L`infaillibilité pontificale ne signifie pas que le Pape soit exempt du

LA PAPAUTÉ CATHOLIQUE ACCEPTE D'ÉCORNER SON INFAILLIBILITÉ,
LES LINGUISTES TENTENT "NIAISEMENT" DE LA RÉCUPÉRER
Le monde contemporain média-médio-cacocratique (en écriture manuscrite former bien le "o" pour qu'il
ne ressemble par à un "a") réserve bien des surprises.
La papauté catholique apostolique romaine ayant le dogme de l'infaillibilité en ce qui concerne la foi et la
morale accepte cependant que le Pape puisse commettre des péchés et des erreurs.
Les linguistes (masculin et féminin)
1
, eux, veulent atteindre le summum de l'infaillibilité linguistique au
point de ne jamais pouvoir commettre de "péchés" (façon d'écrire) et des erreurs dans leur domaine de
compétence en général et en créolité francophone en particulier. Ce sont des dieux et des déesses de
l'Olympe. Il(Elle)s sont né(e)s des cuisses de Jupiter. Plus d'essence divine qu'elles et eux, tu meurs! Y'a
pas photos! Foutaises! Mon œil!
Ils se disent "comme la nature a horreur du vide" et selon le principe des vases communicants, si
l'infaillibilité papale flanche et meurt "de sa belle mort par le volume et le poids de ses turpitudes et
niaiseries" alors nous, les linguistes, nous devons tout faire pour l'acquérir. Il(Elle)s pensent l'avoir déjà.
Grenouilles de bénitier linguistique qui veulent se faire plus grosses que des vaches, plus papales que le
Pape! TCHUIP!
Des extraits de Wikipédia.fr (cf. Internet, Wikipédia pour le texte intégral original) mentionnent ce qui
suit:
1. INFAILLIBILITE PONTIFICALE (Source: WIKIPEDIA)
Pour l'Église catholique apostolique romaine, l'infaillibilité pontificale est un dogme selon lequel le Pape ne
peut se tromper lorsqu'il s'exprime ex cathedra (c'est-à-dire en tant que Docteur suprême de l'Église et en
engageant sa pleine autorité apostolique), et ce, en matière de foi et de morale.
Ce dogme a été défini solennellement en 1870 lors du premier concile œcuménique du Vatican, quoique
l'Église lui confère des origines anciennes. Il est à l'origine du schisme mineur de l'Église vieille-catholique.
Il est en revanche un point d'achoppement majeur dans le dialogue œcuménique avec l'Église orthodoxe,
les Églises protestantes, Evangéliques contemporaines et l'Église anglicane, et un point de rupture
définitif pour la Philosophie rationaliste qui y voit le sommet de l'argument d'autorité.
AJOUTS DE DJA: Et même de nos jours, en plein XXIème siècle, ce serait considéré comme une hérésie de
dire qu'aucun être humain sur la planète Terre, fût-il le Saint Pontife, Pape François Ier, "inspiré et
illuminé" par Dieu, fût-il le Représentant de Dieu sur Terre, puisse être doué d'infaillibilité, et ce dans
n'importe quel domaine que ce soit, et ainsi même dans la foi et les mœurs.
Et pourtant l'on connaît les turpitudes papales de l'Histoire. Citer les BORGIA est uniquement suffisant.
Mais l'on vous dira que cela n'a rien à voir avec l'infaillibilité dogmatique. C'étaient des erreurs, des
péchés. Tours de passe-passe et tous les gogos (les 2 sexes, ne pas l'oublier), "cathos", béats, laudateurs
AYIBOBO car vodouisants aussi dans certains pays (ex. Bénin, Haïti, Brésil, Cuba, …), gobent! Tout devient
lumineux dans le meilleur des mondes! TCHUIP!
1
Les linguistes en général, les linguistes francophones, les linguistes créolophones francophones, les linguistes
haïtiens en particulier et surtout les terminologues. Ne point oublier que dans tout mon texte la parité générique,
sexuelle, est de mise, voire de rigueur!
