Le sacerdoce du Christ
1
Résumé :
1ere Parole p. 3
La réalité du monde
Il faudrait commencer par le désir qui habite notre cœur ! Nous partons de la Parole de Dieu, de
l’histoire d’Abram.
Benoît XVI La foi chrétienne hier et aujourd’hui. JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST,
P. 124 La non compréhension du mystère de Jésus
Marie Dominique : « j’ai soif » p. 147-150. Préfiguration d’Ismaël : Le cri de Jésus rejoint notre cri, il
exprime la miséricorde du cœur de Dieu.
C’est alors que nous est révélée la finalité du Sacerdoce de Jésus.
Benoit XVI
La foi chrétienne hier et aujourd’hui. P. 139-140
JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST. Le sacerdoce de Jésus va faire le lien entre une Humanité
authentique et le mystère de Dieu.
Durrwell p 70
Le Saint solidaire des pécheurs
M.Do, Etoile du matin. P. 209
Durrwell p 72
Le Saint solidaire des pécheurs
Année sacerdotale : Mgr Mauro Piacenza
Le ministère naît de la rencontre de deux libertés : celle de Dieu et celle de l'homme.
2 Parole. P. 10
Jésus, médiateur d’une Alliance nouvelle : Hébreux :
MP p. 159 lecture Hébreux : Jésus Grand Prêtre de la Nouvelle Alliance :
Chauvet : Jésus dans l’Evangile et les prêtres de l’AT. 20-2 copie ;
MP p. 159- 161 lecture :
A propos de l’œuvre de Dieu réalisée par Jésus : Cf. Marie Dominique : « j’ai soif » p. 20-22-
Reprendre le texte
MP p. 161-168 : lecture : Hébreux : Jésus Grand Prêtre de la Nouvelle Alliance :
Eloi Leclerc : Le Royaume déjà là dans l’Evangile. p. 27-39 copie. Scanner mais sélectionner !
Le sacerdoce du Fils bien aimé. Benoît XVI p.149, La foi chrétienne hier et aujourd’hui.
« JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST, SON FILS UNIQUE, NOTRE SEIGNEUR »
MP p. 168-9, lecture. Hébreux : Jésus Grand Prêtre de la Nouvelle Alliance.
3eme Parole : p. 13.
Le sacerdoce du Christ en vue de Jean 17. : « Annonce de Jésus « qui porte le péché du monde ! »
-MP. P. 97- 101 : Jésus, l’envoyé du Père : « obéissant au Père…. », le Fils de l’homme. JÉSUS-
Benoît XVI p.152-153, La foi chrétienne hier et aujourd’hui.
« JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST, SON FILS UNIQUE, NOTRE SEIGNEUR »
-André Feuillet : p. 169- 172 : Jésus, annoncé par le 1er Testament, s’est situé lui-même comme
« offrande expiatoire » dans l’Evangile.
-C’est ainsi qu’il se situe à mots couverts comme prêtre.
Chauvet : Pour Jésus, le mot « prêtre » est absent pour éviter toute équivoque. 20-25 copie
François Xavier Durrwell : Christ notre Paque. P. 65-70,
Le salut dans le Christ est actuel, il est gratuit :
MP. P. 94-97 : La tunique sans couture.
Le sacerdoce du Christ
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4eme Parole p. 19
Benoît XVI p.125 (132-3), La foi chrétienne hier et aujourd’hui. « JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST,
SON FILS UNIQUE, NOTRE SEIGNEUR »
Le problème de la foi en Jésus « Christ » aujourd'hui.
Jn. 17 Le sacerdoce du Christ:
Benoît XVI p. 137- La foi chrétienne hier et aujourd’hui. JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST,
-MP. p 101-114 :
Commentaire des 5 premiers versets Jn. 17. Jésus Prêtre de l’Amour infini de Dieu.
