### Psychopathologie developpementale ### Trois grandes approches *Approche developpemental - Orthogénique : un developpement par lequel les enfants passent => universel S’il y a un retard il sera comparé a l’orthogenie (ex : retard mental) *Approche differencielle - Epigénique : chaque individu ont une stratégie qui lui est propre, contraitrement au developement universelle *Approche du deficite spécifique - Causes particulières lié a n déficite spécifique (ex : differents deficites dans l’autisme) ##Glossaire## Nosographie / Nosologie : Classification des troubles mentaux , ensemble du corpus qui classe Etiologie Etiopathologie : Etude de la causalité des processus morbides Epidemiologie : science des épidemies, combien de personnes dans une population qui sont concernés par un trouble morbide Prevalance : pourcentage de la population qui est concernée par le trouble Incidence : nombre de cas nouveaux en X temps ##Demarche Diagnostic## Trait : conception selon laquelle les états psychiques se differencient sur un continium Donnes des outils internationnaux pour que partout on puisse se reperer (ex : depression, petite faible grosse) Type : Conception selon laquelle ces memes etats peuvent se classer dans des catégories (ex : on est dépressif ou pas) L’autisme est un type mais dans l’autisme il y a des traits. ##Du Symptome à la maladie ## *Symptôme (anxieté) phénomène qui renvoi a un trouble foncionnel, phénomène subjectif renvoi a un conflit inconscient, phénomène => disfonctionnement il traduit dans tous les cas de figure une souffrance. *Syndrome : (autisme) Certains nombre de symptomes, qui arrivent en meme temps l’idée selon laquelle certains symptomes sont present en meme temps et que c’est pas du au hazard *Trouble : (panique) On va pouvoir donner un certain nombre de critères *Affection médicale générale ##DSM-IV-TR## 1- Multiaxialité Axe 1 : Troubles : 16 grandes classes (...) qui décrivent les phénomènes morbides. Transitoires et reversibles Axe 2 : Personnalité et retard mental : on a longtemps pensé que la personnalité peut etre lié a la personnalité ( ??) (troubles stables) Axe 3 : Facteurs de Stress : l’idée qu’il peut il y avoir des facteurs (événements) déclanchants Axe 4 : Affection Somatique : Facteur de risque ou agravant ex : Depression lié aux cancers ? Axe 5 : Niveau d’adaptation : Quel été le niveau d’adaptation avant l’apparition de la maladie ? 2- Critères Diagnostic L’idée de trouver des critères que tout le monde peut trouver ex : autisme c’est avant 36mois point barre Puis que les critères (age , sexe etc) 3- Athérorisme Je ne connais pas les causes et je ne me prononce pas dessus Consesquence : tous les critères (théoriques) ont été supprimés ##Classification en psychiatrie de l’enfant et de l’adolecent## ##CFTMEA R (classification franco française)& CIM (classification internationale des maladies) 10## #De la structure aux symptomes# - Evolution des classification psychiatriques americaines et internationalles (DSM & CIM) - Priorité à l’approche descriptive d’ensemble cliniquement significatif reperés par des critères, validés par consensus et supression de notions théoriques - Clarification des tableaux cliniques élaboration d’outils complèmentaires pour le diagnostic et la mesure de l’intensité du trouble - Notion de comorbidité énvite la recherche de l’unité d’ensemble composite #Opposition à cette évolution# - Refusée par la majorité des psychiatres d’enfants en France pour trois raisons Raison 1 : Relativité important du normal et du patho chez l’enfant ne permet pas de se limiter a une liste de symptomes , leurs valeurs pathologique dépends d’un ensemble : évolution anterieure , signification donnée, ralentissement sur le fonctionnement psychique global. Raison 2 : Refus théorique ethiologique dirigé contre la psychodynamique pour l’organisme Raison 3 : insuffisance de la differenciation des pathos adulte & enfant #Classification Internationale des troubles mentaux & des troubles du comportement CIM 10# (94) Dans le Chapitre 5 : « Troubles mentaux et du comportement (F00-F99) Comprend : troubles du développement psychologique A l'exclusion de : symptômes, signes et résultats anormaux d'examens cliniques et de laboratoire, non classés ailleurs (R00-R99) Ce chapitre comprend les groupes suivants : F00-F09 Troubles mentaux organiques, y compris les troubles symptomatiques F10-F19 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de substances psycho-actives F20-F29 Schizophrénie, trouble schizotypique et troubles délirants F30-F39 Troubles de l'humeur [affectifs] F40-F48 Troubles névrotiques, troubles liés à des facteurs de stress et troubles somatoformes F50-F59 Syndromes comportementaux associés à des perturbations physiologiques et à des facteurs physiques F60-F69 Troubles de la personnalité et du comportement chez l'adulte F70-F79 Retard mental F80-F89 Troubles du développement psychologique