La constitution dogmatique Lumen gentium (21 novembre 1964) proclamée par le 2e concile du Vatican
explicite : « Le Pontife romain, chef du collège des évêques, jouit, du fait même de sa charge, de cette
infaillibilité quand, en tant que pasteur et docteur suprême de tous les fidèles, et chargé de confirmer ses
frères dans la foi, il proclame, par un acte définitif, un point de doctrine touchant la foi et les mœurs. »
L'infaillibilité pontificale ne signifie pas que le Pape soit exempt du péché, ni qu'il ne puisse commettre des
erreurs.
2. CONDITIONS DE L'INFAILLIBILITE PONTIFICALE (Source: WIKIPEDIA)
Une déclaration d'un Pape qui exerce l'infaillibilité pontificale est considérée comme une définition
pontificale solennelle ou enseignement ex cathedra. On ne doit pas confondre un tel type de déclaration
avec des enseignements qui sont infaillibles du fait d'une définition solennelle d'un concile œcuménique
ou avec des enseignements qui sont infaillibles du fait qu'ils proviennent du magistère ordinaire et
universel.
Selon l'enseignement du concile Vatican I et de la tradition catholique, les conditions requises pour
l'enseignement ex cathedra sont les suivantes :
1. « Le pontife romain »
2. « parle ex cathedra » (c'est-à-dire dans l'accomplissement de sa fonction comme pasteur et enseignant
de tous les chrétiens, et en vertu de son autorité apostolique suprême).
3. « Il définit »
4. « qu'une doctrine concernant la foi ou les mœurs »
5. « doit être tenue pour vraie dans toute l'Église ».
Un enseignement « infaillible » d'un Pape ou d'un concile œcuménique peut contredire des enseignements
antérieurs de l'Église, dans la mesure où ils ne sont pas eux-mêmes considérés comme infaillibles. Dans ce
cas, les enseignements faillibles antérieurs sont immédiatement abrogés. Évidemment, un enseignement
infaillible ne peut pas contredire un enseignement antérieur infaillible, y compris les enseignements
infaillibles de la Bible ou de la Tradition. Aussi, du fait du sensus fidelium, un enseignement infaillible ne
peut pas être contredit ultérieurement par l'Église catholique apostolique romaine.
3. USAGE DE L'INFAILLIBILITE PONTIFICALE (Source: WIKIPEDIA)
Un Pape invoque l'infaillibilité pontificale lorsqu'il proclame solennellement un dogme. Cela ne s'est produit
qu'une (1) seule fois depuis 1870, pour le dogme de l'Assomption de la Vierge Marie, proclamé par le Pape
Pie XII en 1950, après consultation des évêques du monde entier. Du point de vue de la doctrine
catholique, le Pape pourrait invoquer l'infaillibilité pontificale en matière de morale, mais, à proprement
parler, ce ne fut jamais fait, même dans les affirmations les plus fermes de Paul VI dans l'encyclique
Humanae Vitae en 19686 excluant la contraception artificielle, ou celles de Jean-Paul II dans l'encyclique
Evangelium vitae condamnant l'avortement provoqué et l'euthanasie en 19957.
Dans un tout autre domaine, la lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis de Jean-Paul II du 22 mai 1994
déclarant que l'Église n'a pas le pouvoir d'ordonner des femmes prêtres, ne constitue pas un enseignement
ex cathedra définissant un dogme de foi. Toutefois, à l'occasion du motu proprio Ad Tuendam Fidem, il a
été rappelé qu'Ordinatio Sacerdotalis a tranché la question de manière définitive, et que son contenu
relève du domaine de l'infaillibilité du Magistère ordinaire.
4. DESACCORDS AVEC CETTE DOCTRINE (Source: WIKIPEDIA)
4.1. SCHISME VIEUX-CATHOLIQUE
Un certain nombre de fidèles catholiques, notamment en Allemagne, Suisse et Hollande, ont refusé les
conclusions du concile de Vatican I et notamment la proclamation du dogme de l'infaillibilité. L'archevêque
« vieil-épiscopal » d'UTRECHT, dont la position est issue d'un schisme antérieur, Mgr Loos, s'associe au
mouvement et l'aide à se structurer. L'acte fondateur de la nouvelle église est la Déclaration d'Utrecht
adoptée en 1889.
