Taux d`épargne (comptabilité nationale) - BTS

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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
Taux d'épargne
Définition : Le taux d'épargne est le rapport entre l'épargne (part du revenu qui n’est pas
consommée) des ménages et leur revenu disponible brut.
Le revenu disponible d'un ménage comprend les revenus d'activité, les revenus du patrimoine, les transferts en
provenance d'autres ménages et les prestations sociales (y compris les pensions de retraite et les indemnités de
chômage), nets des impôts directs. Quatre impôts directs sont généralement pris en compte : l'impôt sur le revenu, la
taxe d'habitation et les contributions sociales généralisées (CSG) et contribution à la réduction de la dette sociale
(CRDS).
Les chiffres
Taux d'épargne
financière
Taux d'épargne
Taux d'investissement
immobilier
2003
15,8
6,7
7,5
2004
15,8
5,9
8,0
2005
14,9
4,8
8,3
Source : Insee, Comptes nationaux.
Commentaire
En 2005, la croissance du revenu disponible se ralentit, obligeant les ménages à puiser dans leur
épargne pour augmenter leur dépense de consommation. Leur taux d’épargne passe de 15,8 % en
2004 à 14,9 % en 2005, niveau le plus faible depuis 1995. La capacité de financement des
ménages se réduit une nouvelle fois (53,3 Mds d’euros soit - 11,2 Mds de baisse). Leur taux
d’épargne financière s’établit à 4,8 % après 5,9 % en 2004.
Taux d'investissement
Définition : Rapport de l'investissement à la valeur ajoutée
Les chiffres
Taux d'investissement des sociétés non
financières
2003
17,0
2004
17,4
2005
17,6
Source : Insee, comptes nationaux base 2000.
Valeur ajoutée
Définition : Elle est égale à la valeur de la production diminuée de la consommation intermédiaire
(valeur des biens et services transformés ou entièrement consommés au cours du processus de
production).
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
Les chiffres
Valeur ajoutée
2005
Branches
millions d'euros
courants
2005/2004
valeur %
volume %
Agriculture
33 634
-7,9
-11,2
Industries agricoles et alimentaires
26 866
-12,1
1,5
Industries des biens de consommation
37 786
0,4
5,4
Industrie automobile
15 051
-13,4
-3,0
Industries des biens d’équipement
41 038
-0,1
2,1
Industries des biens intermédiaires
79 536
2,7
0,2
Énergie
31 587
8,4
5,5
Construction
88 549
5,7
0,6
Services principalement marchands
843 305
3,8
1,8
dont : Commerce
162 356
1,6
1,2
Transports
64 042
2,3
0,1
Activités financières
70 857
-2,0
2,3
Activités immobilières
207 436
6,6
2,5
Services aux entreprises
254 550
5,4
2,3
Services aux particuliers
84 064
2,4
1,0
Services administrés
333 921
3,4
0,3
dont : Éducation, santé, action sociale
213 165
3,6
0,4
120 756
3,0
0,2
1 531 273
2,8
1,1
Administration
Ensemble
Champ : France métropolitaine et DOM.
Source : Insee, comptes nationaux base 2000.
Commentaire
La valeur ajoutée totalise 1 531 Mds d’€ (+ 1,1 % en volume et + 2,8 % en valeur).
L’activité agricole s’est nettement dégradée, sa valeur ajoutée recule de - 7,9 % en valeur et de 11,2 % en volume. Les industries agroalimentaires subissent un fléchissement prononcé de leur
activité en valeur (- 12,1 %), les volumes augmentant modérément (+ 1,5 %). Dans la branche
construction, la valeur ajoutée décélère un peu plus en volume mais reste dynamique en valeur.
Dans les branches manufacturières (hors IAA), la valeur ajoutée progresse peu en volume (+ 1,5
%). Les industries de biens de consommation et dans une moindre mesure de biens d’équipement,
sont à contre courant ; leur valeur ajoutée accélère, ces branches bénéficient d’une demande des
ménages et des entreprises dynamiques. Dans les biens intermédiaires, l’activité stagne. Le
secteur automobile voit sa valeur ajoutée chuter (- 3,0 % après + 4,3 % en 2004).