F90-F98 Troubles du comportement et troubles émotionnels apparaissant habituellement durant l'enfance et l'adolescence F99 Trouble mental, sans précision Les catégories de ce chapitre comprenant des astérisques sont les suivantes : F00* Démence de la maladie d'Alzheimer F02* Démence au cours d'autres maladies classées ailleurs » ( http://www.med.univ-rennes1.fr/noment/cim10/ ) #Classification Française des Troubles Mentaux de l’enfant et de l’ado# # CFTMEA revision 2000# Objectifs : - Dépasser le receuil des symptomes superficielles comportementaux de façon a ressaisir les aspecs spécifiques de l’organisation spécifique du sujet - Ne pas relier une forme déterminée de la patho, facteurs étiologique, spécifiques , organique ou psycho sociaux - Situer le sujet a une phase de son histoire il parle de catégories diagnostic ou sortir de la patho #Du symptome a la structur# Démarche de l’évolution diagnostic bimodale 1 – Repérage du symptome intensité et frequence, âge de l’enfant, associé avec d’autres symptômes, contexte actuel de survenue. 2 – Situer le symptome dans l’histoire de l’enfant qui peux contribuer à sa signification dans le developpement global de ses capacités et de sa personnalité, dans les interactions avec l’enfants. #CFTMEA Organisation# - Classification française des troubles mentaux de l’enfant et de l’adolecent - Deux axes : Catégorie clinique facteurs associés ou anterieures éventuellement etiologiques (axes sur : http://psydoc-fr.broca.inserm.fr/biblo_bd/cftmea/default.html ) Neuf catégories : 5 Catégories principales mutuellement exclusives 1 – autisme et trouble psychotiques => On classera ici des troubles autistiques et psychotiques avérés chez l'enfant et l'adolescent. Bien que n'appartenant pas strictement au registre psychotique, on y fera figurer également des troubles thymiques de l'adolescent, dont la sévérité et la massivité obèrent temporairement le rapport au réél. 2 - troubles nevrotiques Classer ici des troubles variables dans leur expression et leur intensité, mais qui ont en commun les éléments suivants, observables à partir de 3 ans, quelles que soient les hypothèses étiopathogéniques : (SIGMA) il s'agit de perturbations durables sans tendance spontanée à la guérison, non explicables par les événements récents mis souvent en avant par l'entourage de l'enfant et qui constituent surtout des facteurs déclenchants. (SIGMA) les relations avec l'environnement s'établissent sous le double signe de la contrainte et de la dépendance mais sans aboutir à un dessaisissement complet des capacités d'individuation et d'autonomie (se discutent ici les limites vis-à-vis des pathologies de la personnalité non psychotiques, catégorie 3). (SIGMA) l'enfant tend à répéter, dans un environnement nouveau, les conduites et les conflits développés initialement dans le milieu familial. (SIGMA) la souffrance psychique - particulièrement l'angoisse sous la forme pure ou sous d'autres aspects - occupe une place centrale, y compris pour les cas où certains mécanismes limitent les expressions directes du malaise affectif de fond. (SIGMA) quelles que soient les variations symptomatiques, fréquentes, l'évolution inclut une restriction des capacités et potentialités des sujets, mais sur un mode limité à certains secteurs. (SIGMA) les distorsions apportées à la mise à l'épreuve de la réalité restent limitées à certains domaines : il n'y a pas menace de rupture ni véritable perte de contact avec le réel (on discutera ici les frontières vis-àvis de la psychose et des pathologies de la personnalités) 3 – pathologies limitées Les pathologies limites de l'enfant s'expriment à travers des manifestations très diversifiées, variables d'un cas à l'autre et qui peuvent se modifier dans le cours de l'évolution. Au point de vue clinique et psychopathologique, on relève les éléments suivants : - des défauts précoces d'étayage doù résultent des failles et des distorsions dans l'organisation de la vie mentale ; cependant l'enfant met en oeuvre des capacités adaptatives notables, en s'appuyant sur des fonctionnements en faux-self. - des défaillances portant sur l'abord du champ transitionnel et sur les supports de la pensée : en découle une dominance des expressions par le corps et par les agirs. - des atteintes portées au travail de séparation et à l'élaboration de la position dépressive : elles ne permettent pas l'intégration des angoisses dépressives ; elles entraînent une extrême vulnérabilité à la perte d'objet ; néanmoins l'enfant accède à une différenciation soi - non soi où se marque l'écart vis-à-vis des psychoses. - des failles narcissiques constantes : elles peuvent inclure une représentation de soi inacceptable, au point de porter atteinte au sentiment d'identité ; à titre défensif, l'enfant est souvent conduit à développer des réactions de prestance qui mènent à des affrontements répétitifs avec le milieu. En dépit de ces composantes péjoratives, des ouvertures de type névrotique se dessinent, mais sans permettre un véritable affrontement aux conflits de désir et d'identification. En résulte une hétérogénéité structurelle, soutenue par des clivages, de sorte que, d'un côté, se développent des capacités d'adaptation, tandis que, sur un autre versant, persistent des modalités archaïques de symbolisation et de fonctionnement mental. 