synthèse

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Partie 1: L'économie et la société
1) Definitions
"La science économique vise à comprendre comment s'établissent les relations quantitatives entre
les individus d'une société, relations qui naissent de leurs activités de production, d'échange, de
consommation, et quelles grandeurs ces relations prennent."
"La science économique est la science sociale qui étudie les comportements humains devant faire
appel à des moyens rares tout en étant sollicités par des fins multiples"
approche positive: prédiction, faits: si...alors... proposition dénuée de jugement de valeur
ex: si le prix d'un bien augmente les gens souhaitent en acheter moins
approche normative: prescriptions sur base de jugements de valeurs et d'analyses pol, base de la
politique économique
ex: les gens doivent fumer moins car ils coûtent a la collectivité dc taxe sur cigarettes
Smith: économiste écossais du 18e, fondateur de l'économie classique
2) Relations sociales
produire, consommer, distribuer, épargner, investir, st relations sociales
les phénomenes economiques affectent rel sociales et reciproquement
ex: 1) le prix du pétrole
hausses: 73,4, 78-80, baisse de 82 à 98 puis forte hausse
a affecté ce que l'on produit, cmt on produit, la distribution de la richesse, diminution D produits pétroliers, baisse
progr prix baril, tension entre prod (stt OPEP), dvlpmt D Asie, raréfiaction offre
affectent relations entre pays, gr soc, gr de pers
2) le chômage
Il résulte au moins en partie d'un défaut de coordination car des gens souhaitente travailler et d'autres souhaitent
consommer plus
Eu: taux de chômage ne cesse de grimper depuis 1975>< GB, USA en baisse depuis 81-90
//: Allemagne: taux de chomage plus éleve ms maintient du salaire des non-qualifiés (les plus frappés par le
chômage)><USA baisse de 40%, Pays-Bas: imp des emplois a tps partiel
3) inégalité de dvlpmt ds le M
10% de la pop = 80% prod
1,3 milliard : ps accès eau potable
840 millions malnutrition
1 enfant/7 non scolarisé
B: premier décile reçoit 1,5% du revenu total dernier reçoit 27%
USA: 20% pop sous le seuil pauvreté (50% du revenu médian)
Causes: en apparence éco (rareté) ms facteurs techn, institutionels, normes sociales,...
3) Rareté, choix
ressources productives limitées->CHOIX sous contraintes, ds contexte, ils determinent l'allocation
des ressources -> Satistacion maximale
choix rationels, on calcule en fonction de la satisfaction relative, du prix relatif
La rareté est une construction sociale
Société qui connait la rareté // individu limité par revenus
Coût d'opportunité: Q des autres biens à laquelle renoncer pr obtenir une unité suppl d'un bien, prix
relatif (il est mesuré graphiquement par la tengeante du point)
Les inégalités de prix, de rémunérations ne dépendent pas que de la "rareté physique" mais aussi
"rareté sociale" (rareté phys+ valeur qu'on y attache)
Place de l'étique? Trad: efficacité, pour l'étique on verra après
3 questions: - Que produire, que consommer et comment?
- Comment rendre compatible ces décisions individuelles -> réalisation?
- Comment évaluer l'allocation et la distribution des richesses?
4) Le capitalisme
3 caract principales: le marché
la propriété privée des moyens de production (struc. par finance)
le salariat
3 périodes:
 La régulation concurentielle (19e)
très peu de contrôle, manufactures (artisanat a grande échelle, org collect) bcp de liberté sur un
marché assez instable
 La régulation fordiste
Taylor: travail à la chaîne dc meilleur contrôle de l'efficacité du travail->
entreprise modernes de grandes dimensions->régulation Fordiste
Ford: permiere voiture en série
paye bcp plus ses ouvries
->bonne productivité
->pourrons acheter voitures car prduire c'est bien mais il faut vendre assez
-> création du pouvoir d'achat (cf Cohen)
Golden Sixties: aboutissement du Fordisme
 Le toyotsime
capacité de la chaîne de production a créer des produites spécialisés -> flexibilité ds l'entreprise
et dans les rémunérations.
 régulation "patrimoniale" : flexibilté et rôle de la finance plus imp
prod->rentabilité-> + gd contôle de la finance
Partie 2 : Microéconomie (choix rationel)
1) Définitions
La microéconomie: étudie comment s'établissent les relations quantitatives entre les gens, les pays...
