Aux évêques de l'Eglise catholique.
L'Exhortation Amoris Laetitia est-elle hérétique ?
L’Exhortation Apostolique de 260 pages de François a fait sensation. Les libéraux en font l'éloge. Le
cardinal Kasper a dit qu'elle marque le début de la plus grande révolution de l'Eglise catholique depuis
1500 ans. En revanche, les organisations familiales, en particulier, ont qualifié ce document de document
hérétique qui promeut la destruction de la morale et de la famille chrétiennes ! Le blâme pour cette
situation désastreuse au sein de l'Eglise tombe aujourd'hui sur :
1) François Bergoglio
2) Les racines empoisonnées de Vatican II
Ad 1) L'Exhortation hérétique Amoris Laetitia vise à saper la doctrine catholique concernant
l'indissolubilité du mariage sacramentel, la contraception, les méthodes d'insémination artificielle,
l'immoralité homosexuelle, et la « schizophrénie du genre ».
Amoris Laetitia, tout au long du chapitre huit (paragraphes 291 à 312), présente une sorte d'interprétation
confuse de la doctrine catholique, de sorte que la prise de conscience de la nature et des effets du péché
mortel disparaisse complètement. Au lieu de déclarations claires, François utilise un langage idéologique
et présente des citations sélectives et trompeuses de précédents documents de l'Eglise.
Dans les paragraphes 280 à 286, sous le titre « Le besoin d'une éducation sexuelle », François soutient la
tendance qui va contre les principes moraux et contre les lois de Dieu ! Il ne prend pas parti avec les
parents, mais plutôt avec les organisations qui promeuvent l'idéologie du genre et imposent des pratiques
perverses sur les enfants dès 4 ans.
François fait valoir que les soi-disant « unions de même sexe » peuvent offrir « une certaine stabilité », et
peuvent avoir une certaine similitude ou connexion avec le mariage : "Nous devons reconnaître la grande
diversité des situations familiales qui peuvent offrir une certaine stabilité, mais les unions de fait ou entre
des personnes de même sexe, par exemple, ne peuvent simplement pas être assimilées au mariage »
(paragraphe 52). Donc François, en tant que faux berger, prend une position opposée à l'Ecriture qui appelle
l'homosexualité une abomination, et il dissimule le fait que Dieu punit la perversion homosexuelle par la
destruction totale (cf. Jud 7; 2Pe 2:6). François, en fait, approuve le pseudo-mariage entre personnes
de même sexe, et ajoute simplement et évasivement qu'il ne peut pas être assimilé au mariage naturel.
François soutient l'aspect central de « l'idéologie du genre » lorsqu’il dit qu' « il convient de souligner que
le sexe biologique et le rôle socioculturel du sexe (genre) peuvent être distingués, mais non séparés »
(paragraphe 56). Et en promouvant de la sorte l'idéologie du genre, il embrasse les pieds de transsexuels.
Bien qu'il condamne l'idéologie du genre à d’autres endroits, en substance, il en favorise le faux principe
de base. Le résultat est que François légalise par le fait même l’idéologie perverse et même démoniaque
du genre, qui affirme que l'homme n’est plus mâle ou femelle, mais une espèce d’être neutre.
François implante les termes du Nouvel Ordre Mondial dans la terminologie catholique, et donc normalise
par le fait même tout ce système démoniaque au sein de l'Église. Il utilise un terme destructeur afin de
promouvoir le péché et l'hérésie, et immédiatement après, en vue de paralyser ses adversaires, il le réfute.
C’est comme s'il avait offert du poison, puis avait dit que nous ne devons pas en boire. Le résultat est la mort.
Cette Exhortation vise à supprimer les lois de Dieu et à les remplacer par le relativisme, par le
subjectivisme ainsi que par des éléments de la contre-culture décadente. Cet auto-génocide du
christianisme est hypocritement déguisé sous les mots « miséricorde » et « amour ». Bergoglio a reçu
l'esprit de l'antéchrist ! Il détruit les piliers moraux, non pas en formulant des changements dans la
doctrine, mais plutôt en introduisant le principe de son application "miséricordieuse" subjective. Il
commet donc ainsi un blasphème et un péché contre le Saint-Esprit. Selon l'Ecriture et les documents
doctrinaux, Bergoglio, étant un hérétique, n’est pas un pape valable. Toutes ses actions et textes sont sans
vigueur et sans obligation (voir la Bulle 'Cum Ex Apostolatus Officio').
Ad 2) La responsabilité de l'état catastrophique de l'Eglise retombe sur les racines empoisonnées de Vatican II
Il ne serait pas possible de publier cette exhortation sans en préparer le terrain ! Le terrain fut préparé par
l'aggiornamento de Jean XXIII au cours de Vatican II. En conséquence, les facultés de théologie, aujourd'hui,
nient tous les dogmes centraux de la foi catholique (la divinité du Christ, Sa mort rédemptrice sur la croix,