Partie 1: L'économie et la société
1) Definitions
"La science économique vise à comprendre comment s'établissent les relations quantitatives entre
les individus d'une société, relations qui naissent de leurs activités de production, d'échange, de
consommation, et quelles grandeurs ces relations prennent."
"La science économique est la science sociale qui étudie les comportements humains devant faire
appel à des moyens rares tout en étant sollicités par des fins multiples"
approche positive: prédiction, faits: si...alors... proposition dénuée de jugement de valeur
ex: si le prix d'un bien augmente les gens souhaitent en acheter moins
approche normative: prescriptions sur base de jugements de valeurs et d'analyses pol, base de la
politique économique
ex: les gens doivent fumer moins car ils coûtent a la collectivité dc taxe sur cigarettes
Smith: économiste écossais du 18e, fondateur de l'économie classique
2) Relations sociales
produire, consommer, distribuer, épargner, investir, st relations sociales
les phénomenes economiques affectent rel sociales et reciproquement
ex: 1) le prix du pétrole
hausses: 73,4, 78-80, baisse de 82 à 98 puis forte hausse
a affecté ce que l'on produit, cmt on produit, la distribution de la richesse, diminution D produits pétroliers, baisse
progr prix baril, tension entre prod (stt OPEP), dvlpmt D Asie, raréfiaction offre
affectent relations entre pays, gr soc, gr de pers
2) le chômage
Il résulte au moins en partie d'un défaut de coordination car des gens souhaitente travailler et d'autres souhaitent
consommer plus
Eu: taux de chômage ne cesse de grimper depuis 1975>< GB, USA en baisse depuis 81-90
//: Allemagne: taux de chomage plus éleve ms maintient du salaire des non-qualifiés (les plus frappés par le
chômage)><USA baisse de 40%, Pays-Bas: imp des emplois a tps partiel
3) inégalité de dvlpmt ds le M
10% de la pop = 80% prod 1,3 milliard : ps accès eau potable
840 millions malnutrition 1 enfant/7 non scolarisé
B: premier décile reçoit 1,5% du revenu total dernier reçoit 27%
USA: 20% pop sous le seuil pauvreté (50% du revenu médian)
Causes: en apparence éco (rareté) ms facteurs techn, institutionels, normes sociales,...
3) Rareté, choix
ressources productives limitées->CHOIX sous contraintes, ds contexte, ils determinent l'allocation
des ressources -> Satistacion maximale
choix rationels, on calcule en fonction de la satisfaction relative, du prix relatif
La rareté est une construction sociale
Société qui connait la rareté // individu limité par revenus
Coût d'opportunité: Q des autres biens à laquelle renoncer pr obtenir une unité suppl d'un bien, prix
relatif (il est mesuré graphiquement par la tengeante du point)
Les inégalités de prix, de rémunérations ne dépendent pas que de la "rareté physique" mais aussi
"rareté sociale" (rareté phys+ valeur qu'on y attache)
Place de l'étique? Trad: efficacité, pour l'étique on verra après
3 questions: - Que produire, que consommer et comment?
- Comment rendre compatible ces décisions individuelles -> réalisation?
- Comment évaluer l'allocation et la distribution des richesses?
4) Le capitalisme
3 caract principales: le marché
la propriété privée des moyens de production (struc. par finance)
le salariat
3 périodes:
La régulation concurentielle (19e)
très peu de contrôle, manufactures (artisanat a grande échelle, org collect) bcp de liberté sur un
marché assez instable
La régulation fordiste
Taylor: travail à la chaîne dc meilleur contrôle de l'efficacité du travail->
entreprise modernes de grandes dimensions->régulation Fordiste
Ford: permiere voiture en série
paye bcp plus ses ouvries
->bonne productivité
->pourrons acheter voitures car prduire c'est bien mais il faut vendre assez
-> création du pouvoir d'achat (cf Cohen)
Golden Sixties: aboutissement du Fordisme
Le toyotsime
capacité de la chaîne de production a créer des produites spécialisés -> flexibilité ds l'entreprise
et dans les rémunérations.
régulation "patrimoniale" : flexibilté et rôle de la finance plus imp
prod->rentabilité-> + gd contôle de la finance
Partie 2 : Microéconomie (choix rationel)
1) Définitions
La microéconomie: étudie comment s'établissent les relations quantitatives entre les gens, les pays...
Considère que tous les phénomènes sociaux résultent de ce que nous voulons car ils sont guidés par
nos CHOIX donc nos intentions, elle n'accorde pas de place au politique
Elle s'interrogent sur ce que produisent/consomment les gens et pq? cmt consomment/produisent?
en quoi investissent? Quelle distribution richesse?
les comportements optimisateurs des individus (cf graph p 1)
Etre rationel: se comporter en fonction de ses intérêts, préférences
La rationalité: consiste donc à maximiser la satisfaction que l'on peut retirer d'une dotation donnée
en ressource productives (contrainte budgétaire) par l'échange (donc la production car comment
échanger si l'on ne produit rien!)