4 – troubles réacionnelles Classer ici les troubles définis par l'apparition récente, le lien avec une cause précise, l'intégrité de la personnalité. 5 – Deficience mentale Ne classer ici comme catégorie principale, que les formes où la déficience mentale constitue l'élément central. Les autres formes sont à classer par priorité en 1, 2 ou 3 d'après la nature de la pathologie dominante, la déficience mentale n'apparaissant que comme catégorie complémentaire. 4 grandes categories (associés aux catégories principales isolées ou associés entre elles) 6 – Troubles du développement et des fonctions instrumentales Ces troubles sont envisagés dans une perspective descriptive, sans référence étio-pathogénique. Certains d'entre eux, en l'absence d'une cause précise, sont définis par l'expression troubles spécifiques du développement . Ne classer ici comme catégorie principale que les troubles du développement et des fonctions instrumentales ne s'inscrivant pas dans une pathologie qui doit être classée par priorité dans les rubriques 1 à 5. Dans les autres cas, ne faire apparaître les troubles instrumentaux et des apprentissages que comme catégorie complémentaire. 7 – troubles des conduites et des comportements Ce chapitre regroupe des troubles à dominante comportementale dont certains constituent des syndromes suffisamment individualisés en tant que tels. Néanmoins, il reste essentiel de rechercher dans quels cas cette symptomatologie peut s'intégrer dans l'une des quatre premières catégories. 8- Affection psychosomatiques Classer ici les cas où le tableau clinique est constitué par une maladie somatique à déterminisme psychique, quel que puisse être l'appareil ou l'organe touché. Parmi les affections les plus fréquentes figurent : l'eczéma, la pelade, le psoriasis, l'asthme, les colites et recto-colites. Exclure : - les troubles somatiques faisant partie du tableau clinique d'une pathologie psychotique, telle la catatonie (à classer en 1.1), névrotique hystérique (2.1) ; - les troubles des fonctions instrumentales (catégorie 6); - les troubles psychofonctionnels (8.1); - les troubles hypochondriaques (8.2); - les simulations. 9 – Variation de la normale Cette catégorie ne peut être utilisée qu'isolément, à l'exclusion de toute autre catégorie Classer ici des symptômes ou des conduites qui ne peuvent être inclus dans l'un des cadres précédents. Certains se retrouvent souvent dans l'évolution normale de l'enfant ou de l'adolescent (phobies précoces, rituels du jeune âge, moments dépressifs, décalages et régression transitoires dans l'émergence et l'organisation des grandes fonctions). Ils sont transitoires et peuvent correspondre à des moments féconds du développement, sans que leur intensité ou la gêne qu'ils apportent éventuellement à la vie relationnelle leur donnent pour autant une valeur pathologique. On classera également dans cette rubrique des manifestations plus durables, mais dont le caractère pathologique ne peut être affirmé, par exemple certaines difficultés scolaires qui semblent en relation avec des facteurs antérieurs (orientation, encadrement, pédagogie) ou certains aspects originaux de la personnalité de l'enfant ou de l'adolescent 9.0 Angoisses, rituels, peurs 9.1 Moments dépressifs 9.2 Conduites d'opposition 9.3 Conduites d'isolement 9.4 Difficultés scolaires non classables dans les catégories précédentes 9.5 Retards ou régressions transitoires 9.6 Aspects originaux de la personnalité 9.8 Autres 9.9 Non spécifiées ####LA DEFICIENCE INTELECTUELLE#### Bibilio : Tassier & Maunin Le retard mental est le seul trouble nessesitant la prescence du psychologue D’un point de vue historique : on deviens de plus en plus leger, enfin vers la détéction des déficiences lègeres. On est tous déficient par rapport à quelqu’un d’autre, mais l’idiotie est connue depuis longtemps, et les sujets n’ont pas toujours été bien traités. L’idée de folie date du XVIIIéme siecle. Folie extensive a l’origine du début de l’espece ? => quelques traces dans la préhistoire sur un squelette préhisorique, traces de trépanations (ouvert, fermé et ciactrisé) toute une problèmatique des folies mentales dans certains contextes (nabuchodonozor) Mais ce n’était que des observations => pas de forme de médicalisations Cf. 1632 : l’incident au couvent des Ursulines (Un des cas les plus vieux de l’hysérie décrite) Cf . 