QCM-CHAPITRE 1 1 – La psychologie du vieillissement cognitif a- étudie l’évolution de la cognition avec l’âge b- ne s’intéresse pas aux différences inter-individuelles c- ne s’attache à comprendre que ce qui se détériore avec l’âge d- pense que tout ce qui se maintient avec l’âge résulte de la mise en œuvre de mécanisme de compensation e- essaie de comprendre les mécanismes de compensation neuronale et cognitive mis en œuvre pour faire face au déclin cognitif lié à l’âge. 2 - Les psychologues du vieillissement cognitif a- s’attachent à étudier la cognition dans une tranche d’âge spécifique (après 60 ans) b- cherchent à comprendre par quels mécanismes l’âge affecte la cognition au cours de la vie adulte c- se considèrent comme des psychologues du développement d- conduisent des travaux de recherche qui ne permettront jamais d’aider les personnes âgées à mieux vivre leur vieillissement, contrairement aux psychologues du vieillissement socio-affectif. 3 – Les études démographiques montrent que a- la population française vieillit, car le nombre de personnes âgées de plus de 75 ans (mais aussi son pourcentage de la population totale) augmente, b- le vieillissement de la population touche davantage les pays en voie de développement que les pays industrialisés, c- le rapport nombre d’hommes/nombres de femmes reste constant de 50 à 80 ans, d- l’augmentation de l’âge médian s’observe partout dans le monde. 4 – Le vieillissement démographique résulte a- de l’allongement de la durée de vie b- de la baisse du taux de fertilité c- de l’augmentation de la mortalité infantile à la naissance d- de l’augmentation de l’accès aux soins de santé, e- d’une meilleure hygiène de vie f- d’une plus grande acceptation de sa propre orientation sexuelle 5 – La psychologie scientifique du vieillissement cognitif a- part du principe que, pour qu’une hypothèse soit valide, elle doit être falsifiable, b- teste les hypothèses en compétition par des données spéculatives, c- accepte une hypothèse lorsque les données sont en désaccord avec les hypothèses alternatives et en accord avec les prédictions dérivées de cette hypothèse. 6 – L’approche empirique du vieillissement cognitif comporte a- des données corrélationnelles, b- des données d’observation, c- des données expérimentales, d- des données quasi-expérimentales, e- des données protocolaires. 7 – Les qualités d’une mesure sont a- la fidélité, b- la sensibilité, c- la validité d- la remarquabilité e- l’impénétrabilité f- la variabilité 8 – En psychologie du vieillissement cognitif, l’expérimentation a- aide à tester les causes du comportement analysé et du déclin cognitif, b- permet de manipuler un ou des facteurs susceptibles de faire varier un mécanisme cognitif supposé être impliqué dans les variations de performances liées à l’âge, c- requiert le contrôle des facteurs autres que ceux manipulés et qui sont susceptibles d’influencer le comportement étudié, d- suppose, dans la mesure du possible, une distribution aléatoire des participants dans les différents groupes expérimentaux, e- aboutit à des résultats d’autant plus valides qu’elle fait appel à une technologie sophistiquée. 9 - Parmi les plans d’étude en vieillissement, a- les plans longitudinaux sont à préférer aux plans transversaux ou séquentiels, b- les plans séquentiels sont à privilégier dans tous les cas, c- les plans séquentiels sont toujours plus intéressants que les plans longitudinaux, d- les plans transversaux sont plus économiques en termes de temps d’étude, e- les plans séquentiels aident à neutraliser les effets de cohorte lorsqu’ils existent, f- les plans transversaux aident à comprendre les changements cognitifs intra-individuels avec l’âge, g- les plans longitudinaux sont toujours à utiliser en premier pour détecter une différence entre participants jeunes et âgés dans une tâche cognitive. 10 – Pour répondre à une question de recherche, a- il n’existe jamais un seul plan d’étude préférable, à l’exclusion de tous les autres plans, b- le plan d’étude le plus adéquat dépend de la question à étudier, c- les données transversales permettent d’obtenir le même type de réponse que les données longitudinales, d- il importe de ne pas négliger les différences inter-individuelles. 11 – Pour contrôler l’effet d’une variable parasite (ou confondue), le chercheur a- neutralise son effet en la maintenant constante d’une condition à l’autre, b- ne s’en préoccupe pas en laissant le hasard faire bien les choses, c- répartit les participants aléatoirement dans les groupes expérimentaux, d- passe chez son pharmacien et achète une bombe anti-parasites. Réponses : 1- a, e 2- b, c 3- a, d 4- a,b,d,e 5- a,c 6- a,b,c,d 7- a,b,c 8- a,b,c,d 9- d,e 10- a,b,d 11- a,c