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Le cancer
colorectal
Samuel Pelletier
Le cancer colorectal
Samuel Pelletier
Science 8B
6 déc. 07
De plus en plus répandu à travers le monde, faisant plus de victimes, le
cancer est féroce. Ce dernier est une maladie qui se manifeste dans les
cellules du corps humain. Je vais vous entretenir sur le cancer colorectal.
Cette maladie se forme dans les cellules qui recouvrent le gros intestin (côlon
et rectum). Premièrement, je vais vous informer des symptômes. En deuxième
lieu, je vais vous informer, pourquoi plus en plus de personnes souffrent du
cancer du côlon et finalement, je vais vous parler des traitements disponibles
et des effets secondaires de ceux-ci.
Selon mes recherches sur le web et dans les livres, au début de la
maladie les symptômes du cancer du côlon ne se font pas sentir beaucoup, car
il y a beaucoup de place pour la formation d'une tumeur. Après il y a les
symptômes suivants: des selles inhabituelles ou une sensation d’évacuation
incomplète, des selles plus étroites qu’à l’habitude, des malaises, une
présence de sang (de couleur très foncée ou rouge vif) dans les selles, de la
diarrhée, des constipations abdominaux divers (flatulences, ballonnements,
sensation de plénitude ou crampes – de manière fréquente), une perte de
poids inexpliquée, une sensation de très grande fatigue et des vomissements.
D’après mes recherches, plus en plus de personnes souffrent de ce
cancer à cause de la mauvaise alimentation, le tabagisme, l'alcool, l'obésité et
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le manque d'exercices physiques, autrement dit, ça peut dépendre du mode de
vie. Il y a aussi d’autres causes et facteurs de risques. Les voici ---»
L’âge : Il arrive peu souvent que des personnes, en bas de cinquante ans, ait ce
cancer. Il est plus fréquent vers soixante-cinq ans.
L’hérédité : Si un proche (quelqu'un dans la famille) à déjà le cancer colorectal,
le risque est plus élevé.
Polypose recto-colique familiale : La polypose recto-colique familiale est
plusieurs polyposes (tumeur bénigne) qui apparaissent sur toutes les
personnes qui ont le gène APC muté.
Syndrome de Lynch (Cancer colorectal héréditaire sans polypose):Le risque de
développer le cancer est augmenté.
Les maladies inflammatoires chroniques du côlon: C'est la maladie de Crohn
(affection inflammatoire chronique qui touche le tube digestif) et la colite
ulcéreuse (maladie inflammatoire chronique qui affecte le côlon et le rectum).
Ces maladies augmentent le risque d'avoir le cancer colorectal.
Selon mes recherches, il y a plusieurs traitements disponibles pour ce
type de cancer. Selon les différents stades, il y a différents traitements. Il y a la
chirurgie, la chimiothérapie, la radiothérapie et la thérapie biologique.
La chirurgie : les médecins font appel à la chirurgie pour enlever les grosses
tumeurs. Si elle est plus petite, ils peuvent l’enlever en passant un tube dans le
rectum. La chirurgie est faite sous anesthésie. Après, il se peut que vous
éprouvez des nausées, des douleurs ou des manques d’appétit, mais ses effets
secondaires sont seulement temporaires.
La radiothérapie est un traitement qui utilise une machine qui produit un
faisceau de rayons à l’endroit de la tumeur. Les rayons endommagent les
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bonnes cellules et les mauvaises cellules. La radiothérapie est souvent faite
après la chirurgie pour diminuer le risque de la réapparition du cancer. La
radiothérapie peut vous rendre faible, vous donnez la diarrhée ou changer
l'aspect de votre peau.
La chimiothérapie peut être donnée en comprimé ou en injection. Ces
médicaments empêchent la propagation et le développement des cellules
cancéreuses, mais ils endommagent aussi les bonnes cellules. La
chimiothérapie peut causer des vomissements, des nausées, des irritations de
la bouche, la perte d’appétit, la fatigue, la perte de cheveux et peut augmenter
le risque d’infection (mal de gorge, etc.). La chimiothérapie est souvent faite
après la chirurgie pour diminuer le risque de la réapparition du cancer.
La thérapie biologique est seulement faite à certains stades. Elle renforcit le
système immunitaire à l’aide médicament fabriqué par l’organisme humain.
Les symptômes sont semblables à la grippe et à la baisse de la tension
artérielle.
Pour conclure il vaut mieux de prévenir que guérir. Donc, afin de prévenir le
cancer colorectal, nous devons surveiller notre alimentation, faire de l’activité
physique et surveiller notre mode de vie et peut-être pourrons nous diminuer le
risque de ce cancer.
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Bibliographie
Wikipédia (web)
La société canadienne du cancer (web)
Canoë Santé (web)
www.restonhospital.com (photo)
Journal de Québec
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