L’activité dans les services marchands est à peine plus dynamique que celle de l’industrie
manufacturière. La valeur ajoutée progresse de + 1,8 % en volume. Plus centrées sur le marché
intérieur et moins dépendantes des matières premières, ces branches résistent mieux. Les
services aux entreprises conservent de l’allant en raison du redressement des activités de
conseil et d’assistance. Les services aux particuliers, pourtant soutenus par la reprise de la
consommation des ménages en activités de loisirs, connaissent une croissance plus modérée.
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
Produit intérieur brut (PIB)
Définition : mesure la production de richesses d’un pays au cours d’une année. Il correspond à la
somme des valeurs ajoutées créées par les résidents, augmentée des droits de douane et de la
T.V.A.
Les chiffres
Commentaire
En 2005, malgré le redémarrage de la croissance en milieu d'année, le produit intérieur brut
s’accroît en moyenne annuelle de 1,2 % en volume, après 2,3 % en 2004 et 1,1 % en 2003. Le solde
extérieur continue de freiner l'activité et les dépenses des administrations publiques décélèrent
nettement. En revanche, la consommation effective des ménages et l'investissement des
entreprises restent dynamiques.
Produit national brut (PNB)
Définition : Il correspond à la somme des valeurs ajoutées créées par les unités économiques
nationales qu'elles soient sur le territoire national ou à l'étranger.
P.N.B. = P.I.B. + revenus des facteurs reçus du reste du monde - revenus des facteurs versés au reste du monde
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
Indicateur de Développement Humain (I.D.H.)
Définition : L'Indicateur de Développement Humain, ou I.D.H., a comme objectif d'essayer de
mesurer le niveau de développement des pays, sans en rester simplement à leur poids économique
mesuré par le PIB ou le PIB par habitant. Il intègre donc des données plus qualitatives.
C'est un indicateur qui fait la synthèse (on l'appelle indicateur composite ou synthétique) de
trois séries de données :



l'espérance de vie à la naissance (qui donne une idée de l'état sanitaire de la
population du pays),
le niveau d'instruction mesuré par deux indicateurs : le taux brut de scolarisation
(nombre d'élèves dans le primaire, le secondaire et le supérieur / effectifs des
classes d'âge concernées) et le taux d'alphabétisation des adultes,
le PIB réel (c'est-à-dire corrigé de l'inflation) par habitant, calculé en parité de
pouvoir d'achat (c'est-à-dire en montant assurant le même pouvoir d'achat dans
tous les pays) ; le PIB par habitant donne une indication sur le niveau de vie
moyen du pays.
L'IDH est calculé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Il se
présente comme un nombre sans unité compris entre 0 et 1. Plus l'IDH se rapproche de 1, plus le
niveau de développement du pays est élevé. Le calcul de l'IDH permet l'établissement d'un
classement annuel des pays.
Les chiffres
Commentaire
L'Indicateur du Développement Humain ne cherche plus à mesurer le niveau de richesse d'un
pays, mais la possibilité pour ses habitants d'y vivre longtemps, en bonne santé, d'y acquérir une
instruction dans des conditions de vie convenables. Avec ce mode de calcul, le monde prend
encore une autre forme. Sur 174 pays étudiés, 64 présentent un niveau de développement humain
élevé, avec la Norvège en tête du classement, 66 un niveau moyen et 44 un niveau faible.
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
TAUX DE CROISSANCE
Définition : Le taux de croissance est un indicateur utilisé pour mesurer la croissance de
l'économie d'un pays d'une année sur l'autre. Il est défini par la formule suivante qui relie les
PIB de l'année N et de l'année N-1 :
((PIB de l'année N - PIB de l'année N-1)/PIB année N-1) x 100
Les chiffres
.