Rappel: hypothèse: nous sommes raisonnables, faisons des choix rationels donc on calcule
Le marché est le lieu de rencontre des souhaits de vente des offreurs et des souhait d'achat des
demandeurs. Processus (cmptrmt, rgl, institutions) par lesquels ils interagissent
processus par lequel les plans de consomation des individus, d'investissement des entreprises
(demande), les plans de production des entreprises (offre) se confrontent et donnent lieu à des
décisions de production et d'échange effectifs à un prix donné
Coût d'acquisition: 1 poire pour trois pommes (bien alternatif)
Taux marginal de transformation : rapport entre la Q d'un bien auquel il faut renoncer et la Q supplémentaire
d'un autre bien qu'on peut obtenir en échange
Productivité moyenne : production par heure de travail
Productivité marginale : production par heure additionelle de travail (fx pas linéaire, elle diminue avec la Q
car les rendements sont décroissants)
2)L'offre
Les entreprises veulent maximiser le revenu // les individus la satisfaction
donc minimisation des coûts, choisir le niveau de production qui va leur apporter le profit
maximum
combiner les facteurs de productions fonction de leur productivité relative et de leur prix relatif
3) La frontiere des possibilités de production
La frontière des possibilités de production indique pour chaque niveau de production d'un bien, la
Q maximale de l'autre bien qui peut ê produite compte tenu des ressources T dt on dispose
hypothèses: La société dispose d'un stock de ressources
Ces ressources sont succeptibles d'usages alternatifs
hypothèse du plein-emploi = productivité = ressources Tment utilisées.
Elle dépend de la Q T des ressources disponilbles et la productivité de ces ressources
Interdependance des 2, si travail dans la production des B est plus productif, on peut en liberer + pr la même Q de B, pr
produire + de N (graphe 15) de plus quand le stock des ressources augmente, les poss de prod augmentent aussi en fx de
la productivité de ces ressoucrces
Il existe une gde variété de comportements efficients (sur la frontière), la production effective des
deux biens sera déterminée par le demande, donc par le marché car les entreprises ne produisent que
ce qu'elle pensent pouvoir vendre en faisant du profit
4) Les biens
Bien économique : un bien rare, n'existant que en Q limitée, et permettant de satisfaire un ou des
besoins (qui résultent de désirs)
Il existe des biens matériels et immatériels : les services
Biens substituables : 2 biens qui sont a même de satisfaire un même désir, plus ou moins
parfaitement (pomme et poire)
Biens complémentaires: lorsque leur utilisation conjointe est indispensable pour la satisfaction d'un
seul et même besoin (voiture et essence)
Ce sont toujours des ressource naturelle, reproductibles ou non reproductibles
Les biens de consomation sont destinés à satisfaire les besoins (désirs) des consomateurs
Les biens de production permettent de produire d'autres biens, ils comprennent les biens
d'investissement (machines, bâtiments) qui ne transmettent qu'une partie de leur valeur dans le
bien produit et les biens intermédiaires dont la valeur est totalment incorporée dans la valeur du
produit (caoutchouc et pneu).
Les biens finaux comprennent les biens de consommations et d'investissement (privés et publics) et
les biens exportés
inputs : non directement produits = primaires (travail, "capital") ou intermédiaires (machine :
consommation intermédiaire)
output = produit fini
5) Les opérations économiques de base
Production : activité visant à la création d'un bien économique et consistant à organiser et combiner
des facteurs de production
Consommation : acquisition d'un bien en vue de son utilisation pr la satisfaction d'un besoin
Investissement : acquisition de biens d'investissement, en particulier de biens d'équipement en vue
de la création ou de l'augmentation de capacités de production
Epargne : mise en réserve d'une partie du revenu en vue de la prêter à quelqu'un qui a besoin d'un
financement et se constituer ainsi un revenu futur
Echanger : se debarasser de ce qu'on a de trop pour acquérir ce qu'il nous manque, pcq nous ne
savons pas tout faire, nos ressources étant limitées tous y gagnent en satisfaction
6) Les agents économiques
Individu / groupe d'individus / organisation qui constitue un centre de décision et d’action
économique, càd susceptible d’exercer des choix économiques et de les mettre en oeuvre
1. Les particuliers / ménages / consommateurs : ils acquièrent des revenus en vendant leur travail
et en récoltant les fruits de leurs placements. Ils consomment ou épargnent ce revenu
2. Les entreprises / producteurs : achètent des facteurs de production, produisent et vendent des
biens et services à d’autres entreprises, aux particuliers, à l’état et au « reste du monde ». Elles
investissent pour accroître leurs capacités de production.
