DOUVRES, 55 av. JC
« Aoh ! Choquant. Ce ne sont pas des gentils hommes. » (Cassivellaunos)
Le 27 août 55, César est en vue de Douvres avec sa flotte chargée de troupes. Les falaises
abruptes garnies de guerriers menaçants le contraignent à déporter le débarquement d’une
dizaine de kilomètres vers une plage plus propice, mais les légionnaires qui prennent pied sont
assaillis et mis en difficulté. L’affrontement évolue en bataille rangée, domaine dans lequel
les vétérans de César excellent, et les guerriers bretons sont finalement repoussés et une trêve
est instaurée. Une nouvelle attaque des autochtones, avec notamment l’appui de chariots, ainsi
qu’une tempête qui endommage une partie de la flotte vont toutefois inciter César à
rembarquer, mais ce n’est que partie remise pour l’insatiable conquérant…
Joueur Romain :
Un chef Supérieur/Charismatique 30
6 unités de légionnaires vétérans 72
1 unité de Scorpions 8
1 unité de cavalerie moyenne 20
2 balistes embarquées 20
Total : 150
Joueur Breton :
Un chef charismatique 20
6 unités de guerriers 60
2 unités de chariots 32
2 unités d’archers 16
2 unités de frondeurs 12
1 colline 10
Total : 150
Règles spéciales débarquement :
Le joueur romain joue en premier et dispose de 4 cartes d’activation, mais l’ensemble
de ses troupes doit être déployé initialement dans sa zone de réserve.
Le joueur breton note secrètement son déploiement avant le début du jeu, et ne dévoile
le placement de ses troupes qu’à l’issue du premier tour romain.
Les trois secteurs côté romain sont considérés comme du terrain meuble, et ne peuvent
être traversés de part en part dans un même tour de jeu.
Balistes embarquées :
Le joueur Romain dispose d’unités de catapultes embarquées à bord des navires (et donc
inamovibles en termes de jeu), pouvant tirer à VC1/Ef. 4 depuis la zone de réserve vers
n’importe quel secteur dépourvu de troupes amies. Un tir de balistes consomme un point
d’action dans le segment visé.