Evolution de la croissance économique selon la zone géographique
(source : IMF, avril 2006)
Evolution et projection de la croissance économique selon la zone géographique
Zone
2004
2005
2006*
2007*
3,3 %
2,7 %
3,0 %
2,8 %
Etats-Unis
4,2 %
3,5 %
3,4 %
3,3 %
Zone euro
2,1 %
1,3 %
2,0 %
1,9 %
Japon
2,3 %
2,7 %
2,8 %
2,1 %
Pays industriels
dont
Nouveaux pays industrialisés asiatiques
5,8 %
4,6 %
5,2 %
4,5 %
7,6 %
7,2 %
6,9 %
6,6 %
Afrique
5,5 %
5,2 %
5,7 %
5,5 %
Europe centrale et orientale
6,5 %
5,3 %
5,2 %
4,8 %
Communauté des Etats Indépendants
8,4 %
6,5 %
6,0 %
6,1 %
Chine
10,1 %
9,9 %
9,5 %
9,0 %
Inde
8,1 %
8,3 %
7,3 %
7,0 %
Moyen-Orient
5,4 %
5,9 %
5,7 %
5,4 %
Brésil
4,9 %
2,3 %
3,5 %
3,5 %
Mexique
4,2 %
3,0 %
3,5 %
3,1 %
5,3 %
4,8 %
4,9 %
4,7 %
Autres pays émergents et pays en développement
dont
Monde
* estimations
Commentaire
La croissance mondiale est estimée à 4,9% en 2006. Selon cette étude du FMI, ce sont les pays
en développement, notamment l'Asie et les pays de l'ex-Union soviétique qui soutiendront la
croissance en 2006. Avec une progression attendue de 2 %, la zone euro est à la traîne.
INFLATION
Définition : L'inflation est une hausse généralisée et persistante (donc cumulative) du niveau
général des prix, se répercutant sur les anticipations des agents économiques. Il peut y avoir
hausse des prix sans inflation, lorsque cette hausse est subite et de faible durée, n'affectant
pas durablement les anticipations.
La stabilité des prix décrit la situation où la hausse des prix est durablement très faible ou nulle,
n’influençant donc pas les décisions des agents économiques.
La déflation est le contraire de l'inflation. C'est donc un phénomène durable et généralisé de
baisse des prix, qui modifie les anticipations des agents économiques. Comme le phénomène
historiquement le plus fréquent (du moins dans la période contemporaine) est bien l'inflation, on
parle parfois aussi d'une inflation négative.
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
La désinflation, quant à elle, est une baisse du taux d'inflation. Par exemple, si pendant des
années l'inflation s'est située à 10% en moyenne et que l'inflation des années suivantes baisse à
7%, puis 5%, puis 2%, on parlera de phénomène désinflatoire. Poussé plus loin, on passe à la
déflation.
Autre définition plus simple : Déséquilibre économique se traduisant par une hausse continue du
niveau général des prix; à distinguer de la désinflation (ralentissement de la hausse des prix) et
de la déflation (baisse des prix)
Les chiffres
Quelques hausses et baisses de prix (en %)
Hausses
déc.
2005 /
déc.
2004
Baisses
déc.
2005 /
déc.
