les bons moments que nous avons partagés, j’ai plus appris grâce à vous que je ne vous ai
appris…
Je n’oublie pas ceux qui sont déjà partis vers des contrées plus lointaines (c’est-à-dire
plus loin que l’Esplanade) : Jenny, ma voisine de paillasse pendant 3 ans, merci de ta
spontanéité, de ta simplicité et de ta sincérité, je te souhaite un avenir riche et créatif, Amar et
Jean-Eric, souriants et drôles, soyez de gentils papas, Gérard Nullans, merci de tes qualités
humaines, profite pleinement de ta retraite.
Aux personnes croisées au détour d’un couloir (ou dans la pièce 3401), un sourire,
quelques mots, ou blagues, merci pour cela, Delphine, Stella, Laetitia, Martine R, Olivier,
Patrice, Jean-Paul… Merci à toutes les personnes de l’unité qui ont, grâce à leurs conseils,
contribué à l’avancement de mes travaux de thèse.
La thèse est avant tout une expérience humaine où se succèdent certitudes et
désillusions, enthousiasme et découragement. Je voudrais exprimer toute ma gratitude à celles
qui ont contribué à me remonter le moral durant cette thèse, qu’elles soient depuis peu
docteur, ou en passe de l’être, Isabelle, Céline M, et Céline S, je vous remercie pour ces
5 années d’amitié. Vous avez été là quand j’en ai eu besoin, c’est beaucoup, pour cela je vous
dis un grand merci.
Et parce qu’il y a une vie hors du labo, je tiens à remercier tous ceux qui m’ont
encouragée et réconfortée dans les moments difficiles : Sara Hardy, Louis Calaferte,
Emmanuel Decelle, Priscilla Decelle, Terry Pratchett, Céline Buyse, Marie Gaumé,
JK Rowling, Jérome Rageot, Fabrice Goulven, Vincent Rinche, Didier van Cauwelaert,
Marlène Cot, Céline Théron, Christelle Gabaston, Emeline Fabre, Douglas Adams, Johanna
Gourmaud, Delphine Théard …
Je tiens à remercier mes parents qui ont toujours veillé de près, malgré la distance, à
mon bien-être avec une confiance sans borne. Sylvie, maman, grâce à toi maintenant je suis
une grande fille, mais la petite fille qui demeure en moi aura toujours besoin de toi. Gérard,
papa, tu as su me faire grandir dans l’amour de la science, merci. Vincent, qu’il est bon de te
connaître mon frère.
Mes grands parents, René et Simone, qui m’ont toujours soutenu, et ont fait les frais de
mes premières expériences scientifiques. Mamie Berthe, là haut j’espère que tu es heureuse,
merci pour tout ce que tu as été.
Et enfin, à ceux qui sont jour après jour à mes côtés, me soutiennent, me supportent,
me connaissent par cœur. Pendant toutes ces années, j’ai toujours pu compter sur un soutien
indéfectible, riche en amour. Merci Philippe, parce que c’est toi. Térence, merci mon bébé,
j’ai du mal à croire que tu sois déjà si grand, tu es ma joie, merci d’être.
Merci simplement parce que vous êtes là.
Les mots ici ne diront pas tout.
Merci de tout mon cœur.