CHAPITRE VI : PROXIMITÉ DU SEIGNEUR DANS LA VIE DE TOUS LES JOURS
99, A propos du culte et de la sacralité de l'Eucharistie (1980)
-Chauvet, Le ministère des douze; p. 33-36 copie
L’annonce du « passage » en Jn 17 du sacerdoce du Christ à celui des Apôtres.
MP. P. 275- 281: Pour eux je me consacre moi-même. Commentaire des versets 17-19 de Jn 17.
Marie Dominique : « L’étoile du matin» p. 82-85 Reprendre le texte
Jésus à la Croix est source du sacerdoce des prêtres et du sacerdoce des laïcs. Marie est là modèle.
MP. P. 443- 475: Icônes du Grand Prêtre : Pierre, 443, Paul, 450, Jean, 464
5eme Parole p. 24:
Dieu efficace dans le monde des hommes par ses sacrements. La culture actuelle nie toute action
dans le monde par Dieu !
Benoît XVI, Dieu nous est proche p. 142-144 :
Le mystère de l’Eglise.
Benoit XVI La foi chrétienne hier et aujourd’hui.
JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST, p. 146
L’autorité dans l’Eglise est une autorité d’amour.
Durrwell Chapitre VI : LA NAISSANCE DE L'ÉGLISE p.107
La foi des amis de Jésus constitués en nouveau Peuple de Dieu, en Eglise.
MP. P. 419- 441 : L’Eglise Corps du Christ Dieu nous est proche,
6eme Parole p.30 :
MP. P. 83-92 : C’est dans ce monde que Jésus vient apporter son amour.
136-8 DIEU NOUS EST PROCHE ; L'ÉGLISE SE PERPÉTUE COMME LITURGIE
Comme la vie de Jésus est identique à son ministère, la vie du prêtre doit tendre à la même identité.
LETTRE DU SOUVERAIN PONTIFE BENOÎT XVI
Dominique Rey : Le Prêtre p. 59-73 copier
MP p.115-132 : Jésus qui enseigne et qui sert.
7eme Parole p 37:
Marcher à la suite de Jésus. Il a souffert
Benoît XVI p. 197-220, La foi chrétienne hier et aujourd’hui. Il a souffert.
Benoît XVI p. 157, La foi chrétienne hier et aujourd’hui.
« JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST, SON FILS UNIQUE, NOTRE SEIGNEUR »
… 157-165 :
Le sacerdoce du Christ
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1ere Parole.
Audience générale du 24 juin 2009 : L’Année sacerdotale et le curé d’Ars.
La Providence divine a fait en sorte que sa figure soit rapprochée de celle de saint Paul. En effet,
alors que se conclut l'Année paulinienne, consacrée à l'apôtre des nations, modèle extraordinaire
d'évangélisateur qui a accompli plusieurs voyages missionnaires pour diffuser l'Evangile, cette
nouvelle année jubilaire nous invite à nous tourner vers un pauvre agriculteur devenu un humble
curé, qui a accompli son service pastoral dans un petit village. Si les deux saints diffèrent beaucoup
dans les itinéraires de vie qui les ont caractérisés - l'un est allé de gion en région pour annoncer
l'Evangile, l'autre a accueilli des milliers et des milliers de fidèles en restant toujours dans sa petite
paroisse -, il y a cependant quelque chose de fondamental qui les rassemble : il s'agit de leur
identification totale avec leur ministère, leur communion avec le Christ qui faisait dire à saint Paul : «
Je vis, mais ce n'est plus moi, c'est le Christ qui vit en moi » (Ga 2, 20). Et saint Jean-Marie Vianney
aimait répéter : « Si nous avions la foi, nous verrions Dieu caché dans le prêtre comme une lumière
derrière la vitre, comme le vin mélangé à l'eau ».
Il faudrait commencer par le désir qui habite notre cœur !
Qu’est-ce que j’attends ?
Qu’est-ce que Dieu attend ?
Mais l’homme seul sait-il son désir ?
Nous partons de la Parole de Dieu, de l’histoire d’Abram.
Que de douleurs, Sara, sa demi sœur !
