Rédaction pour une étude de croisement :

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Exercice de génétique
Rédaction pour une étude de croisement :
Étude du premier croisement :
Les deux parents utilisés lors du premier croisement sont de lignée ou race pure, c’est-à-dire
homozygote pour le gène étudié.
Tous les descendants F1 sont donc hétérozygotes pour chaque gène.
Pour chaque gène présenter l’écriture que vous utiliserez et préciser les allèles dominants et récessifs.
Exemple :Pour le gène de la longueur des antennes, l’allèle antenne normale (que l’on notera c+) est
dominant et l’allèle antenne courte (noté c) est récessif.
Étude du deuxième croisement :
Parler d’un croisement test si c’est le cas (croisement avec un récessif).
Faisons l’hypothèse que les gènes sont indépendants, donc sur 2 chromosomes différents :
Faire le tableau de croisement.
a. Mes résultats théoriques sont en accord avec les résultats expérimentaux (résultats équiprobables) ;
mon hypothèse est vérifiée donc mes gènes sont bien sur des chromosomes différents.
Le seul brassage intervenant est le brassage interchromosomique.
b. Mes résultats théoriques (résultats équiprobables) ne sont pas en accord avec les résultats
expérimentaux, mon hypothèse est fausse, les gènes sont liés.
On observe des phénotypes parentaux et recombinés avec des pourcentages différents. Ces derniers
s’expliquent par un brassage intrachromosomique, se réalisant lors de la prophase I de la méiose : Les
crossing-over. (faire un schéma présentant les gènes de l’exercice.)
La production au cours de la méiose de gamètes recombinés ne peut s’expliquer que si les loci des
deux gènes sont situés de part et d’autre d’un chiasma, comme le montre le schéma, les échanges se
font alors par crossing-over.
De plus puisque le pourcentage de gamète recombiné est faible, c’est que la fréquence des crossingover entre les deux gènes est faible, ce qui conduit a penser que les deux gènes sont proches l’un de
l’autre sur le chromosome.
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