Samedi 14 janvier 2012 Numéro 55 BULLETIN D’INFORMATION DU G.M.P.A.O. Groupement Midi-Pyrénées des Amateurs d’Orchidées – Siège social : 10 allée d’Oloron - 31770 Colomiers http://www.gmpao.org/ – : 05.61.80.58.65 Rédaction de Caroline Caussé, Secrétaire générale et relecture de Denise Roucoule, Présidente Sommaire prismatocarpa x Encyclia fragrans, Maxillaria tenuifolia, Miltonia spectabilis var. moreliana, Miltonia warscewiczii, Pescatorea dayana, Paphiopedilum « Shin-Yi Heart x Hung Shang Colour », Phalaenopsis mannii, Phalaenopsis stuartiana et Pomatocalpa acuminata. 1- Le Mot de la Présidente………………………….…………….1 2- La Gazette……………………………………….......1 et 2 3- LesOrchidées dans l’Evolution…...…….……......….2 à 5 4- La Présentation de Plantes.………………….....…….....5 Commandes Groupées Plantes Notre Prochaine Réunion Notre prochaine réunion mensuelle se tiendra le 11 février à 14h00, à la Banque Populaire Occitane, 33 avenue Georges Pompidou à Balma. Ce sera l’Assemblée Générale Ordinaire Annuelle (voir convocation et annexes ci-jointes). Suivront ensuite la collation, la présentation des plantes ainsi que le tirage de la tombola. Aujourd’hui, date butoir pour les commandes en Malaisie (livraison fin mars/début avril) et en Colombie (livraison début juin). Date butoir pour la commande chez Nardotto le 11 février, livraison à la réunion de mars.. La liste de chez Orchids & More vous sera communiquée dès que possible. Appel à Candidature Fournitures Le mois prochain se tiendra notre Assemblée Générale Annuelle avec l’élection des membres du C.A. Les nouvelles candidatures sont ardemment souhaitées. Participer au Conseil d’Administration, s’est s’investir un peu plus dans notre association. Vous pouvez vous inscrire pour une commande groupée de Sphaigne de type Gold chez Chiloé (les prix indiqués tiennent compte des – 25 % sur le prix public). Il y aura un supplément pour le port. Nota : la Gold, de qualité supérieure, n’est disponible qu’en paquets de 5 Kg. Fabrice Lacour nous indique qu’il peut obtenir de l’Orchiata, écorce de Pinus radiata de 3 à 6 et jusqu’à 18 à 25 mm de diamètre ainsi que peut-être de la Sphaigne de Nouvelle Zélande. Lors de la réunion de février, il nous portera un échantillon et nous en dira un peu plus sur les prix. Secrétariat : Caroline Caussé, notre Secrétaire depuis 2008, qui avait succédé à Etienne du Trieu, ne sera plus disponible le samedi et de ce fait ne pourra plus assurer la prise de notes lors des réunions et ainsi réaliser le compte rendu correspondant. C’est pourquoi, nous espérons vivement qu’une personne se proposera et ceci dès le mois prochain pour la suppléer lors de ses absences. Le Mot de la Présidente Bibliothèque Fondé en octobre 1984 par un petit groupe de passionnés d’orchidées indigènes, notre groupement entre en 2012, dans sa 2ème année. En plus de mes meilleurs vœux à chacun d’entre vous, je souhaite aussi une longue vie à notre association en ce début d’année. Hervé Pons rappelle que les ouvrages de la bibliothèque sont disponibles à chaque réunion sur commande en le contactant. Librairie A la fin de l’été, « L’Ami des Jardins » a sorti un nouveau numéro spécial sur les orchidées. Ce hors-série ne fait pas double emploi avec le précédent car on peut y trouver conseils pour genres/espèces moins courants. Un livre intéressant pour donner envie aux débutants de passer à une vitesse un peu supérieure. Le G.M.P.A.O. en a maintenant à la vente au prix de 7.00 € (s’adresser à Denise Roucoule). COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 14 JANVIER 2012 La Gazette par Denise ROUCOULE Nouveaux Adhérents 2012 Bienvenue à Evelyne et Michel Tocque de Plaisance du Touch (31) qui nous ont rejoints en tout début d’année. Bienvenue également à Marie-Dominique Méresse-Doré qui, après de nombreux contacts depuis la Normandie où elle résidait, fait maintenant partie de nos adhérents depuis qu’elle s’est installée