Président de l’Association mondiale de médecine anti-âge L e Dr Thierry Hertoghe, 58 ans, consacre sa vie à promouvoir une médecine centrée sur les besoins des patients et basée sur des preuves scientifiques. Il est le fondateur de la Hertoghe Medical School (www. hertoghemedicalschool.eu), 7-9, av. Van Bever, 1180 Uccle-Bruxelles, en Belgique. Avec un groupe de médecins à la pointe de la recherche, le Dr Hertoghe travaille non seulement pour éliminer les maladies, mais avant tout pour aider ses patients à atteindre une santé optimale, en retardant et même en essayant d’inverser partiellement le vieillissement. Le Dr Hertoghe partage ces informations avec les autres médecins en donnant des conférences médicales, en organisant des séminaires, à travers des livres, des articles, des enregistrements, des vidéos, ainsi qu’en passant à la radio et à la télévision. La Lettre du docteur Thierry Hertoghe Président de l’Association mondiale de médecine anti-âge Santé Nature Innovation Dossier 33 Directeur de la publication : Vincent Laarman Rédaction : Dr Thierry Hertoghe Conseil rédactionnel : Jean-Marc Dupuis Mise en page : Isabelle Pillet SNI Editions SA Adresse: Am Bach 3, 6072 Sachseln – Suisse Registre journalier N° 4835 du 16 octobre 2013 CH-217.3.553.876-1 Capital : 100.000 CHF Abonnements : pour toute question concernant votre abonnement, contacteznous au +33 1 58 83 50 73 ou écrire à http://www.santenatureinnovation.com/ contact/ ISSN 2296-6900 33 AOÛT • 2015 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Quel est le secret de ces femmes aux jambes belles et fermes ? Cela commence par des choses très simples : un régime alimentaire adapté et une activité physique régulière, mais il y a beaucoup plus. Voici un guide complet pour rajeunir vos jambes. Tentez d’imaginer quelques secondes que vous avez perdu l’usage de vos jambes. Au-delà de l’usage de vos membres, c’est aussi votre indépendance que vous avez perdue. Vous devez être en permanence assisté par d’autres personnes pour effectuer toutes sortes de petits gestes du quotidien. Bien sûr, de temps en temps, quelques individus exceptionnels qui ont perdu l’usage de leurs membres font la « une » des journaux pour leurs exploits sportifs. Ils parviennent à réaliser des performances que des sportifs comme moi ou la plupart d’entre vous ne pourraient pas accomplir. C’est incroyable. Mise en garde : les informations de cette lettre d’information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Ceci n’est pas une ordonnance. Il existe des contre-indications possibles pour les produits cités. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment accrédités auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d’information s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Mais il ne faut pas se voiler la face, cela reste très rare. La plupart souffrent terriblement de cette perte d’indépendance, se sentent exclus, diminués, et certains perdent espoir. On les comprend aisément. Si cela m’arrivait, je pense que j’aurais moi aussi beaucoup de mal à l’accepter. Le sentiment de liberté, ma capacité à aller où bon me semble sans devoir compter sur quelqu’un pour me pousser en chaise roulante a pour moi une valeur inestimable. supplément pour réussir à la fois à diminuer ou faire disparaître la cellulite et récupérer un mental d’acier ? Malheureusement, trop souvent, les femmes qui souffrent de ce genre de problème se réfugient dans des régimes fatigants à répétition et des traitements anti-cellulite locaux pas convaincants et suivent des séances de psychothérapie peu efficaces. Ces méthodes échouent la plupart du temps, car elles ne traitent pas la cause des problèmes, la carence en testostérone. Pourquoi les jambes Ces jambes qui vieillissent L ’esprit et le corps vont généralement de pair. Des jambes fortes, solides, fermes correspondent souvent à un esprit déterminé et équilibré. Les personnes qui ont du mal à se tenir debout sur leurs jambes sont souvent également plus faibles dans leur tête. Par exemple, les femmes qui ont beaucoup de cellulite dans les jambes, signe d’un déficit important en testostérone, ont souvent plus de mal à gérer les différentes formes de stress. Pourquoi ? Parce que la carence en testostérone qui permet à la cellulite de se développer affaiblit aussi le mental. Ne vaudrait-il pas mieux corriger le déficit en testostérone en prenant un vieillissent-elles ? L es jambes et les pieds vieillissent, comme les autres tissus du corps, par l’apparition progressive de déficits nutritionnels et hormonaux. Cela se produit avec l’âge, le tout aggravé par des erreurs diététiques et un manque de mouvement. En effet, si l’on ne bouge pas, le corps « rouille » immanquablement. Le manque de mouvement met les jambes et pieds au repos, ce qui diminue l’apport de sang et de nutriments dans les jambes. Cette dénutrition et ce manque d’oxygénation accélèrent leur vieillissement. 