Sans titre

publicité
Programmes 2001 de 1S SVT : plan du cours
1 S programme 2001 : Structure et composition chimique interne de la
Terre
I.
Prélever des échantillons du contenu de la planète.
A)
B)
Récolte d’échantillons à l’affleurement.
Récolte d’échantillons dans les exploitations minières et forages.
A)
1)
Nature des ondes sismiques.
Les différents types de déformations de la matière solide :
a) Elastique
b) Plastique
c) Cassante.
2)
Qu’est-ce qu’un séisme ?
3)
Renseignements apportés par les différents types d’ondes sismiques.
4)
Renseignements apportés par le trajet des ondes sismiques
5)
Notion d’hodochrone
6)
Bilan des renseignements apportés par les ondes sismiques.
B)
Les principaux réflecteurs sismiques.
C)
Indications sur la composition de l’intérieur de la Terre
1)
Les zones liquides et solides.
2)
Indications sur la composition des roches
3)
Retrouver la composition du noyau terrestre Un échantillonnage indirect :
les météorites de types chondrites.
a) Rappel sur le scénario admis pour la naissance du système solaire.
b) Les différents types de météorites.
c) Calcul de la densité du noyau
d) La composition du noyau.
La mobilité des plaques lithosphériques.
De la dérive des continents à la tectonique des plaques
Arguments en faveur d’une mobilité de la lithosphère
Les arguments de la « dérive des continents »
Les anomalies magnétiques des fonds océaniques.
a) Pourquoi ces anomalies magnétiques ?
b) Interprétation de l’aspect en « peau de zèbre » des anomalies magnétiques.
c) Âge des sédiments supportés par le fond océanique.
Mesure de vitesse de production de fond océanique
B)
Les points chauds, un repère fixe par rapport à la Terre.
A)
1)
2)
Programme 1S SVT 2001 Plan du cours
Description des alignements insulaires.
Le mécanisme de formation
L’intérêt des points chauds.
a) Des repères absolus ;
b) Des messagers de phénomènes très profonds.
C)
La mobilité de la lithosphère, un fait d’observation directe.
D)
Le découpage de la surface terrestre en plaques lithosphériques.
E)
Différents types de frontières de plaques repérables par les séismes
F)
Les limites de la notion de plaques
II. Etude des zones de divergence : les dorsales médio océaniques.
II. Les séismes, une façon d’ausculter la Terre.
I.
1)
2)
3)
16/04/17
Description d’une dorsale médio-océanique.
Le relief.
Le magmatisme.
Le flux thermique.
Les failles transformantes.
B)
Nature des roches présentes dans la lithosphère océanique.
a) Les roches formées au niveau du rift : les basaltes.
b) Gabbro
c) Péridotites
d) Transformation des roches après leur formation : le métamorphisme
C)
Le fonctionnement de la dorsale médio-océanique
a) Mécanisme de formation du magma basaltique.
b) Problème de l’origine du flux thermique.
D)
Les moteurs de la mobilité lithosphérique.
1)
Le dôme thermique : écoulement gravitaire.
2)
La pression hydrostatique des injections basaltiques.
3)
La traction des plaques plongeantes.
E)
Histoire de l’ouverture d’un océan.
1)
Stade rift intra-continental ( Alsace Limagne)
2)
Stade jeune océan (mer rouge).
3)
Stade océan en expansion (Atlantique).
4)
Stade océan mature (pacifique).
5)
La fin de l’histoire d’un océan (formation des Alpes, on verra l’année
prochaine).
A)
a)
b)
c)
d)
III. Quelle source d’énergie pour le moteur de la tectonique des plaques ?
A)
1)
2)
3)
B)
1)
2)
Bilan des phénomènes observés dans le manteau.
Dans le manteau supérieur
Dans l’ensemble du manteau
A l’interface noyau manteau.
La Terre une machine fonctionnant à l’énergie atomique.
Le soleil moteur de la géodynamique externe.
La fission des éléments radioactifs moteur de la géodynamique interne.