à Castelginest (31). Manifestations Nous avons été contactés : Par une nouvelle association columérine « Plantes en Folie », fondée par les jardiniers de la ville de Colomiers (31). Ils organisent leur 1ère foire aux plantes le dimanche 18 mars au Parc Duroch et souhaitent notre présence pour informer le public sur les orchidées indigènes et exotiques. Nous rend visite pour la 1ère fois une adhérente de 2010, Claude Poëy-Oliva qui travaille encore en Martinique. La jardinerie Truffaut de Balma organise une opération Orchidée qui débutera le samedi 28 janvier et durera 3 semaines. Ils souhaitent notre présence pour faire découvrir au grand public « d’autres » orchidées exotiques ainsi que les orchidées indigènes. Tombola Commandées chez L’Orchidium, 13 plantes composent la tombola : Bifrenaria tyrianthina, Bulbophyllum crassipes, Coelogyne dayana, Christensonia vietnamica, Encyclia 1 Site Internet Livres Notre hébergeur ayant cessé toute activité nous sommes en ce moment en train de migrer sur un nouveau serveur ce qui prendra environ 72h. Nouveautés : Vient de paraître aux éditions PLB « Orchidées des Antilles » écrit par Philippe Feldmann. 20 €. Les Orchidées dans l’Evolution par Guy DURRIEU Pour commencer, considérons d’abord comment se situent les très grands groupes d’êtres vivants les uns par rapport aux autres. En simplifiant, on sait que les organismes cellulaires ont très tôt divergé, entre trois directions, l’une vers les protistes, la seconde a donné naissance aux animaux et champignons et la troisième les végétaux. Dans ce dernier ensemble, les plantes vertes, dans lesquelles se trouvent évidemment les Orchidées, se sont séparées des algues rouges et brunes. Les débuts Les premières plantes terrestres sont sorties des flots il y a moins de 500 millions d’années en même temps qu’apparaissaient les premiers vertébrés (poissons). Il faudra attendre 150 millions d’années de plus (Dévonien) pour voir les premiers arbres. On date la naissance des plantes à graines à la fin du Trias vers moins 220 millions d’annéess, mais elles n’ont connu leur plein épanouissement qu’au Crétacé, il y a une centaine de millions d’années, les Orchidées apparaissant probablement vers moins 80 millions pour se diversifier pendant l’ère tertiaire. Enfin, pour conclur,e est apparue une espèce nouvelle, qui joue un rôle important dans la connaissance et la diversification des orchidées, l’Orchidophile, mais cela ne date que d’à peine 300 ans. C’est une très longue histoire de plus de 1,2 milliards d’années (ère Précambrienne). On peut retracer l’histoire de leur évolution à travers quelques types. Les premières plantes terrestres qui annonçaient nos plantes actuelles car elles avaient des vaisseaux conducteurs de la sève (plante vasculaire) sont connues par des fossiles de plus de 475 millions d’années. Cooksonnia ou Aglaophyton étaient constitués de quelques tiges rampantes plus ou moins souterraines sur lesquelles se dressaient des axes terminés par des sporanges. Un point important à noter est l’association de ces plantes avec des champignons tout à fait analogues aux mycorhizes de beaucoup de nos plantes modernes. Ensuite, sur l’Asteroxylo,n sont apparues des expansions latérales qui annoncent la feuille. Son allure rappelle celle de nos Lycopodes actuels. Le développement des tissus ligneux permet aux plantes de prendre de grandes dimensions, la végétation du Carbonifère est caractérisée par la présence de forêts peuplées de fougères et de prêles arborescentes. Mais certaines de ces « fougères » n’en sont pas, ce sont les ancêtres de nos Gymnospermes, elles représentent les premières tentatives vers la graine, portant de gros ovules sur leurs frondes. Dès le Permien existent parmi les gymnospermes des formes qui ressemblent, par leurs cônes et leur feuillage, à nos conifères actuels. D’autres, abondantes à cette période ont totalement disparu depuis ou ne