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Programmes 2002 de TS SVT : plan du cours
TS
Chapitre 1: le temps en biologie et en géologie
I. Les différentes échelles de temps utilisées.
II. Particularités du temps en géologie.
III. Le problème du choix de l’échelle d’observation
Chapitre 2 : Parenté entre êtres vivants actuels et fossiles phylogenèse
Evolution
Partie 1 : Recherche de parenté entre les vertébrés- l’établissement de
phylogénies.
I. Introduction : le monde vivant un ensemble homogène d’individus
apparentés
II. L’arbre de la vie.
A) Les phylogénies
B) L’arbre de la vie est-il bien un arbre.
C) Où situer dans le temps la racine de l’arbre de la vie ?
III. Des caractères hérités : notion d’homologie
IV. Recherche d’une classification « naturelle » : la notion de clade..
A) Le clade : un taxon lié à l’histoire de la vie
B) Caractère dérivé (état dérivé d’un caractère) : Une méthode pour repérer
l’appartenance à un clade
C) Nombre de caractères dérivés et parenté.
D) Caractère dérivé et primitif (ou ancestral): une question de point de vue
E) Risque d’apparition répétée d’un même caractère
V. Utilisation des données moléculaires pour construire des arbres
phylogénétiques
A) Des molécules homologues.
B) Construction d’arbres phylogénétiques à partir des données moléculaires.
C) Notion d’horloge moléculaire.
VI. Que représentent les éléments portés sur un arbre phylogénétique.
1) La position des caractères dérivés.
2) Les nœuds de l’arbre.
3) L’ancêtre commun
4) Les « fossiles vivants »
VII. Phénogrammes et cladogrammes.
VIII. Conclusion : une évolution constatée, mais quel est son moteur ?
Chapitre 2 : Parenté entre êtres vivants actuels et fossiles phylogenèse
Evolution
Partie 2 : La lignée humaine. Place de l’homme dans le règne animal.
I. L’état des lieux : situation de l’espèce humaine dans l’arbre de la vie.
II. Phylogénie des hominidés.
A) Hominoïdes :
B) Hominidés :
C) Homininés :
III. L’évolution des homininés.
A) Comparaison avec un proche parent : le chimpanzé.
1) Point de vue anatomique
Caractères liés à la locomotion bipède ou quadrupède.
b) Caractères sans rapport direct avec la locomotion.
2) Point de vue moléculaire
a) Caryotype
b) Génome
3) Point de vue comportemental et culturel.
4) Conclusion
B) Les critères d’appartenances à la lignée humaine.
C) Les fossiles de la lignée humaine
1) Les australopithèques
2) Le genre homo : les premiers représentants
3) Les hommes modernes : sapiens et neanderthalensis
4) Où s’enracine la lignée humaine.
D) Idée actuelle de la phylogénie de l’homme moderne
1) Quels caractères se dégagent.
2) Une prudence nécessaire dans l’interprétation des faits.
3) Problème : pourquoi y a t’il une tendance évolutive ?
IV. La conquête de la planète par l’homme.
A) Caractères génétiques des homo sapiens actuels
B) Plusieurs scénarios pour la diffusion de l’espèce humaine.
1) Théorie de la différenciation sur place.
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2) Théorie de l'origine africaine.
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TS Chapitre 3 : Stabilité et variabilité des génomes et évolution.
Partie 1 : révisions
I. Le support de l’information génétique.
A) Nature chimique des acides nucléiques
1) La famille des ACIDES NUCLEIQUES
2) Les caractères généraux de la molécule
3) Les résultats de l'analyse (nucléosides, nucléotides, bases azotées).
4) Le Squelette (chaîne ribose phosphate)
5) Les Bases azotées
6) Comparaison ADN ARN
B) Représentation de l'information génétique sur les acides nucléiques
C) Localisation de des acides nucléiques dans la cellule
Cas des eucaryotes.
2) Cas des procaryotes
3) Cas des virus
II. De l’ADN aux protéines : les étapes de la traduction de l’IG.
A) Transcription de l'IG.
B) Traduction de l'IG
III. Les étapes du cycle cellulaire.
A) Reproduction conforme de l'IG
B) Répartition d'un matériel génétique identique entre les cellules filles chez un
eucaryote : la mitose
C) Cycles de vie d'une cellule eucaryote
IV. Relations entre phénotype et génotype :le vocabulaire à connaître
Chapitre 3 : Stabilité et variabilité des génomes et évolution.
