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REMERCIEMENTS
Et bien voilà, ce manuscrit est (quasiment) bouclé et c’est, comme toujours, au dernier
moment et dans l’urgence, qu’il faut peauffiner les dernières bricoles et en particulier
les remerciements. Au final, c’est toujours la partie la plus baclée. Mais bon, on va
essayer d’oublier personne…
A Philippe, pour ces quelques années de parasitologie, d’immunologie, de statistiques…
Ouf, on y est arrivés… Merci de mettre des points au milieu de mes phrases trop longues
et d’enlever tous les adverbes superflus. Néanmoins, toutefois et donc, enfin, merci
pour tout… La bouteille de champagne du Vet Research est encore au frigo, c’est quand
tu veux…
A Mr Dorchies, pour son enthousiasme constant et sans faille vis à vis de ce travail,
pour ses conseils judicieux, ses corrections entre la France et le Maroc…
A tout le laboratoire de parasitologie de l’ENVT : Françoise, Christelle, Jean-Paul …
Merci pour votre disponibilité, votre bonne humeur et votre aide au cours de ces
quelques années.
A Getachew, heureusement que tu sais quand il faut mettre « the » ou non avant les
mots, et merci pour ton aide dans les manips. Bon courage pour la tienne de thèse, mais
je ne me fais pas trop de souci…
A tous les membres du domaine expérimental de Bourges-La Sapinière : Jean Claude
Brunel, Yves Bourdillon, Hervé Morin, Thierry Fassier, Didier Marcon, Serge Py,
Eric Thévenot, Alain Burtin, Jérôme Bernard, Bruno Bouquet,Stéphane Gressin…
A l’équipe de parasitologie de Tours : Jacques Corté, Christine Sauvé et surtout Lucas
Gruner, pour votre aide lors de notre première grosse manip…
A Dominique François, pour une logistique parfaite d’expédition de moutons vers
Toulouse.
A Jacques Bouix, pour ses conseils avisés en matière de génétique lors des CSU de
Bourges.
A Sèv, Cécile, Pierrette et Cindy, merci de vous occuper de tout ce que je n’ai pas le
temps de faire en général, merci pour votre soutien durant cette difficile (et longue)
période de rédaction, pour les excursions vers la boulangerie entre midi et deux (plutôt
deux d’ailleurs), pour les extases devant les estampes japonnaises de caillettes colorées
au Giemsa (j’en veux un de tatouage…), pour l’écriture des cassettes (oui, je sais,
dorénavant on ne prendra que celles où ça écrit bien…). Bref, heureusement que vous
êtes là… Toutefois, je me demande encore s’il vaut mieux trois ou quatre roues !!!