Lot son neveu !
La peur de l’Egyptien, marchandage de Sara par Abram.
Il croit dans la Parole de Dieu, mais il fait sa propre volonté.
Marchandage de Sara qui aboutit à Ismaël.
Pour Abraham, c’est Dieu qui lui révèle son chemin !
La culture actuelle nie toute action dans le monde par Dieu ! Le problème de la foi en Jésus
aujourd'hui. La non compréhension du mystère de Jésus.
Benoît XVI : La foi chrétienne hier et aujourd’hui. JE CROIS EN JÉSUS-CHRIST, P. 124
C'est ici, dans cette deuxième partie du Credo, que nous arrivons au véritable scandale du
christianisme, : il s'agit de confesser l'homme Jésus, un homme particulier, exécuté vers l'an
Trente en Palestine, comme le Christ » (l'Oint, l'Élu) de Dieu, voire comme le propre Fils de
Dieu, le centre et la mesure de toute l'histoire humaine. N'est-ce tout ensemble prétention et folie
que de vouloir faire d'une figure isolée condamnée, à mesure que l'on s'en éloigne, à disparaître
de plus en plus dans les brumes du passé le centre décisif de toute l'histoire ? Si la foi au logos, à
l'intelligibilité de l'être, correspond tout à fait à une tendance de la raison humaine, il n'en va même
dans le deuxième article du Credo, l'on établit une association vraiment monstrueuse du logos et
de la sarx, du sens et d’une figure particulière de l'histoire. Le Sens, fondement de tout être est
devenu chair, c'est-à-dire il est entré dans l'histoire, il fait partie d'elle; il n'est plus seulement ce qui la
porte et l'embrasse, il est devenu un point à l'intérieur d'elle. Dès lors, le sens de tout l’être ne serait
plus à trouver dans la contemplation par l'esprit s’élevant, au-dessus de ce qui est singulier et limité,
vers l'universel; il ne serait plus simplement donné dans le monde des idées, qui dépasse le
particulier et ne s'y reflète que de manière fragmentaire il serait à trouver au milieu du temps, dans le
visage d'un homme. Cela fait penser à la fin émouvante de la Divine Comédie de Dante, où, dans la
contemplation du mystère de Dieu, le poète, 125 au milieu de cette « toute-puissance de l'Amour qui
meut dans une harmonie silencieuse le soleil et les astres », aperçoit, avec un étonnement
bienheureux, une image à sa ressemblance, un visage d'homme.
Le sacerdoce du Christ
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N’est-ce pas le cœur blessé de jésus qui nous révèle notre cœur blessé. Préfiguration d’Ismaël :
Le cri de Jésus rejoint notre cri, il exprime la miséricorde du cœur de Dieu. C’est alors que
nous est révélée la finalité du Sacerdoce de Jésus. Dieu répond au cri de l’enfant, il envoie le
défenseur, celui qui marche à coté.
Marie Dominique : « j’ai soif » p. 147-150. VIII « JE LEUR AI DONNÉ LA GLOIRE QUE TU M'AS
DONNÉE »
P. 147, Nous avons évoqué plus haut cette préfiguration du cri de soif qu'est « le cri de l'enfant dans
le désert ». Au désert de Béer-Shéva (le « puits des sept Gn. 21, 14-19.»), le petit Ismaël crie sa soif,
et au bout d'un certain temps sa mère ne peut plus l'entendre, tant cela navre son cœur, c'est-à-dire
le blesse alors elle s'écarte. Et c'est au moment la mère s'écarte que Dieu vient. Ce lieu de
l'Écriture ne nous serait-il pas donné pour nous faire comprendre que Dieu « Paraclet » reçoit le cri
de celui qui est l'enfant ?
