La Gazette du PP Numéro 282 – décembre 2013 Site internet accessible par kerkebeek.be compte BE58-9310-6034-7379 du Pain Partagé, 1140 Bruxelles Toutes les nouvelles 1. 2. 3. Florence Cornil et Grégoire s’aimaient d’amour tendre, et ils avaient ensemble de grands projets. Le lundi 11 novembre, Grégoire a eu une hémorragie cérébrale, et il est décédé le lendemain à l’hôpital, à l’âge de 22 ans. Pour leurs proches, c’est une tragédie. A Florence et à toute sa famille, nos pensées les plus chaleureuses. Les évêques de Belgique lancent une consultation des communautés chrétiennes en vue du synode romain d’octobre 2014 sur la famille. Le délai est très court : les réponses doivent arriver pour le 15 décembre. Le PP va organiser ce sujet une rencontre le samedi 30 novembre à 10h00 au 156 av. H. Conscience en espérant pouvoir transmettre une réflexion intéressante. Bienvenue à tous, chacun avec son expérience et sa vision ! Pour une fois qu’on nous demande notre avis, osons nous exprimer ! Pour obtenir le document et le questionnaire pour préparer la rencontre, adressez-vous à [email protected]. Le nouveau plan de stationnement à Evere rentre en vigueur à partir du 1er décembre 2013. Tout notre quartier devient payant sauf riverains. Des horodateurs seront placés. Pour les heures de paiement, il faudra regarder sur les horodateurs. Souvent, c'est gratuit pour les dimanches et jours fériés, mais payant le samedi jusqu'à 18 h. Pour plus de renseignements, voir le site www.evere.be. Agenda de décembre Mardi 10 à 20h15, à l’église de la Ste Famille, veillée de prière et de réconciliation (Kerkebeek). Mercredi 11 à 14h00 au 156 av. H. Conscience : rencontre du groupe de lecture autour de Elena Lasida, Le goût de l’autre, chap. 7 ; oui, c’est bien à 14h00, car nous sommes tous libres et plusieurs préfèrent ne plus sortir le soir ! Jeudi 12 à 19h30, réunion de la Petite Equipe au 14, rue H. Jacobs à Schaerbeek. Lundi 16 à 20h15, au 156 av. H. Conscience, préparation de la célébration du 21 décembre (veillée de Noël). Un service important à rendre ! Samedi 23 : notre veillée de Noel à 17h30 : eucharistie à Notre-Dame à 18h45 environ, apéritif, puis souper et veillée au Cercle, en face de l’allée carrossable, selon la formule éprouvée « Auberge espagnole ». Voir la feuille à la fin de ce numéro. On demande des volontaires pour tout préparer à partir de 15h30 Et déjà pour janvier 2014 : Samedi 18 : eucharistie à Notre-Dame, puis souper et activité à préciser. Samedi 25 et dimanche 26 : week-end de ressourcement biblique à l’abbaye St André (Zevenkerken, Bruges), avec notamment la visite de la « maison de la Bible ». Conférence Chez les Dominicains, av. de la Renaissance 40 (quartier du Cinquantenaire), le mardi 10 décembre à 20h15 La loi, la règle et la conscience Conférence par Jamal Boutouil (musulman) et Philippe Cochinaux o.p. 2 Ce que la première lettre de Paul aux Corinthiens suggère pour la vie des communautés chrétiennes Week-end à La Diglette, les 19 et 20 octobre 2013 . Samedi matin Se laisser surprendre par le texte, en oubliant ce qui s'est passé après dans l’Eglise ! Corinthe et sa communauté chrétienne Paul en est à son deuxième voyage. D’Éphèse, il écrit à la communauté de Corinthe, qu’il a fondée (Ac 18). Corinthe est une ville immense (500.000 habitants) avec deux ports ; c’est une ville cosmopolite, qui compte une petite classe de gens riches et deux tiers d’esclaves, une ville célèbre par sa liberté sexuelle, son culte d’Aphrodite (Vénus) et son ouverture aux religions à mystère.. La communauté chrétienne de Corinthe comporte elle aussi quelques gens riches et beaucoup de pauvres. Sa foi chrétienne semble plus affective qu’intellectuelle : il est difficile pour des gens de culture grecque de penser le christianisme, né en contexte juif. La lettre La « première » lettre aux Corinthiens est en fait la seconde ; Paul fait allusion à une première lettre, qui est