sont plus représentées que par un tout petit nombre d’espèces, tel le Ginkgo qui semble inchangé depuis le Jurassique ou bien les Cycas. Toutes ces plantes ont la particularité d’avoir leur ovule à nu, sans aucune protection. Les Angiospermes Un fossile du Trias (220 millions d’années), découvert il y a peu, fait remonter très haut le début des Angiospermes que pendant longtemps on ne situait qu’à la base du Crétacé. Le Sanmiguela montre en effet de véritables carpelles dans lesquels sont enfermés les ovules. Ces carpelles possèdent un stigmate sur lequel se déposait le pollen. Il n’y a plus contact direct entre celui-ci et l’ovule comme c’était le cas chez les autres plantes. Mais Sanmiguela ne peut être rapproché d’aucune Angiosperme actuelle. Un autre fossile plus jeune de 20 millions d’années montre aussi une inflorescence femelle portant de nombreux carpelles. Ce Schmeissneria montre une analogie frappante avec certaines Aracées actuelles, tel le Spathiphyllum des fleuristes, même s’il s’agit là aussi d’une plante systématiquement bien différente. Et on est toujours à la recherche du chaînon manquant qui enracinerait les Angiospermes dans un groupe fossile. Les études de phylogénie sur les Angiospermes, en particulier grâce à la biologie moléculaire, ont montré que la subdivision classique entre Mono et Dicotylédonne était très simplificatrice. En réalité, les Monocotylédones, qui renferment les Orchidées, ne représentent qu’un rameau tardivement détaché de l’ensemble des autres Angiospermes. Tout à fait à part de cet ensemble, le genre Amborella, plante de Nouvelle Calédonie, est le dernier représentant vivant des Angiospermes les plus primitives. Se détachent ensuite de l’arbre deux ensembles de familles possédant des caractères relativement primitifs, les Paléoherbes (Pipéracées, Nymphéacées…) et les Magnoliidées (Magnolia, Laurier…). Monocotylédones et le reste des Dicotylédones constituent l’aboutissement actuel de l’évolution. Les Orchidées Si l’on regarde maintenant la place des Orchidées dans l’arbre phylogénique des Monocotylédones on constate qu’elles occupent une position intermédiaires entre les Liliales (Lys, Tulipe…) et les Asparagales (Asperge, Narcisse, jacinthe…). 2 On ne possède aucun fossile de plantes pouvant ressembler à une orchidée. Cependant on a trouvé récemment, incluse dans de l’ambre de la République Dominicaine, une abeille portant sur son dos un grand nombre de pollinies, provenant d’une Orchidée, tout à fait analogues à celles de nos plantes modernes.. Cet ambre est âgé de 20 millions d’années, mais les datations par la biologie moléculaire indiquent une origine bien plus ancienne qui se situerait dans les Crétacés, il y a environ moins 80millions d’années. Les premières Orchidées ont pu être broutées par les Dinosaures Quels sont les caractères originaux qui distinguent les Orchidées des Monocotylédones voisines ? Les plus marquants concernent la structure de la graine, le type de mycorhize et la structure de la fleur. Les graines sont minuscules, à peine plus grosses que des spores de fougères. Elles sont donc très facilement dispersées par le vent. Cela constitue évidemment une très bonne adaptation à la vie épiphyte puisqu’ elles seront facilement emportées vers des supports potentiels. Il est intéressant de comparer cette graine à celle des autres Angiospermes. A leur différence, il y a avortement de la double fécondation, l’œuf albumen dont le rôle est d’accumuler des réserves ne se développe pas. La plantule arrête son développement à un stade très précoce et se présente sous la forme d’une masse cellulaire indifférenciée. La germination de cette graine est tributaire de l’envahissement par un champignon mycorhizien qui lui apportera les substances nutritives nécessaires à sa croissance. Le champignon s’installe dans les tissus superficiels du protocorme puis des racines où il persistera pendant toute la