Considère que tous les phénomènes sociaux résultent de ce que nous voulons car ils sont guidés par
nos CHOIX donc nos intentions, elle n'accorde pas de place au politique
Elle s'interrogent sur ce que produisent/consomment les gens et pq? cmt consomment/produisent?
en quoi investissent? Quelle distribution richesse?
les comportements optimisateurs des individus (cf graph p 1)
Etre rationel: se comporter en fonction de ses intérêts, préférences
La rationalité: consiste donc à maximiser la satisfaction que l'on peut retirer d'une dotation donnée
en ressource productives (contrainte budgétaire) par l'échange (donc la production car comment
échanger si l'on ne produit rien!)
Rappel: hypothèse: nous sommes raisonnables, faisons des choix rationels donc on calcule
Le marché est le lieu de rencontre des souhaits de vente des offreurs et des souhait d'achat des
demandeurs. Processus (cmptrmt, rgl, institutions) par lesquels ils interagissent
processus par lequel les plans de consomation des individus, d'investissement des entreprises
(demande), les plans de production des entreprises (offre) se confrontent et donnent lieu à des
décisions de production et d'échange effectifs à un prix donné
Coût d'acquisition: 1 poire pour trois pommes (bien alternatif)
Taux marginal de transformation : rapport entre la Q d'un bien auquel il faut renoncer et la Q supplémentaire
d'un autre bien qu'on peut obtenir en échange
Productivité moyenne : production par heure de travail
Productivité marginale : production par heure additionelle de travail (fx pas linéaire, elle diminue avec la Q
car les rendements sont décroissants)
2)L'offre
Les entreprises veulent maximiser le revenu // les individus la satisfaction
donc minimisation des coûts, choisir le niveau de production qui va leur apporter le profit
maximum
combiner les facteurs de productions fonction de leur productivité relative et de leur prix relatif
3) La frontiere des possibilités de production
La frontière des possibilités de production indique pour chaque niveau de production d'un bien, la
Q maximale de l'autre bien qui peut ê produite compte tenu des ressources T dt on dispose
hypothèses: La société dispose d'un stock de ressources
Ces ressources sont succeptibles d'usages alternatifs
hypothèse du plein-emploi = productivité = ressources Tment utilisées.
Elle dépend de la Q T des ressources disponilbles et la productivité de ces ressources
Interdependance des 2, si travail dans la production des B est plus productif, on peut en liberer + pr la même Q de B, pr
produire + de N (graphe 15) de plus quand le stock des ressources augmente, les poss de prod augmentent aussi en fx de
la productivité de ces ressoucrces
Il existe une gde variété de comportements efficients (sur la frontière), la production effective des
deux biens sera déterminée par le demande, donc par le marché car les entreprises ne produisent que
ce qu'elle pensent pouvoir vendre en faisant du profit
4) Les biens
Bien économique : un bien rare, n'existant que en Q limitée, et permettant de satisfaire un ou des
besoins (qui résultent de désirs)
Il existe des biens matériels et immatériels : les services
Biens substituables : 2 biens qui sont a même de satisfaire un même désir, plus ou moins
parfaitement (pomme et poire)
Biens complémentaires: lorsque leur utilisation conjointe est indispensable pour la satisfaction d'un
seul et même besoin (voiture et essence)
Ce sont toujours des ressource naturelle, reproductibles ou non reproductibles
Les biens de consomation sont destinés à satisfaire les besoins (désirs) des consomateurs
Les biens de production permettent de produire d'autres biens, ils comprennent les biens
d'investissement (machines, bâtiments) qui ne transmettent qu'une partie de leur valeur dans le
bien produit et les biens intermédiaires dont la valeur est totalment incorporée dans la valeur du
produit (caoutchouc et pneu).