perdue. Paul écrit parce que la communauté connaît des turbulences : clans et rivalités, appel aux tribunaux, questions autour de la sexualité et du célibat. Paul écrit avec ordre (exposé des problèmes, rappel des principes, enseignement pratique), même s’il se laisse parfois emporter. Il traite les sujets dans l’ordre où ils lui viennent à la pensée, à partir de situations concrètes. Travail par groupes Consignes : à partir de la table des matières de la lettre, quels passages peuvent-ils nous faire réfléchir à la manière de faire Église ? Groupe 1 : le repas du Seigneur (11,17-33), la reconnaissance des charismes de chacun. Groupe 2 : les cultures, l’eucharistie, la résurrection Groupe 3 : l’homme et la femme (7,15ss), mariage et célibat, comment « gérer » les comportements différents dans un groupe ? Groupe 4 : les cultures, les diversités d’options (qyestion des viandes) Conclusions : nous travaillerons trois thèmes : l’eucharistie, les charismes et le dialogue culturel. Samedi après-midi : Seigneur (11,17ss) le repas du 10,14 : nous sommes un seul corps ; entrer en communion 11,17-34 : le repas du seigneur : 3. parties 1° description de la situation (vv. 17-22) : vous pratiquez le « chacun pour soi » ; ce n’est donc pas le repas du Seigneur ! 2° rappel de la Tradition reçue (vv. 23-26), en parallèle avec le récit de Luc ; la « nouvelle alliance en mon sang » fait allusion a celle annoncée par Jr 31,31-34. 3° les conséquences (vv. 27-34) : il y a contradiction entre les gestes de partage et la division de la communauté, et c’est ce qui explique la quantité de malades et de morts. Il y a dans la communauté une contradiction mortifère. Travail par groupes Consignes : que pouvons nous tirer de ce texte pour la vie du PP ? Comment intégrons-nous l'eucharistique dans notre existence? Où est le cœur de l’eucharistie ? Quels aspects du texte mettons-nous à la poubelle ? Groupe 4 : questions sur le geste du Notre Père, la participation active des laïcs, l’ouverture à la paroisse (satisfaction globale), le lien entre l’eucharistie et la vie communautaire. Proposition : un partage d’Evangile pour préparer la messe ? Groupe 3 : l’intégration de messe PP dans la paroisse est plutôt positive ; l’ « entre nous » est préservé au repas. Paul ne parle pas d’une liturgie de la parole ! Questions sur le sacré. Proposition : développer chaque fois un aspect de la messe ? Groupe 2 : il y a des choses que l’on ne peut plus retrouver dans la « nouvelle célébration, à cause du nombre ; chercher un geste de communion qui soit autre chose qu’une distribution. Solidarité et fraternité : que sommes-nous prêts à partager ? L’eucharistie devrait être un lieu qui fait du bien, d’où on ressort plus vivant. Proposition : donner les nouvelles du groupe. Groupe nous sommes perdus dans l’assemblée, alors que notre spécificité est de former communauté. Propositions : Trouver une autre disposition des chaises pcq cela fait traditionnel ; faire circuler la parole, comme au Curé d’Ars ; donner un calendrier des préparations. Pour la préparation des célébrations, il y a aussi la pratique de la Paroisse libre (deux fois par mois) : équipes qui prennent la célébration en charge tous les deux mois et impliquent tout le monde. Jacques: quelque chose crucial= préparation. Groupe se désintéresse. Il lance 1 vibrant appel pour + participants aux préparations Dimanche matin : la résurrection Le dimanche matin, nous examinons, en 1 Co 15, la manière dont l’apôtre Paul se trouve confronté à un choc culturel et les leçons que nous pourrions éventuellement en tirer à notre époque – il s’agit de la question de la résurrection des corps, corollaire de la foi en la résurrection du Christ. La mort,… et puis après ? Chaque culture tente de répondre à cette question radicale. Elle le fait dans le cadre et le langage dont elle dispose. 