33 fauteuil la plupart du temps et ne quittent leur canapé que pour aller manger, se rendre aux toilettes et s’allonger dans leur lit perdent rapidement leur capacité à marcher. Elles développent des thromboses (caillots de sang) dans les jambes et peuvent même développer de la gangrène (des tissus qui meurent) dans les jambes comme aux pieds. Il est triste de voir combien de personnes âgées perdent l’usage de leurs jambes lorsqu’elles arrivent en maison de retraite parce qu’elles ne se déplacent plus assez. Leurs jambes s’atrophient littéralement : les muscles fondent, la peau s’amincit jusqu’à devenir transparente et perd sa graisse. Les déficits diététiques, nutritionnels et hormonaux qui vieillissent les jambes D ans le tableau ci-contre, vous trouverez en photo les signes physiques caractéristiques de vieillissement des jambes, des informations sur les déficiences diététiques, nutritionnelles, hormonales et liées au mode de vie qui peuvent provoquer ces signes. Nos jambes sont faites pour bouger, pour être en mouvement. Les personnes qui restent assises dans leur Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 2 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Facteurs qui provoquent ou aggravent le VIEILLISSEMENT des JAMBES SIGNE DE VIEILLISSEMENT Perte de muscle et d’os aux hanches, cuisses et bas-jambes (atrophie) Affaissement de la partie interne des cuisses Production déficiente d’acide chlorhydrique, d’enzymes pancréatiques Production déficiente d’acide chlorhydrique, d’enzymes pancréatiques Déficits diététiques Apport insuffisant en aliments riches en protéines (viande, poisson, volaille, œufs, etc.), régime faible en calories Apport insuffisant en aliments riches en protéines, régime faible en calories Excès diététiques Consommation de sucreries, sucre, céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, riz, etc.) Consommation de sucreries, sucre, céréales Déficits nutritionnels Apport insuffisant en carnitine, acides aminés à chaîne ramifiée (leucine, isoleucine, valine) Apport insuffisant en carnitine, acides aminés à chaîne ramifiée Déficits hormonaux Déficits en IGF-1, hormone de croissance, testostérone Déficits en MSH, hormone de croissance, IGF-1, relaxine, testostérone Excès hormonaux Taux excessif en cortisol en présence d’un taux de DHEA faible Taux excessif en cortisol en présence d’un taux de DHEA faible Cellulite (femmes) Coussinets de graisse au-dessus des genoux Déficits diététiques Apport insuffisant en aliments riches en protéines Apport insuffisant en aliments riches en protéines Excès diététiques Consommation de sucreries, sucre, céréales, graisses cuites, alcool, boissons ou aliments riches en caféine Consommation de sucreries, sucre, céréales, graisses cuites, alcool, boissons ou aliments riches en caféine Déficits nutritionnels Apport insuffisant en acides aminés, chrome Apport insuffisant en acides aminés, chrome Déficits hormonaux Déficits en testostérone, hormone de croissance, hormones thyroïdiennes Déficits en hormone de croissance, testostérone Excès hormonaux Excès d’insuline Excès d’insuline Troubles digestifs SIGNE DE VIEILLISSEMENT Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 3 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Facteurs qui provoquent ou aggravent le VIEILLISSEMENT des JAMBES SIGNE DE VIEILLISSEMENT Épaississements et déformations de la hanche épaissies (par arthrose) Épaississements et déformations du genou (par arthrose) Déficits diététiques Apport insuffisant en aliments riches en protéines Apport insuffisant en aliments riches en protéines, régime faible en calories Excès diététiques Consommation de sucreries, sucre, céréales, graisses cuites, alcool, boissons ou aliments riches en caféine Consommation de sucreries, sucre, céréales Déficits nutritionnels Apport insuffisant en acides aminés Apport insuffisant en vitamine D, acides aminés Déficits hormonaux Déficits en testostérone, hormone de croissance, IGF-1 Déficits en testostérone, hormone de croissance, IGF-1 Excès hormonaux ? ? Appuyer sur le mollet Un « godet » est obtenu 4 SIGNE DE VIEILLISSEMENT Mollets gonflés avec œdème qui ne prend pas le godet (pas de marques lorsqu’on appuie avec un doigt sur les mollets gonflés) Mollets gonflés avec œdème qui prend le godet (petite encoche qui apparaît lorsqu’on appuie avec un doigt sur les mollets gonflés) Déficits diététiques Apport insuffisant en fruits (qui stimulent la fonction thyroïdienne) Apport insuffisant en légumes et fruits crus Excès diététiques Consommation excessive d’aliments riches en protéines (qui réduisent la conversion de l’hormone thyroïdienne T4 en hormone plus active T3) Aliments salés (soupe, fromage, conserves de viande, aliments en conserve, etc.) Déficits nutritionnels Apport insuffisant en iode, sélénium, fer (peuvent augmenter l’activité de la thyroïde) Apport insuffisant en