Page 1/.4.
(i)
Influence de la température.
(ii) Rôles dissymétriques du froid et de la chaleur.
(iii) Interprétation de la relation vitesse initiale- concentration en
substrat.
(3)
Les spécificités de l’activité enzymatique : une affaire de forme.
(i)
Spécificité de substrat.
(ii) Spécificité de fonction.
(4)
Lien entre la structure des protéines et leur fonction.
(5)
Conclusion sur le rôle des protéines.
Du génotype au phénotype.
Relations avec l’environnement. Programme 2001
I.
Introduction :
A)
B)
1)
2)
a)
b)
c)
C)
1)
2)
a)
b)
c)
le problème de l’héritabilité d’un caractère
Rappels sur la localisation de l’IG.
les contraintes à respecter
Identification du support
Dans la cellule :
Dans le noyau des eucaryotes
Dans l’ADN (Acide Désoxyribo Nucléique)
Nature du support de l’IG : constitution des acides nucléiques
Rappels de seconde sur la structure de l’ADN
La famille des acides nucléiques.
Structure d’un nucléotide.
Les particularités de l’ARN
Comparaison ADN ARN
II. Qu’est-ce qu’un caractère : la nature du phénotype.
A)
Observation d’un phénotype à différentes échelles : Exemple de la
drépanocytose.
1)
Echelle macroscopique
a) Description de la maladie.
b) La drépanocytose : une maladie héréditaire.
2)
Echelle cellulaire : L’anémie falciforme.
3)
Echelle moléculaire.
4)
Conclusion : le phénotype, une notion dépendant de l’échelle d’observation.
B)
La constitution chimique d’un être vivant à la base de son phénotype.
1)
Les différents constituants d’un être vivant.
a) Constitution élémentaire.
b) Les différents types de molécules.
2)
Quels constituants peuvent expliquer la diversité observée des phénotypes ?
a) La matière minérale
b) Structure des glucides.
c) Structures des lipides
d) Structure des protides.
(1)
Structure primaire
(2)
Lien entre les structures primaire et tertiaire.
3)
Le rôle déterminant des protéines dans la production du phénotype
a) Les protéines de structure.
b) Les enzymes.
(1)
Définition d’une enzyme.
(2)
Propriétés des enzymes.
Programme 1S SVT 2001 Plan du cours
16/04/17
III. La synthèse des protéines.
A)
1)
2)
a)
b)
c)
3)
B)
1)
a)
b)
c)
d)
2)
3)
a)
b)
c)
d)
4)
Le lien entre ADN et protéines.
Les conséquences d’une mutation ponctuelle sur l’ADN.
Existence d’un code génétique.
Les contraintes que doit subir ce code.
Comment trouver la clé du code génétique ?
Les caractères du code génétique.
Notion de gène et d’allèle.
Le passage de l’ADN à la protéine.
Localisation des différents phénomènes dans la cellule.
Rappels sur la structure de la cellule.
L’ADN dans le noyau.
La production de protéines dans le cytosol
Localisation de l’ARN.
La transcription de l’IG.
La traduction de l’IG.
Phase d’initiation
Phase d’élongation
Phase de terminaison
Le code et le message : où se trouve la clé du code génétique ?
Conclusion : Que représente réellement un gène ?
IV. Génotype et phénotype, des rapports complexes
A)
1)
2)
3)
4)
5)
B)
C)
1)
2)
Le phénotype résulte de la présence de plusieurs allèles.
Le caryotype d’un être vivant à reproduction sexuée.
Nombre d’allèles du même gène pouvant être possédés par un diploïde.
Notion d’homozygote et hétérozygote.
Notion de dominance et de récessivité.
Cas où les deux allèles d’expriment dans le phénotype.
Des cas où e phénotype résulte de l’expression de plusieurs gènes.
Le phénotype résulte d’une interaction avec l’environnement.
La phénylcétonurie.
La drépanocytose.
Page 2/.4.
D)
Conclusion : Retour à nos carottes. Peut-on séparer les contributions du
génotype et de l’environnement ?