3 Pour la culture biblique, la foi en Dieu n’était pas liée au fait de croire en une vie après la mort. Ce n’est qu’à partir du deuxième siècle avant Jésus-Christ que des auteurs, suite à la persécution et à la mort de nombreux juifs martyrs pour leur foi, ont imaginé qu’une personne peut vivre au-delà de sa mort (2 Maccabées 7, 1-41). Par contre, pour la culture influencée par la philosophie grecque, seule l’âme est immortelle, prisonnière d’un corps dont elle aspire à être délivrée par la mort. L’idée d’une résurrection des corps est totalement absurde (folie pour les grecs). Dans la communauté fondée par Paul à Corinthe, certains membres, influencés par la pensée grecque, niaient la résurrection des morts tout en confessant leur foi en la résurrection du Christ. Pour Paul, l’une ne va pas sans l’autre. Il se voit donc obligé de remettre de l’ordre dans la confusion qui, régnait, d’autant plus qu’il s’agit pour lui d’un point central de ‘son évangile’. Comment s’y prendil pour inculturer un message qui scandalisait les juifs et n’avait aucun sens pour les hellénistes ? N’y a-t-il pas là une analogie avec la confusion des représentations qui circulent parmi nos contemporains mêlant réincarnation, réanimation, et résurrection, vie éternelle et immortalité à côté de l’affirmation qui se veut rationnelle :’il n’y a rien après la mort point final !’ Comment Paul s’en tire t’il ? Il structure son argumentation en trois temps. Il commence par affirmer solennellement la mort et la résurrection du Christ dans une formulation qu’il a reçue des traditions orales déjà en circulation au moment de sa conversion. Il appuie cette affirmation massive sur la multitude de témoins « par qui Il a été vu vivant », s’incluant lui-même dans la lignée alors qu’il n’a pas connu Jésus avant sa mort en croix. Ensuite, il affirme que le crucifié ressuscité nous entraine à sa suite. Nier qu’il est « le premier né d’entre les morts » revient à vider la foi de son sens. Il amorce déjà ici le raisonnement développé dans sa lettre aux Romains : la mort est venue par un homme, Adam, la vie nouvelle est venue par un homme, le Christ, à qui le Père a confié l’humanité pour la sauver du péché et de la mort. La 3e partie de l’argumentation porte sur la question concrète du corps des ressuscités. Paul insiste sur la discontinuité entre avant et après la mort, dissipant énergiquement l’illusion courante (encore aujourd’hui) qui consiste à imaginer la vie après la mort dans le prolongement de la vie présente et qui est source de tant de fantasmes. Pour cela il recourt à la métaphore de la germination (1Cor 15, 35-48). A-t-il convaincu les sceptiques ? Et pour nous ? Que signifie ressusciter ? En petits groupes nous nous risquons, à tour de rôle, à mettre des mots sur la manière dont nous nous représentons la résurrection, la nôtre et celle de Jésus, et comment la dire en langage d’aujourd’hui. Moment fort vécu dans chacun des petites groupes dont il ressort que, comme pour Paul,la foi repose sur des témoignages qui réveillent la confiance en une Présence vivifiante et aimante qui nous accompagne et nous libère de la peur de mourir , qui n’est autre que la peur de vivre. Mise en commun De la mise en commun qui a suivi ce partage, je retiens quelques points à ruminer dans la suite (la vie entière n’y suffira pas !) : - La foi repose principalement sur des témoignages d’où l’importance pour nous de nous raconter nos expériences de résurrection et d’être attentifs à tous les signes que la vie nous en donne. - Il nous faut accepter de ne pas savoir et de vivre avec des questions sans réponse. La bonne question, en fin de compte, n’est-elle pas de se demander ‘y a-t-il une vie avant la mort ? ’ Déjà pour Paul, l’enjeu était de convertir notre manière de vivre à l’exemple de Jésus qui faisait confiance à son Père. Si, comme le dit l’épître de Jean « Dieu est amour », le fait qu’il fasse exister des êtres capables d’aimer est le don d’une vie qui n’est pas vouée au néant. - On nous rappelle un article