1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT Bicalutamide Sandoz 150 mg comprimés pelliculés 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprimé pelliculé contient 150 mg de bicalutamide. Excipient à effet connu : Chaque comprimé pelliculé à 150 mg contient 200,66 mg de lactose monohydraté. Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1. 3. FORME PHARMACEUTIQUE Comprimé pelliculé Comprimé pelliculé rond et blanc. 4. DONNÉES CLINIQUES 4.1 Indications thérapeutiques Bicalutamide Sandoz 150 mg comprimés est indiqué en monothérapie ou en traitement adjuvant dans le cas d'une prostatectomie radicale ou d'une radiothérapie chez les patients souffrant d'un cancer avancé de la prostate et présentant un risque élevé de progression de la maladie (voir rubrique 5.1). 4.2 Posologie et mode d’administration Hommes adultes, y compris patients âgés : un comprimé (150 mg) une fois par jour avec ou sans aliments. Les comprimés de bicalutamide à 150 mg doivent être pris de manière continue pendant au moins 2 ans ou jusqu'à la progression de la maladie. Patients souffrant d’insuffisance rénale : aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients avec une insuffisance rénale. Patients souffrant d’insuffisance hépatique : chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère, il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie. Une accumulation accrue peut survenir chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (voir rubrique 4.4). 4.3 Contre-indications Hypersensibilité au bicalutamide ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1. Administration concomitante de terfénadine, d'astémizole ou de cisapride (voir rubrique 4.5). Femmes, enfants et adolescents (voir rubrique 4.6). 4.4. Mises en garde spéciales et précautions d’emploi Le traitement doit être instauré sous la supervision directe d'un spécialiste. [il se peut que ceci ne s'applique pas à tous les états membres de l'UE] Le bicalutamide est fortement métabolisé au niveau du foie. Les données suggèrent que son élimination peut être plus lente chez les sujets ayant une insuffisance hépatique sévère et que cela pourrait donner lieu à une accumulation accrue de bicalutamide. Il convient donc d’utiliser le bicalutamide avec prudence chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère. Il faut envisager une surveillance périodique de la fonction hépatique étant donné la possibilité d’anomalies hépatiques. On prévoit que la majorité de ces anomalies surviennent au cours des 6 premiers mois du traitement par bicalutamide. Des modifications hépatiques sévères et une insuffisance hépatique ont été observées dans de rares cas avec le bicalutamide, et des issues fatales ont été rapportées (voir rubrique 4.8). Le traitement par bicalutamide doit être interrompu en présence de changements sévères. Chez les patients présentant une progression objective de la maladie ainsi que des taux élevés de PSA, un arrêt du traitement par bicalutamide doit être envisagé. Pour les patients qui ont une maladie cardiaque, une surveillance régulière des fonctions cardiaques est recommandée. Un traitement par déprivation androgénique peut allonger l’intervalle QT. Chez les patients ayant des antécédents ou présentant des facteurs de risque d’allongement de l’intervalle QT, ainsi que chez les patients recevant en concomitance des médicaments susceptibles d’allonger l’intervalle QT (voir rubrique 4.5), les médecins devront évaluer le rapport bénéfice-risque – y compris le risque éventuel de développer des torsades de pointes – avant d’instaurer le traitement par bicalutamide. Il a été démontré que le bicalutamide inhibe le cytochrome P450 (CYP 3A4), il convient donc d'être prudent lorsque ce médicament est administré conjointement à des médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP 3A4 (voir rubriques 4.3 et 4.5). Ce médicament contient 200,66 mg de lactose monohydraté. Les patients présentant des problèmes héréditaires rares tels que l’intolérance au galactose, un déficit en Lapp lactase ou une malabsorption glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament. 