
sensibles
Intuitions
sensibles.
Représentation
avant toutes
pensée.