de A. Fossion, paru dans LLB à propos de la résurrection à rechercher sur Internet. Paul Tihon mentionne aussi la psychanalyste Marie Balmary qui nous incite à ne pas nous laisser intoxiquer par un positivisme abusif qui veut mettre un point final à cette question. - Autre parole de sagesse : « C’est une erreur de croire qu’on ne meurt qu’une fois ; mourir est un chemin quotidien ; sans mourir l’homme ne serait pas humain ». En conclusion, (provisoire et pardon pour tout ce que j’ai oublié) la résurrection donne à penser. C’est la question centrale de notre foi. A nous de découvrir que c’est une bonne nouvelle et d’en vivre. Dimanche après midi : les dons de l’Esprit ou charismes (chap. 12–14) Paul voit que chacun a reçu un don de l’Esprit pour le service de la communauté: L’Esprit distribue ses dons sans avarice : message de sagesse, foi, guérison, prophétie, parler en langues, interpréter le parler en langues, etc. C’est une vision d’Eglise peu dirigiste : Paul n’a pas de plan pastoral établi, mais il laisse émerger les aptitudes de chacun. Cette vie spontanée a vite montré ses limites, et il a fallu une régulation (qu’on trouvera surtout dans les lettres « pastorales » post-pauliniennes à Timothée et à Tite. Ici, Paul s’inquiète déjà de la cacophonie et des jalousies entre détenteurs de dons différents. Tous les dons sont précieux, même ceux qui n’ont aucun prestige, car tous servent à édifier l’Eglise comme corps du Christ. La difficulté : comment les discerner ? Ce n’est pas l’individu lui-même qui voit son charisme, mais le groupe. Paul Tihon raconte en ce sens une retraite ignacienne, qui a changé le cours de sa vie, car un participant avait le don de dire sa foi. Très vite, cependant, certains prennent du pouvoir : les apôtres (capacité de direction ?), les prophètes (art d’interpeller au nom de l’Evangile) et les enseignants. Paul veut mettre de l’ordre dans les charismes et souligne que le plus nécessaire est l’agapè, terme qu’on traduit souvent par « charité » ou « amour », et qui dans ce contexte vise en particulier le sens de la communauté. (compte-rendu rédigé par Thierry, Gerda et Jacques) LE TRESOR DE RACKAM LE ROUGE OU L’OSEILLE CACHEE Le Royaume des cieux est comparable à un trésor qui était caché dans un champ et qu’un homme a découvert ; il le cache à nouveau et, dans sa joie, il s’en va, met en vente tout ce qu’il a, et il achète ce champ. Le Royaume des cieux est encore comparable à un marchand qui cherche des perles fines. Ayant trouvé une perle de grand prix, il s’en est allé vendre tout ce qu’il avait, et il l’a achetée. (Mt 13, 44-46) Peut-être vous souvenez-vous lorsque vous êtes, un jour, « tombé » amoureux : vous étiez prêt à tout pour séduire l’élu(e) de votre cœur. Prêt à tout abandonner pour elle (lui). C’est ainsi, peut-être, qu’il faut lire cette injonction de Jésus (Luc 14,26) : Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Lorsque nous sommes passionnément amoureux, nous sommes prêts à tout abandonner, nous sommes prêts à donner notre vie, pour l’objet de notre amour. C’est de cela qu’il s’agit ici. Le Royaume 1 est une question de passion. Le Royaume décrit dans la première parabole est comme une surprise, un émerveillement, un éblouissement : un trésor. Question : dans le ronronnement de notre foi bien rodée, embourgeoisée, serions-nous prêts à nous laisser emporter par cet enthousiasme, à y laisser jusqu’à notre chemise (comme François d’Assise) pour qu’advienne le Royaume ? Je sais : c’est radical ! Mais jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour qu’il advienne ? Par ailleurs, je m’interroge. Une chose ne semble pas avoir effleuré Jésus lorsqu’il a raconté cette parabole. Un trésor, avec ce que cela sous-entend de richesse, de luxe, de possibilité de pouvoir, était-ce bien un bon exemple pour parler du Royaume ? Comme François d’Assise l’a découvert, une « certaine » pauvreté n’est-elle pas indissociable de