Recherche sur KANT I] Transcendantale ? Kant tente comprendre les raisons et les conditions de succès des sciences logiques, mathématiques et physiques. Le succès des sciences est possible s celle-ci saisit que sa connaissance réside de ce que l’entendement humain rajoute à l’expérience sensible un contenu qui lui est propre et est hors de toute chose sensible. L’apriori (concept ou intuition) rend possible l’expérience, il la structure. Le monde est connu est perçu non pas selon ses propres règles, mais selon celles de l’Homme, il est connu à travers « le rideau théorique » de l’Homme. Il faut distinguer chez Kant deux types de connaissances : Connaissance à priori. Nécessité apodicticité. Connaissance à postériori. Dépend de l’expérience nécessité ou universalité. Ce sont les concepts de l’entendement universels et nécessaires permettent toute expérience de la nature, ce sont les règles de la nature, ce sont ces règles que l’on plaque ou impose à la nature. Connaître : C’est juger à travers la liaison d’un sujet avec un prédicat. C’est penser et sentir tout en même par le biais de l’entendement et de la sensibilité. Jugement analytique. C’est l’explicitation d’un sujet. « Tous les corps sont étendus. » « Tout les hommes célibataires sont des hommes non mariés. Jugement synthétique. Mathématique. (2+2=4) Physique Sciences. L’objet ou la chose en soi est quelque chose qui nous échappe avant même que les objets soient pensés. Chaque objet est senti à travers un ensemble d’intuition pure tel que le temps et l’espace. Les intuitions sont un ensemble de représentations obligatoire qui s’applique immédiatement à l’objet sensible qui devient phénomène plutôt que chose en soi. Par phénomène on entend un objet qui est vue à travers les intuitions pures. Pour être véritablement appréhendé le phénomène doit être pensé et compris par l’entendement à partir de concepts ou catégories propre au sujet pensant. L’espace comme intuition pure est la forme du sens externe. Le temps comme intuition pure est la forme du sens interne. Le schème : Il est ce qui permet à la sensibilité et à l’entendement de fonctionner correctement et complémentairement. Il est la détermination de l’apriori, d’après des règles. Un jugement synthétique n’est vrai et légitime que s’il réalise l’unité du divers grâce à l’utilisation combinée de l’intuition sensible du concept de l’entendement de l’unité synthétique de l’aperception et du schème. Les principes essentiels de l’entendement sont : L’analogie de l’expérience. (Liaison des perceptions.) Objet de la sensation. Grandeur intensive. (Réel) Axiomes de l’intuition. sont des grandeurs extensives. (Les intuitions.) L’intuition peut être sensible ou intelligible, la première se ramène phénomène, la deuxième se ramène ai noumène. Les idées cosmologiques intriguent la raison dans le sens où elle la plonge dans une certaine opposition à elle-même désignée par l’antinomie. Cependant les idées même dans leur « force de contradiction » sont comme un horizon ou cap de la connaissance, de la science des phénomènes, elles sont « des principes régulateurs. » Si ces idées sont des « principes régulateurs », sortir du champs sensible n’est pas anodin et appelle la philosophie à faire un usage avec précaution de la raison et à gardé une certaine humilité. Faculté Aperception Domaine Ensemble et Unité des représentations Imagination Synthèse des représentations du divers. Entendement Concepts ou catégories qui unifient les intuitions sensibles sensibilité Intuitions sensibles. Représentation avant toutes pensée.