potassium Excès nutritionnels Consommation excessive de suppléments d’acides aminés comme la carnitine (plus de 10 g/jour – ce qui réduit l’activité de la thyroïde), prise excessive d’iode (solution de lugol : > 3 gouttes par jour) Consommation excessive de sodium (sel) Déficits hormonaux Déficit en hormones thyroïdiennes Déficits en cortisol (qui induit une sécrétion excessive et compensatoire en aldostérone), hormones thyroïdiennes Excès hormonaux ? Excès d’aldostérone, hormone de croissance, cortisol, de prise orale d’œstrogènes Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Facteurs qui provoquent ou aggravent le VIEILLISSEMENT des JAMBES SIGNE DE VIEILLISSEMENT Peau (trop) mince, sur le bas des jambes Peau floconneuse, sur le bas des jambes Déficits diététiques Apport insuffisant en aliments riches en protéines, régime faible en calories Malabsorption des graisses Excès diététiques Consommation de sucreries, sucre, céréales Apport insuffisant en légumes crus Déficits nutritionnels Apport insuffisant en acides aminés ? Excès nutritionnels ? Apport insuffisant en acides gras polyinsaturés de type oméga-6, zinc Déficits hormonaux Déficits en IGF-1 ; hormone de croissance Déficits en hormones thyroïdiennes Excès hormonaux Taux excessif en cortisol en présence d’une DHEA faible ? 5 SIGNE DE VIEILLISSEMENT Ecchymoses sur les cuisses, les jambes et les pieds Taches rouges (pétéchies) sur le bas des jambes Apport insuffisant en aliments riches en protéines Apport insuffisant en fruits et légumes frais Déficits diététiques Consommation de sucreries, sucre, céréales Consommation de sucreries, sucre, céréales, graisses cuites Excès diététiques Apport insuffisant en vitamines B3, C, K, manganèse Apport insuffisant en vitamines B3, C, K, manganèse Déficits nutritionnels Apport insuffisant en vitamine E, acides gras oméga-3 polyinsaturés Consommation excessive de vitamine E, acides gras oméga-3 polyinsaturés Excès nutritionnels Déficit en testostérone Déficit en testostérone Déficits hormonaux Taux excessif en cortisol en présence d’une DHEA faible Excès de cortisol Troubles digestifs Excès hormonaux Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Facteurs qui provoquent ou aggravent le VIEILLISSEMENT des JAMBES SIGNE DE VIEILLISSEMENT Varicosités Varices sur les jambes ? Activité professionnelle en station debout prolongée Ballonnement du bas ventre (colite, entérite) ? Déficits diététiques Apport insuffisant en aliments riches en protéines Apport insuffisant en aliments riches en protéines Excès diététiques Consommation de céréales (pain complet, pâtes, etc.) produits laitiers Prise régulière d’alcool Déficits nutritionnels ? Déficit en acides aminés Déficits hormonaux Déficit en testostérone Déficit en testostérone Excès hormonaux Excès en œstrogènes (surtout œstrogènes oraux) Excès en œstrogènes (surtout œstrogènes oraux) Activité professionnelle Troubles digestifs 6 VIEILLISSEMENT Gonflement des chevilles et des pieds avec œdème qui prend le godet Taches rouge-brun sombre (pétéchies) au-dessus et/ ou sur les chevilles Déficits diététiques Apport insuffisant en légumes et fruits crus Apport insuffisant en fruits et légumes frais Excès diététiques Consommation d’aliments salés (soupe, fromage, conserves de viande, aliments en conserve, etc.) Consommation de sucreries, sucre, céréales, graisses cuites Déficits nutritionnels Apport insuffisant en potassium Apport insuffisant en vitamines B3, C, K, manganèse Excès nutritionnels Consommation excessive de sodium (sel) Consommation excessive de vitamine E, acides gras oméga-3 polyinsaturés Déficits hormonaux Déficits en cortisol (déficience en cortisol induisant un excès d’aldostérone compensatoire), hormones thyroïdiennes Déficit en testostérone Excès hormonaux Excès d’aldostérone, hormone de croissance Excès de cortisol Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Facteurs qui provoquent ou aggravent le VIEILLISSEMENT des JAMBES Ulcère récent Ulcère ancien Sur la jambe (au-dessus de la malléole) le plus souvent Où ? VIEILLISSEMENT Ulcères veineux de la jambe Ulcère ancien Sur le pied (sous la malléole) le plus souvent Où ? Face interne Face interne ou externe Grande taille Petite taille Couleur rouge-brun Forme régulière au début, bords irréguliers et fibreux si ulcère ancien Plaie Ulcères veineux de la jambe Ulcère récent Couleur pâle qui devient noire (par nécrose des tissus) si ulcère plus ancien Ulcères artériels du pied (et/ou de la jambe) Plaie Forme irrégulière Plaie superficielle Plaie profonde, creusante Vite suintante (écoulement) Plaie vite surinfectée Peau pigmentée rouge ou brune (par sortie de globules rouges Tissus hors des vaisseaux environnants sanguins) Eczéma (souvent) Démangeaisons = plainte maîtresse Ulcères artériels du pied (et/ou de la jambe) Tissus environnants Peau non pigmentée Peau fine Douleurs vives = plainte maîtresse Présence de