La philosophie est :

La valeur d’une idée vient :
(a) de la personne qui a donné son
opinion
(b) de sa capacité à faire changer d’avis
(c) de ses arguments
(d) de sa capacité à anticiper les
objections
Ce qui met fin à une discussion
philosophique :
(a) un argument
(b) une définition
(c) un dogme
(d) une vérité
Classiquement, la vérité signifie
qu’entre la raison (l’intelligence) et le
réel (les choses), il y a :
(a) adéquation
(b) conformité
(c) accord
(d) harmonie
Le réel du scientifique est :
(a) son réel vécu
(b) le même pour tout le monde
(c) un réel élaboré
(d) un réel rationalisé
Les sciences suivantes sont
« objectives » :
(a) les sciences humaines
(b) les sciences du vivant
(c) les mathématiques
(d) les sciences expérimentales de la
matière
Avoir raison, cela peut vouloir dire :
(a) c’est discutable
(b) fin de la discussion
(c) j’ai bien raisonné
(d) tu as tort
La véritable tolérance repose sur :
(a) la discussion
(b) une vérité unique qui est la même
pour tous (universelle)
(c) le refus de l’intolérance
(d) à chacun sa vérité
Etre tolérant, c’est :
(a) tout tolérer
(b) être prêt à changer d’opinion
(c) ne pas tolérer l’intolérable
(d) tolérer un inacceptable
Une démonstration peut être :
(a) un raisonnement scientifique
(b) une preuve
(c) une déduction à partir d’axiomes
(d) un enchaînement d’énoncés vrais
L’erreur de Delphine et Marinette est :
(a) de confondre sciences formelles et
sciences empiriques
(b) de vouloir vérifier leurs calculs
(c) de confondre calcul et expérimentation
(d) un enchaînement d’énoncés vrais
« Je mens » :
(a) alors je mens
(b) alors je ne mens pas
(c) est une fausseté absolue
(d) est un énoncé indécidable
Le barbier de Bertrand Russel :
(a) se rase lui-même
(b) rase tout le monde
(c) ne se rase pas lui-même
(d) ne rase personne
Pourquoi le réel obéit-il aux
mathématiques ? Parce que
(a) les mathématiques sont un outil
(b) aucune expérience ne les a jamais
réfutées
(c) les mathématiques sont un langage
(d) les mathématiques reposent sur des
conventions
Une science expérimentale est une
science :
(a) empirique
(b) qui utilise la méthode expérimentale
(c) hypothético-déductive
(d) qui procède par essais et erreurs
On peut logiquement :
(a) déduire le particulier de l’universel
(b) généraliser du particulier à l’universel
(c) déduire de l’universel au particulier
(d) universaliser du particulier à
l’universel
Le déterminisme repose sur :
(a) un principe de raison suffisante
(b) rien n’est sans raison
(c) un principe de régularité
(d) même cause, même effet
Un énoncé « scientifique » est un
énoncé :
(a) vérifié
(b) corroboré
(c) réfuté
(d) réfutable
Le scientisme :
(a) est une conception ouverte de la science
(b) affirme qu’il n’y a de connaissance que
scientifique
(c) est la religion de la science
(d) affirme que tous les problèmes moraux
et politiques trouveront une solution
scientifique
La loi de la chute des corps est vraie
parce que :
(a) elle est vérifiée à chaque chute d’un corps
(b) aucune expérience ne l’a jamais réfutée
(c) elle est réfutable
(d) les cas particuliers ont été logiquement
induits
Pour que Laplace ait raison, il faudrait :
(a) que tout le réel soit mesurable
(b) réfuter le principe d’incertitude
(c) croire en la science
(d) réunir toutes les lois physiques dans
une seule formule mathématique
Le scientiste croit :
(a) au progrès infini de la science
(b) que le vrai est plus accessible que le
faux
(c) à des vérités scientifiques définitives
(d) à des vérités absolues
Dans les sciences humaines, les lois
découvertes sont :
(a) particulières
(b) générales
(c) singulières
(d) universelles
Interpréter, c’est :
(a) chanter une chanson
(b) donner une signification
(c) fournir une exégèse
(d) expliquer un événement
Les 3 problèmes généraux de
l’interprétation sont :
(a) Objectivité
(c) Contrôle
(b) Compréhension
(d) Méthodes
(1) va-et-vient des parties au tout
(2) vérifier la réfutabilité
(3) ne pas cacher ses sympathies
(4) va-et-vient entre compréhension et explication
La psychanalyse est :
(a) analyse du psychisme
(b) science de l’inconscient
(c) science de l’interprétation des rêves
(d) science du subconscient
La psychanalyse remet en cause les
frontières :
(a) significatif / insignifiant
(b) conscient / inconscient
(c) normal / pathologique
(d) rêve / réalité
Dans notre vie psychique :
(a) le conscient intervient dans l’inconscient
(b) le conscient accède au préconscient
(c) l’inconscient intervient dans le conscient
(d) l’inconscient pilote tout notre conscient
Les « régions » (topoï) de la première
topique freudienne sont :
(a) la conscience (Cst)
(b) le préconscient (Pcst)
(c) le subconscient (Scst)
(d) l’inconscient (Icst)
Pour Aristote :
(a) la vie est l’âme du vivant
(b) le corps est le tombeau de l’âme
(c) tout être vivant a une âme
(d) le vivant est une matière informée
Pour Descartes, expliquer le mécanisme
du vivant, c’est se fonder sur la
causalité :
(a) matérielle
(b) efficiente
(c) formelle
(d) finale
Selon Kant, les 3 différences entre un
vivant et une machine sont :
(a) la génération
(b) la reproduction
(c) la régénération
(d) la corrélation
Finalement, en biologie, il faut
reconnaître :
(a) une finalité interne
(b) une apparence de finalité
(c) une finalité externe
(d) une causalité mécanique