4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions Des études in vitro ont révélé que l’énantiomère R du bicalutamide est un inhibiteur du CYP 3A4, et qu’il exerce des effets inhibiteurs plus faibles sur l’activité des CYP 2C9, 2C19 et 2D6. Bien que les études cliniques réalisées avec l’antipyrine comme marqueur de l’activité du cytochrome P450 (CYP) n’aient révélé aucune preuve d’interaction médicamenteuse potentielle avec le bicalutamide, l’exposition moyenne au midazolam (ASC) connaissait une hausse pouvant atteindre les 80 % à la suite de l’administration concomitante de bicalutamide pendant 28 jours. Pour les médicaments ayant un index thérapeutique étroit, cette augmentation peut s’avérer significative. De ce fait, l'utilisation concomitante de terfénadine, d'astémizole et de cisapride est contre-indiquée (voir rubrique 4.3) et la prudence s'impose lors d'administration concomitante de bicalutamide et de substances telles que la ciclosporine et les inhibiteurs calciques. Il se peut qu'une réduction de la dose soit nécessaire pour ces médicaments si des signes indiquent un effet accru ou néfaste du médicament. En cas d'administration conjointe de cyclosporine, il est recommandé de surveiller étroitement les concentrations plasmatiques et l'état clinique du patient après l'instauration et l'arrêt d'un traitement par bicalutamide. La prudence est de rigueur lorsqu’on prescrit le bicalutamide avec d’autres substances susceptibles d’inhiber l’oxydation des médicaments (par ex. cimétidine et kétoconazole). En théorie, cela pourrait entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de bicalutamide, ce qui peut théoriquement induire un renforcement des effets indésirables. Des études in vitro ont révélé que le bicalutamide peut déplacer la warfarine, un anticoagulant coumarinique, de ses sites de liaison aux protéines. Il est donc conseillé de suivre étroitement le temps de prothrombine lorsqu’on instaure un traitement par bicalutamide chez des patients qui reçoivent déjà des anticoagulants coumariniques. Étant donné que le traitement par déprivation androgénique peut allonger l’intervalle QT, l’utilisation concomitante du bicalutamide avec des médicaments connus pour allonger l’intervalle QT, ou avec des médicaments susceptibles d’entraîner des torsades de pointes – tels que les agents antiarythmiques de classe Ia (par ex. la quinidine et le disopyramide) ou de classe III (par ex. l’amiodarone, le sotalol, le dofétilide et l’ibutilide), la méthadone, la moxifloxacine, les neuroleptiques, etc. – devra être soigneusement évaluée (voir rubrique 4.4). 4.6 Fertilité, grossesse et allaitement Le bicalutamide est contre-indiqué chez les femmes et il ne doit, dès lors, pas être administré aux femmes enceintes ou qui allaitent. Fertilité Une altération réversible de la fertilité masculine a été observée dans les études animales (voir rubrique 5.3). Il faut présumer une période de sous-fertilité ou d'infertilité chez l'homme. 4.7 Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Le bicalutamide n'est pas susceptible d'altérer l'aptitude des patients à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Il faut toutefois noter que ce médicament peut provoquer occasionnellement des vertiges ou de la somnolence. Les patients qui développeraient ces symptômes doivent être prudents. 