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NOM : ________________________ Prénom : __________________________
1. On appelle « dissonance cognitive » :
le sentiment laissé par un achat qui s’avère décevant.
un état d’inconfort en raison d’informations, de croyances, etc. incompatibles entre elles.
un message qui heurte vivement la sensibilité et les valeurs d’un individu.
2. Une lovemark est une marque :
pour laquelle le lien affectif et la respectabilité sont à des niveaux très élevés.
que l’on achète sous l’emprise d’un coup de cœur, d’une impulsion.
3. On mesure l’audience d’un titre de presse sur :
le nombre de lecteurs de la veille pour les quotidiens, de la semaine précédente pour les
hebdomadaires, etc.
le nombre d’exemplaires diffusés (diffusion donnée par le titre) multiplié par le nombre
moyen de lecteur au numéro (donnée recueillie par sondage).
sa diffusion moyenne au cours des six derniers mois.
4. Vrai ou faux ? Quelle que soit la catégorie de biens ou de services, la marque crée toujours
beaucoup de valeur perçue par le consommateur en le valorisant.
Vrai
Faux
5. Vrai ou faux ? Il est plus rapide et surtout beaucoup moins coûteux de développer la notoriété
d’une marque destinée à un vaste public par des moyens digitaux (Internet) qu’en achetant de
l’espace dans les médias classiques.
Vrai
Faux
6. Le modèle dit de la « disruption » consiste à :
repérer les conventions des annonceurs en usage dans une catégorie de produits et à
proposer une nouvelle approche publicitaire en rupture avec ces conventions.
attirer l’attention et susciter l’intérêt avec des messages très forts, provocateurs, voire
inconvenants, en rupture avec les conventions sociales et culturelles.
7. L’audience utile d’un support est :
l’audience d’un support qu’on peut qualifier par des critères socio-économiques (sexe,
tranche d’âge, CSP, habitat, etc.).
la part de l’audience totale d’un support qui appartient à la cible.
la part de l’audience totale d’un support qui peut être sensible aux arguments développés
dans le message.
8. Qu’en pensez-vous ? L’implication d’un individu pour une catégorie de produits varie avec le risque
perçu au moment de l’achat.
D’accord.
C’est le contraire.
Pas de lien entre implication et risque perçu.
9. Vrai ou faux ? Dans le bouche-à-oreille, il y a, à chaque fois, transmission d’une information (un avis)
et d’une recommandation.
Vrai
Faux
10. Quand un médecin recommande à un de ses confrères l’usage d’un nouveau médicament, c’est :
du bouche-à-oreille
de la prescription
de la préconisation
MM3 2015 PC2017 - Vendredi 6 novembre - QUIZZ
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