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Paralysie cérébrale
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Paralysie cérébrale
Anglais : Cerebral palsy
Description / définition (incluant les variantes)
La paralysie cérébrale (PC) est une atteinte du développement touchant les neurones
supérieurs. Elle est caractérisée par des syndromes non progressifs qui se
manifestent généralement avant l'âge de deux ans. Des malformations au cours du
développement prénatal peuvent être observées, mais les constats postnataux sont
plus fréquents, au niveau du cortex moteur du système nerveux central (SNC),
induisant des troubles de la posture, des mouvements volontaires et des troubles
neurologiques. Les manifestations les plus fréquentes sont l'hypertonie spastique (ou
spasticité), l'ataxie et les mouvements involontaires. Cette atteinte se présente sous
différentes formes regroupées en syndromes :

o
Syndromes spastiques
Hémiplégie spastique
o Diplégie spastique (ou maladie de Little)
o Quadriplégie ou tétraplégie spastique
 Syndromes athétosiques ou dyskinétiques
 Syndromes ataxiques
 Syndromes mixtes
Données populationnelles
La paralysie cérébrale est le type le plus commun de faiblesse musculaire chez les enfants. Elle est présente
chez 0,15 à 0,4% des nouveau-nés, selon les régions de naissance au Canada et dans le monde. Les petits
prématurés, particulièrement ceux de naissances multiples, sont particulièrement à risque et souffrent beaucoup
plus fréquemment de paralysie cérébrale que les nouveau-nés à terme. Dans 80% des cas, la paralysie cérébrale
est diagnostiquée dans le premier mois de vie du nourrisson.
Les facteurs de risque de la paralysie cérébrale sont nombreux et variés. Ils sont de fait tout ce qui peut causer
une hypoxie cérébrale chez le fœtus ou le nourrisson, soit pendant la grossesse, au moment de la naissance ou
dans la période périnatale, en exemples :

Les facteurs pré-conceptionnels chez la mère : âge, malnutrition, désordres métaboliques, infections,
pathologies placentaires, etc.
 Les facteurs intrapartum : prématurité, rupture utérine, nœud dans le cordon ombilical, etc.
 Les facteurs présents dans la période périnatale chez le nourrisson : désordres hormonaux, hypoxie,
infections, traumatismes, AVC, etc.
Les facteurs de risques périnataux sont responsables de 15 à 20% des cas de paralysie cérébrale chez les
nourrissons. La surveillance accrue des nouveau-nés, et particulièrement la surveillance des petits prématurés,
peut permettre l'intervention rapide, et la limitation des complications et des séquelles de la condition.
Étiologie
La cause de la paralysie cérébrale chez un nourrisson est parfois difficile à établir, car de multiples facteurs
sont souvent à l'origine de cette condition. Bien que la plupart des causes réfèrent à la période prénatale ou
néonatale, il est possible que la maladie n'apparaisse que tôt dans l'enfance sans avoir été détectée
préalablement.
Principales causes des syndromes de la paralysie cérébrale
Période
prénatale
(70 à 80% des
cas)
Période
périnatale ou
néonatale
Période
postnatale (jeune
enfance)



Diverses problématiques maternelles in utero (p. ex. une infection)
Hypoxie/ischémie causée par des complications placentaires
Exposition maternelle à des toxines environnementales








Naissance prématurée et ses complications possibles
Encéphalopathie
Hyperbilirubinémie
Ictère nucléaire
Asphyxie
Accident vasculaire cérébral (AVC)
Infections du SNC
Hypoxie causée par un accouchement difficile, une occlusion
vasculaire, une hémorragie fœto-maternelle, l’inhalation de corps
étrangers ou un trouble respiratoire pendant la naissance

Traumatisme (ex: noyade, étranglement, traumatisme crâniocérébral)
Désordre systémique sévère ou infection (ex: AVC, méningite,
septicémie, déshydratation)