4.2. POSITION DES EGLISES ORTHODOXES
Pour les Eglises orthodoxes, l'infaillibilité pontificale est totalement inconcevable. Par principe, l'Église
orthodoxe ne prend que des décisions collégiales, c'est pourquoi le choix d'une décision unilatérale est
choquante pour ces églises8. Les synodes réunissant les évêques orthodoxes sont rarissimes, pourtant,
ceux-ci se sont réunis en 1848, pour mettre en garde l'Église catholique sur son choix d'établissement de
l'infaillibilité pontificale8. Les églises orthodoxes considèrent qu'une fois de plus, l'Église catholique prend
des libertés avec les textes du christianisme en introduisant des nouveautés non canoniques et en
rajoutant des difficultés dans le dialogue œcuménique.
Pour Justin POPOVIC, parfois considéré comme un Père de l'Église orthodoxe, le dogme de l'infaillibilité
pontificale constitue la troisième grande chute de l'humanité, après celle d'Adam et de Judas. Comme
Adam et Judas, le Pape veut devenir bon, parfait, dieu, par lui-même9.
4.3. POSITION DES EGLISES PROTESTANTES
Le Protestantisme, depuis ses débuts, ne reconnait pas l'autorité du Pape comme chef de la chrétienté.
Seul Jésus-Christ est reconnu comme tel10. L'enseignement contenu dans la Bible est considéré comme
unique élément normatif pour la foi, c'est-à-dire que toute affirmation dogmatique doit pouvoir
s'appuyer sur les propos bibliques. S'il y a contradiction entre l'enseignement biblique et l'enseignement
de l'Église, cette dernière doit revoir son opinion et se conformer aux Écritures. Par exemple, l'affirmation
dogmatique déclarée infaillible sur l'Assomption de Marie ne peut être reconnue valide en milieu protestant,
car elle ne trouve aucun fondement dans la Bible11.
5. « INFAILLIBILITE » ET « PRIMAUTE »
L'infaillibilité pontificale, qui concerne donc la véracité des actes pontificaux en matière de Foi et de
morale, est souvent confondue avec la primauté pontificale, qui concerne l'autorité juridictionnelle du Pape
dans l'Église.
6. AUTRE INFAILLIBILITE : LES CONCILES ŒCUMENIQUES
Le Pape n'est cependant pas seul à disposer de l'infaillibilité. Conformément au droit canonique: « Can. 749
- § 2. Le collège des évêques jouit lui aussi de l'infaillibilité dans le magistère lorsque les évêques assemblés
en concile œcuménique exercent le magistère comme docteurs et juges de la foi et des mœurs, et
déclarent pour l'Église tout entière qu'il faut tenir de manière définitive une doctrine qui concerne la foi ou
les mœurs ; ou bien encore lorsque les évêques, dispersés à travers le monde, gardant le lien de la
communion entre eux et avec le successeur de Pierre, enseignant authentiquement en union avec ce
même Pontife romain ce qui concerne la foi ou les mœurs, s'accordent sur un point de doctrine à tenir de
manière définitive. »
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé
« Papal infallibility » (voir la liste des auteurs)
1. Constitution dogmatique [archive] Pastor Æternus, chap. 4
2. Fundamentals of Catholic Dogma, Bk. IV, Pt. 2, Ch. 2, §5
3. Benoit XVI, audience générale du 5 mars 2008, Léon le grand, sur le site du Vatican [archive] « Cette foi en
Jésus Christ, vrai Dieu et vrai homme, était affirmée par le Pape dans un important texte doctrinal adressé à
l’Évêque de Constantinople, qui s’intitule Tome à Flavien, qui, lu à Chalcédoine, fut accueilli par les Évêques
présents avec une acclamation éloquente, dont la description est conservée dans les actes du Concile : "Pierre
a parlé par la bouche de Léon", s’exclamèrent d’une seule voix les Pères conciliaires. »
4. Cf. Jean-Yves Lacoste (dir), Dictionnaire critique de théologie, 1998, PUF, article « Vatican I », par Claude
Bressolette.