1656 : Le grand enfermement, avec à cette année , l’édit royal institutionalise l’Hopital, et on y mets tout ce qui traine (ce qui n’as pas d’emploi, les cinglés et tout ce qui dérange) Aucne aide médicale, déshumanisation complète, l’Hopital deviens un zoo que les gens visitent C’est en 1793 que Pinel va mettre fin a tout ça et a dresser les 1eres typologies des maladies mentales, un des 1ers psychiatres. ##Definition## Americaine Association on Mental Retardement (AAMR 2003) *Le retard mental est une incapacité caracterisée par les limitation significatives du fonctionnement intelectuel et du comportement adaptatif qui se manifeste dans des habilités conceptuelles, sociales et pratiques. Cette incapacité survient avant l’age de 18ans (Luckarson & all 2003) Normallement on devrais compter que les bonnes réponses, Les Questions et les Réponses, dépendent de l’état d’esprit général de la personne. Aujourd’hui on a des échelles qui permettent de mesurer le comportement adaptatif. - Abandon de la classification par l’intensité, pour éviter les stigmatisations sociales de l’enfant - Si la personne reçoit un soutien adéquate son fonctionnement devrais s’ameliorer (quand meme a mettre en évidence) - Modification théorique multidimensionel en 5 dimension : Fonctionnement intelectuel (test QI) Habilité adaptatives (conceptions, social et pratique) Participation interaction et roles sociaux Santé (physique, mental et consideration éthiologiques) Contexte (environnement et culture) #Dans le DSM# Classification sur l’axe II (celui des troubles de la personnalité et du retard mental) Traits critères : QI < 70 Déficits combinant du fonctionnement adaptatif dans deux secteurs sur 10 : début avant l’age de 18 ans Classification par intensité #Dans l’american Psychological Association~ Meme critères que dans le DSM IV mais début avant l’age de 22ans #Classification européenne# Arret du developpement mental ou developpement mental incomplet, caracteriser essenciellement par une insufficance des facultés qui déterminent le niveau global de l’intelligence.(Fonctions cognifives, langage, motricité et performance sociales), Classification multiaxiale , 5 axes #Definition Franco-Française# Les déficiences intelecutelles comprennent celle de l’intelligence, mémoire et pensée. Ces déficiences et les differences de comportement qui l’accompagnent le plus souvent entrainnent une alteration de l’autonomie. Les actes de la vie quotidienne auquels ils font référence appreciés en fonction de l’aide et/ou de l’incitation a l’exterieure sont : la tutelle Permier test de QI fait par Binet et Simon (1912, France), l’intelligence évolue selon les générations, leurs test a l’époque avait été conçu pour reperer les enfants en difficulté, et de les aider (a l’époque donc en 1912) Il y a 70% des personnes qui ont un QI moyen c’est a dire entre 85 et 115 Entre 70 et 130 on place 95% de la population Donc a moins de 70 de QI on considère que c’est un retard mental, comment on doit se comporter face aux gens limites ? (69 ou 71 ?). c’est pas imputable au hazar. (courbe de glausse de la population et QI, vu en écarts types etc) Plus le retard mental est grave, plus le diagnostique est facile, néamoins le QI reste un bon marqeur Leger : deux premieres années du developpement on remarque pas grand chose (point de vue de la mère) pour l’anamnèse. Langagier et developpement moteur : presque rien remarqué non plus, mais plus vers les stades prelinguistiques et prénumeriques. Après on remarque qu’ils décrochent assez rapidement, enfants assez imatures (immaturité diverse : vol pour rendre etc …) Apparition de quelques troubles du comportement : fabulation, vol, colère (avec causes en général d’ailleurs que de l’environnement) Pour la réadaptation : boulots simples et répétitifs pour « reguler » le comportement. Moyen : Les parents le reperent vers un an au niveau moteur et prélinguistique, retard posture, marche (20-24 mois) Apprentissage (acquisition) niveau de l’autonomie quotidienne, un peu de socialisation, jugement emotionel très déficient Grave : On voir dés les 1ers jours au fonctionnement éveil/vigileance. Les grandes aquisitions (monteurs langage) fonctions alimentaires, sphincteriennes perturbés. Arrive souvent a ne pas s’habiller seul, prise en charge difficile Profond : Aucune fonction basale, on les attache quoi Prévalence : 1% du monde a un retard mental (déficience cognitive et adaptative). Avec le QI c’est plus élevé Le pourcentage es cas de déficience Intelectuelle selon l’ethilogie : Cause : % Element inconnu : 30% Facteurs prénataux (infection / alcoolisme) et trichromosomiques : 30% Facteurs environnementaux : 20% Troubles perinataux (anoxie traumatique) & prénataux (maladie empoissonnement) : 15% Heredité : 5% Etiologies génétiques : 1 – Transmission - Le syndrome de l’X fragile (1/7000 hommes, 1/4000 femmes) 85% des porteurs de l’x fragile ont un retard moyen, ¼ chez les femmes sachant que la liste est longue de 110. - La phenycetonurie ( hyperactivité/anxieux/mangent main et vetements) 1/15 000 - La