IV. Conséquences d’une mauvaise régulation : le diabète sucré.
A)
1)
2)
3)
C)
D)
1)
2)
3)
1 S (programme 2001) La régulation de la glycémie et les phénotypes
diabétiques.
I.
Mise en évidence d’une régulation.
A)
B)
C)
1)
2)
D)
E)
Evolution de la glycémie au cours d’une journée.
Les apports alimentaires de glucose.
Notion d’homéostasie
Importance de la glycémie pour l’organisme.
Définition de l’homéostasie
Rappel sur les différents éléments d’une boucle de régulation
Rétrocontrôle négatif et régulation.
Le rôle du foie
Expérience du foie lavé de Claude Bernard.
Comparaison des glycémies des AH et VSH
Fonction glycogénique du foie.
Notion de milieu intérieur et de sécrétion endocrine.
Conclusion
Les autres organes effecteurs de la glycémie
Le rôle du pancréas : la production d’une hormone
Effet de la dépancréatisation
Effet de l’alloxane
Effet de l’injection d’extrait pancréatique.
Effet d’une ablation greffe
a) Principe
b) Application au pancréas
5)
Comportement de cellules bêta plongées dans des plasmas de glycémies
variées.
Schéma de synthèse : constatation d’une régulation fonctionnelle.
E)
Les propriétés d’une hormone : l’insuline
1)
Nature chimique
2)
Niveau et mode d’action
F)
Conclusion : notion d’hormone
a) Définition
b) Codage de l’intensité du message hormonal.
c) Comparaison communication hormonale communication nerveuse.
III. Le glucagon une hormone antagoniste de l’insuline.
A)
Le rôle du glucagon
B)
Conclusion sur l’existence de deux systèmes antagonistes.
Programme 1S SVT 2001 Plan du cours
16/04/17
Qu’est-ce que le diabète ? B)
Les symptômes d’un diabète.
La définition de la maladie
Utilisation d’hyperglycémie provoquée pour diagnostiquer le diabète.
Les conséquences des diabètes.
La glycosurie : cause ou symptôme
Les différents types de diabètes
Diabète de type I (insulinodépendant)
Diabète de type II (non insulinodépendant)
Les traitements possibles.
V. Conclusion part de génotype et de l’environnement dans l’expression
d’un phénotype diabétique.
A)
B)
II. Les différents éléments de la boucle de régulation de la glycémie
A)
1)
2)
3)
4)
5)
B)
C)
1)
2)
3)
4)
Existence d’autres systèmes hyperglycémiants
C)
Comparaison d’individus génétiquement proches.
Le diabète maladie multifactorielle
1 S (2001) Morphogenèse végétale
I.
Les variations morphologiques de végétaux.
A)
1)
2)
B)
1)
2)
3)
Types de morphologies des plantes
Les différentes parties d’une plante à fleur.
Principaux ports et types morphologiques
Différences morphologiques dues à des différences génétiques.
Différences entre espèces (les gènes sont différents).
Différences entre individus
Des gènes « architectes » déterminant la morphologie des plantes
a) Rappel sur les gènes homéotiques
b) Exemple de l’organisation de la fleur d'Arabidopsis Thaliana (Arabette des
dames).
C)
Différences morphologiques dues à l’influence du milieu.
D)
Différences morphologiques dues à l’interaction d’autres êtres vivants.
E)
Le cas des adaptations.
F)
Conclusion sur les différents types de modifications morphologiques
II. Les modalités de la croissance des végétaux.
Etude d’une zone en croissance
Le mécanisme de la croissance du nombre de cellules.
La mitose : une reproduction conforme de la cellule.
a) Rappels sur la structure d’un chromosome.
b) Les différentes phases de la mitose
2)
Importance des évènements situés entre deux mitoses.
3)
Le mécanisme de la réplication de l’ADN : la réplication semi-conservative.
A)
B)
1)
Page 3/.4.
