« Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne.
Cette publication (communication) n’engage que son auteur et la Commission n’est pas responsable de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont
contenues. »
Déclaration dans de nombreuses réunions des organisations internationales de médias. À
noter que ces objectifs stratégiques sont inspirés par la Déclaration et le Programme
d'action de Beijing, adoptés en 1995, à la Quatrième Conférence Mondiale des Femmes,
organisée sous l’égide d’ONU.
Objectifs stratégiques
J.1. Se permettre aux femmes de s'exprimer et de participer davantage à la prise des
décisions au cadre et par l’intermédiaire de médias et des nouvelles technologies de la
communication (des annuaires régionaux avec des femmes experts, des formateurs dans
les domaines de médias, de la recherche journalistique, des programmes éducatifs et des
modules «genre et médias », la formation des propriétaires, des éditeurs, des directions
générales de radio et de télévision, des rédacteurs en chef, des directeurs, des producteurs
et des animateurs des émissions sur les questions de genre et la présentation équilibrée
en matière de genres dans les médias; promouvoir des femmes dans les postes de décision
dans les médias; l’encouragement de nouvelles pratiques dans la description et la
représentation des femmes dans les médias.
J.2. Promouvoir une image équilibrée et non stéréotypée des femmes dans les médias.
Quelques mesures spécifiques, nous allons les mentionner dans ce module, comme base
pour l'approfondissement de la documentation située sur le site de GMMP. Ainsi, on
poursuivra la réalisation des initiatives de la sensibilisation sur les questions «genre et
médias »; la sensibilisation des médias dans les pratiques du reportage, qui respecte
l’équilibre de genre; la construction d’un nouvel imaginaire social, qui place les médias
justes et équilibrés, en matière de genre au statut des droits humaines des femmes, la « re-
formation » de consommateurs des médias, qui doivent comprendre que la violence en
médias contribue à une culture de la violence et à son renforcement; la « re-formation »
de consommateurs des médias, de sorte que ceux-ci contestent les médias qui
encouragent, incitent, glorifient, valorisent, érotisent ou décrivent trivialement la violence