Il souligne que ce serait surtout l’article 24.1 de l’accord d’entreprise qui pourrait mettre en défaut ce
calendrier : il manquerait 2 jours pour les administratifs et il y a une vérification à faire pour les autres.
Le CE demande comment seraient rattrapés ces deux jours ? par 2 jours de vacances en plus par
exemple ?
Le SRH indique qu’il est possible de rebasculer des jours pour ceux qui sont au planning et de
redonner 2 jours de congés pour les autres.
Le CE indique qu’il serait favorable à la deuxième solution pour tous.
Le SRH confirme que ce serait également la position du SRH et de la DG, à confirmer.
5. procédure spécifique pour recrutement d’un comptable à la DAF conformément à l’accord GPEC.
L’entreprise s’engage à mettre en place une bourse des métiers.
Le SRH indique que sur ce point-là, il n’est pas encore prêt et que c’est un travail de « longue haleine.
Il travaille pour l’instant sur la création d’un arbre de compétences.
Il procède à la lecture de l’article 14 et conclut que le SRH en est sur ce point au tout début et qu’il n’a
pas spécifiquement la possibilité de solliciter la promotion interne.
Il indique que pour le poste Cité, ça a été mis en ligne en interne et très vite à l’externe parce qu’il n’y
avait eu aucune candidature à l’interne.
Il précise que même si l’accord GPEC n’est pas appliqué sur la forme, il l’est néanmoins sur le fond.
Le CE s’interroge sur le fait que les salariés n’aient peut-être pas encore le réflexe d’aller voir.
Le SRH constate qu’il n’y a pas eu beaucoup de publicité de la part des élus mais que le SRH a joué
son rôle de transmetteur lors de la mise en ligne des accords d’entreprise
Le CE souligne que quelqu’un qui serait susceptible de postuler n’a aucune possibilité de savoir qu’il
serait prioritaire…
Il demande quand l’application sera prête et rappelle que l’accord GPEC prévoit la possibilité d’une
formation pour répondre à une candidature interne.
Le SRH précise que ce sont deux choses différentes : il va mettre en ligne les métiers à 3 à 5 ans
pour permettre aux salariés d’éventuellement suivre une formation et postuler à moyen terme.
Le CE rétorque que le prétexte de l’urgence sera toujours présent.
Le SRH s’en défend et rappelle que dans le cas présent, il n’a eu aucune candidature. Et s’il en avait
eu une, il aurait suivi l’accord GPEC manuellement pour permettre éventuellement au candidat de
suivre une formation.
Le CE souhaiterait que l’argument informatique ne soit pas utilisé trop souvent et rappelle que la DG
avait indiqué que l’UES étant une petite entreprise, elle était au fait des compétences de tout un
chacun.
Le SRH fait remarquer au CE que son commentaire ne semble pas aller dans le sens de la GPEC. Il
insiste sur le fait que le SRH croit à cet accord GPEC, et pense que le CE est dans l’erreur, de même
qu’il serait une erreur de penser que le SRH a une bonne connaissance des compétences des gens.
L’intérêt de la GPEC justement est de permettre de découvrir qu’il y a des compétences ignorées, de
faire sortir d’un endroit insoupçonné des compétences particulières. Le SRH précise qu’il a
simplement dit que sur ce poste de comptable, il n’avait pas l’outil informatique adéquat mais que ce