Les biens finaux comprennent les biens de consommations et d'investissement (privés et publics) et
les biens exportés
inputs : non directement produits = primaires (travail, "capital") ou intermédiaires (machine :
consommation intermédiaire)
output = produit fini
5) Les opérations économiques de base
Production : activité visant à la création d'un bien économique et consistant à organiser et combiner
des facteurs de production
Consommation : acquisition d'un bien en vue de son utilisation pr la satisfaction d'un besoin
Investissement : acquisition de biens d'investissement, en particulier de biens d'équipement en vue
de la création ou de l'augmentation de capacités de production
Epargne : mise en réserve d'une partie du revenu en vue de la prêter à quelqu'un qui a besoin d'un
financement et se constituer ainsi un revenu futur
Echanger : se debarasser de ce qu'on a de trop pour acquérir ce qu'il nous manque, pcq nous ne
savons pas tout faire, nos ressources étant limitées tous y gagnent en satisfaction
6) Les agents économiques
Individu / groupe d'individus / organisation qui constitue un centre de décision et d’action
économique, càd susceptible d’exercer des choix économiques et de les mettre en oeuvre
1. Les particuliers / ménages / consommateurs : ils acquièrent des revenus en vendant leur travail
et en récoltant les fruits de leurs placements. Ils consomment ou épargnent ce revenu
2. Les entreprises / producteurs : achètent des facteurs de production, produisent et vendent des
biens et services à d’autres entreprises, aux particuliers, à l’état et au « reste du monde ». Elles
investissent pour accroître leurs capacités de production.
3. l’état / pouvoirs publics / le gouvernement : produit des biens et services publics (collectifs),
redistribue les revenus entre les particuliers, réglemente l’activité économique. Pour assumer ces
fonctions, l’état lève des impôts.
4.le « reste du monde » : exportations et importations
NB: Relation positive entre le revenu ( v indep) et le nievau de dépense des consomations, relation de causalité, pcq
Relation croissante, dérivée positive
Décroissante, négative
Relation linéaire : la variation des deux variables est proportionelles
Partie 3 : Macro (flux circulaire)
La macroéconomie étudie le fonctionnement du systeme dans son ensemble, ensemble des résultats,
intentionels ou non, des décisions microéconomiques.
Elle condidère qu'il faut gérer le collectif (place a la politique) et prend en compte l'incidence de
contraintes extérieures (X et Z)
C'est l'économie comme système d'interdépendances, elle considère que le résultat de l'interaction entre les individus
peut ammener des choses non voulues, innatendues (ex: chômage, inflation, le revenu et sa croissance), elle travaille sur
des données agrégées ( PNB, C, I, G...) et cache le fonctionnement de centaines de marchés. La macroéconomie
relativise l'importance de l'individu, du choix rationel, considère qu'il y a plus que les intentionalités. Est modeste car
considère que les choix et la rationalité n'explique pas tout, ambitieuse car elle prétend le faire
Flux circulaire : produire-> creer de la valeur ajoutée-> couts de production-> revenus (particuliers
et entreprises)-> depenses> recettes des entreprises-> production->etc
Valeur ajoutée : Chiffre d'affaire moins les coûts des biens intermédiaires = salaires + excédent brut
d'exploitation (EBE = profit). C'est ce qui crée des revenus
Dépréciation du capital : Production de la valeur ajoutée qui est utilisée à ce qu'il faut renouveler de
l'appareil de production (car usure machines)
PIB: Somme des valeurs ajoutées (des entreprises) produite sur le territoire concerné, pas le
revenu
CNE: Contribution nette de l'étranger : revenus qui rentrent - revenus qui sortent (>< X et Z sont
des biens et services)
PNB : Revenu T reçu par les résidents du pays concerné
Chez nous elle n'est pas t imp, au Maroc par ex PNB >>> PIB
ex: un Belge qui travaille en France augmente la CNE belge, un Fr qui tr en Bl augmente la CNE FR et
augmente le PIB B
C:
I:
S:
G:
X:
Z:
B:
T:
Dépenses de consomation
Investissements (stock d'invendus, machines...)
Epargne
Consomation publique
Exportations
Importations
Transferts
Impôts + taxes
Y:
Ce qui sort du pôle entreprise "production", mesure la prod globale nette = PIB
Y ~ Somme C+S
Y ~ Somme C+I
Y ~ C+I+G+X-Z
Y-C~S~I+G+X-Z
valeur T I= valeur T S
PIB+CNE=PNB
Les 3 mesures du PIB : Les 3 optiques de comptabilité nationale
- La production : somme des valeurs ajoutées produites
- Distribution / Revenus : somme des revenus primaires payés pour des activités productrices,
salaires, profits, épagne, invendus,...
