définition du projet

Plan du projet de l’exposition « Autopsie d’un meurtre »
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Nom du projet :
Exposition « Autopsie d’un meurtre »
Comité de projet :
Regroupement d’experts en sciences
forensiques du Québec (RESFQ)
DÉFINITION DU PROJET
OBJECTIF GLOBAL DE L’ORGANISATION
Assurer le développement des sciences forensiques sur le territoire du Qué-
bec
BUTS DU PROJET
 Faire la promotion des sciences forensiques auprès du grand public
 Démystifier l’aspect scientifique qui occupe une place importante au
cours d’une enquête criminelle
 Instruire le grand public tout en le divertissant
DÉFINITION DU PROJET À LIVRER
PRODUIT FINAL
 Présentation à un grand public d’une exposition interactive des étapes à
suivre lors d’une enquête criminelle ayant trait à un meurtre.
DURÉE DU PROJET
 Avant et pendant l’élaboration : 6 mois
 Après l’élaboration : variable selon l’intérêt et les disponibilités des mu-
sées

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ENVERGURE DU PRODUIT
Ce que permet le projet (originalité, réponse à un besoin, etc.) :
 Intéresse le visiteur aux sciences forensiques;
 Apprend au visiteur ce que sont les concepts de médecine légale, toxico-
logie, balistique, etc.;
 Fait participer le visiteur à une enquête criminelle fictive;
 Donne accès au visiteur à des archives documentaires et matérielles qui
concernent certaines enquêtes criminelles réelles.
Ce que ne permet pas le projet :
 Ne permet pas d’apprendre tous les rudiments des sciences forensiques;
 Ne fournit pas d’informations qui touchent la psychologie criminelle;
 Ne fournit pas au visiteur de documents officiels à ramener avec soi;
 Ne permet pas au visiteur de rencontrer des experts en sciences foren-
siques.
PUBLIC CIBLE
- Hommes et femmes de 13 ans et plus
JUSTIFICATIONS
 L’exposition est susceptible d’impressionner négativement les
jeunes de moins de 13 ans.
 Pour la raison évoquée au point précédent, il est de mise de res-
pecter la même classification qu’au cinéma.
 Étant donné la nature du contenu de l’exposition (les étapes d’une
enquête criminelle), un public de 13 ans et plus est davantage à
même de saisir les notions dont l’exposition fait part.
CONTEXTE DE RÉALISATION DU PROJET
RESSOURCES MATÉRIELLES
 Décors : kiosques, équipement vidéo, équipement sonore
 Objets exposés : documents d’archives, armes, photographies, objets
divers rattachés à la toxicologie, à la médecine légale, à la balistique,
etc.

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 Papeterie : crayons et fiches d’enquête
RESSOURCES HUMAINES
 Comédiens
 Caméramans
 Photographes
 Spécialistes des sciences forensiques
 Rédacteurs des diverses fiches techniques réparties dans chacun des
kiosques
ÉTAPES DE LA RÉALISATION DU PROJET
 Embauche du personnel (concepteurs des kiosques, comédiens, photo-
graphes, caméramans, rédacteurs, spécialistes des sciences foren-
siques)
 Mise en commun des informations de la part des spécialistes des
sciences forensiques
 Rédaction des textes à répartir dans les kiosques
 Conception des divers éléments du décor
 Conception de la mise en place des divers éléments du décor
 Publicité
STRATÉGIE PUBLICITAIRE
Publicité télévisuelle
- Campagne de pub massive, deux mois avant l’exposition, à Radio-Canada, à
Télé-Québec, à ARTV, à TVA et à TQS
Publicité radiophonique
- Campagne de pub massive, deux mois avant l’exposition, à la radio de Radio-
Canada, aux stations FM locales de Québec
Publicité journalistique
- Demi-page publicitaire en noir et blanc, dans les éditions du samedi du
Journal de Québec, du journal Le Soleil, du journal La Presse et du journal
Le Devoir

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Publicité Internet
- bannière sur le site des quotidiens Internet québécois (Cyberpresse, Ca-
noe, etc.)
BUDGET
Frais initiaux1
 Mise sur pied d’une équipe de re-
cherche (5 experts x 6 mois –
1000 $/mois)
 Mise sur pied d’une équipe de
démarcheurs pour le financement
(2 démarcheurs x 6 mois x 10 %
de commission)
 Conception des équipements pour
l’exposition (50 000 $)
 Intervention d’une agence de cas-
ting (1500 $)
 Équipe de tournage des scènes de
la vidéo (20 000 $)
 Salaire des comédiens embauchés
(500 $ par jour de tournage x 3
jours x 5 comédiens)
 Location de matériel d’archives à
la Société d’histoire du Québec, à
la GRC et à la Sûreté du Québec
(2 000 $ par mois x 14 mois)
 Publicité (télé, radio, journaux,
Internet) (10 000 $)
 TOTAL : 157 000 $
Frais récurrents2
 Location d’un espace de présenta-
tion de l’exposition de 10 000 pi2
(entre 2000 $ et 5 000 $ par
mois)
 Transport et installation du ma-
tériel (2 000 $ par déplacement)
 Publicité (télé, radio, journaux,
Internet) (10 000 $)
 TOTAL : 14 000 à 17 000 $ par
nouvelle exposition
1
Ces frais touchent la mise en branle et la conception du produit à livrer.
2
Ces frais touchent les étapes suivant la réalisation du produit final.

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Revenus estimés (pour le Musée de la civilisation)
 Coût d’entrée par visiteur : 5 $ ou gratuit (selon la journée)
 Nombre de visites payantes par mois : 1 200
 Durée de l’exposition : 14 mois
 TOTAL : 84 000 $
CONTRAINTES CONNUES
RESSOURCES MATÉRIELLES
 Plusieurs documents et objets qui concernent des enquêtes criminelles
réelles sont loués sous certaines conditions.
 Plusieurs documents et objets intéressants qui concernent des enquêtes
criminelles réelles ont été détruits ou ne sont pas dans un état qui per-
met leur utilisation pour l’exposition.
RESSOURCES HUMAINES
 Plusieurs intervenants ne peuvent se consacrer à temps plein au travail
de recherche, de conception et de publicité du projet.
PUBLIC
 Les visiteurs d’un musée ne peuvent pas se consacrer à une seule exposi-
tion au cours d’une visite et disposent d’un nombre d’heures restreint
pour visiter l’ensemble des expositions.
 Le temps de concentration ou d’intérêt manifesté par un visiteur à un jeu
interactif est limité.
 Le Québécois moyen ne semble pas particulièrement friand de visiter les
musées. Il faudra susciter son intérêt de ce point de vue.
MEMBRES DU COMITÉ
COMITÉ DIRECTEUR DU PROJET
NOM
SECTEUR
Aline Machinchouette
Présidente du RESQF