
nous, c’est les maladies, les contre-verses et les problèmes qui suit
éventuellement. Par la suite, ces problèmes sont transformés en douleur, en
maladies incurables et peuvent amener le mal-être de quiconque. Selon
Protagoras, il est ridicule de dire que le bien est autre chose que le plaisir et que
le mal est autre chose que la douleur. Nous sommes en quelque sorte vaincu par
le plaisir, mais nous avons donné un nouveau nom à celui-ci, le bien. La vérité est
que, nous sommes vaincus par le bien, ce que nous appelons être vaincu, c’est un
choix volontaire cite Protagoras « c’est choisir des maux plus grands à la place de
bien plus petits ». Le bien n’a donc pas assez de valeur pour vaincre le mal,
quelqu’un qui est défini comme vaincu par le plaisir n’a pas commis de faute pour
se retrouver dans cet état.
La vision de Socrate n’est pas autant éclairée que celle de Protagoras, il requiert
son aide pour clarifier le tout. Socrate mentionne que la douleur elle-même peut
être un bien, quand on est délivré d’une souffrance plus importante que celle
qu’elle ou bien que le plaisir ont causés. Les deux philosophes se sont mis
d’accord sur le fait que certaines bonnes choses sont douloureuses, comme
l’activité physique, l’abstinence et plusieurs autres. Cela est qualifié comme bon