LE PARACLET
Mais d'abord, que signifie « Paraclet »? Ce terme, qui ne se trouve que dans les écrits johanniques,
(Jn. 14, 16 et 26 ; 15, 26 ; 16, 7. 1 Jn. 2, 1.) est l'équivalent exact du latin advocatus (qui a donné en
français « avocat », mais qui, étymologiquement, signifie « celui qui est appelé à côté de »). Par
suite d'un glissement chez certains traducteurs du livre de Job, le terme a pris aussi le sens de
«consolateur»
(Dans son Commentaire sur saint Jean, saint Thomas note que l'Esprit Saint est dit « Paraclet »,
consolateur, parce que l'amour donne la joie (XV, 911). Etant Amour, il nous fait aimer Dieu et le
considérer comme étant pour nous, si bien que pour lui nous souffrons tout avec joie : c'est ainsi que
l'Esprit Saint nous console des épreuves et des troubles que nous cause le monde ; et il nous
console aussi de la tristesse que nous causent nos péchés, en nous donnant l'espoir du pardon (XV,
n° 1955).
Jésus lui-même est Paraclet, celui qui 148 se tient pour nous auprès du Père à qui il s'offre en «
victime de propitiation pour les péchés du monde entier » 1Jn2, 1-2. Prenant sur lui l'iniquité du
monde, il vient réparer nos fautes en s'offrant pour nous.
(Il y a un parallèle étonnant entre Jn. 17 et la liturgie du Yom Kippour, le jour des Expiations « qui
restituait son caractère de peuple saint par le pardon et la purification de toutes les fautes, et lui
donnait à nouveau l’assurance des bénédictions jadis promises » (Clamer) (« En français, comme en
nombre de langues modernes la notion d'expiation tend à se confondre avec celle de châtiment... Au
contraire, pour tous les anciens... qui dit expier, dit essentiellement purifier, plus exactement
rendre un objet, un lieu, une personne désormais agréables aux dieux, alors qu'auparavant ils ne
leur agréaient pas... L’expiation efface le péché en réunissant de nouveau l'homme à Dieu, en le lui
consacrant". »)
Mais Jésus prie le Père de nous donner « un autre Paraclet », « l'Esprit de vérité » Jn. 14, 16.
On peut dire que le Paraclet, c'est celui qui entend l'appel au secours, celui qui nous écoute toujours
et qui vient à notre secours. « Paraclet » signerait donc cette capacité qu'a Dieu de nous
écouter et de nous soulager. Un des lieux les plus révélateurs de cette « écoute » de Dieu est bien
l'histoire d'Ismaël au désert de Béer-Sheva. Le Paraclet est celui qui écoute le cri de l'enfant. C'est
Dieu dans sa vulnérabilité d'amour, capable d'entendre tous nos appels, toutes nos détresses.
Certes, Ismaël n'est qu'une préfiguration lointaine (plus lointaine que celle d'Isaac) de celui qui, à la
Croix, sera, dans sa pauvreté, infiniment plus faible qu'un petit enfant. Mais de toute façon, le cri de
soif du Christ est quelque chose de si grand qu'il ne peut avoir que des préfigurations lointaines. Car
ce cri exprime l'amour dans ce qu'il a de plus fort, l'élan qui ne peut s'arrêter à l'œuvre et qui la
dépasse, fut-elle « l'œuvre de Dieu. »
Le sacerdoce du Christ
5
P, 28. C’est par l’Amour de son cœur, blessé à la Croix, que Jésus vient à notre secours.
28,…Dans le cœur de Jésus, il y a un amour infini pour le Père, et l'œuvre de la Croix est limitée,
l'holocauste de la Croix est limité. Si divin soit-il, cet holocauste reste une œuvre. Jésus, dans son
cri, exprime donc le désir le plus profond de son cœur: que tout soit brûlé pour le Père. Par il
exprime bien qu'au-delà de l'œuvre (même de cette œuvre divine) il y a dans son cœur d'homme un
abîme d'amour infiniment pur pour le Père. Toute œuvre, en effet, présuppose un amour et est le fruit
d'un amour. La Croix est le fruit d'un amour, mais elle ne peut épuiser l'amour. L'amour est plus
que la Croix puisque l'amour, étant la source de l'œuvre, est plus que l'œuvre. Si l'obéissance est
bien le fruit de l'amour, l'obéissance, tout en s'identifiant, de fait, à l'amour dans son exercice, ne peut
jamais épuiser l'amour dans ce qu'il a de tout à fait propre.