varices Absence de pouls distaux Survient surtout chez personnes qui ont des varices Survient surtout chez personnes diabétiques Apport insuffisant en aliments riches en protéines, surtout en poissons et fruits de mer Apport insuffisant en aliments riches en protéines, régime faible en calories Consommation excessive de graisses cuites Consommation excessive de graisses cuites Déficits nutritionnels Apport insuffisant en acides aminés, déficits en acides gras oméga-3 polyinsaturés, silicone, zinc Apport insuffisant en silicone, zinc, déficits en acides gras oméga-3 polyinsaturés, coenzyme Q10, vitamine B3, vitamine E Déficits hormonaux Déficience en testostérone Déficits en testostérone, hormone de croissance, IGF-1, thyroïde, insuline ? ? Déficits diététiques Excès diététiques Excès hormonaux Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 7 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Remarque Seuls les déficits et les excès diététiques, nutritionnels et hormonaux les plus importants derrière les signes de vieillissement des jambes ont été mentionnés et dans chaque rangée horizontale ils ont été classés par ordre d’importance, les déficits ou excès les plus importants derrière chaque signe de vieillissement apparaissant les premiers avant les autres. Pourquoi est-il important de renforcer les jambes et de les rendre plus fermes ? L es jambes doivent rester fermes et solides pour marcher, bouger, sauter dans ce monde en mouvement. Gardez toujours en tête la dépendance dans laquelle sont enfermés ceux qui ne peuvent pas bouger les jambes et se déplacent en fauteuil roulant. Les personnes âgées sont les premières concernées. Elles devraient marcher tous les jours, faire du vélo ou de la course à pied pour garder leurs jambes et pieds solides et en bonne santé. Des études ont montré que cela permet d’avoir une meilleure qualité de vie, de rester en bonne santé et de vivre plus longtemps. Quels traitements pour rajeunir les jambes ? P our garder ou récupérer des jambes fermes, les premières étapes essentielles sont d’une part de les soumettre à des mouvements répétés quotidiens comme marcher sur de longues distances, et d’autre part, de manger des aliments riches en protéines. D’abord bouger Des mouvements répétés activent la circulation du sang dans les jambes, ce qui amène une plus grande quantité d’oxygène, d’acides aminés et de vitamines aux tissus. Sans mouvement, l’irrigation sanguine des tissus non mobilisée devient vite insuffisante. Sans sang suffisant dans les jambes, les hormones et micronutriments apportés par une supplémentation par voie générale n’arriveront pas ou pas suffisamment là où il le faut, exception faite de traitements locaux. Le traitement est voué à l’échec même avant de commencer. Seuls des mouvements répétés des jambes permettront aux traitements nutritionnels et hormonaux régénérateurs d’agir partout dans la peau, les muscles et les os des jambes. 33 Cette digestion peut-être améliorée en prenant des suppléments d’acides aminés fortement dosés, et si nécessaire, de l’acide chlorhydrique et des enzymes pancréatiques qui aident à mieux digérer. Les acides aminés, que l’on peut se procurer en compléments alimentaires, sont plus faciles à absorber que les protéines entières que l’on retrouve dans les aliments entiers. Les protéines sont composées d’acides aminés joints les uns aux autres. Une digestion adéquate morcèle efficacement les protéines en acides aminés. Chez les personnes âgées et malades, le système digestif n’y arrive plus correctement faute d’un tarissement de leur sécrétion d’acide par l’estomac et d’enzymes digestives par le pancréas, mais reste compétent pour absorber des acides aminés. Les vertus de l’eau et de la thalassothérapie Bien digérer pour les jambes Pour raffermir les jambes, je recommande également de mettre tout en œuvre pour que la digestion soit bonne. Une bonne digestion des aliments permet d’absorber les acides aminés nécessaires à la production des fibres de collagène, élastiques et musculaires de la peau et des muscles des jambes. Or, chez la plupart des personnes âgées, la digestion laisse à désirer. Cette mauvaise digestion freine l’absorption d’acides aminés et de micronutriments des aliments et empêche même de bien absorber les suppléments nutritionnels et hormonaux, ce qui prive les jambes d’éléments essentiels à leur fermeté et santé. Lorsque la circulation de sang dans les jambes devient insuffisante, des traitements de type thalassothérapie, qui utilisent l’eau, peuvent restaurer une meilleure irrigation sanguine. Plonger les jambes dans un bain ou un jacuzzi d’eau chaude peut aider. Appliquer des serviettes humides chaudes sur les jambes ou les envelopper dans des essuie-mains réchauffés au préalable peut augmenter fortement le flux de sang et guérir des plaies. Cependant, pour profiter des effets thérapeutiques de l’eau, une méthode prime