- Affectation / Depenses : somme des dépenses de biens finaux moins les Z
Remarques:
a) X peut être fait avec des valeurs Z mais on y ajoute de la valeur ajoutée
b) L'Etat préleve des impôts avec lesquels il fianance ses propres dépenses, ce qu'il prend pour le
distribuer ne change rien au volume global de la consomation
c) PNB nominal different PNB réel: ne mesure que l'évoltuion des Q
! PNB / habitant
!!! graphe p 8, 12, PNN?
Parties 4, 5, 6 : Le marché
la quantité offerte est une fx croissante car
- la marge bénéficiaire augmente avec le volume de la production si le prix augmente, ttes autres
choses égales par ailleurs
- et/ ou les coûts de production unitaires augmentent avec ce volume
frustration: a ce prix, autant vendre plus
Pi prix du bien (somme couts/unité + marge bébeficiaie) sil varie deplacement le long fx doffre
offre dpd prix des autres biens (substituts + compl) inputs, techn, c qu'on pourrait faire, régulations
du marché
dplcmt courbe offre : S (Pj+ Pm+Tci+R)
- coûts de production diminuent
->
- techn augm (Tci)
->
- prix substitus baissent (Pj)
->
- prix compl augm
->
- reglm restreignent (R)
<- augm p inputs (salaires, bien intermédiaires)
<l'offre dépend aussi de ce qu'on pourrait faire
Pi : prix du bien, sil varie deplacement le long fx d'offre
dplcmt courbe demande
- goûts et préférence augm ->
- prix substituts augm
- complementaires baissent ->
- revenu augm
->
->
élasticité : rapport entre l'accroissement prop de la Q et l'accroissement prop du prix (de S ou D)
élasticité de la fx d'offre depend du degré de plein emploi et d'utilisation des capacités de
production, et de la nature des rendements et de leur évolution lorsque la production varie
offre inélastique : p augmentent bcp, Q peu, danger d'inflation
demande agrégée : demande T pr ts les biens
effet revenu : type 1: baisse du pouvoir d'achat (revenu réel varie pcq prix varient)
type 2: revenu nominal varie
effet de substitution : p augmente, bien devient moins attractif que autres
modèle stakeholder : depuis fin années 80. conflit d'intérêt entre travailleur et dirigeants, et
travailleurs. Les emplois et salaires sont les variables résiduelles (+ coûts)
modèle stakeholder : dans années 60. actionnaire sont subsidiaires, le profit est la variable
d'ajustement
-> autre distribution de la v. aj.
modèle principal-agent : asymétrie d'information. Chef->executant : certitude. Executant->chef :
incertitude. Intérêts divergeants. L'agnet à intérêt à tirer au flanc pour autant que sa
rémunération lui soit garantie, le principal à intérêt aux «contrats incitatifs » (longue durée ac
salaire à la pièce->le travailleur supporte les risques car la production est aussi liée aux
possibilités de vente-> si l'entreprise ne vend pas, pas de salaire
pour un partage acceptable des risques:
- socialisatin des coûts
- systèmes de primes à la productivité (diff de primes à l'activité. Ex:13e mois en B)
7 : l'entreprise comme organisation
statrups: pt entreprises qui deviennent gigantesques, t peu de moeyn de base, V. aj. Intelectuelle très
imp. Ex: google. Bcp se plantent.
Sprl: forme juridique entreprise familiale
equilibre classique: optimalité. Si rationement, frustration d'un côté du marché
l'entreprisecomme structure organisationelle stable qui se reproduit dans le temps et se met des
objectifs. pfs plus efficient d'avoi des contrats ds la duree
coûts de transaction: ?
Auj: entr plus techn : travailleurs pas substituables aussi facilement, entreprise se crée relation
satble avec fournisseurs, travailleurs, financiers.