vie de la plante. Il forme des pelotons de mycélium inclus dans les cellules tandis que des filaments vont explorer le milieu extérieur. Cette mycorhization est très différente de celle des familles de Monocotylédones voisines. Celles-ci ont des endomycorhizes à arbuscules identiques à celles qui accompagnent un très grand nombre de plantes depuis leur installation sur la terre ferme (les Gloméromycètes) il y a plusieurs centaines de millions d’années. Celles des Orchidées d’un type très différent sont dues à l’association avec des champignons d’un autre groupe beaucoup plus récent, les Basidiomycètes. Beaucoup d’entre eux, aux fructifications de petite taille sont des décomposeurs qui vivent dans l’humus ou sur les bois morts. L’orchidée récupère ainsi une partie de la nourriture qu’ils puisent sur ces substrats. Dans le cas des espèces achlorophylliennes, la vie de l’orchidée adulte repose entièrement sur les apports du champignon Ici son rôle est complexe car le partenaire en jeu est une espèce ectomycorhizienne qui vit en symbiose avec un arbre forestier. Le champignon bénéficie de la part de l’arbre d’un apport de glucides (sucres) dont une partie est récupérée par l’orchidée. Le champignon joue donc le rôle d’intermédiaire entre arbre et orchidée. Pour comprendre la structure de la fleur il faut partir du modèle de départ qui est celui commun à beaucoup de monocotylédones : un périanthe sur 2 cercles concentriques avec 3 pièces sur chaque verticille. Deux verticilles de 3 étamines chacun et un ovaire de 3 carpelles soudés. -3- Une première différentiation concerne le périanthe interne (les pétales), l’une des pièces prend une forme différente des 2 autres, c’est le labelle. Cela s’accompagne le plus souvent du phénomène de résupination qui fait pivoter la fleur de 180° pour amener le labelle en position antérieure. A partir de là, on peut observer 2 directions principales d’évolution. Dans le premier, il ne subsiste qu’une étamine du rang externe et 2 du rang interne qui se soudent plus ou moins complétement (Neuwiedia). L’étamine externe est réduite à un staminode stérile chez Apostasia et Les Cypripédiées et, dans ce dernier cas, l’ensemble staminal se soude avec le stigmate au sommet du pistil (gynostème). Dans le 2ème cas, qui concerne toutes les autres Orchidées, il ne subsiste qu’une étamine externe (accompagnée ou non de 2 staminodes du rang interne) soudée au stigmate pour former un gynostème de structure différente de celui des Cypripédiées. On peut observer de nombreuses variations dans la forme et la taille des différentes pièces florales : Fleurs de grandes dimensions (Cattleya) ou au contraire minuscules (Chamaeangis) Labelle démesuré par rapport aux autres pièces (Brassavola, Himantoglossum) Ou bien pétales et labelle très réduits cachés par de grands sépales (Masdevalia). Labelle orné de poils ou de cils ou même frangé Labelle en sac des Cypripédiés… Un aspect remarquable de l’évolution des orchidées est celui des mécanismes de pollinisation. Le plus souvent effectuée par des insectes, elle a donné lieu à des coadaptations souvent très spécifiques : une espèce d’orchidée donnée est pollinisée par une espèce d’insecte donnée. Les phénomènes de mimétisme ont joué un grand rôle dans des mécanismes d’attraction nutritionnelle ou sexuelle par signaux olfactifs et visuels. Il faut rappeler que Darwin a consacré un ouvrage aux « inventions des Orchidées » pour être fertilisées par les insectes. Plusieurs cas lui servent d’argument pour illustrer ses vues sur l’évolution par sélection naturelle. C’est par exemple celui des Angraecum qui attirent des papillons par le nectar produit dans leur éperon. Il avait prévu que, dans le cas de l’Angraecum sesquipedale de Madagascar, il existait forcément un papillon dont la trompe serait aussi démesurée que le long éperon de cette fleur. Il y a des cas de mimétisme alimentaire où l’Orchidée