Les connaissances apriori : Ce sont les connaissances

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Les connaissances apriori : Ce sont les connaissances
indépendantes de toutes expériences.
Les connaissances a postériori : Ce sont les connaissances
seulement possibles par l’expérience.
Naturel : Se dit de quelque chose qui devrait se passer de
manière convenable et raisonnable.
Les jugements analytiques : Il s’agit d’un jugement où le
prédicat B fait partie du sujet A. On parle de connexion
d’identité ou encore de jugement explicatif. Les corps sont
étendus.
Les jugements synthétiques : Il s’agit d’un jugement où le
prédicat B est totalement hors de sujet A. On parle alors aussi
de jugement extensif. Les corps sont pesants.
La raison : c’est une faculté humaine qui permet de connaître
absolument.
La propédeutique : Volonté de facilité l’apprentissage d’un
enseignement supérieur.
Connaissance transcendantale : Ne peut-être concerné par
les objets de notre mode de connaissance habituelle.
La philosophie transcendantale : (propre à Kant.) Elle exclut
toute connaissance empirique, elle est une philosophie de la
raison pure simplement spéculative.
La sensibilité : C’est la capacité réceptive de percevoir des
objets.
Le temps et l’espace : Ce sont des intuitions pures et aprioris
de la sensibilité, elles forment les conditions de possibilité de
toute expérience et toute connaissance des objets.
L’entendement : C’est le pouvoir de produire des
représentations. Il est l’ensemble des principes et concepts
qui permettent d’appréhender et de connaître les
phénomènes, il ne peut « outrepasser » les limites de la
sensibilité. Par l’acte de synthèse, l’entendement réunie des
représentations du divers en unité pour former une
connaissance.
L’intuition : C’est la représentation qui peut être donnée avant
n’importe quelle pensée. (Temps et espace.)
Intuition empirique : C'est l'intuition qui se rapporte à l'objet
au moyen de la sensation (Critique de la raison pure, Théorie
transcendantale des éléments, 1°partie, esthétique
transcendantale, §1, p53).
Intuition sensible : Notre nature est ainsi faite que l'intuition
ne peut jamais être que sensible, c'est-à-dire ne contient que la
manière dont nous sommes affectés par des objets.
Intuition pure ou forme pure de la sensibilité : C'est la forme
pure des intuitions sensibles en général qui se trouve a
priori dans l'esprit dans lequel tout le divers des phénomènes
est intuitionnée sous certains rapports.
C'est lorsque je détache de la représentation d'un corps ce
qui en est pensé par l'entendement, c'est-à-dire ce qui me
reste encore quelque chose de cette intuition empirique :
l'étendue et la figure. Celles-ci appartiennent à l'intuition
pure qui réside a priori dans l'esprit, même indépendamment
d'un objet réel des sens ou de toute sensation, en qualité de
simple forme de la sensibilité (Critique de la raison pure,
Théorie transcendantale des éléments, 1°partie, esthétique
transcendantale, §1, p54).
Idéalisme transcendantal : C’est la doctrine qui soutien que
tout objet de connaissance est déterminé à priori par la
nature même de notre entendement.
L'espace : forme du sens " extérieur ", propriété qu'à notre
esprit de nous représenter des objets comme étant hors de
nous. C'est par des rapports spatiaux que l'on se représente
les objets extérieurs.
Le temps : forme du sens " intime ", propriété qu'à l'esprit de
se percevoir lui-même intuitivement ou plus exactement de
percevoir ses états intérieurs. C'est par des rapports
temporels que l'on se représente les rapports internes.
Intuition empirique : l'intuition qui se rapporte à son objet
par le moyen de la sensation. Le phénomène est l'objet de
l'intuition empirique. La matière de tout phénomène (la
sensation) ne nous est donnée qu'a posteriori, sa forme (son
ordonnancement) doit être dans l'esprit toute prête à
s'appliquer a priori à toute sensation, on peut donc la
considérer indépendamment de toute sensation.
Intuitions pures : formes a priori de la sensibilité (ex :
l'étendue et la figure). On peut les ramener à deux : l'Espace
et le Temps.
Aperception pure ou originaire : C’est la représentation
passive du « je pense », de la conscience de soi. C’est la
condition objective de toute connaissance.
La synthèse est crée par l’entendement, elle est l’action
d’ajouter différentes représentations ensembles et de
rassembler leur diversité en vue d’une connaissance. C’est le
simple effet de l’imagination.
Un concept : C’est l’ensemble de représentations ramenées
analytiquement sous un concept.
Phénomènes : Il s’agit de certains objets en tant qu’ils sont
différents dans leur manière d’être en eux même de ce que
nous les intuitionnons. Ils sont des représentations de
l’expérience sensible
Les noumènes : Ils sont les objets de l’entendement, ils sont
penser sans intuition, c'est-à-dire en dehors de toutes
expérience sensible, ils sont pensés qu’avec l’entendement et
non avec les formes de la sensibilité. Il peut s’agir des objets
naturels dont nous n’avions aucune intuition ou à d’autres
objet seulement pensé par l’entendement.
Principes synthétiques apriori : Ils sont l’ensemble des règles
naturelles, ce n’est pas à travers la nature que l’on découvre
les règles naturelles, C’est des principes de l’entendement
qu’est dérivé la nature. Ils sont les conditions de possibilité de
toutes expériences ou connaissances possibles.
La copule : Elle désigne la relation qu’il existe entre le sujet et
le prédicat.
Apodictique : Se dit de quelque chose qui présente une
universalité et une nécessité absolue. Une proposition
apodictique est nécessaire et vraie, où que vous soyez.
Assertorique : Se dit de quelque chose ou d’une proposition
qui n’est pas nécessaire, au contraire qui n’est que
vraisemblable ou possible.
La perception : Elle est une conscience empirique, une
conscience où intervient en même temps la sensation.
La philosophie transcendantale : C’est l’étude de la
connaissance uniquement du point de vue du sujet
connaissant.
Le schème : Le schème transcendantal est un troisième terme
qui est homogène, d'un côté, à la catégorie, de l'autre, aux
phénomènes, et qui rend possible l'application de la première
au second. Cette représentation intermédiaire doit être pure
et cependant il faut qu'elle soit, d'un côté, intellectuelle, et
de l'autre, sensible.
La subsomption : désigne une relation hiérarchique entre des
concepts, dans les logiques de description. Cette notion est
proche de la relation « est impliqué par » en logique
classique, ou encore « contient » en logique ensembliste.
Corrélat : C’est un élément en corrélation avec un autre.
La création des connaissances.
L’entendement appréhende les choses à travers
l’imagination, l’aperception, et par les sens. Ils contiennent
en eux les éléments à priori qui permettent la compréhension
du phénomène.
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