8 : le comportement de l'entreprise et les structures de marché
Entreprise rationelle : max profit, min coûts, elle à des coûts fixes et des coûts variables
En offre inelastique augm demande->augm prix
En offre élastique demande determine les Q
Minimum CM : toujours à l'intersection avec Cm
Quand la production augmente : variation CFT/variationQ <0
Rm = variation RT/variationQ
Cm = variation CT/variation Q
= (variation P/ variation Q)*Q+ (variation Q/variation Q).P
si Q augm:
<0
>0
Recette = chiffre d'affaire= P*Q
RT = tt ce qui rentre
CFM= coûts fixes par unité produite=CFT/Q
profit total= RT - CT
-> pr max le profit : trouver le niveau de prod pour lequel la diff entre les recettes T et les
coûts T est la plus gde
-> opérer au niveau de prod où Cm=Rm
coût marginal: augm du coût T par unité suppl
recette marginale: augm recette T par unité suppl.
1) La concurrence parfaite:
- t gd nombre de firmes
- information parfaite
- produit homogène
- aucune barrière à l'entrée/sortie
- pas de pouvoir de marché (pt taille)
-> un prix unique
Rm = RM = p (constant) >0
-> prod jusqu'au pt où p=Rm=Cm= production optimale
profit = p - CM.Q
on tend vers p*, Q*
2) Le monopole:
- pas de concurrence
- pouvoir de marché max, une seule firme, un produit unique (l'entr est la seule à le produire sur ce marché)
- contestable: + d'autres firmes s'il n'y a plus de barrières à l'entrée
- Il est confronté à la demande T du marché (décroissante)
-> le prix n'est pas constant : P = P(Q) = RM -> si l'entr veut vendre plus elle doit pê ajuster P
P>Rm=Cm (à l'intersection avec la demande)
Rm< RM(=P=D), (>< à la concurrence parfaite)
Pour vendre plus il doit baisser ses prix, chaque unité vendue lui rapporte moins mais la baisse de
prix s'apllique à TOUTES les unités. Ses RT augmentent de plus en plus faiblement jusqu'a ce
que diminution prix >(prop) que l'accroissement des Q qu'elle entraîne
p/r à la concurrence pfte le monopoleur tend tjs à fixer un prix + élevé et une production + basse
le consomateur perd pas tjs, il pt il y avoir economies d'échelle,...
monopole naturel: imp economies d'échelle ->pt entreprsies sont évincées
- indivisibilité de capital
- taille min recquise
- coûts fixes t élevés
- ps de place pr plusieurs firmes
monopole discriminant: f(Rm) se rapproche de f(D)->profits plus imp
9 : La concurrence imparfaite
l'oligopole: prod homogène, pt nombre de product
prix dpt de leurs decisions et celles concurrence, interaction stratégique.
stratégie dominante: stratégie donnant le meilleur résultat pour le joueur qqe soit la stratégie
adoptée par l'adversaire.
La stratégie dominante est de produire bcp mais la solution optimale qui suppose la
coopération est meilleure du point de vue collectif. voir dessin dileme du prisonnier (p13).
- collusion (coopération) accord implicites
- cartel : accord explicites, insitutionnalisés. Tjs intérêt à tricher, si capacités de production
excédentaires. -> payements collatéraux entre joueurs pour faire pression.
- Non-coop.
! aussi question de design, qualité, subjectif, on ne voit pas plus.
la concurrence monopoliste: produit differencié, nbr variable de producteurs, pas de barrières
l'entrée (la concurrence élimine les « super-profits »), chaque vendeur à une faible
capacité à jouer sur les prix.
à
10 : capital productif et investissement
Flux: se mesure sur une période de temps (>< stock).
Coût d'usage du capital (ce que coute l'utilisation d'une machine, d'un stock à la production) : coût
lié à l'obtention des services productifs qu'il peut fournir.
depréciation des machines (technique + économique) : composante principale du coût d'usage. La
valeur du bien d'équipement se transmet ainsi dans la valeur du produit final
Capital physique: le stock de bien d'investissements qui contribuent à la prod (machines,
structures...)