sclerose tberculeux e Bourneville 1/12 000 - Le syndrome de Lesh Nyann 1/ 100 000 que les hommes (automutilation, hypertonic, micorcéphalie) 2 – Desordre - Syndrome de Down. 1866 découverte d’un chromosome surnumeraire 92 % toutes les célules concernés 5 % en mozaique : toutes les cellules pas atteintes 3 % translocation Prévalence entre 1/60. Entre 75% et 80% foeutus éliminé, risque de plus en plus élévé par l’age, yeux bridés, hypotonie musculaire, bouche et palais plus petit, cou plus court, petites mains, variabilité très grande dans le retard - Syndrme de Prader Will (SPW) chromosome 15 Problèmes pour manger, hypotomiques Caractéristiques physiques : obèse, petite taille, yeux amandes, tout petits organes génitaux. Cognifitif : déficience mentale légère Trouble du comportement : se grattent beaucoup, irritabilité, colereux, voleurs. Sensibles aux thérapies Cognitivo-Coportementales - Syndrome D’angelman (tete d’ange) Lié au chromosome 15 Prévalence entre 1/ 12 000 et 1 / 25 000 Visage long, machoire prognance, dents espacés, region occipitale plate, yeux tres enfoncés , micro-encéphalie, problème musculaire/ossature Deficience intelectuelle grave pas d’activité linguistique. Syndrome des mains marionnettes. Ils rigolent beaucoup, bavage important. Trouble du sommeil. Causes organiques : Prénatales : in utero : rougole, rubéole, pesticide, mercure Perinatales : cordon autour du cou, herpès Post-natales : encephalopathie, méningite, troma cranien Causes environnementales : Alcool : alcoolisme foetual Absence de soins élémentaires et autres ### Les Autismes ### Phase d’expansion du spectre autistique Diversité du syndrome autistique Variation extreme des évolutions Differences dans la précocité de manifestation de troubles et dans la precocité du diagnostique Diversité des pratiques thérapeutiques Naissance du concept d’autisme Observations médicales dés le 19éme siecle - Amix de Brignoles 1822 note « l’état mental d’un enfant afligé de mutisme » - Itard 1828 mémoire sur « le mutisme produit pas des lesions des fonctions intellectuelles » Heller 1906 : demence infantiles Melanie Klein : 1929 « schizoprhènie chez l’enfant plus frequent qu’on l’admet en général » S’autisme selon Kranner (1943) 11 Enfants agées de 2 à 8 ans avec des troubles « autistiques du trouble affectif » - le trouble fondamental est l’incapacité des enfants à établir des relations et de façon normale avec les personnes et des situations dés le début de leurs vie - il ne s’agit pas comme chez les enfants ou adultes schyzophrènes d’une rupture de relation préalablement établie ? Il existe d’emblée un repli extrème Le langage est particulier - Il ne s’en sert pas pour transmettre des messages - Capacité a répéter es mémoriser, echolalies, retardées - Prédominance du sens litteral - Pronoms Personnesl répétés tels que entendus - Aquisition du langage por 8 enfants sur 11 Existance d’une bonne intelligence : « indubitablement de bonnes potentialités cognitives » (plus trop vrai) En préscence d’autruit très anxieux (plus trop vrai non plus) « Normaux » sur le plan physique (difficultés motrices fines) Particularité du milieu familial : parents intelectuelss, (4 pères sur 11) (<= absolument faux) Histoire et Hypohtèses Kanner (1943) Parents obsessionels rarement charlereux, préocupés par des choses abstraites limité aux interets portés aux personnes (la question se pose si ce fait a contribuer à l’état de l’enfant) (CONNERIES HEIN) Repli extreme dés le début de la vie … nous devons donc supposer que ces enfants sont venu au monde avec une incapacité inée a établir le contact affectif habituel avec les personnes, biologiquement prévu. Histoire des Hypothèses de Bettelheim Dans chaque cas la recontruction de l’anamèse montrait qu’il y avait une privation affective grave et plus important encore, un désir chez les parents que l’enfant ne vecus pas (CONNERIES AUSSI) # Le Bébé a devenir autistique # On peut pas parler d’enfants de moins de trois ans mais de bébé a sensibilité autistiques Dispositif pour le diagnostic : age moyens a la détéction des troubles chez les parents : 17mois A la 1ere consultation psy : 31 mois A la 1ere prise en charge : 36mois Age moyen du Diagnostic 5- 6 ans au Royaume-Uni (Hawlin & Moore 97) 3 – 4 ans aux states (Filiper et all 99) 3 ans en France (Aussiloux & All 2000) Mais dans la majorité des cas les parents ont reperés une anomalie chez leurs enfants avant deux ans ou plus < 1 an 40,40% 12 – 18 mois : 17 % 18 – 24 mois :19% > 2 ans : 22% Facteur de retard du Diagnostic Inquiètude des parents insufisament prise en compte par les proffesionels Critére diagnostic rarement complet avant 2-3 ans Préocupation sur la communication Langage retardé, perte des mots acquis Ne réponds pas a son prénom, ne peut pas dire ce qu’il veux Ne suit pas les ordres, semble sourd par moments Ne pointe pas , ne fait pas au revoir Préocupation sur la socialisation