Introduction
Étant donné la conjoncture socioéconomique, tout un chacun est amené à relever le défi de
demain. Or ceci ne peut voir le jour sans la mobilisation de tous autour d’un seul objectif :
aller de l’avant afin de faire face à un environnement de plus en plus turbulent et exigent.
Au cours de cette année le champ de mon apprentissage s’est étalé au sein de La société
SEBN.MA
L’objet de ce rapport est de présenter le déroulement du stage que j’ai effectué au sein du
département PCP de la société SEBN.MA S.A.R.L. pendent un mois.
Le présent rapport sera articulé autour de trois chapitres principaux :
Le premier chapitre fera l'objet d'une présentation générale de la société SEBN.MA à travers
son historique, son organisation et son fonctionnement.
Puis, le deuxième chapitre portera sur les divers départements de la société et j’ai réservé
une grande partie au département finance & controling et ses différents services puisque j’ai
passé mon stage dans l’un des services de ce département, il s’agit de service comptabilité.
Et finalement, je citerais les travaux que j'ai effectués durant la période de mon stage dans
un troisième chapitre.
SEBN-MA, société marocaine filiale d’un groupe multinational japonais, est ainsi obligée de
présenter sa comptabilité de deux manières différentes. L’une selon le référentiel marocain
et l’autre selon le référentiel de la maison mère à savoir les normes IAS/IFRS. Elle doit ainsi
procéder à différents retraitements afin d’assurer le passage des normes comptables
marocaines aux normes internationales. Le but final étant d’établir un reporting financier
ayant pour objet d’informer le groupe sur la situation financière de sa filiale.
Il existe des divergences dans les principes généraux des deux systèmes. En effet si les
normes marocaines adoptent une approche juridique et fiscale qui privilégie la forme
juridique sur le fond et une valorisation des actifs et passifs au coût historique, la logique des
normes IAS/IFRS quant à elle repose sur la primauté de la substance sur la forme et la
valorisation à la « juste valeur » une notion qui implique une remise en cause régulière de
l’évaluation des actifs et passifs.