sur toutes les autres pour restaurer la circulation de sang dans les jambes Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 8 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES et pieds : l’alternance de bains chauds et froids. Pour bien comprendre le mécanisme d’action, examinons pourquoi des maladies peuvent persister. Quand une maladie ne guérit pas et reste chronique, c’est parce qu’à l’intérieur de l’organe ou du tissu malade seuls quelques capillaires sont ouverts, 20 à 30 %, pas plus. Les capillaires sont les minuscules vaisseaux sanguins qui irriguent les tissus et leur apportent le sang. Tant qu’un petit nombre de capillaires sont ouverts, le tissu ne peut pas guérir par manque de sang et de nutriments qu’il charrie. Pour guérir des tissus malades chroniquement dans une jambe, à cause d’athérosclérose (vieillissement des artères) par exemple, il faut ouvrir tous les capillaires dans et autour de ces tissus. La meilleure méthode pour rouvrir tous les capillaires est donc de plonger la partie du corps malade (une jambe par exemple) dont les capillaires ne s’ouvrent pas assez alternativement dans un bain d’eau glacée, puis dans un bain d’eau chaude, puis de nouveau dans un bain froid, puis chaud, etc. Une autre manière serait d’appliquer alternativement des compresses ou enveloppements imprégnés d’eau chaude puis d’eau froide. Chaque session d’eau froide et chaque session d’eau chaude prend environ 30 à 120 secondes. Si le plus gros du problème est un manque de sang, il est habile de commencer par appliquer de l’eau froide sur les pieds ou les jambes. Puis, après 30 à 120 secondes, faire la même chose avec de l’eau chaude pendant 30 à 120 secondes. Ensuite, utiliser à nouveau de l’eau froide, puis de l’eau chaude, puis de l’eau froide, etc. J’applique généralement quatre sessions d’eau froide, chacune suivie d’une session d’eau chaude. Lorsque le problème prédominant est un manque d’approvisionnement en sang et/ou un endommagement des tissus qui doivent être réparés, la dernière application ou le dernier bain doit être à l’eau chaude, ce qui élargit tous les capillaires nécessaires pour le processus de guérison. Au cas où la douleur ou l’inflammation est le plus gros problème, la dernière application ou le dernier bain doit se faire avec de l’eau très froide, car le froid réduit autant l’inflammation que l’œdème et la douleur. Cependant, si vous n’avez pas le temps, vous pouvez appliquer une crème ou un baume à la dihydroquercétine et au camphre. Ce produit est disponible par Internet sous le nom de « Capillar », venant de Russie. Une application en une seule couche (inutile de frotter plusieurs fois) ouvre tous les capillaires, les petits vaisseaux de la peau et des tissus sousjacents, augmentant fortement l’apport de sang à ces niveaux. Le régime alimentaire qu’il faut à vos jambes Quel est le meilleur régime alimentaire pour les jambes ? Presque toujours, le régime dit « paléolithique » constitue le meilleur choix alimentaire pour les jambes. Le « Paléolithique » est la période où l’homme était un chasseur d’animaux de proie et un cueilleur de fruits et légumes. Cette période a précédé le Néolithique, période où est apparue l’agriculture et où 33 l’homme est devenu plus sédentaire. Le régime paléolithique est constitué de fruits à basse teneur en sucres, légumes, grains germés, viande, poissons, volaille et œufs. Ce régime donne de bons résultats chez les jeunes pour muscler les jambes. Ses résultats sont aussi intéressants, mais pas suffisants à eux seul, pour raffermir les jambes des personnes âgées. À l’inverse, les aliments riches en hydrates de carbone comme le sucre concentré, les sucreries et les céréales non germées, de même que les produits laitiers ne conviennent pas. Ces aliments irritent l’intestin et freinent la digestion des aliments riches en protéines, diminuant l’absorption d’acides aminés et d’autres nutriments. Les aliments à base de céréales comme le pain, les pâtes ou le muesli sont aussi connus pour augmenter l’incidence et la sévérité de rhumatisme dans les articulations en général, et donc aussi dans les jambes. Une consommation plus importante d’aliments riches en protéines, comme la viande, la volaille, le poisson, etc., peut épaissir la peau et rendre une peau vieillie et rigide plus élastique. Ils peuvent aussi rendre la peau moins sensible aux bleus (hématomes). Le tout peut être renforcé par la prise d’un mélange des principaux acides aminés qui forment le collagène et les fibres élastiques tels que la proline, l’hydroxyproline, la glycine, et la thréonine. Les résultats, ici aussi, sont meilleurs chez les jeunes que chez les personnes très âgées, parce que les premiers ont un taux d’hormones plus élevé. Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 9 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Les suppléments nutritionnels Quels suppléments nutritionnels utiliser pour fortifier les jambes ? Pour renforcer les muscles des jambes, un supplément contenant un mélange équilibré d’acides aminés et un supplément d’acides aminés à chaîne ramifiée tels que la valine, la leucine et l’isoleucine peut améliorer la fermeté des jambes, davantage les muscles que la peau. ULCÈRE ARTÉRIEL Patient : Femme âgée de 71 ans avec ulcères artériels du côté interne des deux mollets. Avant Les suppléments hormonaux Et que peuvent faire les thérapies hormonales ? Celles-ci savent reconstruire les muscles des jambes bien plus efficacement que les suppléments en acides aminés. La testostérone, l’hormone mâle, et encore plus l’IGF-1 sont les hormones qui dominent dans ce domaine. L’IGF-1 ou insulinlike growth factor 1 ou facteur de croissance semblable à l’insuline est appelé ainsi parce que sa structure et ses effets ressemblent à ceux de l’insuline. Un exemple d’efficacité de la testostérone pour régénérer les tissus de la jambe, en particulier en cas d’athérosclérose, est présenté cicontre. 33 D’autres hormones comme l’hormone de croissance, l’insuline et la DHEA aident aussi. La DHEA a de faibles effets de renforcement de la musculature des jambes (que chez les personnes minces) et de réduction des graisses comparée au trio prédominant pour les muscles (IGF-1, testostérone et hormone de croissance). Mais elle joue bien son rôle capital de bloquer tout effet du vieillissement prématuré produit par la formidable hormone d’énergie et anti-inflammatoire qu’est le cortisol. Après 2 mois de testostérone à doses élevées Après 3 mois de testostérone Après 8 mois de testostérone Source: Moller J., Einfeldt H. Testosterone treatment of cardiovascular diseases. Springer-Verlag Berlin heidelberg New York Tokyo, 1984; Appendix p.57. Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 10 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Le tableau ci-dessous présente un aperçu des diverses interventions médicales qui peuvent aider à guérir ou à réduire les signes physiques du vieillissement des jambes et des pieds. Signe de vieillissement Dose Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 2 x 5 à 10 minutes par jour de contractions isométriques de 10 à 20 secondes des muscles des jambes (isométriques = contractions prolongées dans la même position contre un mur par exemple) 3 mois 6 mois ±à+ Alimentation de type paléolithique (fruits pauvres en sucre, légumes, viande, poisson, volaille, œufs) 6 mois 6 mois ±à+ Bouillir ou cuire à la vapeur tous les légumes, viandes, volaille et œufs 6 mois 6 mois ±à+ Acide chlorhydrique : 1-3 x 150300 mg/jour, au début des repas 6 mois 6 mois ±à+ Enzymes pancréatiques 2-3 x 100600 mg/jour, à la fin des repas 6 mois 6 mois ±à+ Éviter les aliments allergènes (faire des tests d’allergie alimentaire pour savoir quels sont les aliments à éviter) 6 mois 6 mois ±à+ Augmenter l’apport alimentaire/ calorique à ≥ 2000 kcal/jour chaque fois que cela est nécessaire 6 mois 6 mois ±à+ Augmenter l’apport en aliments riches en protéines (viande, poisson, volailles, œufs) ≥ 180 g/jour 6 mois 6 mois ±à+ Éviter les sucreries, le sucre, les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, de riz, etc.), les noix : n’en prendre pas plus qu’une seule fois par semaine 6 mois 6 mois ±à+ Consommer des céréales seulement si elles sont germées et des noix seulement si elles ont été trempées préalablement dans de l’eau 6 mois 6 mois ±à+ Mélange 2 x 3 g/jour, 10 minutes avant d’acides aminés les repas 6 mois 6 mois ± Acides aminés à chaine ramifiée 2 x 2 g/jour, 10 minutes avant les repas 6 mois 6 mois ± Carnitine 3-4 g/jour, au réveil (ou acétyl-L-carnitine 2-3 g/jour) 6 mois 6 mois ±à+ Créatine 2 x 3-5 g/jour, 10 minutes avant les repas ou des exercices physiques 6 mois 6 mois ± Glutamine 2-3 x 1-5 g/jour au réveil, avant l’exercice et au coucher 6 mois 6 mois ± à +± Vitamine D 2 000 - 4 000 UI/jour, au réveil 6 mois 6 mois ± Thérapie Exercice physique Améliorer la digestion Perte de muscle et d’os des hanches, jambes, et cuisses (atrophiés) Améliorer le régime alimentaire Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 11 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Perte de muscle et d’os des hanches, jambes, et cuisses (atrophiés) Thérapie Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 6 mois 6 mois ± Calcium 1-1,5 g/jour, au coucher IGF-1 Injections sous-cutanées de 0,2-1,2 mg/ jour, avant un repas ou ensemble avec l’hormone de croissance au coucher 4-6 mois 9-18 mois ± à +± Hormone de croissance Injections sous-cutanées de 0,1-0,6 mg/ jour, au coucher 4-6 mois 9-18 mois 0à+ Testostérone (hommes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone 1 x 250 mg tous les 1014 jours 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Testostérone (hommes) Gel transdermique liposomal à 10 % à appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite audessus