5. Wie Der Papst Unfehlbar Wurde: Macht und Ohnmacht eines Dogmas, R. Piper & Co. Verlag (1979)
6. « En conformité avec ces points fondamentaux de la conception humaine et chrétienne du mariage, nous
devons encore une fois déclarer qu'est absolument à exclure, comme moyen licite de régulation des
naissances, l'interruption directe du processus de génération déjà engagé, et surtout l'avortement
directement voulu et procuré, même pour des raisons thérapeutiques. Est pareillement à exclure, comme le
Magistère de l'Église l'a plusieurs fois déclaré, la stérilisation directe, qu'elle soit perpétuelle ou temporaire,
tant chez l'homme que chez la femme. Est exclue également toute action qui, soit en prévision de l'acte
conjugal, soit dans son déroulement, soit dans le développement de ses conséquences naturelles, se
proposerait comme but ou comme moyen de rendre impossible la procréation. »
Le site de la Conférence des évêques de France précise d'ailleurs à l'article "infaillibilité" de son glossaire :
"Est infaillible celui qui n'est pas sujet à l'erreur. Dogme défini par le Concile Vatican I, l'infaillibilité concerne
dans certains cas précis le Pape en tant que pasteur de l'ensemble de l'Église catholique. Le domaine auquel
s'applique cette infaillibilité est strictement circonscrit ; il s'agit exclusivement de la définition de points de
doctrine concernant la foi et la morale en vue d'expliciter le contenu de la Révélation. Se trouvent exclues de
ce domaine, entre autres, les questions de caractère pastoral ou disciplinaire. Ainsi l'encyclique "Humanae
vitae" de Paul VI ou des sanctions ecclésiastiques ne relèvent pas du domaine de l'infaillibilité".
7. §57 « (…)Par conséquent, avec l'autorité conférée par le Christ à Pierre et à ses Successeurs, en
communion avec tous les évêques de l'Église catholique, je confirme que tuer directement et volontairement
un être humain innocent est toujours gravement immoral. Cette doctrine, fondée sur la loi non écrite que
tout homme découvre dans son cœur à la lumière de la raison (cf. Rm 2, 14-15), est réaffirmée par la Sainte
Écriture, transmise par la Tradition de l'Église et enseignée par le Magistère ordinaire et universel. »
8. a et b http://www.routard.com/guide/serbie/2364/culture.htm [archive]
9. l'Homme et le Dieu-Homme, page 149, éditions l'Âge d'Homme
10. cf. épître aux Éphésiens, 1, 22 : Ep 1. 22 [archive]
11. Michel Bry, Histoire des religions en Europe : Judaïsme, Christianisme et Islam, éd. De Boeck Université,
1999, p. 73,extrait en ligne [archive]
Bibliographie
Abbé Bernard Lucien, Les degrés d'autorité du magistère, La Nef, 2007 ;
Groupe des Dombes, « Un seul maître » : l'autorité doctrinale dans l'Église, Bayard, 2005 ;
Ch. Theobald, « Première constitution dogmatique sur l'Eglise du Christ : Pastor Aeternus du concile
de Vatican I » in Histoire des dogmes, T. 4, B. Sesboüé (dir), Cerf, 1996, pp. 315-344 ;
K. Schatz, La primauté du pape. Son histoire, des origines à nos jours, Cerf, 1992, notamment les pp.
225-242 ;
G. Thils, Primauté et infaillibilité du Pontife romain à Vatican I et autres études d'ecclésiologie,
Presses de l'Université de Louvain, Louvain, 1989 ;
J. Gadille, « Vatican I, concile incomplet ? », Le Deuxième concile du Vatican, Actes du colloque de
l'École française de Rome, Rome, 1989, 3345 ;
V. Conzemius, « Pourquoi l'autorité pontificale a-t-elle été définie précisément en 1870 ? »,
Concilium, n° 64, 1971 ;
H. Rondet, Vatican I, le concile de Pie IX. La préparation, les méthodes de travail, les schémas restés
en suspens, Lethielleux, Paris, 1961 ;
E. Cecconi, Histoire du concile du Vatican, Librairie Victor Lecoffre, 1887. Disponible en PDF sur ce
site.
Bibliographie dans la Wikipêdia anglophone, voir : en:Papal infallibility#References
D'ordinaire les notes de référence et la bibliographie sont mentionnées en fin de texte. Il y est dérogé
volontairement. C'est dans le souci de permettre à certaines lectrices et à certains lecteurs de s'informer
un peu plus sur le sujet en question. De ce fait, le texte sera plus compréhensible, déjà du fait que chacun
des termes et notions auront les mêmes définitions et contours pour tout le monde.