ressemble à des plantes très mellifères (notre orchis globuleux avec le trèfle des champs) ou productrice de pollen abondant (Pheladenia australiens avec d’autres monocotylédones). Les ponctuations noires sur les sépales de certains Papiopedilum attirent des mouches Syrphides qui croient y voir des pucerons, leurs proies habituelles. La coadaptation Ophrys-apiidés, souvent très spécifique, est bien connue. Ce leurre sexuel, qui fait appel à des signaux olfactifs (phéromones) et visuels se retrouve chez d’autres genres d’Orchidées. Par exemple, chez les Chilloglottis d’Australie, le labelle porte une grosse excroissance noire qui mime tout à fait le corps de la femelle aptère d’une guêpe Neozeleboria. Le chargement des pollinies sur le corps de l’insecte visiteur peut aussi se faire par projection. Darwin avait déjà étudié le cas des fleurs mâles de Catasetum. Une pression légère sur les longues expansions du gynostème (rostellum) libère les caudicules, élastiques, repliés sur eux-mêmes. Les caudicules se détendent brutalement et peuvent expédier les pollinies jusqu’à un mètre. Pour bien comprendre l’évolution de ces plantes, il est important de connaître aussi les transformations géologiques qui se sont produites durant cette évolution. Elle a commencé à se dérouler durant le secondaire alors que les 2 super-continents, Gondwana au Sud, Laurasie au Nord commencent à se séparer et que l’Inde quitte l’Afrique et entame sa migration vers le Nord. On comprend pourquoi les Orchidées, qui ont commencé leur différenciation peu après, soient présentes sur tous les continents, n’évitant que les régions désertiques. Un exemple particulièrement intéressant pour suivre les phénomènes d’évolution est l’exemple donné par les -4- Bulbophyllum. Leurs ancêtres ont commencé à se différencier avant l’éclatement du Godwana, dans un espace qui serait représenté par l’Amazonie et le Congo. De là, une lignée s’est installée à Madagascar, tandis que plusieurs autres ont dérivé avec l’Inde pour coloniser l’Asie du Sud-Est puis les iles indonésiennes. Ce genre s’est diversifié d’une façon exubérante dans les diverses parties de son aire de dispersion. En partant de fleurs aux formes que l’on pourrait qualifier de « classiques » pour une Orchidée, avec, bien sûr, quelques fantaisies de couleurs. Tout d’abord des variations importantes dans la forme de l’inflorescence. Fleurs isolées, mais le plus souvent en épis, très lâches ou au contraire très denses. Avec des formes au rachis très épaissi ou aplati, portant des fleurs minuscules. Cette inflorescence peut se condenser en ombelle, qui devient dissymétrique dans le sous-genre Cirrhopetalum. Une autre tendance, qui se retrouve dans plusieurs lignées parallèles, consiste dans l’allongement des sépales qui peut devenir exagéré. En conclusion, on peut remarquer qu’à partir d’un modèle de base, l’évolution n’a pas été linéaire mais au contraire a divergé dans différentes directions, ce buissonnement a donné une grande variété de formes : la biodiversité découle de l’évolution. De plus, cette biodiversité implique simultanément des organismes très différents les uns des autres et dont les vies sont étroitement associées par des relations très diverses. Nous avons vu comment Orchidées, champignons, insectes et mêmes arbres sont intimement associés. La protection et la sauvegarde de l’un nécessite celle de tous les autres. Tous nos remerciements à Guy Durrieu pour son passionnant exposé. .. Présentation de Plantes Walter WIRBS Barkeria whartoniana Cambria hybride Costa Rica, Venezuela, Mexique et Guatemala Marie-France DAVICO Lycaste « Auburn x Highland Peak » Amérique latine Jean-Christophe HANNACHI Maxillaria ochroleuca Pérou Francis BERINGUIER Oncidium maculatum Oerstedella centradenia Mexique et Guatemala Nicaragua, Panama et Costa Rica Denise ROUCOULE Ida fimbriata Masdevallia tovarensis Bolivie, Equateur et Colombie Venezuela -5-