Causes des différentes formes de paralysie cérébrale
Forme de PC
Cause(s)
Diplégie spastique (maladie de Little)
Naissance prématurée
Quadriplégie ou tétraplégie spasmodique Asphyxie périnatale
Forme de PC
Athétose ou mouvements athétosiques
Mouvements dystoniques
Cause(s)
Asphyxie périnatale ou ictère nucléaire
Pathogenèse
Dans les divers syndromes de la paralysie cérébrale, la nécrose des tissus cérébraux peut être le résultat d'une
malformation, d'un traumatisme mécanique, d'hypoxie, d'une hémorragie, d'hypoglycémie,
d'hyperbilirubinémie, d'une infection ou encore d'autres causes parfois plus difficiles à déceler. Tandis que
chez certains nourrissons la nécrose et l'atrophie sont généralisées à tout le cerveau, chez d'autres elles ne
concernent que quelques régions plus spécifiques du cerveau. L'anoxie dont sont victimes les cellules
cérébrales provoque la nécrose de ces cellules et l'apparition de divers symptômes en lien avec les sites de
nécrose. La condition ainsi créée chez le nourrisson ou le jeune enfant est nommée paralysie cérébrale.
Signes et symptômes
Les symptômes que partagent tous les nourrissons et les enfants qui souffrent de paralysie cérébrale sont :

 Retard de développement moteur
Persistance de réflexes infantiles (ex: réflexe de Moro)
 Surréflectivité ou hyperréflexie
 Altération du tonus musculaire
À la naissance, les symptômes reliés au retard de développement moteur ou au tonus musculaire ne sont pas
toujours très apparents, mais ils sont alors observables dans les mois qui suivent. Lorsque la paralysie cérébrale
se manifeste sous forme d'un syndrome particulier, les symptômes varient selon la région du système nerveux
central où se trouve(nt) la malformation ou les dommages.
Tableau 3 : signes et symptômes moteurs associés aux différents syndromes
Syndrome(s)
Syndromes
spastiques
Fréquence
> 70% des
cas
Région(s) du SNC
 Motoneurones
supérieurs/ cortex
moteur (hémiplégie)

Signes et symptômes
Hypertonie spastique
(résistance aux mouvements
passifs)
Syndrome(s)
Fréquence
Région(s) du SNC
 Tractus pyramidaux
(diplégie)
 Dommages
corticaux généraux
(quadriplégie)









Syndromes
~20% des
athétosiques ou
cas
dyskinétiques


Ganglions de la
base
Tractus
extrapyramidaux
Nerfs crâniens





Syndromes
ataxiques
Cervelet






Syndromes
mixtes
Assez
communs
Combinaison de plusieurs
régions

Signes et symptômes
Accentuation des réflexes
tendineux profonds
(hyperréflexie)
Muscles hypertoniques
(tonus augmenté)
Faiblesse et manque de
coordination des
mouvements volontaires
Contractures et
désalignement articulaires
Démarche en ciseaux et sur
la pointe des pieds
Dysarthrie
Dysphagie
Mouvements involontaires
lents de tortillement des
extrémités proximales et du
tronc suite à une tentative de
mouvement volontaire ou à
une excitation soudaine
Mouvements choréiques
distaux abrupts
Difficultés de coordination
des mouvements fins
Dysarthrie
Augmentation des
mouvements avec la tension
émotionnelle
Disparition des mouvements
involontaires durant le
sommeil
Faiblesse
Manque de coordination
Pertes d’équilibre
Tremblement intentionnel
Démarche avec une base de
sustentation plus large
Difficulté à effectuer des
mouvements rapides et fins
Combinaison des signes et
symptômes de deux
Syndrome(s)
Fréquence
(~13% des
cas)
Région(s) du SNC
Signes et symptômes
syndromes dont la plus
commune est celle du
syndrome spastique et du
syndrome athétosique
Outre les troubles moteurs, la paralysie cérébrale s'accompagne généralement d'autres manifestations cliniques
dont voici quelques exemples :