4.8 Effets indésirables Dans cette rubrique, les effets indésirables sont définis comme suit : Très fréquent (≥1/10) ; fréquent (≥1/100 à <1/10) ; peu fréquent (≥1/1.000 à ≤ 1/100) ; rare (≥1/10.000 à ≤1/1.000) ; très rare (≤1/10.000) ; Fréquence indéterminée (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Tableau 1. Fréquence des réactions indésirables Classe de systèmes d’organes Affections hématologiques et du système lymphatique Affections du système immunitaire Troubles du métabolisme et de la nutrition Affections psychiatriques Fréquence Fréquent Réaction indésirable Anémie Peu fréquent Hypersensibilité, œdème angioneurotique et urticaire Diminution de l'appétit Affections du système nerveux Affections vasculaires Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquent Fréquent Peu fréquent Affections gastro-intestinales Fréquent Affections hépatobiliaires Fréquent Fréquent Fréquent Rare Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquent Fréquent Affections du rein et des voies urinaires Affections des organes de reproduction et du sein Fréquent Troubles généraux et anomalies Très fréquent Fréquent Très fréquent Diminution de la libido, dépression Vertiges, somnolence Bouffées de chaleur Maladie pulmonaire interstitielle1 (des issues fatales ont été rapportées) Douleurs abdominales, constipation, dyspepsie, flatulences, nausées Hépatotoxicité, jaunisse, hypertransaminasémie2 Insuffisance hépatique3 (des issues fatales ont été rapportées) Éruption cutanée Alopécie, hirsutisme/repousse du système pileux, peau sèche4, prurit Hématurie Gynécomastie et tension mammaire 5 Dysfonction érectile Asthénie 1 2 3 4 5 au site d’administration Fréquent Investigations Fréquent Peu fréquent Douleurs dans la poitrine, œdème Augmentation du poids Allongement de l’intervalle QT (voir rubrique 4.4 et 4.5) Repris comme effet indésirable après analyse des données post-commercialisation. La fréquence a été déterminée à partir de l'incidence des effets indésirables de pneumonie interstitielle rapportés dans la période de traitement randomisé des études EPC 150 mg. Les anomalies hépatiques sont rarement sévères et étaient fréquemment de nature passagère, se résolvant ou s’améliorant lors de la poursuite de la thérapie ou suite à l’arrêt du traitement (voir rubrique 4.4). Repris comme effet indésirable après analyse des données post-commercialisation. La fréquence a été déterminée à partir de l'incidence des effets indésirables d'insuffisance hépatique rapportés chez les patients recevant un traitement dans le bras bicalutamide ouvert des études EPC 150 mg. En raison de la convention de codage utilisée dans les études EPC, des effets indésirables de 'peau sèche' ont été codés sous le terme COSTART 'rash'. Aucun descripteur de fréquence distinct ne peut dès lors être déterminé pour la dose de 150 mg de bicalutamide; toutefois, on suppose qu'il s'agit de la même fréquence que pour la dose de 50 mg. La majorité des patients qui reçoivent du Bicalutamide Sandoz 150 mg en monothérapie présentent une gynécomastie et/ou une douleur mammaire. Dans les études, ces symptômes ont été considérés comme sévères chez une proportion de patients allant jusqu'à 5 %. La gynécomastie peut ne pas disparaître spontanément après l'arrêt du traitement, en particulier après un traitement prolongé (<1/10,000), inconnu (ne peut être estimé sur la base des données disponibles). Déclaration des effets indésirables suspectés La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via Agence fédérale des médicaments et des produits de santé Division Vigilance EUROSTATION II Place Victor Horta, 40/ 40 B-1060 Bruxelles Site internet: www.afmps.be e-mail: [email protected] 4.9 Surdosage Il n'y a pas d'expérience humaine de surdosage. Il n’existe pas d’antidote spécifique ; le traitement doit être symptomatique. La dialyse n’est probablement d’aucune utilité étant donné que le bicalutamide se lie fortement aux protéines plasmatiques et qu’il ne se retrouve pas sous forme inchangée dans les urines. Un traitement général de soutien est indiqué, notamment un contrôle fréquent des signes vitaux. 5. PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES 5.1 Propriétés pharmacodynamiques Classe pharmacothérapeutique: antagonistes hormonaux et agents apparentés, antiandrogènes, code ATC : L02B B03 Mécanisme d’action Le bicalutamide est un anti-androgène non stéroïdien dépourvu de toute autre activité endocrinienne. Il se lie aux récepteurs androgéniques sans activer l’expression génique, ce qui lui permet d’inhiber le stimulus androgénique. La régression des tumeurs prostatiques provient de cette inhibition. Du point de vue clinique, l’arrêt du traitement par bicalutamide peut donner lieu à un syndrome de sevrage aux anti-androgènes dans un sous-groupe de patients. Le bicalutamide est un racémate, dont l'énantiomère R présente la majorité de l'activité antiandrogénique. Efficacité et sécurité clinique Bicalutamide Sandoz 150 mg a été étudié dans le traitement des patients atteints d'un cancer de la prostate non métastatique localisé (T1-T2, N0 ou NX, M0) ou localement avancé (T3T4, tout stade N, M0 ; T1-T2, N+, M0) par l'analyse combinée de trois études contrôlées par placebo, en double aveugle, menées chez 8113 patients, au cours desquelles le bicalutamide a été administré comme traitement hormonal immédiat ou comme traitement adjuvant à une prostatectomie radicale ou une radiothérapie (principalement une radiothérapie externe). Après un suivi médian de 7,4 ans, 27,4 % et 30,7 % de l'ensemble des patients traités respectivement par bicalutamide et par placebo ont présenté des signes objectifs de progression de la maladie. Une réduction du risque de progression objective de la maladie a été observée dans la plupart des groupes de patients, mais elle a été plus importante parmi les patients qui présentaient un risque élevé d'évolution de la maladie. Il se peut dès lors que les médecins décident que la stratégie thérapeutique optimale pour un patient qui présente un faible risque de progression de la maladie, notamment dans le cas d'un traitement adjuvant à une prostatectomie radicale, soit de différer le traitement hormonal jusqu'à ce qu'apparaissent des signes de progression de la maladie. Aucune différence n'a été observée en termes de survie globale à 7,4 ans de suivi médian avec 22,9 % de mortalité (HR=0,99 ; IC 95 % : 0,91 à 1,09). Certaines tendances étaient toutefois visibles dans les analyses exploratoires de sous-groupes. Les données de survie sans progression et les données de survie globale des patients dont la maladie était localement avancée sont résumées dans les tableaux suivants : Tableau 1. Survie sans progression au stade localement avancé en fonction du sousgroupe de traitement Population analysée Surveillance vigilante Radiothérapie Prostatectomie radicale Événements (%) parmi les patients sous bicalutamide 193/335 (57,6) 66/161 (41,0) 179/870 (20,6) Événements (%) parmi les patients sous placebo 222/322 (68,9) 86/144 (59,7) 213/849 (25,1) Rapport de risque (IC 95 %) 0,60 (0,49 à 0,73) 0,56 (0,40 à 0,78) 0,75 (0,61 à 0,91) Tableau 2. Survie globale au stade localement avancé en fonction du sous-groupe de traitement Population analysée Surveillance vigilante Radiothérapie Prostatectomie radicale Décès (%) parmi les patients sous bicalutamide 164/335 (49,0) 49/161 (30,4) 137/870 (15,7) Décès (%) parmi les patients sous placebo 183/322 (56,8) 61/144 (42,4) 122/849 (14,4) Rapport de risque (IC 95 %) 0,81 (0,66 à 1,01) 0,65 (0,44 à 0,95) 1,09 (0,85 à 1,39) Chez les patients présentant une maladie localisée et recevant du bicalutamide seul, aucune différence significative n'a été observée quant au taux de survie sans progression. Chez ces patients, on a également observé une tendance à la réduction du taux de survie en comparaison avec les patients sous placebo (HR=1,16 ; IC 95 % : 0,99 à 1,37). Par conséquent, le profil risque-bénéfice du traitement par bicalutamide ne semble pas favorable chez ce groupe de patients. 