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(TP 16)
1- Les muscles sont indépendants
Pour que des mouvements soient possibles, certains muscles doivent être relâchés : par exemple, la
contraction du solaire implique le relâchement du jambier.
Suite à un stimulus : par exemple, choc sur le tendon du solaire, ce muscle se contracte alors que le
jambier se relâche.
L’activité de l’un inhibe l’activité de l’autre.
2- Contraction et relâchement produisent le mouvement
Lors d’un mouvement d’extension et de flexion du pied, les EMG (=électromyogrammes) enregistrés
sur le jambier et le solaire alternent :
Pour le jambier, ils sont enregistrés pour la flexion La contraction de ce muscle permet
donc la flexion du pied on parle de muscle fléchisseur,
Pour le solaire, ils sont enregistrés pour l’extension La contraction de ce muscle permet
donc l’extension du pied on parle de muscle extenseur.
Ces muscles, permettant des mouvements contraires, sont dits muscles antagonistes.
IV-
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(TP 16)
1- Les conséquences de lésions montrent l’intervention des centres nerveux
La moelle épinière est localisée dans le canal rachidien de la colonne vertébrale.
Lors d’une lésion de la moelle épinière, la zone du corps innervée par la partie située au-dessous de
la lésion présente une perte de tonus et une perte de la motricité c’est-à-dire une impossibilité de
toute contraction musculaire : il y a paralysie.
L’étendue de cette perte dépend donc de l’importance de la lésion médullaire et du niveau où elle
s’est produite.
Ces observations indiquent que la moelle épinière et le tronc cérébral interviennent dans le
mouvement réflexe : ces centres nerveux jouent donc un rôle dans le contrôle et le maintien de la
posture.
2- Les nerfs périphériques conduisent les messages nerveux
Le réseau de nerfs périphériques qui se ramifient dans la totalité du corps comprend :
Des nerfs sensitifs qui conduisent à la moelle épinière et au tronc cérébral, les informations
recueillies à la périphérie ;
Des nerfs moteurs qui conduisent du tronc cérébral et de la moelle épinière jusqu’aux
muscles, les messages envoyés du cortex.
Les nerfs périphériques conduisent donc des messages nerveux à l’origine des réflexes.
Les expériences de sections permettent de mettre en évidence différents nerfs avec des rôles
différents dans le maintien de la posture :
La section de la racine dorsale (postérieure) d’un nerf rachidien interrompt le message
sensitif mais pas le message moteur : cette racine est donc sensitive et afférente.
La section de la racine ventrale (antérieure) d’un nerf rachidien interrompt le message
moteur mais pas le message sensitif : cette racine est donc motrice et efférente.
Le nerf issu de l’union des 2 racines, est à la fois moteur et sensitif : c’est un nerf mixte.
La moelle épinière, en temps que centre nerveux, et les nerfs, en tant que conducteurs de messages,
sont indispensables à la réalisation d’un réflexe myotatique.
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Un certains nombre de capteurs sensoriels dispersés dans l’organisme réagissent à des stimuli
extérieurs : en déclenchant un message nerveux, ils participent à la réalisation des réflexes de
posture.