Pas de sourrire social, peu de contact visuel Semble préférer jouer seul, est dans son monde Ignore ces parents, pas d’interet pour les autres enfants Préocupation sur le comportement Colère opposition hyperactivité Ne sait pas utiliser les jouets Reste fixé sur certaines choses de manière répétitives Attachement inhabituel a certains objets Marche sur la pointe des pieds, mouvement bizard. Mais il reste a présciser L’age a partir duquel ces signes sont considèrés comme anormaux (variation du developpement) La spécificité et la valeur prédictive de chaun des signes, possibilité d’autres pathologies (depressions, deprivation affective, troubles sensoriels ou autres atteintes physiques) Recherche sur les filons familiaux Signes discrets reperés seulement par des observateurs entrainés Peu de signes réperés au cours de la 1ere année, d’avantage après un an Plusieurs modalités de début Progressif (dés trois mois, accumulation après 24mois) Regressif (installation d’un retard en quelques mois entre 12 et 24 mois) Fluctuant (des hauts et des bas) #Moments Du Diagnostic# Un trouble du developpement Trouble présent dés la petite enfance Affectent le developement dans presque tous les secteurs du fonctionnement psychique Periste avec des modifications durant la vie entière Trouble Envahisant du developpement En opposition aux troubles spécifique du developpement Tous les domaines fonctionnels sont touchés Trouble developpemental Origine neuro-developpementale (migration neuronale) Forte charge génétique Le Diagnostic - Perturbation qualitative des interations sociales Perturbation du regard Manque de reprocité sociale Abscence ou manque d’attention conjointe Absence ou limitation des relations avec les pairs - Perturbation qualitative de la communication Absence du langage (sans compenser par moyens non verbaux ou langage echolaïque avec troubles pragmatiques) Manque de jeux imaginatif - Restriction des comportements ou interet Préocupations ou activité anormale Difficulté avec le changement Manièrisme, sterotypie - Début avant l’age de 3ans Trépied Syndromatique Interaction sociale, distrortion rareté actes (meme chose qu’au dessus) Difficulté Diagnostique Du faite d’intensité des troubles associés , retard mental, polyhanidcap Dans formes légéres et adaptation sociales relative à differencier autre diagnostic Dans la première année de la vie : selon information parentale avec valeurs des signes si durable Epidémiologie de l’autisme Prévalence médiane (23 études anglaises) 5.2/10 000 taux qui augmente avec les années de publications Après 1989 taux médiants de 7.2 / 10 000 Age scpmaore 30% > Ado < Adultes Sexe ratio : 3.8 avec retard mental : 1.7 retard mental leger ou moyen, 29% severe , profond 41.9%, sans langage 19-59% 7 autistes sur 10 n’ont pas de retard mental Prévalence des troubles envahissants du developpement non autistique pour 2 autistes, 3 nonautistes Syndrome d’asperger pour gillbert (93) 28.5/10 000 Problème d’accroissement de l’incidence des TED Deux facteurs prédictifs consensuelle des tranformations le niveau d’efficience intelectuelle l’age d’apparition du langage Differnts groupes (avec des developpement psychologiques differents) QI > 70 : actifs bizarre QI 60 – 70 : Passif QI 60 – 50 : Passif Retrait QI < 50 : Retrait Marqueurs des transformations Récuperation des signes négatif (ex regard conjoin, syntaxe, inversion pronominale, variété des mimiques faciales) Disposition de signes positifs (ex automulilation, head-banging) Récuperation totale (aspect lexico syntaxique) & partielle (expression emotionelle) L’âge des transformations developementales 5,8ans Le retard de langage : quasi mutisme complet entre 18 et 36 à 48mois Apparition en acceleré du langage dans certains sous groupes Cette amelioration ne concerne pas la fonction pragmatique (est ce que l’on fait par le moyen du langage) Periode de relecture du diagnostic Amerlioration significative dans l’air « communication » & « comportement sociaux » Amelioration moindre pour l’air des interets restreints et des comportement restreints Tentative de relecture diagnotic Certains clinitiens retirent leurs diagnostic initial devant une recuperation massive du langage & la disparition de l’auto multilation et de battement des mains Diacnostic differenciel Transformation developpementale tardives La crise scolaire (crise académique) & les chutes de performance & adaptatives L’entrée en 6éme et 3éme, brusque accroissement de la demande social, abandon des seule capacités mnésiques L’orage prépubère, états agressif, accés a la sexualité, amplification emotionnelle L’enfance – étude générale Diminution de l’isolement – Mantien de l’étrangeté des relations Acquisition (retardée) du langage pour 50%, diminution de lechoïallie Amelioration adaptative quotidienne, meilleure differenciation des émotions, mais difficulté dans la vie sociale Persistance des comportements