Ainsi il est précisé que même l'obédience qui a pour dogme l'infaillibilité a tenu à limiter stricto sensu son
étendue: Foi et Morale. Elle accepte même que l'infaillibilité, papale ou œcuménique, n'interdit pas que
le Pape et le Concile des Evêques ne puissent commettre des erreurs. Elles et eux, les Linguistes, ils n'en
commettent jamais. Tout est dogme chez eux. Tout est dogme "bétonné", "scellé" d'une chape de savoir
avéré pire que celle utilisée dans les usines nucléaires. Toute parole et tout écrit deviennent par leur
bouche et par leurs mains des VERITES. Des dogmes infaillibles. Il est impossible de les modifier même si
l'on décèle des erreurs, même si les innovations contemporaines permettent de les corriger. Pourtant ….!
Le site de la Conférence des évêques de France précise d'ailleurs à l'article "infaillibilité" de son glossaire :
"Est infaillible celui qui n'est pas sujet à l'erreur. Dogme défini par le Concile Vatican I, l'infaillibilité
concerne dans certains cas précis le Pape en tant que pasteur de l'ensemble de l'Église catholique. Le
domaine auquel s'applique cette infaillibilité est strictement circonscrit ; il s'agit exclusivement de
la définition de points de doctrine concernant la foi et la morale en vue d'expliciter
le contenu de la Révélation. Se trouvent exclues de ce domaine, entre autres, les questions de
caractère pastoral ou disciplinaire. Ainsi l'encyclique "Humanae vitae" de Paul VI ou des sanctions
ecclésiastiques ne relèvent pas du domaine de l'infaillibilité".
Vu cette conception restrictive de l'infaillibilité, l'Eglise catholique apostolique romaine admet qu'elle
puisse commettre des erreurs, que la Papauté puisse commettre des erreurs dans tous les autres
domaines autres que la Foi et la Morale. Les linguistes sont infaillibles partout, et spécialement dans la
linguistique, la terminologie, la créolité, Ils ne peuvent pas commettre des erreurs. Ils ne commettent
jamais d'erreurs.
Dans plusieurs articles faisant les actualités d'octobre 2013, L'Eglise catholique vient d'admettre
partiellement et non pas totalement son erreur dans une phrase du "Notre Père". Depuis 1966, plus de
47 ans, une phrase de cette prière était un blasphème. C'est la suite: "Ne nous soumets pas à la
tentation". L'idée exprimée ainsi avait le sens suivant: Dieu, tentateur, malin (représentant le Mal),
farceur, facétieux, nous soumet à la tentation pour évaluer nos réactions. Allons-nous succomber!
Allons-nous résister! Alors que l'idée de départ est: "Ne nous laisse pas succomber à la tentation". Dieu,
nous comptons sur votre aide pour résister à la tentation de Satan, du Diable.
Un (ou une) lanceur d'alertes a découvert ce blasphème, et même après 47 ans, la principale prière de la
communauté chrétienne CATHO a subi une modification après réunion du concile œcuménique. La
phrase litigieuse devient: "Et ne nous laisse pas entrer en tentation"
2
. C'est une phrase en français
bancal. On préfère cela pour éviter le retour direct à la phrase du passé "Et ne nous laisse pas succomber
à la tentation" qui prouverait la fiabilité du Protestantisme dans cette prière. Et ainsi vous constatez que
l'humanité, le caractère humain, mesquin, n'admettant pas de perdre la face, se retrouve encore et
toujours au niveau papal. Alors il faut dès lors douter de l'infaillibilité papale même dans les domaines de
la Foi et de la Morale. Les fidèles catholiques doutent beaucoup à travers le monde. C'est la raison pour
laquelle il y a tant de désaffection des fidèles, surtout dans le catholicisme.
Dommage ces derniers sont déroutés et vont faire le lit grossissant des Eglises dites Evangéliques! Les
pasteurs des ces églises sont des mercenaires religieux ("divine business") guidés par l'appât du gain en
2
Aller à Wikipédia et taper "Notre Père". A la fin de mon texte j'ai essayé de mentionner un tableau extrait de
Wikipédia.
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