PHYSIOLOGIE : SYSTEME NERVEUX VEGETATIF PCEM2
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VAISSEAUX
Toutes les artères ont une innervation sauf les artères génitales qui sont innervées
par le .
Les autres ont un récepteur contraction d'où vasoconstriction.
Glandes salivaires : dilatation par le  qui est sécrétoire.
Dilatation au niveau musculaire et coronaire par l' et par les récepteurs 
Exception: dilatation musculaire :  à médiation cholinergique.
Dilatation au niveau des artères splanchnique : on diminue l’action de l’orthosympathique. On
diminue donc la contraction. Idem au niveau des artères cutanés.
Les veines ont-elles une seule innervation.
METABOLISME
Insuline, seule hormone hypoglycémiante de l'organisme : diminution ou
augmentation de la sécrétion.
Glucagon, une des hormones hyperglycémiante : uniquement augmentation de la
sécrétion.
FOIE Carrefour métabolique
Orthosympathique : rôle de mobilisation des réserves qui se fait par des récepteurs de
type bêta.
Il peut stocker du sucre sous forme de glycogène (comme le muscle)
augmente la glycogénolyse ( 2)
augmente la gluconéogenèse (fabrication de sucre à partir d'élément non glucidique)
L' est capable d'augmenter et de mobiliser les réserves glucidiques
Le récepteur 2 est ici excitateur (exception)
ADIPOCYTE
diminue la lipolyse 2 (action anti lypolitique)
augmente la lipolyse
Cellules de réserve des graisses qui sont stockées sous forme de triglycérides.
Quand le récepteur est stimulé, les TG sont transformés en glycérol et acides gras.
Pour lutter contre l'obésité on pourrait soit f favoriser la lipolyse, soit inhiber l’anti
lipolyse en bloquant les récepteurs alpha 2.
2 SYNTHESE
Globalement on a 3 possibilités pour définir le rapport entre et .
- mode on off (mode interrupteur) Ex: muscle arrecteur
o si on stimule qqch : on à l’action
o si on ne stimule pas : on a pas l’action
- mode réciproque : mode antagoniste Le  fait une chose alors que l'
fait l'inverse. Exemple du cœur :
o accélérateur
o  frénateur.
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Cette opposition se fait aussi au niveau de la médiation :
-  peut inhiber la libération d'acétylcholine au niveau du 
-  peut inhiber la libération de la noradrénaline au niveau de l' en
agissant sur les récepteurs muscariniques.
- mode synergique : même s'ils ne font pas exactement la même chose les 2
systèmes coopèrent, ils vont dans le même sens.
Ex: comportement sexuel (érection) ou sécrétion salivaire.
B AU NIVEAU DE L’ORGANISME
et  tous les 2 présents car ils n'ont pas le même rôle:
 :
o Action TONIQUE (action permanente : les fibres sont en permanence
parcourues par un flux nerveux).
o But: conserver et restaurer l'énergie et la matière.
o Mise en jeu PARCELLAIRE (mis en jeu au niveau d'un seul organe).
o Il freine en permanence le coeur et il est protecteur.
o Il assure une gestion permanente.
:
o ’a pas forcément une action permanente.
o Action tonique très faible et même inexistante.
o Mise en jeu GLOBALE.
o SN et médullosurrénale: système neuro-adrénergique.
o Mis en jeu dans les situations critiques dites de STRESS (agression) :
circonstances qui peuvent mettre en péril l'homéostasie.
o Mobilisation de façon rapide des réserves d’énergie pour mettre en place des
mécanismes adaptatifs pour corriger les effets de l’agression et pour préserver
l’homéostasie (maintien du volume et de la composition di liquide interstitiel)
IV MODE DE FONCTIONNEMENT
Fonctionnement sur le mode REFLEXE.
Un réflexe est la mise en jeu d'un effecteur à la suite de la stimulation d'un récepteur
sensitif. Ex : centre nerveux de la miction
BAROREFLEXE ARTERIEL pour le contrôle de la pression sanguine artérielle qui
dépend du fonctionnement du coeur et des vaisseaux.
BARORECEPTEUR enregistre la PSA ce qui engendre des modifications des
effecteurs (coeur et vaisseaux).
MICTION :
L’urine dans la vessie stimule des mécanorécepteurs qui envoient des informations au centre
médullaire sacré de la vessie ce qui engendre une contraction du détrusor pour que l’urine
aille dans l’urètre.
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Chez l’enfant, le réflexe court seul marche.
Chez l’adulte, le réflexe court seul ne suffit pas. Il faut en plus un réflexe long
Lors de paraplégie ou de lésions médullaire basse, la miction ne peut pas se faire
correctement.
Par ailleurs, on ne peut pas uriner quand on veut. L’hypothalamus a une action inhibitrice.
On peut contracter un autre muscle : le sphincter strié de l’urètre qui permet de se retenir.
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