la recherche du Royaume ? A contrario, le luxe, les ors et décors qui entourent les rites dans les Aujourd’hui, deux siècles et demi (environ) après la Révolution française et l’abolition de l’ancien régime, le mot « Royaume » à comme un goût de réchauffé, de moisi. Il est devenu ambigu (même si la Belgique reste – provisoirement – un royaume, mais un royaume ou le Roi n’est plus qu’une sorte de notaire). Ce mot fait référence à un mode obsolète de gouvernance. À lire les Écritures, nous comprenons que le Royaume dont nous parle Jésus n’a rien à voir avec les autocrates des siècles révolus, ni même avec le « pouvoir sur les âmes » que s’arrogent certains prélats. Parfois me vient l’envie d’imaginer un autre mot le remplaçant. République ? Territoire ? Domaine ? Héritage ? N’est-ce pas tout aussi ambigu ? Puisque le mot « Royaume » est consacré par les évangélistes et par l’usage, gardons-le à défaut de mieux. Mais en y mettant les réserves intellectuelles nécessaires. 1 grandes cérémonies, qui symbolisent le pouvoir de l’Église, ne sont-elles pas un contre-témoignage ? Mais il y a plus. Enfin, autre chose. Dans la seconde partie de cette double parabole, le Royaume n’est pas le trésor, c’est l’homme. L’homme qui cherche. « Le Royaume des cieux est encore comparable à un marchand 2 ». Lorsque nous nous mettons à la recherche de Dieu, donc de l’amour, donc de la justice, le Royaume c’est nous. De même que le Fils est appelé icône (image) du Père, nous sommes, pour le monde, icônes du Royaume. Dans l’évangile de Jean, Jésus dit : « Comme je vous ai aimé, aimez-vous les uns les autres. À ceci tous vous reconnaîtront pour mes disciples : à l’amour que vous avez les uns pour les autres (Jn 13, 34b-35). » Avoir la foi, c’est pas un cadeau ! C’est un mode de vie. Avoir la foi (c’est-à-dire, avoir confiance dans le Christ qui nous envoie), c’est vouloir – avec les autres, chrétiens et nonchrétiens, croyants et incroyants – bâtir un monde de justice et de paix, d’amour et de partage. Ici, maintenant. Avec nos proches, nos voisins, comme dans nos relations avec le reste du monde. Participer à un monde équitable. Un monde ou la faim, la violence ne seraient plus que mauvais souvenirs. Utopie ? Mais qui a dit que Jésus était un homme raisonnable ? Pensée du jour : On critique les papes et évêques pour leurs positions intransigeantes face au préservatif. Je pense que c’est une question d’ignorance : ils ont mis le préservatif à l’index. À mon avis, ce n’est pas là que cela se porte. 2 Je ne résiste pas au jeu de mot facile : un marchand = un homme qui marche ! 5 Vous serez toutes et tous bienvenus à la fête de Noël du Pain Partagé le samedi 21 décembre 2013 à 17 h 30 : Eucharistie à l’église Notre-Dame à 18 h 40 : apéritif à 19 h 15 : souper au Cercle paroissial (porte en face de l’allée carrossable) Autant que possible, chacun apporte un plat. Pour que tout le monde n’arrive pas avec la même salade, il est important de prendre contact avant le 15 décembre avec Catherine Cornil Après le souper, temps de rencontre convivial : musique, chants, jeux, récits… Bref, tout ce que chacune et chacun aura apporté La soirée se terminera par le dessert et le café Nous viendrons volontiers chercher et reconduire chez elles les personnes qui le souhaitent Talon à renvoyer pour le 15 déc. à Catherine Cornil, av. Huart Hamoir 143, 1030 Bxl (tél. 0495 67 77 16) ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------Nom : ............................................... Adresse : .................................................................................................. Téléphone : ... ..... ..... ..... nombre d’adultes : ....... nombre d’enfants : ....... participera/participeront à la veillée de Noël du Pain Partagé, le 21 décembre 2013 Je souhaite qu’on vienne me chercher et reconduire en voiture à domicile Je participerai à la préparation de la fête, à partir de 15h30 oui oui non non