Partie 2 : Innovations génétiques
I. Origine des innovations génétiques
A) Polyallélisme et polymorphisme génique
B) Différents types de mutations ponctuelles et leurs conséquences sur le
phénotype
1) Modification d’une base
2) Insertion et délétion.
C) canismes responsables des mutations géniques
II. Les mutations à la source de l’évolution
A) Quelles mutations sont transmises à la descendance : distinction cellules
somatiques, lignée germinale
B) Fréquence d’apparition de nouveaux allèles.
C) Importance des mutations pour l’évolution
III. Une évolution orientée par la sélection naturelle
A) Conséquences de mutation de gènes : Etude de trois exemples de relations
entre mécanismes de l’évolution et génétique.
1) Cas d’une mutation affectant un gène de structure ayant un effet sur les
chances de survie de l’individu : la sélection naturelle.
a) Exemple de la phalène de bouleau : élimination d’un allèle défavorable.
b) Exemple de la drépanocytose : sélection diversifiante.
2) Que se passe t’il en l’absence de pression de sélection : l’effet des mutations
neutres.
3) Des mutations aux effets immédiatement importants : les mutations des gènes
du développement.
4) Conclusion : pourquoi un gène reste t’il à l’état polymorphe?
B) Apparition de nouveaux caractères : les familles de gènes
1) Qu’est-ce qu’une famille de gènes ?
2) Devenir des copies après la duplication
C) Orientation de l’évolution ou au contraire fixation d’un caractère : effets
divergents de la sélection naturelle suivant le milieu occupé par l’être vivant
IV. Conclusion : le couple mutation sélection responsable de l’évolution
des êtres vivants.
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Chapitre 3 : Stabilité et variabilité des génomes et évolution.
Partie 3 : Diversité des individus stabilité de l’espèce. (3 semaines)
I. Cycle de vie de deux êtres vivants: un mammifère (la souris) et un
champignon (sordaria)
A) Déroulement
B) Comparaison
C) Conséquences de la fécondation
II. La méiose : le complément nécessaire de la fécondation
A) Déroulement
1) Les étapes clés:
2) Bilan :
B) Evolution de la quantité d'ADN au cours de la méiose
C) Place de la méiose dans le cycle reproducteur d'un EV
1) Alternance de phases haploïdes et diploïdes
2) Importance relative des deux phases.
D) Conséquences sur le caryotype d’incidents lors de la méiose.
E) Conclusion : stabilité de l’espèce grâce au couple méiose fécondation
III. Les conséquences de la méiose: le brassage du matériel génétique.
A) Brassage interchromosomique
1) le mécanisme
2) Gènes liés ou gènes indépendants : résultats d’un croisement test
B) Brassage intrachromosomique.
1) Mécanisme des crossing over
2) Conséquences sur la séparation des caractères
C) Brassage résultant de la fécondation
1) La fécondation chez un mammifère
2) Diversité des produits de la fécondation
D) Unicité des individus produits par la reproduction sexuée
IV. Conclusion sur l’intérêt de la reproduction sexuée.
1) Elle n’est pas indispensable.
2) Elle peut favoriser les individus qui l’utilisent.
Chapitre 4 Procréation.
Partie 1: du sexe génétique au sexe phénotypique (3 semaines).
I. Nature des phénotypes sexuels chez les mammifères.
A) Différents niveaux des phénotypes sexuels.
1) Niveau génétique (caryotype)
2) Niveau anatomique Notion de caractères sexuels primaires et secondaires.
a) Caractères sexuels primaires
b) Caractères sexuels secondaires
3) Niveau comportemental.
B) Les caractères sexuels primaires.
C) Conclusion
II. Etapes du développement du phénotype sexuel.
A) Développement du phénotype sexuel au cours de la vie fœtale.
1) Stade phénotypique indifférencié
2) Etape du sexe gonadique
3) Etape du sexe phénotypique différencié
B) Etude expérimentale
1) Lien entre le sexe génétique et le phénotype : rôle du gène SRY
a) Document 11 : divers caryotypes
b) Document 12 : des caryotypes en contradiction avec le phénotype
2) Rôle des gonades
a) Expérience 15 : nécessité des gonades
b) Expériences 16 17 et 18 : les deux hormones testiculaires : testostérone et
hormone anti müllerienne.
