o la multiplicité des prescriptions, avec des niveaux de connaissance
pharmacologique inégaux, selon les spécialités médicales et chirurgicales
associée à la dispersion des malades, selon les places disponibles, dans
des services non spécialisés ;
o laes difficultés d’accès, en pratique quotidienne, aux données
microbiologiques liéeà cause du au nombre insuffisant de laboratoires de
microbiogied’analyses médicales sur le territoire national ; et du coût élevé
des examens ;
o la banalisation des prescriptions et une démarche diagnostique non
systématique qui devrait se fonder successivement sur des arguments
épidémiologique, cliniques et para cliniques malgré leur complexité
(démarche diagnostique souvent difficile, diversité des situations cliniques,
importance des (données pharmacologiques et microbiologiques), ; le
praticien passant souvent du symptôme à l’ordonnance.
o Laes sources douteuses multiples et multiple d’approvisionnement en
antibiotiques : marchés informels (Pharmacies par-terre parallèles, dons….
C’est pourquoiAinsi, une organisation rationnelle pour un bon usage des antibiotiques doit
être instituée dans le but de préserver leur efficacité. Il s’agit d’élaborer des règles
rigoureuses de prescription des antibiotiques destinées auxdevant être utilisées au quotidien
par chacun des prescripteursions (médecins spécialistes ou non, sages-femmes,
infirmiers/infirmières).
L’élaboration, la mise à disposition et l’utilisation de référentiels, de recommandations,
l’organisation d’actions de formation et d’évaluation doivent contribuer à l’amélioration de la
qualité de l’antibiothérapie dans les établissements de soins quelque soit le niveau
opérationnel.
Ces nombreux prestatairesLes partenaires sont multiples : ils doivent travailler avecêtre
intégrés dans une démarche multidisciplinaire coordonnée par une structure spécifique, la
commission des antibiotiques ou dans un sens plus large leun groupe de travail sur les
antibiotiques de chaque établissement de Santé (Hôpital, centre de santé)