obsessionels & resistance au changement Difficulté dans le jeu symbolique, attention conjointe. L’adolecence – étude générale Evolution contrastée : progression nette pour certains, regression frequent (symptomes comportementaux fonctionnement social) Maturation physique et seuxelle et traits de l’adolecence En l’absence de retarde mental, scolarité possible mais gène par contraintes cognigtives. L’age adulte Developpement possible des relation a autruit mais relation amicales ou problématiques problèmatiques Autonomie quotidienne moins bonne chez les retardés de meme niveau intelectuel Stabilitastion des comportements verbaux intelectuels et emotionelle Amélioration a la 30aine Acquisition tardives de nouvelles habilités sociales & de stratégies adaptatives Amenuisement de la symptomatologie bryante Presence d’un sous groupe et comportement anxeux et parfois violence et niveau adaptatif bas. Facteurs Indivuels impliqués dans le pronostiv évolutif Facteurs individuels -> Developpement précoce Efficience intelectuelle dans l’enfance Niveau de langage dans l’enfance =>Attention conjointe Intensité initiale des symptomes Précocité d’apparition du syndrome Facteurs environnementaux impliquées dans le pronostic évolutif Facteus environnementaux Caractere socio familial Status socio-proffesionel Qualité de la vie familiale Evenement de vie Théraptique et methode d’éducation Methode Précocité Durée Caracteristique de la population Taille de la population : 263 Reslutat pour 135 enfants Age médian 5ans (21 mois 7ans) Sexe ratio : 4garçons pour une fille Age médian « au debut des troubles » 16 mois Maladies organiques associés Un des objectifs : Mettre en évidence des groupes d’enfants ayant des évolution developpementales differentes a partir de variations appréciant le developpement psychologique Démarche Traveiller sur l’évolution psychologique de ces variables, c’est a dire sur l’appreciation de leurs differences entre les ages 5 & 8 ans Analyse en cluster sur ces differences, permettent de regrouper les enfants en fonction de leurs evolution psychologique Caractère environnemental sur l’ensemble des la population CSP Distribution identique à celle du langedoc rousillion Interpuption de l’activité professionnelle qu’un quart es mères, en raison des problèmes de santé de leurs enfants Indice de resource Inégale mais qualité du potentiel familial dans ¾ des cas Résultats : Mis en évidence de quatre groupes : 2 groupes en progression (groupes 1 et 2) 2 groupes d’enfants stables ou en faible progression, voir regression (groupes 3 et 4) Effectifs : (allant de ceux qui évoluent le plus a ceux qui évoluent le moins) Groupe 1 : 25% Groupe 2 : 30% Groupe 3 : 31% Groupe 4 : 49 % Comment les enfants utilisent-ils leurs experience de vie ? A 5 ans ils ont un developpement Les groupes après 3ans : groupe 1 évolue et ça dégringole après selon les groupes A 8 ans donc groupe 1 > groupe 2 > groupe 3 > groupe 4 Groupe 1 : Groupe 2 : Groupe 3 : Groupe 4 : « récuperation » du retard Changement de pente developpementale Homogénisation du fonctionnement psychologique Amelioration Clinique Amelioration linguistique Moindre recuperation du retard Amelioration clinique Amelioration du langage Developpement psychologique hétérogène Meme trajectoire developpementale entre T1 et T2 Stabilité Clinique Developpement psychologique faible Peu de developpement linguistique Pente developpementale en regression Agravation Clinique Developpement hétérogène Perte d’acquistion pour certains enfants (langage social) Age d’acquisition de la position assise : 1,2,3 pas trop de problèmes, retard pour le 4 Age d’acquisition de la marche 1 environ égal a 2 > 3 >4 Premier mot : groupe 1 : 30 mois, groupe 4 : 5ans Première phrase : groupe 1 2 3 50 mois, groupe 4 : 60mois Age de détéction par les parents : groupe 1 tardif, puis de moins en moins en fonction des groupes. Conclusion de l’étude Sous estimation des tranformation developpementales dans l’autisme, Nessecité de leurs intégration dans les echelles diagnostiques et dans l’évolution des prises en charge L’ajout de la dimension developpementale et intellectuelle coutause mais probablement la plus acceptable Aspect de la recherche Austimse et attention conjointe : Comprendre cette coordination qui se mets en place très tardivement Capacité a partager avec autruit ) alterner son attention entre un objet et une personne Evolue les compètences à établir une attention partagée sr un meme objet Des fonctions executives( niveau congitif) Neuropsychologie Dysfoncionnement dans le lobe temporal median, dans le cortex préfontal ventro médian et dans l’amygdale Repercussion sur le developpement des lobes frontaux Conclusion : Mystère ### Quel devenir pour les enfants déprimés ? ### Echelle de 0 à 15 points (test) + ou – sensible Prévalence : Elle affecte trois enfants sur 100 (alors que sur tout la vie ça fait 20%) Variation selon