Doc 1 - Les auteurs de la pensée économiques

Doc 1 - Les auteurs de la pensée économiques
Retrouver le nom de l’économiste correspondant :
1. Economiste anglais, né en 1766 et mort en 1834 ; pasteur anglican devenu professeur d’économie. Il
est principalement connu pour son ouvrage : Essai sur le principe de la population. Il est l’un des
grands représentants de l’école classique, mais c’est un classique pessimiste. C’est
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2. Philosophe, sociologue, économiste et homme politique allemand, né en 1818 et mort en 1883. Il est le
fondateur du matérialisme dialectique historique et partisan d’une transformation radicale de la société.
Son œuvre principale, le Capital, écrit à partir de 1867, fait une critique radicale du capitalisme, en
annonçant son effondrement et l’avènement d’une société socialiste. Son œuvre est ainsi à la base de
tout un courant de pensée qui porte son nom, du collectivisme et des régimes collectivistes. C’est
évidemment……………………………………………………………………………………..
3. Economiste et financier anglais, né en 1722 et mort en 1823. C’est un grand théoricien du libéralisme.
Il a notamment mis en évidence les vertus du commerce international par son célèbre exemple de la
comparaison des avantages comparatifs à produire soit du vin soit du drap, soit en Angleterre soit au
Portugal. C’est……………………………………………………………………………………………..
4. Economiste et industriel français, il est né en 1767 et mort en 1832. Il est le chef de file de l’école
classique française. Sa fameuse loi des débouchés résume l’essentiel de la pensée classique et
libérale. C’est……………………………………………………..
5. Philosophe et économiste, né en 1723 et mort en 1790. Il est à l’origine de la pensée anglaise
classique optimiste. Il a écrit en 1776 Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations.
Il est l’un des pères de l’économie moderne et du libéralisme. C’est
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6. Né en 1883 et mort en 1946, économiste britannique, également financier et haut fonctionnaire. Il a
écrit en 1936 la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. Il a donné son nom à tout
un courant de pensée économique qui s’inspire de prés ou de loin de ses théories (politique de relance
par la demande, politiques de grands travaux). C’est
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Doc 2 - Les courants de la pensée économiques
Replacez chacun des textes suivants dans le courant d’analyse qui lui correspond (keynésien, néoclassique,
classique ou marxiste) :
1. « La poursuite par chacun de son intérêt individuel permet de réaliser l’intérêt général et le libre-
échange doit permettre de réaliser une division internationale du travail fondée sur l’existence
d’avantages comparatifs et source d’enrichissements mutuels ».
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2. « Si les individus désirent épargner une trop grande fraction de leurs revenus, la demande globale, les
revenus et l’emploi tomberont. C’est pourquoi la stimulation de la consommation est souvent
nécessaire ».
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3. « Le marché du travail est en déséquilibre parce que les salaires sont trop élevés. Il suffirait de
diminuer le prix du travail pour que les quantités de personnes employées augmentent ».
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4. « Pendant les périodes de stagnation et d’activité moyenne, l’armée de réserve industrielle pèse sur
l’armée active pour ne réfréner les prétentions pendant la période de surproduction et de haute
prospérité. C’est ainsi que la surproduction relative ne lui permet de fonctionner qu’entre les limites qui
laissent assez de champ à l’activité d’exploitation et à l’esprit dominateur du capital ».
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5. « Ce qui importe, ce n’est pas que le gouvernement équilibre ses propres comptes, c’est qu’il fasse en
sorte que la demande effective soit suffisante pour maintenir le plein emploi. Le déficit budgétaire se
réduira de lui-même en cas de retour de la croissance, parce que les recettes fiscales augmenteront ».
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6. « Les hauts taux tuent les totaux, et plus le taux de prélèvement obligatoire est élevé, plus l’activité
économique est découragée et plus les rentrées fiscales sont faibles. En effet, on peut imaginer
qu’avec un taux de prélèvement obligatoire de 100% on ait zéro dirham de recettes fiscales parce que
toute l’activité cesse ou devient occulte. »
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