5.2 Propriétés pharmacocinétiques Absorption Le bicalutamide est bien absorbé après administration orale. Aucun signe n'indique que la prise de nourriture a un effet cliniquement significatif sur sa biodisponibilité. Distribution L’énantiomère (S) est rapidement éliminé par rapport à l’énantiomère (R), dont la demi-vie d’élimination plasmatique est d’environ 1 semaine. En cas d’administration quotidienne de bicalutamide, l’accumulation de l’énantiomère (R) est environ 10 fois plus importante au niveau plasmatique étant donné son long temps de demivie. À l’état d’équilibre, les concentrations plasmatiques de l’énantiomère (R) sont d’environ 22 µg/ml lors de l’administration quotidienne de doses de 150 mg de bicalutamide. À l’état d’équilibre, l’énantiomère (R), qui est l’énantiomère principalement actif, représente 99 % du total des énantiomères circulants. La pharmacocinétique de l’énantiomère (R) n’est pas modifiée par l’âge, ni en cas d’insuffisance rénale ou d’insuffisance hépatique légère à modérée. Il est prouvé que l’élimination plasmatique de l’énantiomère (R) est plus lente chez les sujets souffrant d’une insuffisance hépatique sévère. Biotransformation et élimination Le bicalutamide se lie fortement aux protéines (racémate à 96 %, (R)-énantiomère > 99,6 %) et est largement métabolisé (par oxydation et glucuronidation). Ses métabolites sont éliminés via les reins et la bile dans des proportions plus ou moins égales. Après l’excrétion dans la bile, une hydrolyse des glucuronides se produit. Dans l’urine, on retrouve du bicalutamide à peine modifié. Dans une étude clinique, la concentration moyenne du R-bicalutamide dans le sperme des hommes recevant du Bicalutamide Sandoz 150 mg a été de 4,9 microgrammes/ml. La quantité de bicalutamide potentiellement délivrée à une partenaire pendant les relations sexuelles est faible et représente à peu près 0,3 microgramme/kg. C'est moins que ce qui est nécessaire pour induire des modifications dans la descendance des animaux de laboratoire. 5.3 Données de sécurité préclinique Chez l’animal, le bicalutamide est un anti-androgène puissant et un inducteur de l’oxydase à fonction mixte. Les modifications des organes cibles, notamment l'induction de tumeurs (cellules de Leydig, thyroïde, foie) chez les animaux, sont liées à ces activités. On n'a pas observé d'induction enzymatique chez l'homme et aucune de ces observations n'est considérée comme ayant une signification pour le traitement des patients atteints d'un cancer de la prostate. Une atrophie des tubules séminifères est un effet de classe prévu avec les anti-androgènes et elle a été observée pour toutes les espèces étudiées. Une inversion complète de l'atrophie testiculaire était de 24 semaines après une étude de toxicité à doses répétées d'une durée de 12 mois chez le rat, bien qu'une inversion fonctionnelle ait été manifeste dans les études de reproduction 7 semaines après la fin d'une période d'administration de 11 semaines. On doit présumer une période de sous-fertilité ou d'infertilité chez l'homme. 6. DONNÉES PHARMACEUTIQUES 6.1 Liste des excipients Noyau du comprimé : Lactose monohydraté Glycolate d’amidon sodique de type A Povidone K30 Amidon de maïs Stéarate de magnésium Pelliculage du comprimé : Hypromellose Dioxyde de titane (E171) Macrogol Polysorbate 80 6.2 Incompatibilités Sans objet. 6.3 Durée de conservation 2 ans 6.4 Précautions particulières de conservation Pas de précautions particulières de conservation. 6.5 Nature et contenu de l’emballage extérieur Plaquettes thermoformées en PVC/Aclar//Aluminium Présentations : 5, 7, 10, 14, 20, 28, 30, 40, 50, 56, 60, 80, 84, 90, 98, 100, 140, 200 et 280 comprimés pelliculés Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées. 6.6 Précautions particulières d’élimination Pas d’exigences particulières. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ Sandoz nv/sa, Telecom Gardens, Medialaan 40, B-1800 Vilvoorde 8. NUMÉRO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ BE347907 9. DATE DE PREMIÈRE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION 09/2009 – 03/2012 10. DATE DE MISE À JOUR DU TEXTE /DATE D’APPROBATION DU TEXTE 04/2015