"terre": facteur de production que l'environnemnt naturel fournit pour la production. stock existant
d'un capital productif. (difff ressourcesnet non reprod)
???
valeur actualisée: valeur auj. d'un euro payable dans le futur (l'inflation entre en compte, !
incertitude des données)
I de capacités: augm les capacités de production
I de rationalisation: accroître les productivités du tr et de l'équipement
taux d'intérêt nominal = taux intérêt réel + taux d'inflation attendu
si le ti augm, la valeur des actions diminue
l'investissement T est une fonction décroissante du taux d'intérêt réel: (dérivée I/dérivée ti)<0
investissement brut = investissement de remplacement (amortissement déterminé par la
dépréciation)+ investissement net (détermine l'évolution des capacités de production entre les
2 périodes contabilisées)
X/ (1+ t intérêt) + X/ (1+ti)² + X/ (1+ti)³+ ....= revenu sur pl années de X placé en balnque (ti et X
constants)
VNA = - I + ce que rapporte an 1/(1+TRI) + ce que rapporte dans 2 ans/(1+TRI)²
TRI : taux de rendement interne
VNA : valeur nette actualisée
si VNA>0, si VAI>I, si VAI<I->placer en banque
si TRI > ti marché l'entreprise investit, sinon, placer en banque (car coût d'opportunité)
11, 12 : le "marché" du travail
emploi + chômage = population active (popac)
+ inactifs = population T
emploi (statistiquement) : pers recensée comme tr au sens institutionalisé, ne recense pas tt
! variables aléatoires -> ! ac comparaisons internationales
explosions taux de chomage entre 75 et 84
popac: ttes les pers en âge de tr désireuses d'occuper un emploi aux conditions du marché (point de
vue stat) (+/- 4,8 millions en Belg, 3,9 m tr)
W
PmV
L
salaire nominal/prix
productivité marginale en valeur
emploi
augm product machines à long terme négatif pr l'emploi
à court terme: les coûts d'ajustement pt de vue emploi st plus faibles que ceux des machines
hausse de l'intensité du capital p/r au tr
L'offre de tr p/r prix (salaire réel (W), évalué en termes de pv d'achat) est une fx croissante du
salaire réel, elle est relativement inélastique
dem de tr dpd négativmt des salaires
entr engage fx chaque tr lui rapporte -> pr max profit engage tr dont la Rm>salaire
en concurrence impfte l'emploi est contraint par la D pr le produit
en monopsone: croissance de l'emploi -> hausse des salaires donc un CmL croissant
(P 18.19, 22)
Action des syndicats : chap.11 p.3
discrimination importante au sein du marché du tr
Le capital humain : compétences du travailleur
Education comme forme d'investissement
13 : Les échecs du marché. concurrence impfte, externalités...Le rôle de l'action
collective
Pareto-efficience: une allocation de ressource l'est s'il est impossible en changeant cette allocation
d'améliorer la situation d'un individu sans déteriorer celle d'un autre. (somme la plus grande
possible). Pas un critère d'équité mais d'efficacité ( pas de gaspillage)
Si ts les marchés sont en concurrence pfte l'équilibre qui en résulte pour l'ensemble de
l'économie est paretto-efficient
! on parle de satisfaction Totale
Main invisible (Smith): ~ métaphore concurence pure et parfaite
Echec du marché: le fonctionnement libre du marché ne conduit ps à une allocation des ressources
Paretto efficiente (concurrence impfte, externalités, asymétrie d'info,...)
Externalités: Situation dans laquelle les décisions de production/consomation d'un individu
affectent les décisions de production/consomation d'un autre individu, autrement qu'au travers
des prix de marché (création de coûts sociaux...). Elles peuvent ê positives ou négatives,
peuvent impliquer une opposition entre les intérêts personnels et collectifs. (p.22.7,8,9,10,)
taxe, incidence de taxe: p 11,12,13
Bien public: on ne peut en exclure l'accès à qq1, la consomation du bien par un individu ne diminue
pas la Q disponible pour un autre. Le marché est incapable de les produire, un impôt force les
gens au financement de ces biens (intérêt à faire cavalier seul, pr éco ps de contrainte morale).
Paradoxe de Condorcet: differentes options classées par ordre de préference pour trois personnes
a>b>c
b>c>a
c>a>b
a>b : 2/1, b>c: 2/1 -> a>c: 2/1
mais c>a: 2/1
-> comment faire émerger décidion collect d'intérêts différents? résultats contradictoires!
