Chloé Gaillard Juin 2011
• Les hormones stéroïdes : dérivées du cholestérol, elles sont non solubles dans l’eau et
passe facilement à travers la membrane ; elles sont synthétisées à la demande de
l’organisme ; il n’y a donc pas de stock
• Les amines biogènes : dérivées d’acides aminés (triptophone, tyrosine)
Synthèse et libération des hormones peptidiques : (voir schéma p.6 à 8)
• ARN messager sur les ribosomes se lie les acides aminés en une chaîne peptidique
appelée préprohormone. La chaîne est dirigée dans la lumière du RE par une séquence
signal des acides aminés
• enzymes in the ER chop off the signal sequences, creating an inactive prehormone
• Le prehormone passe du ER par l'appareil de Golgi
• Sécrétoires des vésicules contenant des enzymes et prehormone bourgeonnement
l'appareil de Golgi. L'enzyme hacher les prehormone dans un ou plusieurs peptides
actifs, plus d'autres fragments de peptides
• les vésicules de sécrétion libère son contenu par exocytose dans l'espace
extracellulaire
• l'hormone se déplace dans la circulation jusqu’à l’endroit où elle va agir
La peptide-C :
• La quantité de peptide-C que l’on a dans notre organisme, nous donne la quantité
d’insuline qui a été synthétisée et sécrétée.
• C’est le reflet de l’insuline produite dans notre organisme
Les hormones peptidiques :
• Sont lipophobe, ne peuvent donc pas traverser les membranes ; elles doivent donc se
lier à un récepteur de surface ; la réponse cellulaire se fait par l’intermédiaire de
seconds messagers (AMPc, tyrosine kinase,…) ; ces seconds messagers modifient les
protéines qui existent déjà
• LA réponse est rapide car les seconds messagers modifient des protéines existantes ;
les effets se font via le contrôle de canaux ioniques, la modulation d’enzymes
métaboliques ou de protéines de transport. Certaines hormones ont des effets plus
longs car leurs seconds messagers activent des gènes qui vont entraîner la synthèse de
nouvelles protéines
Les hormones stéroïdes :
• Elles ont une structure chimique semblable car ce sont des détivés du cholestérol ;
leurs lieux de production sont limités (corticosurrénale, gonades, placenta)
• Les cellules qui sécrètent ces hormones ont un REL très développé ; les stéroïdes sont
lipophile et diffusent donc facilement au travers des membranes ; il n’y a donc pas de
vésicules de sécrétion, ces hormones sont synthétisées à la demande et elles quittent la
cellule par diffusion simple
• A cause de leur propriété lipophile, les hormones stéroïde sont peu solubles dans le
plasma ; elles doivent donc se lier à des protéines de transport (globuline,
albumine, …) ce qui les protège de la dégradation enzymatiques et augmente leur
demi-vie
• Mais il n’y a que l’hormone qui peut entrer dans la cellule sous forme libre, la protéine
porteuse (lipophobe) reste à l’extérieure de la cellule
• Ces hormones vont agir comme un facteur de transcription qui va activer ou réprimer
un ou des gènes ; ceux-ci vont ensuite diriger la synthèse de nouvelles protéines ;