des clavicules, etc., au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Testostérone (femmes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1x 50-70 mg par mois sous protection de finastéride, un bloqueur de la conversion de testostérone en l’hormone hypervirilisante, la dihydrotestostérone 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Finastéride 2,5-10 mg/jour, au réveil Ou testostérone (femmes) Gel transdermique à 0,5 % à appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Affaissement de la partie intérieure des cuisses Dose 33 0 à ±, parfois sur les cuisses pour protection locale contre une poussée de poils Œstradiol transdermique à 0,06 % : de 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois 6-12 mois Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois 6-12 mois DHEA 15-30 mg/jour (femmes) et 25-70 mg/ jour (hommes), au réveil 4-6 mois 3-6 mois 0à+ Exercice physique 2 x 5 à 10 minutes/jour de contractions isométriques de 10 à 20 secondes des muscles des jambes 3 mois 6 mois ±à+ Acide chlorhydrique : 1-3x 150300 mg/jour, au début des repas 6 mois 6 mois ±à+ Enzymes pancréatiques 2-3x 100600 mg/jour, à la fin des repas 6 mois 6 mois ±à+ Augmenter l’apport en aliments riches en protéines (viande, poisson, volailles, œufs) ≥ 180 g/jour 6 mois 6 mois ±à+ Éviter les sucreries, le sucre, les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, riz, etc.), les noix : n’en prendre qu’une seule fois par semaine 6 mois 6 mois ±à+ Améliorer la digestion Choisir de meilleurs aliments, peut-être manger plus Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 12 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Affaissement de la partie intérieure des cuisses 33 Dose Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact Choisir de meilleurs aliments, peut-être manger plus Consommer des céréales seulement si elles sont germées et des noix seulement si elles ont été préalablement trempées dans de l’eau 6 mois 6 mois ±à+ Acides aminés à chaine ramifiée 2 x 2 g/jour, 10 minutes avant les repas 6 mois 6 mois ± Carnitine 3-4 g/jour, au réveil (ou acétyl-Lcarnitine 2-3 g/jour) 6 mois 6 mois ±à+ Créatine 2 x 3-5 g/jour, 10 minutes avant les repas ou des exercices physiques 6 mois 6 mois ± Glutamine 2-3 x 1-5 g/jour au réveil, avant l’exercice et au coucher 6 mois 6 mois ± à +± MSH (hormone stimulatrice des mélanocytes) Injections sous-cutanées de 0,1-0,2 mg/ jour à tout moment de la journée ou six heures avant le rapport sexuel si des effets liés à la sexualité sont aussi recherchés 6 mois 6 mois ± à ++ IGF-1 Injections sous-cutanées de 0,2-1,2 mg/ jour, avant un repas ou ensemble avec l’hormone de croissance au coucher 4-6 mois 9-18 mois ± à +± Hormone de croissance Injections sous-cutanées de 0,1-0,6 mg/ jour, au coucher 4-6 mois 9-18 mois 0à+ Relaxine Injections sous-cutanées de 5-20 µg/ jour, avant un repas ou ensemble avec l’hormone de croissance au coucher 4-6 mois 9-18 mois ±à+ Testostérone (hommes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone 1 x 250 mg tous les 1014 jours 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Ou testostérone (hommes) Gel transdermique liposomal à 10 % à appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite au-dessus des clavicules, etc., au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Testostérone (femmes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1 x 50-70 mg par mois sous protection de finastéride 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Finastéride 2,5-10 mg/jour, au réveil Ou testostérone (femmes) Gel transdermique à 0,5 % à appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ 6-12 mois 0 à ±, parfois sur les cuisses pour protection locale contre une poussée de poils Thérapie Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Œstradiol transdermique à 0,06 % : de 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 13 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Affaissement de la partie intérieure des cuisses Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 15-30 mg/jour (femmes) et 25-70 mg/ jour (hommes), au réveil 4-6 mois 3-6 mois 0à+ Augmenter l’apport d’aliments riches en protéines ≥ 250 g/jour 6 mois 6 mois ±à+ Manger plus de légumes crus (à l’exception de choux car ils contiennent des substances qui diminuent l’activité thyroïdienne) 6 mois 6 mois 0à+ Éviter les sucreries, le sucre, les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, de riz, etc.), les noix : n’en prendre qu’une seule fois par semaine. 