III. Schéma de synthèse
Chapitre 4 Procréation.
Partie 2: Régulation physiologique de l’axe gonadotrope : intervention
de trois niveaux de contrôle
I. Rappels de 1S : la communication hormonale.
A) Différents types de communication dans l’organisme
B) Différents types de glandes
C) Définition d’une hormone.
II. Régulation de la testostéronémie.
A) Histologie du testicule : La glande interstitielle
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B) La chaîne de contrôle de l’activité du testicule
1) Rôles du testicule.
2) Rôle de l’hypophyse : les gonadostimulines
3) L’hypothalamus
a) Mise en évidence d’une commande hypothalamique
b) Gn-RH: une neurohormone
c) Modalité de production de Gn-RH : l’importance d’un « biorythme »
4) Schéma complet de la chaîne de contrôle
C) La régulation du taux d’hormone mâle : les rétrocontrôles
1) Mise en évidence d’un rétrocontrôle
2) Sens du rétrocontrôle
3) Niveau des capteurs (récepteurs au taux de testostérone).
D) Schéma fonctionnel du système de régulation de la testostéronémie
E) Conclusion: notion de régulation avec paramètre à valeur constante.
III. Régulation de la concentration du taux d’hormones ovariennes.
A) Comparaison entre l’homme et la femme.
B) Les évènements du cycle menstruel
1) Au niveau de l’ovaire
a) Evolution du stock de follicules ovariens au cours de la vie
b) Evolution d’un follicule au cours d’un cycle.
c) Evolution des concentrations d’hormones ovariennes au cours d’un cycle.
2) Au niveau de l’utérus
a) Structure de la paroi
b) Au cours de la phase proliférative
c) Au cours de la phase sécrétoire
d) Evolution de l’aspect de la glaire cervicale
e) Les règles
3) Au niveau de l’organisme dans son ensemble
4) Importance du synchronisme entre les différents aspects du cycle.
C) La chaîne de contrôle
D) Les rétrocontrôles
a) En phase folliculaire : rétrocontrôle négatif.
b) A la ponte ovulaire : rétrocontrôle positif
c) Lors de la phase lutéale : rôle inhibiteur de la progestérone
E) Niveau des capteurs sensibles à la concentration en hormones ovariennes
1) Œstrogènes :
2) Progestérone :
F) Différents états endocriniens au cours de la vie de la femme.
1) Jeune fille pré pubère
2) Femme adulte
3) Femme enceinte
4) Femme ménopausée.
G) Conclusion :Le taux d’hormones ovariennes, une régulation à valeur variable
du paramètre
Chapitre 4 Procréation.
Partie 3: Applications à la maîtrise de la procréation
I. Les hormones créent des conditions favorables au début d’une
grossesse
A) Hormones et comportement
1) Chez le mâle
2) Chez la femelle.
3) conclusion
B) Mise en place de conditions favorables à la fécondation.
1) Localisation de la fécondation
2) Un obstacle à franchir : la glaire cervicale.
a) Evolutions au cours du cycle ovarien
b) Contrôle hormonal de l’aspect de la glaire cervicale
3) L’utérus facilite la progression des spermatozoïdes
C) Le début de la grossesse
1) Rôle du corps jaune
2) Maintien du corps jaune au cours de la grossesse
II. Régulation des naissances
A) Contraception contragestion.
1) Définitions
2) Qualités attendues d’un bon moyen contraceptif.
B) La contraception hormonale féminine
1) La pilule contraceptive féminine
a) Différents modes d’actions
(1) Mode 1 : par le biais des rétrocontrôles, on "vise" l'hypophyse pour
"toucher" l'ovaire.
(2) Mode 2 : Grâce à la progestérone.
b) Différents types de pilule
(1) Les pilules séquentielles
(2) Les pilules combinées
(3) Les Micro pilules
2) La contragestion hormonale
a) Pilule du lendemain
b) La pilule abortive RU 486
C) Les autres moyens contraceptifs
III. Aide médicalisée à la procréation (PMA)
A) Le suivi de la grossesse
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