Théorème de l'électeur médian: pour avoir la majorité si chacun vote selon son intérêt il faut
50%+1(l'électeur médian). -> une politique redistributive en faveur des 10% les plus pauvres
ne marchera jamais (il manquera 40%+1 des votes)
14: marché, équité et justice
La distribution interpersonelle des revenus: mesure le revenu réparti entre les individus
distribution fonctionelle des revenus: + de type macro. ignore l'aspect distributionel
équité horizontale: pers dans ^m situation doivent être traitée de même manière
équité verticale: ???traitement differents pr pers ds diff sit pr reduire ecart?
pauvreté pt de vue stat: les 5% qui ont revenus les plus bas
Sen: en dernière instance: un déni fondamental de liberté
15: IS: le marché des biens
Production potentielle: niveau de prod ac plein-emploi de ts les facteurs (pas de chômage,
utilisation T ressources disponibles,...)
différence entre production potentielle et effective (réelle) donne le degré de sous-utilisation des
capacités productives
AS
offre agrégée (somme d'offres individuelles)
AD
demande agrégée
elle est composée de la demande intérieure (C+I+G) et éxtérieure (+X-Z)
YDP consomation des particuliers
t
taux de taxation net
b
propention marginale à consommer
a
partie fixe des dépenses de C
cas 1: on considère que les coûts de prod ne varient pas en fonction du niveau de la prod->salaires
et prix fixes
->la demande sur le marché détermine la production, son niveau
l'offre détermine le niveau des prix (constants)
Y= PIB= C+I+G+X-Z comme condition ex ante, C,I,G...seront des données déterminant des
intentions
qu'est ce qui les détermine?
- C (on parle de la somme des C)
les revenus disponibles = revenus primaires -les impôts payés,+ les transferts reçus
= (1-t).Y
YDP augmente -> C augm mais moins que proportionellement !
La propention Moyenne à consommer est une fonction décroissante du revenu
b: 0<(variation C)/ (variation YDP)<1
C = a + b.YDP
S=YDP-C est une fonction croissante du revenu
- I (reconstitution sotck capital + nvl capacités)
dpd négativement du taux d'intérêt donc AD aussi
- Z augm ac le revenu
La droite à 45°: rassemble tous les pts où les dépenses T désirées = la production
Le mvtmt des stocks signale déséquilibre du marché,
si prod augm C augm (ms moins proport) -> on tend vers un équilibre
effet multiplicateur: la prod varie + proportionellement par rapport à une variation initiale de la
demande, car variation demande->variation prod->variation revenu->variation C->variation
dem,...
multiplicateur (en économie fermée): Y= (a+I=G). ...
plus gde est la prop marg a concommer plus gd est le multiplicateur
il diminue si l'état ns taxe + (car la variation de revenu sera moins grande)
c'est un facteur explicatif des cycles éco parmis d'autres
cas 2: on considère que les coûts de prod augmentent quand le nievau de la prod augmente
une même augm de AD aura un impact plus limité sur la production effective car le pouvoir
d'achat dim (graphe p.22)
-> limites au multiplicateur : ps valable si prix varient -> bonne analyse à court terme
IS représente toutes les combinaisons de Y et r pour lesquelles AD = l'équilibre du marché des biens
et services (graphe chap 15, p.23)
3 marchés en éco: biens et services, facteurs de production, financier
16: LM: le marché monétaire
1) La monnaie:
contrat social qui ne fonctionne que s'il est l'objet d'une garantie publique
crise monétaire: perte de confiance
fidusiaire: pièces et billets, c'est la monnaie de base
scripturale: signature sur virement, chèques, jeu d'écriture entre comptescartes de banques (virements)
économie monétaire: existence de signes monétaires, socialment accéeptés comme équivalent général dans les échanges
: n marchés
>< le troc ne fonctionne que s'il y a une double coïncidence des désirs
plusieurs fonctions:
- moyen de payement,
- unité de compte (exprimé en unité monétaire: nominal >< réel: expr en unité d'un autre bien)
- réserve de valeur
SEBC syst EU des banques centrales, resp de la pol monétaire Eu. vise à la stabilité des prix
pq détenir de la monnaie?