Déficience intellectuelle (surtout en présence d'une quadriplégie ou d'un syndrome mixte) : aucune
altération chez ~1/3 des enfants, altération légère chez ~1/3 des enfants, altération sévère chez ~1/3
des enfants;
 Troubles visuels, dont l'astigmatisme, le strabisme, le nystagmus, l'hémianopsie homonyme ou la
paralysie de l'élévation du regard (25% des enfants et surtout en présence de spasticité);
 Troubles auditifs (le plus souvent, perte neurosensorielle);
 Surdité neurosensorielle (surtout si l'enfant a un syndrome athétosique);
 Troubles de la déglutition (ex: mastication, risque d'inhalation de corps étrangers);
 Troubles gastro-intestinaux (ex: reflux gastro-œsophagien, constipation);
 Troubles pulmonaires (ex: vulnérabilité aux infections des voies respiratoires supérieures);
 Troubles de la parole et de la communication, dont la dysarthrie (30% des enfants);
 Crises d'épilepsie de type tonico-cloniques (25 à 60% des enfants, surtout en présence de spasticité
hémiplégique ou quadriplégique);
 Troubles d'apprentissage (ex: trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité);
 Troubles comportementaux;
 Désorientation spatiale.
Démarche diagnostique
Les outils diagnostiques les plus utilisés sont l'imagerie à résonance magnétique (IRM) du cerveau et les tests
permettant d'exclure les troubles héréditaires métaboliques ou neurologiques autres. Dès que l'hypothèse de la
paralysie cérébrale est soulevée, une IRM du cerveau est le plus souvent effectuée et elle permet de déceler les
anomalies cérébrales dans la majorité des cas. L'histoire de l'atteinte (anamnèse) pourra possiblement indiquer
au médecin la cause possible de la PC. Il n'est cependant pas toujours possible d'identifier cette cause, même
après les tests de laboratoire, qui permettront le plus souvent d'exclure d'autres atteintes comme la maladie de
Tay-Sachs, la dystrophie musculaire, une tumeur au niveau de la moelle épinière ou d'autres.
Certains désordres métaboliques pouvant être à l'origine de la paralysie cérébrale, l'étude de la conduction
nerveuse et l'électromyographie pourront aider dans la recherche de la cause et permettre d'éliminer d'autres
atteintes telles que la dystrophie neuroaxonale infantile. Il sera parfois proposé aux parents de procéder, encore
aux fins de différenciation de la PC d'autres troubles neurologiques, à divers tests génétiques.
L'électroencéphalogramme (EEG) pourra aussi être utilisé afin de confirmer la présence de crises d'épilepsie
qui sont fréquentes chez le nourrisson ayant la PC. Dans l'ensemble, malgré toutes les investigations possibles,
le diagnostic se fera principalement sur la base des symptômes observables et du cours de l'atteinte.
Généralement, les critères suivants pourront aider à diagnostiquer avec précision la paralysie cérébrale :
1. Les dommages apparaissent à la période de développement neurologique;
2. Ce trouble développemental n'est ni progressif ni dégénératif;
3. Elle est toujours associée à un trouble du développement sensori-moteur et caractérisée par un tonus
musculaire anormal et des patrons moteurs stéréotypés;
4. Les muscles et les nerfs sont normaux, puisque le trouble de développement sensori-moteur prend
naissance dans les tissus cérébraux;
5. La paralysie cérébrale sera présente pour toute la vie de l'enfant, à savoir qu'elle ne disparaît pas
éventuellement.
Tandis que le diagnostic s'étend généralement sur une période de plusieurs mois, il est rarement possible de
confirmer la présence de la PC chez un enfant très jeune. Pour ce qui est d'un syndrome spécifique, il n'est
généralement pas identifié hors de tout doute avant l'âge de deux ans chez l'enfant.
Conditions associées
Les signes et symptômes observés chez les enfants atteints de PC seront le plus souvent en lien direct avec
l'atteinte et non des conditions qui viendront s'ajouter en plus aux diverses problématiques que vivent les