3. l’état / pouvoirs publics / le gouvernement : produit des biens et services publics (collectifs),
redistribue les revenus entre les particuliers, réglemente l’activité économique. Pour assumer ces
fonctions, l’état lève des impôts.
4.le « reste du monde » : exportations et importations
NB: Relation positive entre le revenu ( v indep) et le nievau de dépense des consomations, relation de causalité, pcq
Relation croissante, dérivée positive
Décroissante, négative
Relation linéaire : la variation des deux variables est proportionelles
Partie 3 : Macro (flux circulaire)
La macroéconomie étudie le fonctionnement du systeme dans son ensemble, ensemble des résultats,
intentionels ou non, des décisions microéconomiques.
Elle condidère qu'il faut gérer le collectif (place a la politique) et prend en compte l'incidence de
contraintes extérieures (X et Z)
C'est l'économie comme système d'interdépendances, elle considère que le résultat de l'interaction entre les individus
peut ammener des choses non voulues, innatendues (ex: chômage, inflation, le revenu et sa croissance), elle travaille sur
des données agrégées ( PNB, C, I, G...) et cache le fonctionnement de centaines de marchés. La macroéconomie
relativise l'importance de l'individu, du choix rationel, considère qu'il y a plus que les intentionalités. Est modeste car
considère que les choix et la rationalité n'explique pas tout, ambitieuse car elle prétend le faire
Flux circulaire : produire-> creer de la valeur ajoutée-> couts de production-> revenus (particuliers
et entreprises)-> depenses> recettes des entreprises-> production->etc
Valeur ajoutée : Chiffre d'affaire moins les coûts des biens intermédiaires = salaires + excédent brut
d'exploitation (EBE = profit). C'est ce qui crée des revenus
Dépréciation du capital : Production de la valeur ajoutée qui est utilisée à ce qu'il faut renouveler de
l'appareil de production (car usure machines)
PIB: Somme des valeurs ajoutées (des entreprises) produite sur le territoire concerné, pas le
revenu
CNE: Contribution nette de l'étranger : revenus qui rentrent - revenus qui sortent (>< X et Z sont
des biens et services)
PNB : Revenu T reçu par les résidents du pays concerné
Chez nous elle n'est pas t imp, au Maroc par ex PNB >>> PIB
ex: un Belge qui travaille en France augmente la CNE belge, un Fr qui tr en Bl augmente la CNE FR et
augmente le PIB B
C : Dépenses de consomation
I : Investissements (stock d'invendus, machines...)
S : Epargne
G: Consomation publique
X: Exportations
Z: Importations
B: Transferts
T: Impôts + taxes
Y: Ce qui sort du pôle entreprise "production", mesure la prod globale nette = PIB
Y ~ Somme C+S
Y ~ Somme C+I
Y ~ C+I+G+X-Z
Y-C~S~I+G+X-Z
valeur T I= valeur T S
PIB+CNE=PNB
Les 3 mesures du PIB : Les 3 optiques de comptabilité nationale
- La production : somme des valeurs ajoutées produites
- Distribution / Revenus : somme des revenus primaires payés pour des activités productrices,
salaires, profits, épagne, invendus,...
- Affectation / Depenses : somme des dépenses de biens finaux moins les Z
Remarques:
a) X peut être fait avec des valeurs Z mais on y ajoute de la valeur ajoutée
b) L'Etat préleve des impôts avec lesquels il fianance ses propres dépenses, ce qu'il prend pour le
distribuer ne change rien au volume global de la consomation
c) PNB nominal different PNB réel: ne mesure que l'évoltuion des Q
! PNB / habitant
!!! graphe p 8, 12, PNN?
Parties 4, 5, 6 : Le marché
la quantité offerte est une fx croissante car
- la marge bénéficiaire augmente avec le volume de la production si le prix augmente, ttes autres
choses égales par ailleurs
- et/ ou les coûts de production unitaires augmentent avec ce volume
frustration: a ce prix, autant vendre plus
Pi prix du bien (somme couts/unité + marge bébeficiaie) sil varie deplacement le long fx doffre
offre dpd prix des autres biens (substituts + compl) inputs, techn, c qu'on pourrait faire, régulations
du marché
dplcmt courbe offre : S (Pj+ Pm+Tci+R)
- coûts de production diminuent ->
- techn augm (Tci) ->
- prix substitus baissent (Pj) ->
- prix compl augm ->
- reglm restreignent (R) <-
- augm p inputs (salaires, bien intermédiaires) <-
l'offre dépend aussi de ce qu'on pourrait faire
Pi : prix du bien, sil varie deplacement le long fx d'offre
dplcmt courbe demande
- goûts et préférence augm ->
- prix substituts augm ->
- complementaires baissent ->
- revenu augm ->
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