2004
Équipement de téléphone et de
télécopie
- 18,1
Gaz de ville
+ 11,2 Équipement photo et de cinéma
- 14,8
Carburants
+ 9,4
Matériel de traitement de
l'information
- 14,7
Transports aériens de voyageurs
+ 7,7 Équipements audio-visuels
- 10,3
Taxis
+ 6,7
Cafés
+ 6,5 Œufs
- 3,7
Poissons et crustacés frais
+ 6,4 Appareils de lavage
- 3,6
Enlèvement des ordures ménagères
+ 5,7 Appareils de cuisson
- 2,7
Services domestiques
+ 5,3 Réfrigérateurs
- 2,6
Crèches, assistantes maternelles
+ 5,2 Assurance automobile
- 2,3
Combustibles liquides
+ 22,4
Support d'enregistrement de l'image
et du son
- 3,9
Ce tableau est issu de l'ouvrage Tableaux de l'Économie Française - Édition 2006
Commentaire
En France, l'inflation mesurée à partir de l'indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH)
s’établit à + 1,8 % en glissement annuel en 2005 (+ 2,3 % en 2004). Pour l'ensemble des pays
membres de l'UE, cet indice enregistre une hausse de 2,1 % en 2005. Les États membres de l'UE
qui ont enregistré les taux annuel les plus élevés sont la Lettonie (7,1 %), la Slovaquie (3,9 %),
l'Espagne (3,7 %) et l'Estonie (3,6 %) tandis que les taux les plus faibles ont été observés en
Pologne (0,8 %), en Finlande (1,1 %), en Suède (1,3 %) et à Chypre (1,4%).
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
EMPLOI
Définition : Les personnes employées au sens du BIT sont celles ayant travaillé pendant une
durée quelconque, ne serait-ce qu'une heure, au cours de la semaine précédant l'enquête. Cette
notion est différente de celle de l'emploi au sens du recensement de la population qui elle,
concerne les personnes ayant déclaré avoir un emploi dans le formulaire du recensement.
La notion d'emploi au sens du BIT est donc plus extensive que celle au sens du recensement de la
population. Certaines personnes peuvent, en effet, ne pas considérer que des emplois
occasionnels méritent déclaration au recensement. La mesure de l'emploi au sens du BIT ne peut
être faite que par des questions précises, telles celles de l'enquête Emploi, dont un des objectifs
principaux est précisément cette mesure.
Les chiffres :
Taux d'activité * des femmes et des hommes selon l'âge en %
1975
1985
1995
2000
2005
15-24 ans
45,5
39,7
26,5
26,0
29,9
25-49 ans
58,6
70,8
78,3
79,3
81,1
50 ans et plus
42,9
39,8
43,9
50,5
54,6
Ensemble
51,5
55,6
59,9
61,7
63,8
15-24 ans
55,6
42,5
32,4
32,6
37,3
25-49 ans
97,0
96,5
95,5
94,8
94,4
50 ans et plus
79,5
64,5
58,6
63,2
63,6
Ensemble
82,5
75,9
74,0
74,4
74,5
Femmes
Hommes
Source : Insee, enquêtes sur l'emploi.
*
Le taux d'activité est le rapport entre le nombre d'actifs (actifs occupés et chômeurs) et la population totale
correspondante.
Commentaire : En 2005, l’emploi a poursuivi la hausse amorcée en 2004 : 99 000 postes ont été
créés en 2005, après 43 000 l’année précédente. En 2006, sous l’effet conjugué des hausses de
l’emploi observées dans les secteurs marchand et non marchand, l’emploi total poursuivrait son
accélération pour atteindre 196 000 créations nettes d’emplois. L’emploi progresse à un rythme
un peu supérieur à celui observé entre 2003 et 2004 mais le taux d’emploi des personnes en âge
de travailler stagne à 62 %. Ce sont surtout des femmes qui occupent ces nouveaux emplois pour
la plupart à temps partiel. La hausse historique de l’activité féminine se poursuit donc.
Entre fin 1989 et fin 2003, l'industrie a perdu plus de 20% de ses emplois. Néanmoins, le secteur
reste important en Picardie avec 22% des actifs occupés contre 17% en France métropolitaine.
Ce secteur a poursuivi sa mutation d'une industrie traditionnelle vers une industrie faisant appel
à une main-d'oeuvre plus qualifiée. Les niveaux de diplôme ont augmenté ainsi que la part des
professions intermédiaires et des cadres. De plus, l'industrie forme en son sein le personnel dont
elle a besoin, grâce notamment à la stabilité des contrats qu'elle propose. Mais en raison du
vieillissement des personnes y travaillant, le renouvellement de ces dernières reste un défi.