enfants. L'atteinte cérébrale pourra engendrer un ensemble assez vaste de conditions qui demandent attention
et qui sont issues de la PC. Toutes ces atteintes pourront provoquer diverses séquelles, par exemple la douleur
qui accompagne la spasticité ou le retard de développement moteur qui sera la conséquence des anomalies du
tonus musculaire et des problématiques de positionnement et de mobilité qui sont elles-mêmes la résultante des
anomalies du tonus musculaire. Cependant, diverses maladies neurologiques pourront être confondues avec la
paralysie cérébrale en raison des signes ou symptômes communs. En voici quelques exemples :
Conditions pouvant être confondues avec la paralysie cérébrale
Maladie neurologique
Trouble dégénératif du cervelet
Syndrome de Lesch-Nyhan
Sclérose tubéreuse de Bourneville
Neurofibromatose
Ataxie télangiectasie
Symptômes communs avec la PC
Ataxie persistante
Athétose, auto-mutilation, hyperuricémie
Anomalies cutanée ou oculaire
Maladie neurologique
Symptômes communs avec la PC
Angiomatose rétinienne (maladie de von Hippel)
Syndrome de Sturge Webber-Krabbe
Maladie d’Aran-Duchenne
Autres dystrophies musculaires
Hypotonie et hyporréflexie
Troubles de la jonction neuromusculaire
Leukodystrophie
Troubles moteurs
Intervention médico-chirurgicale
Le traitement de la paralysie cérébrale varie en fonction de la forme et de la sévérité des atteintes vécues par
l'enfant. Elle n'a pas de visée curative, mais sera plutôt retenue pour améliorer la mobilité de l'enfant, sa
posture et sa qualité de vie.
Traitement pharmacologique
L'injection d'une toxine botulinique dans les muscles est parfois effectuée dans le but d'améliorer le tonus
musculaire et de prévenir les contractures. Ces injections permettent de diminuer les symptômes de spasticité
pour une période de trois à six mois. Durant cette période, le renforcement musculaire est plus facile à
effectuer chez l'enfant. Par ailleurs, certains médicaments, dont les benzodiazépines, le baclofène, la tizanidine
et le dantrolène, peuvent aider à diminuer les symptômes de spasticité. Le baclofène est souvent privilégié et
administré par voie intrathécale (sous les méninges) grâce à une pompe insérée au niveau de l'abdomen, chez
les enfants qui peuvent bénéficier d'une intervention à long terme relativement au tonus musculaire. Enfin,
certains médicaments sont administrés pour gérer les complications reliées à la PC, dont les crises d'épilepsie
(anticonvulsants).
Traitement chirurgical
La chirurgie orthopédique peut être un bon choix thérapeutique pour améliorer la motricité ou contrer le
désalignement des articulations. D'abord, quand la spasticité est surtout présente dans les membres inférieurs,
pour réduire la douleur engendrée par la spasticité, la rhizotomie dorsale sélective, qui consiste à sectionner les
racines des nerfs médullaires, peut être tentée. Elle engendre une diminution de la spasticité et elle est très
efficace chez les enfants souffrant de diplégie ou de quadriplégie spastique. Par ailleurs, l'assouplissement ou
le transfert de tendons pourra améliorer l'étendue de certains mouvements et réduire le déséquilibre entre
certains groupes musculaires. D'autres chirurgies pourront permettre la correction de déformations articulaires,
de dislocations ou de scolioses.
Traitements paramédicaux
L'enfant ayant une paralysie cérébrale sera systématiquement vu en réadaptation. Le positionnement, la
mobilité, l'autonomie et le confort seront parmi les premiers objectifs thérapeutiques et une équipe
interprofessionnelle sera le plus souvent mobilisée à cet effet. Les interventions seront nombreuses, variées et
adaptées à la condition de chacun des enfants et à leurs besoins à chacune des étapes de leur développement.
Par exemple, le positionnement au fauteuil roulant sera réalisé par l'ergothérapeute. L'utilisation d'orthèses, de
coussins de positionnement et de surfaces adaptées pourra compléter l'intervention de positionnement,
