Les réponses ci-dessous sont déduites du fichier Regressi ci-joint (BB2010corrige.rw3), en utilisant le réticule.
Les valeurs ( t , i ) peuvent être mémorisées en cliquant sur la barre d’espace.
On a créé les grandeurs calculées correspondant aux intensités cherchées.
Attention : le tableur connaît i0 et i1, qui figurent dans le tableau de mesure importé depuis Orphy GTSII ,
mais il ne connaît pas R0 et R1 qui doivent être remplacées par leurs valeurs, soit respectivement 27Ω et
6800Ω.
Remarque : pour la bobine, la méthode des tangentes conduit à = 21ms
tandis que la méthode des 63% conduit à = 30ms
Cette différence s’explique par la présence du noyau en fer dans la bobine, ce qui conduit à une inductance L
qui varie en fonction de l’intensité du courant (c’est un peu compliqué et hors programme).
En ce qui vous concerne, choisissez une des méthodes, et nous tiendrons compte des écarts constatés.
4. Comparaison de l’évolution au cours du temps de l’intensité du courant dans les deux branches du
circuit :
4.2 Valeurs initiales des intensités de ces courants : i0= 0 i1= 7,4.10–4 A
Valeurs de ces intensités lorsque le régime permanent est atteint. i0=1,3.10–4 A i1=0
4.3 Constante de temps du dipôle R0L =3,0.10-2s
Constante de temps du dipôle R1C =5,1.10-2s
4.4 question 5 : déduire de ces mesures les valeurs de L et de C : L = 3,0.10-2 x 50 = 1,5H
C = 5,1.10-2 / 6800 = 7,5.10–6 F
question 6 : quelle différence fondamentale a-t-on pu mettre en évidence entre l’établissement du courant
dans une branche contenant une bobine ou dans une branche contenant un condensateur, ces deux
branches étant soumises à un échelon de tension ?
le courant ne peut pas varier brutalement dans la branche contenant la bobine : il augmente
progressivement de 0 à la valeur maximale atteinte en régime permanent.
Par contre, dans le condensateur il augmente brutalement lors de la fermeture de l’interrupteur de 0 à sa
valeur maximale avant de décroître progressivement jusqu’à 0.