4)
Le cycle cellulaire
a) Définition du cycle cellulaire.
b) Evolution de la quantité d’ADN par cellule au cours d’un cycle cellulaire.
c) Les étapes du cycle cellulaire
C)
Mécanisme de la croissance en longueur des cellules végétales.
1)
La structure de la membrane d’une cellule végétale.
2)
Un mécanisme responsable d’une pression s’exerçant sur la membrane :
L’osmose.
III. Facteurs hormonaux réglant la croissance des végétaux.
Totipotence cellulaire et développement harmonieux d’un organisme.
Des hormones végétales aux effets spécifiques
Notion d’hormone végétale.
Hormones agissant sur l’élongation des cellules.
a) Auxine
b) Gibbérellines en interaction avec l’auxine.
3)
Hormones agissant sur la prolifération cellulaire.
C)
Action des hormones sur la morphogenèse végétale.
D)
Mécanisme d’action du milieu sur la morphologie végétale.
1)
Exemple de l’action de la lumière.
a) Mise en évidence
Mécanisme de l’action de la lumière.
2)
Exemple de l’action de la gravitation.
A)
B)
1)
2)
IV. Conclusion : interaction entre milieu et génome dans le cas des
végétaux. Existe t’il un effet à long terme
1S (programme 2001) : Communication nerveuse
I.
Différents types de comportements
II. Etude d'un réflexe : le réflexe myotatique
A)
B)
Rappel sur la notion de réflexe :
Résultats de l'étude expérimentale
a) Qualitativement (voir TP) :
b) Quantitativement
C)
Rôle du réflexe myotatique. Le réflexe de posture : une régulation de la
longueur du muscle
1)
Le muscle réagit sur sa propre longueur : une rétroaction
2)
Récepteurs et effecteurs du réflexe myotatique
D)
Câblage du réflexe : le réflexe monosynaptique
1)
Circulation d’un influx nerveux.
2)
Voies nerveuses mises en jeu dans le réflexe myotatique.
a) Voie afférente et voie efférente
Programme 1S SVT 2001 Plan du cours
16/04/17
b) Nature des voies nerveuses.
Les cellules nerveuses : les neurones.
Les centres nerveux.
Un passage nécessaire entre plusieurs cellules nerveuses : les synapses
Notion d’unité motrice
E)
Conclusion
1)
Récapitulation des différents noms du réflexe.
2)
Schéma de synthèse
3)
4)
5)
6)
III. La nature de l'influx nerveux
A)
Etude expérimentale
B)
Le potentiel de repos
C)
Le potentiel d'action
1)
Déroulement dans le temps.
2)
Déclenchement Au niveau d'une terminaison sensorielle et codage de
l’intensité du stimulus dans la chaîne nerveuse.
D)
Potentiel d’action potentiel global et intensité de la contraction musculaire
IV. Passage de l'influx de cellule en cellule au sein d'une chaîne nerveuse
A)
Définition d'une chaîne nerveuse
B)
Notion de synapse
1)
Définition
2)
Aspect en microscopie électronique de la synapse chimique
C)
Fonctionnement d'une synapse excitatrice
D)
Les synapses inhibitrices
1)
Mise évidence d'une inhibition dans le cas du réflexe myotatique.
2)
Bilan fonctionnel :
câblage
E)
Les synapses, organisateurs du système nerveux
1)
Délai de franchissement (= délai synaptique)
2)
Polarisation de la circulation du message nerveux
Effet intégrateur des synapses
a) Sommations temporelles
b) Sommation spatiale
F)
Conclusion : modulation de la réponse du muscle par l’organisme
G)
Pour information : les différents neurotransmetteurs
V. Part de la génétique et du milieu dans la détermination des phénotypes
particuliers que constituent les comportements
A)
Lien entre le génome et le fonctionnement synaptique
B)
Plasticité du câblage neuronique au niveau du système nerveux central.
Rappel sur l’anatomie de l’encéphale.
2)
Projection sur le cortex
3)
Exemple de la représentation des vibrisses de rongeurs.
Page 4/.4.
Téléchargement