l’informateur, parents mal informés sur la dépression Plus important chez les garçon quand on est petit (après c’est l’inverse) Recidive à 4ans dans 1/3 à ½ des cas Formes typiques : Epizodes Dépressif Majeurs Frequence des formes atypiques ou masquées : Difficulté scolaire Plaintes somatiques Troubles anxieux et du comportement Dépression Durée environ 2semaines Symptomes Persistants quotidiennement a l’origine d’une alteration du fonctionnement habituel Au moins 5 Symptomes sur 9 dont les deux 1ers Humeur dépressive, irritabilité Reduction marquée de l’interet dans toutes les activités Fatigque ou manque d’énergie Sentiment d’indiginté ou culpabilité exessive Pensée récurente de mort ou de suicide Ralentissement psychomoteur ou agitation Insomnie ou hypersomnie Gain ou perte de poid Facteurs Psychomoteurs Stresse Socio-économique Perturbation familliales Pervalence d’un trouble chez les parents Facteurs environnemententaux (édutacion sévére, difficulté scolaire & avec ces pairs) Facteurs de dépréssions selon une étude de Brown&All (1978) Stresse de la vie Nombre d’enfant > 3 de – de 14ans Chomage Absence de relation de mari Perte de la mère avant 11 ans La dépression chez les enfants Def du DSM a developpementale : le meme pour tous les ages de la vie Polymorphysme des symptomes et expressions symptomatiques liés au developpement chez l’enfant plus « cognitif » chez l’ado. Prévalence élévée des troubles mentaux comorbidité, trouble anxiex 31.4%, trouble du comportement 16.1% Risque a court terme : peu de travaux recencés Risques associés : chute des resultats scolaires, manifestation d’angoisse Stabilité des signes a court terme : correlation de .66 a la Beck sur des periodes d’une a six semaines (Lorson 1991) Rechute et TS Etude ouverte : 5/10 enfants déprimés le sont encore 10 ans après (76) Etude controlée 26% des enfants guerissent de rechute la 1er année, 72% rechutent 5ans après Idées suicidaires chez 60% des enfants déprimés, pris en soin externe 37% on fait une TS. Probabilité de TS, 11 fois superieure lors d’autres troubles mentaux 4.4% des ados déprimés réussisent leurs TS a l’age adulte. Le Handicap Social Risque majoré de troubles du comportement ou des conduites Alteration des relations sociales, plusieurs années après la dépression Fort tabagisme marqué aussi par des troubles delinquants ou trouble des relations sexuelles Plus de problèmes conjugaux & de difficulté relationelles globales a l’age adulte en comparaison à contrôle psychiatriques. Troubles Bipolaires. Pathologie mentale la plus dramatique chez l’humain - Trouble chronique de l’humeur caracteriser par la succession d’états maniaques et ou depressifs - Intensité de formes variés Epizode Maniaque ou Hypomaniaque Dépression unipolaire, bipolaire franche, bipolaire II (+depressif)ou I (+maniac) Prévalence : 20% des ados dépressif (déprimés) sont des troubles bipolaires Epizodes maniaques : 7 Symptomes , il faut en avoir trois pour etre considéré comme maniaque : Inflation de l’idée du moi Reduction du temps de sommeil Loghorée Fuite des idées Distracibilité Agitation motrice Beaucoup d’achats, s’en fous du sexe Comorbidité et TDM pas d’impact cliniquement significatif des autres troubles psychiatriques sur l’évolution de la dépression (durée guerison rechute) Néamoins certains troubles pourraient augmenter la severité. La présence de troubles anxieux ou du comportement augmente le taux de consultation en psy. Préscence de troubles des conduites augmente la préscence de troubles du comportement. A 15 ans ces enfants ont de moins bonnes compètences que ceux du groupe contrôle. A l’age adulte Continuité, surtout lorsque la depression est apparue chez les grand enfants et adolecents, 63 enfants et ados déprimés, revus 18ans plus tard on eu 4 fois plus de risque que le groupe temoin. Cependant les gros problèmes de methodo fondées/ nuancée ces résultats Certaines études montrent meme que certains enfants a risque ont de meilleures compètences sociales à l’age adulute que des des témoins déprimés. Facteux prédictifs des TDM chez l’enfants Présentation dépressive adultemorphe sévere Abscence de trouble du comportement et des conduites alimentaires Enfants les plus agées Préscence de stress infrafamiliaux (dépression parents etc) Stress extra familial (pairs) Dépréssion : Traitement : Consultation , presciser diagnostic et risque, ouvrir espace relationel Psychothèrapie Prise en compte de facteurs sociaux familiaux et éducatif Traitement médicinal et dépression severe et durable Hospitalisation si : Risque Suicidaire, EDM, délire associé, Contexte défavorable. Impacte des traitements Psychothérapie analytique, monographie clinique Traitement cognitivo comportementaux, efficaces sur les dépressions moyennes Psychothérapis individuelles plus prometeuses qu’en groupe ou familial (chez les enfants !) Essai thérapeutique : pas mieux avec les vrais medocs que les placébos (pmd)