principalement pour prévenir les contractures et les déformations, mais aussi pour favoriser l'autonomie et
améliorer le confort de l'enfant. Le physiothérapeute verra au maintien, voire à l'amélioration de la mobilité et
à la prévention des contractures et des désalignements articulaires. Les aspects fonctionnels de la
communication et de l'alimentation pourront être vus en orthophonie. Le développement de l'enfant sera suivi
par tous les membres de l'équipe. Les capacités résiduelles de l'enfant et leur optimisation sera toujours pris en
compte. L'environnement sera adapté en conséquence et, par exemple, les aides techniques pour les
déplacements seront évaluées pour s'assurer de leur pertinence dans chacun des milieux de vie de l'enfant.
L'autonomie et l'estime de soi des enfants et adolescents atteints de la paralysie cérébrale pourront être
améliorées par le suivi en réadaptation, entre autres, et il en résultera simultanément un fardeau moindre pour
les proches. Dans cette perspective et dans le but de maintenir l'enfant et sa famille en santé, l'équipe
d'intervention se constituera d'infirmières, de médecins, généralistes et pédiatres, de psychologues, de
travailleurs sociaux et de spécialistes en éducation. L'enfant sera donc suivi dans ses milieux de vie, au
domicile, en milieu de garde et à l'école, mais aussi dans les établissements dédiés aux soins de santé et à la
réadaptation. Divers organismes communautaires pourront offrir des services aux enfants et du soutien aux
parents, par exemple, les associations de paralysie cérébrale dans chacune des provinces canadiennes.
Pronostic et complications
Le pronostic associé à la paralysie cérébrale est très clairement associé à la sévérité de l'atteinte dont souffrent
les enfants et subséquemment les adultes. Lorsque leurs habiletés cognitives sont peu altérées et que leurs
incapacités physiques ne sont pas sévères, les enfants vivant avec la paralysie cérébrale sont intégrés aux
groupes réguliers en milieu de garde et à l'école. L'intégration en milieu de travail pour les adultes n'est pas
facile, mais possible. La participation et l'intervention de la famille et des proches restent le plus souvent
requises tout au long de la vie de la personne atteinte pour lui permettre de s'intégrer dans sa communauté.
Les nourrissons et les enfants qui souffrent de paralysie cérébrale vivront jusqu'à l'âge adulte si les soins requis
peuvent être offerts. Certaines conditions de santé peuvent réduire l'espérance de vie de ces personnes, par
exemple, si l'alimentation ou le positionnement sont particulièrement difficiles. Lorsque de grandes difficultés
à avaler résultent en l'alimentation par un tube suite à une gastrostomie, l'espérance de vie est souvent réduite.
Les plaies de pression qui résultent d'un positionnement difficile peuvent aussi réduire l'espérance de vie en
laissant place à diverses infections par les plaies elles- mêmes, mais aussi par la dégradation de l'état de santé
général qu'il peut provoquer.
Finalement, même si la maladie n'est pas progressive, la capacité fonctionnelle de la personne atteinte de PC
peut diminuer avec les années en raison de l'impact des altérations au niveau des patrons de mouvements, du
tonus musculaire et des fonctions motrices, mais aussi relativement aux exigences liées aux activités
quotidiennes qui augmentent au cours du développement occupationnel attendu.
Références
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Organismes Caritatifs Neurologiques du Canada. (2010) Fédération ontarienne pour la paralysie cérébrale.
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VanMeter, K. C. et Hubert, R. J. (2014). Gould's Pathophysiology for the Health Professions, Cerebral Palsy,
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Post date: 2015-04-04 15:13:43
Post date GMT: 2015-04-04 20:13:43
Post modified date: 2015-08-23 08:59:14
Post modified date GMT: 2015-08-23 13:59:14
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