- financer des transactions
- précaution (dépenses imprévues)
- actif sans risque
- motif de spéculation
la demande de monnaie dépend (LL: graphes p.13', 15)
- positivement du revenu nominal
- négativement du taux d'intérêt nominal
- taux bas -> placements courts (on attends que les taux haussent, pas le moment de prêter). on a bcp
de monnaie
- taux hauts -> placements longs (on a peur que les taux baissent) (a taux d'intérêt fixe une fois placé)
-> LL fonction décroissante du revenu (ô axe: encaisse monétaire réelle)
si dem excéd, on vend actifs financier-> - veulent prêter->r augm
si Y augm-> + de liquidités pr plus de transactions -> moins pr prêter (niveau T)-> r augm -> entr
dim I
ici Y = Q de monnaie qui circule
LM (marché monétaire) donne pr ts les niveaux de prod le taux d'intéret qui fait que le marché est a
l'équilibre
LM dpd de la pol monetaire (offre de monnaie) et du niveau general des prix
effet d'éviction: ex: augm G (depenses) -> etat emprunte bcp-> il y a moins pr prêter-> r augm-> I
dim
->coût de la pol budgétaire. dette etat augm
coût d'opportunité macro
politique monétaire: contrôle - offre de monnaie
-r
MS augm + r dim -> I augm (!, la prod augm aussi)
politique budgetaire (via G: augm depenses) et monétaire créent des chocs de demande (via I) car AD= C+I+G (+XZ ms on ne s'en occupa pas ici)
Rem: p.26
17: politiques de stabilisation
pol de stabilisation: mesures de pol macro visanta stabiliser le niveau de prod aussi près que poss de
son niveau potentiel
P.3
p.6,7,12,13
18: économie ouverte
balance commerciale: X-Z (surplus ou defficit)
les Z augm ac Y
X dpd de notre competitivité prix et coûts et de notre différenciation de produits
avantage relatif, un bien en inité d'un autre bien est moins cher ds un pays que ds un autre-> interet
a faire du commerce meme si avantage absolu tjs pr le deuxieme pays
taux de change nominal: 1$=0,83 euro
0,83=E= parité de change
si E augmente, l'euro se deprecie, le prix de nos X en $ diminue mais rend nos Z plus couteuses
un indicateur de compétitivité: le taux de change réel
= E.p*/p
>1 -> ns sommes compétitifs
inflation euro: notre compétitivité diminue
compétitif ne veut pas dire rentable. Si la concurrence égalise les prix c'est la compétitivité coût qui
devient imp. (prob des délocalisations)
en economie ouverte l'effet multiplicateur est moins fort, une partie d'une augm de Y partant en
exportation
19: prix variables, inflation et chômage
on oublie l'hypo p constants, ici P ST VARIABLES
AD fct croissante de Y
décroissante entre prix (vert) et revenu réel (horiz)
p dim-> besoin de - de monnaie pr financer transactions-> plus pr prêter->r dim & pv d'achat
augm->C augm & I augm
augm MS
-> vers la drte
dim taxes
-> vers la dte
?pq?
augm G (dep)
-> vers la dte
?pq?
hausse des p
-> vers la gauche
AS: hypo: marché pft
flexibilité T des p et coûts
plein emploi des ressources (chômage = volontaire)
le niveau des prix 1 la taux d'inflation ne dpd que de l'offre de monnaie
-> AS Tment inelasique p/r au p, niveau global de l'act éco reste inchangé face à des pol de
dem (change slmt niveau des p)
-> pol d'offre (Tatcher&co) : flexibilité, modération salariale, réduction de la fiscalité sur le
tr, a long terme: éducation, rech
hors ds la réalié concurrence impfte
p. 14: si les ajustements ne st pas rapides la prod baisse (A->B) : impact temporaire chocs de
dem
baisse des carnets de commande, accepte ps tt de suite baisse de salaire: entr licencie
(A->B)
B->A²: poids du chômage: pv negociation syndic baisse, accepte dim salaire-> coûts
de prod dim-> p dim
flexibilisation
inflation baisse et chômage haut / inflation augm et chômage t faible
-> courbe de philips (p.18) (chômage fct de l'inflaton)
a long terme c'est une verticale
-> inflation déterminée par le comportement de la banque centrale
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