particulier ne puisse dominer le conseil et que les
décisions soient obligatoirement le résultat d’un
consensus entre toutes les parties prenantes. Ce mode
de fonctionnement a parfois été ardu et laborieux à roder
au début, mais s’est finalement révélé fonctionnel et
extrêmement efficace comme outil de concertation, de
médiation, d’intermédiation et d’action.
Des processus de participation citoyenne active à la
définition des orientations et des priorités d’action de
l’organisation. Il faut prendre ici le mot citoyen dans son
sens large, référant autant aux citoyens individuels qu’aux
citoyens associatifs, corporatifs et institutionnels.
Des modes d’interaction partenariaux tels que co-
constructions de politiques et programmes, cogestion
d’alliances de recherche, coproduction d’activités et
d’événements de consultation, de mobilisation et de
concertation.
C’est, comme je le soulignais plus haut, un mode de
gouvernance qui a extrêmement bien servi les collectivités
qui l’ont adopté, en leur permettant notamment de :
Mobiliser les forces vives et la population locales dans un
contexte de déclin économique et démographique ayant
entraîné une grande défavorisation;