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
CHOMAGE
Définition : Il y a chômage, dès lors que l'offre de travail (proposée par les chômeurs) est plus
élevée que la demande de travail (exercée par les entreprises) : ici on considère le facteur de
production (travail) ; on peut également dire que le chômage naît d'une demande d'emploi
(exercée par le travailleurs) plus élevée que l'offre d'emploi (proposée par les entrepreneurs).
Le chômage représente l'ensemble des personnes en âge de travailler (15-74 ans), privées
d'emploi et en recherchant un. Sa mesure est complexe. Les frontières entre emploi, chômage et
inactivité ne sont pas toujours faciles à établir. Il y a en France deux sources statistiques
principales sur le chômage : les statistiques mensuelles du Ministère du travail, élaborées à
partir des fichiers de demandeurs d'emploi enregistrés par l'ANPE, et l'enquête Emploi de
l'Insee, qui mesure le chômage au sens du BIT (Le Bureau international du travail est un
organisme rattaché à l'ONU et chargé des questions générales liées au travail dans le monde, il
réside à Genève. Il harmonise les concepts et définitions relatives au travail et à l'emploi, en
particulier celles relatives à la population active occupée et aux chômeurs).
Remarque : depuis 2003 l'enquête Emploi est réalisée en continu en métropole, alors qu'elle était
auparavant concentrée sur un seul mois de l'année. Elle devrait donc permettre des évaluations
trimestrielles et non plus annuelles du chômage au sens du BIT.
Les chiffres
Commentaire
Entre 2004 et 2005, le nombre des chômeurs au sens du BIT a en moyenne légèrement diminué
et le taux de chômage a baissé de 0,1 point. L’amélioration concerne essentiellement les jeunes
femmes et celles de plus de 50 ans. Cependant, le chômage de longue durée augmente à nouveau,
en particulier pour les femmes.
Au troisième trimestre 2006, le chômage en Picardie passe sous la barre des 10% et s'établit à
9,9% de la population active. La baisse du chômage se confirme au niveau des départements de
l'Aisne et de la Somme, à l'exception de l'Oise où le chômage stagne ce trimestre.
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Les chiffres et les grands agrégats de l’économie
COMMERCE INTERNATIONAL
Définition : ensemble des échanges de produits ou marchandises entre les différents pays. La
valeur de ce commerce est égale à la valeur de l’ensemble des exportations mondiales.
Les chiffres
Commentaire
Les exportations françaises "ont très bien marché" en 2006, avec une hausse de 9,5 à 10%, a
déclaré vendredi la ministre déléguée au Commerce extérieur Christine Lagarde, tout en
reconnaissant que le déficit commercial atteindrait "28 à 30 milliards d'euros", un nouveau
record. "En revanche, comme on a bien consommé et comme on importe beaucoup, on a des
importations qui sont encore cette année supérieures entre 28 et 30 milliards d'euros au
montant de nos exportations", a-t-elle ajouté.
Ce déficit s'explique par "la facture pétrolière, qui a été sensiblement augmentée en 2006, et le
volume des consommations intérieures" car "c'est en partie sur des produits importés que les
consommations françaises ont porté", a ajouté Mme Lagarde.
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Méthodologie : La France en chiffres
Objectif : présenter et interpréter des statistiques à propos de la France, éventuellement
effectuer des comparaisons internationales, à travers Internet et à partir de questions.
Recherche à partir des adresses générales suivantes :
EUROSTAT (http://europa.eu.int/en/comm/eurostat/eurostat.html)
INED (http://www.ined.fr)
INSEE (http://www.insee.fr) (le serveur de l’INSEE permet aussi d’accéder à d’autres serveurs)
Ministère des Affaires Etrangères (http://www.france.diplomatie.fr)
Site Educnet –INSEE s/ commerce extérieur : http://www.educnet.education.fr/insee/comext/
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