Laura SCOZZI
Chorégraphie ¦ Choreografie
Débuts à la Monnaie ¦ Muntdebuut
Laura Scozzi débute la danse à six ans. Elle explore toutes les techniques
corporelles avant de suivre les cours de l’Accademia d’Arte Drammatica de Rome
et de l’École de Mimodrame Marcel Marceau de Paris. En 1994, elle crée la Cie
Opinioni in Movimento pour laquelle elle chorégraphie et met en scène plusieurs
spectacles elle mêle danse, texte et chant. En tant que chorégraphe invitée,
elle crée La Dolce Vita (Rota) pour le ballet du Grand Théâtre de Genève, Die
sieben Todsünden (Weill) pour le ballet de l’Opéra de Paris et Mes Relations avec
les hommes n’ont jamais été très claires pour le Junior Ballet de Cannes. À
l’instigation d’Olivier Meyer, directeur du Théâtre Jean Vilar de Suresnes, Laura
Scozzi se lance dans le hip-hop en 1999 avec Étant donné la conjoncture actuelle
et poursuit l’aventure avec À chacun son serpent, comédie musicale d’après Boris
Vian. Elle chorégraphie ensuite Sol à sol avec poids et Quelque part par là.
Sur les scènes lyriques, théâtrales et cinématographiques, elle a chorégraphié
pour Jean-Louis Grinda, Emmanuelle Bastet, Coline Serreau, Jean-Michel Ribes,
Matthieu Poirot-Delpech et elle collabore régulièrement avec Laurent Pelly.
En 2006, Laura Scozzi signe sa première mise en scène théâtrale au Théâtre
d’Angoulême avec Et puis j’m’en fous, vas-y, prends-la ma bagnole de et par
Olivier Sferlazza. Ensuite, elle met en scène La Vie secrète de Marioline Serin en
2007, pièce musicale pour les 20 ans du C.R.E.A., et À propos de l’homme singe
(Sigward) en 2009 à la Filature de Mulhouse.
En 2008, Laura Scozzi signe sa première mise en scène d’opéra avec Benvenuto
Cellini (Berlioz) au Staatstheater de Nuremberg. Elle met ensuite en scène Die
Zauberflöte (Mozart) en 2009, une coproduction du Staatstheater de Nuremberg
et de l’Opéra de Bordeaux, et Il Viaggio a Reims (Rossini) en 2011 au
Staatstheater de Nuremberg, nominé au Deutsche Theaterpreis Der Faust dans la
catégorie « Meilleure mise en scène lyrique ». Parmi ses projets d’opéra, citons
les mises en scène d’Orphée aux Enfers (Offenbach) au Stadttheater de Berne et
Les Indes galantes (Rameau) au Théâtre du Capitole à Toulouse.
Laura Scozzi begon op zesjarige leeftijd te dansen. Ze maakte kennis met alle
bewegingstechnieken alvorens les te gaan volgen aan de Accademia d’Arte
Drammatica te Rome en de Ecole de Mimodrame Marcel Marceau te Parijs. In 1994
sticht ze de Compagnie Opinioni in Movimento waarvoor ze tal van voorstellingen
choreografeert en regisseert waarin ze dans vermengt met tekst en zang.
Als gastchoreografe creëert ze La Dolce Vita (Rota) voor het ballet van het Grand
Théâtre de Genève, Die sieben Todsünden (Weill) voor het ballet van de Parijse
Opéra en Mes relations avec les hommes n’ont jamais été très claires voor het
Junior Ballet van Cannes.
Op aansporen van Olivier Meyer, directeur van het Théâtre Jean Vilar te Suresnes,
legt Laura Scozzi zich in 1999 toe op hiphop met Étant donné la conjoncture
actuelle; ze zet dit avontuur verder met À chacun son serpent, een musical naar
Boris Vian. Daarop choreografeert ze Sol à sol avec poids en Quelque part par là.
Voor opera, film en theater choreografeert ze voor Jean-Louis Grinda, Emmanuelle
Bastet, Coline Serreau, Jean-Michel Ribes en Matthieu Poirot-Delpech; ze werkt ook
regelmatig samen Laurent Pelly.
In 2006 maakt Laura Scozzi haar eerste theaterregie in het Théâtre d’Angoulême
met Et puis j’m’en fous, vas-y, prends-la ma bagnole van en door Olivier Sferlazza.
Vervolgens regisseert ze La vie secrète de Marioline Serin in 2007, een muziekstuk
voor de 20ste verjaardag van het C.R.E.A., en À propos de l’homme singe (Sigward)
in 2009 in La Filature te Mulhouse.
In 2008 maakt Laura Scozzi haar eerste operaregie met Benvenuto Cellini
(Berlioz) voor het Staatstheater Nürnberg. Daarop regisseert ze in 2009 Die
Zauberflöte (Mozart), een coproductie tussen het Staatstheater Nürnberg en de
Opéra van Bordeaux, en Il Viaggio a Reims (Rossini) in 2011 in het Staatstheater
Nürnberg, genomineerd voor de Deutsche Theaterpreis Der Faust in de categorie
‘beste operaregie’.
Als toekomstige operaprojecten vermelden we de regie van Orphée aux Enfers
(Offenbach) in het Stadttheater Bern en Les Indes galantes (Rameau) in het
Théâtre du Capitole in Toulouse.
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