(Cant 8, 6-7 : « Les grandes eaux ne pourront éteindre l'amour, ni les fleuves le submerger. Même si
un homme donnait toute la fortune de sa maison pour l'amour, on n'aurait pour lui que mépris»).
Jésus est conscient de cela, il n'est pas enfermé dans son holocauste. Son mystère d'holocauste
s'achève dans une pure contemplation d'amour, la pure contemplation du Fils bien-aimé à l'égard du
Père. Et le cri de soif exprime justement que l'amour du Fils bien-aimé dépasse tout ce que
peut représenter l'œuvre, et va infiniment plus loin: « J'ai soif ». N'est-ce pas cela, la victoire de
l'amour ? La victoire de l'amour, c'est quand l'amour brûle toutes les œuvres pour montrer qu'elles ne
peuvent jamais exprimer adéquatement l'amour, et que l'amour a besoin de cette liberté qui
s'exprime dans le cri de soif.
P, 29 : Là Marie devient notre mère.
29, Ce cri, les hommes le comprennent matériellement (nous y reviendrons), mais Marie le
comprend divinement, et ce cri qui s'adresse au Père s'adresse aussi à elle. Nous touchons le
sommet du mystère de la charité, l'unité des deux commandements
(Mt 22, 39 : « Le second lui est semblable » (cf. Mc 12, 28-31 ; Lc. 10, 2528). Jn. 13, 34 et 15, 9-12.
1 Jn. 2, 7 ; 3, 14-17 et 23 ; 4, 12 et 20-21 ; 2 Jn. 5-6)
vécue dans le cœur du Christ : c’est du même amour que sus aime le Père et aime Marie. Il y a
deux exercices différents, mais c'est substantiellement le même amour. On peut donc dire que si le
mystère de la Croix est totalement pour Marie, Jésus veut faire comprendre à Marie qu'il y a quelque
chose de plus encore, son amour personnel, intime, au-delà de toutes les réalisations. A l'égard du
Père c'est ce pur regard contemplatif, à l'égard de Marie c'est la pure charité fraternelle. L'exercice
du don de sagesse permet à l'amour à l'égard de Dieu d'avoir cet aspect de limpidité de la
contemplation (la sagesse, en effet, permet la contemplation, elle est source de contemplation) ; le
don de sagesse permet à la charité, à l’amour, pour le Père, de s'exercer d'une manière
contemplative dans toute sa limpidité d'amour et dans tout son absolu d'amour. Mais le don de
sagesse peut aussi « diviniser » l'exercice de la charité fraternelle, pour que celle-ci soit vécue d'une
manière toute pure, au-delà de toute œuvre. C'est comme le sourire de Jésus à Marie et le sourire de
Marie à Jésus. Marie reçoit cet appel. On voit ce que cela peut signifier: du fait qu'elle est donnée à
Jean comme mère, il y a un appel du Père pour qu'elle soit encore plus donnée et que l'amour qu'elle
a pour Jean soit entièrement brûlé et remonte vers le Père.
148, Ce cri est ce que le Père reçoit du cœur de Jésus à travers le Paraclet. Et n'est-ce pas à ce
moment-là, à travers le cri de soif et la blessure du cœur, que le Père, avec le Verbe, nous donne le
Paraclet ? « Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive, celui qui croit en moi. Selon ce qu'a
dit l'Écriture, "de son sein couleront des fleuves d'eau vive". Il dit cela de l'Esprit que devaient
recevoir ceux qui croiraient en lui ; car il n'y avait pas d'Esprit, parce que Jésus n'avait pas encore été
glorifié Jn. 7, 38-39.» C'est à la Croix que le Christ est glorifié Jn. 12,27-28; 13, 31 ; 17, 1-2 et 5.
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