6 mois 6 mois 0à+ Arrêter les boissons et les aliments avec caféine (café, thé, cola, chocolat noir), arrêter les boissons acides (sodas, café décaféiné) 6 mois 6 mois 0à+ Arrêter l’alcool (vin, bière, champagne, boissons fortes), les boissons et les aliments avec caféine (café, thé, cola, chocolat noir) 6 mois 6 mois 0à+ Bouillir les aliments, les cuire à la vapeur ou les manger crus, mais éviter de les cuire à haute température dans de l’huile ou du beurre 6 mois 6 mois 0à+ Chrome GTF 2 x 0,8-1,6 mg/jour, au réveil et tard dans l’après-midi pour réduire l’appétit pour les sucreries 6 mois 6 mois 0à+ 5HTP (5-hydroxytryptophane) 25 mg au réveil, puis 3 x 10-15 mg toutes les 3-4 heures pour réduire l’appétit 6 mois 6 mois 0à± Hormone de croissance Injections sous-cutanées de 0,1-0,6 mg/ jour, au coucher 4-6 mois 9-18 mois 0 à +± Testostérone (femmes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1 x 50-70 mg par mois jusqu’à 2 x 60 mg par mois sous protection de finastéride 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Finastéride 2,5-10 mg/jour, au réveil Ou testostérone (femmes) Gel transdermique à 0,5 % à appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Hormones féminines à ajouter à la Œstradiol transdermique à 0,06 % : de testostérone 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e chez les femmes au 25e jour du cycle menstruel pour éviter la masculinisation 4-6 mois 6-12 mois 0 à ± sur les muscles Thérapie DHEA Améliorer le régime alimentaire Cellulite (femmes) 33 Dose 14 Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Cellulite (femmes) Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 4-6 mois 6-12 mois 0 à ± sur les muscles Augmenter l’apport en aliments riches en protéines (viande, poisson, volailles, œufs) ≥ 180 g/jour 6 mois 6 mois 0à± Éviter les sucreries, le sucre, les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, de riz, etc.), les noix : n’en prendre qu’une seule fois par semaine 6 mois 6 mois 0à+ Mélange 2x 3 g/jour, 10 minutes avant les repas d’acides aminés 6 mois 6 mois ± Vitamine D 2000 - 4000 UI/jour, au réveil 6 mois 6 mois ± Vitamine D crème à 0.2 % 1-2 x à appliquer sur le pourtour du genou 2-6 mois 6 mois ±à+ Hormone de croissance Injections souscutanées de 0,1-0,6 mg/jour, au coucher 4-6 mois 9-18 mois 0à+ IGF-1 Injections souscutanées de 0,2-1,2 mg/jour avant un repas ou ensemble avec l’hormone de croissance, au coucher 4-6 mois 9-18 mois 0à+ Testostérone (hommes) Gel transdermique liposomal à 10 % 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Testostérone (femmes) Gel transdermique liposomal à 0,1 à 0,25 % 4-6 mois 6-12 mois ±à+ 4-6 mois 6-12 mois 0à± Thérapie Dose Hormones féminines à ajouter à la Progestérone orale ou vaginale 100testostérone 200 mg, au coucher du 15e au 25e jour chez les femmes du cycle menstruel pour éviter la masculinisation Améliorer l’alimentation Genoux déformés et épaissis (arthrose) 33 Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Injecter 1-2 x/ jour en 3 à 6 points autour du genou au réveil et au coucher Appliquer et frotter 2 x/ jour en très fine couche sur les côtés et à l’arrière du genou, au réveil et au coucher Œstradiol transdermique à 0,06 % : de 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 15 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Dose Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact Manger plus de fruits frais > 400 g pour avoir une activité thyroïdienne plus poussée 6 mois 6 mois 0à± Éviter la consommation d’une grande quantité d’aliments riches en protéines, ce qui réduit la fonction thyroïdienne : consommer moins de 200 g/jour 6 mois 6 mois 0à± Éviter la consommation de chou (chou-fleur, etc.), qui a une action antithyroïdienne 6 mois 6 mois 0à± Iode Lugol (mélange d’iode et d’iodure de potassium) : 1 goutte (6,4 mg d’iode)/ jour et pas plus, sinon l’iode peut réduire la fonction thyroïdienne en diminuant la sécrétion de l’hormone thyroïdienne T4 6 mois 6 mois 0à± Sélénium 200 µg/jour, au réveil qui accélère la conversion de l’hormone thyroïdienne T4 en l’hormone plus active T3 6 mois 6 mois 0à± Fer 40-80 mg de fer élémentaire par jour en cas de déficience en fer, à prendre après le repas du soir pour éviter les troubles digestifs 6 mois 6 mois 0à± Extrait thyroïdien (poudre desséchée) : 30-180 mg/jour 4-6 mois 6-12 mois + à ++ Augmenter l’apport en aliments riches en protéines 6 mois 6 mois 0à± Améliorer l’alimentation Éviter les sucreries, le sucre, les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, riz, etc.), les noix : n’en prendre qu’une seule fois par semaine 6 mois 6 mois 0à+ Vitamine B3 Niacine 300 mg/jour, au réveil 6 mois 6 mois ±à+ Vitamine C 2x 0,5-1 g/jour, au réveil 6 mois 6 mois ±à+ Manganèse 15-5 mg/jour, au réveil 6 mois 6 mois ±à+ Éviter les nutriments qui augmentent la fluidité du sang Arrêter ou réduire la vitamine E et les acides gras oméga-3 polyinsaturés (huile de lin, huile de poisson, etc.) 1-2 mois 6 mois ± à ++ Testostérone (hommes) Gel transdermique liposomal à 10 % à appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite au-dessus des clavicules, etc., au réveil 2-6 mois 6-12 mois ± à +± Testostérone (femmes) Gel transdermique à 0,5 % à appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 2-6 mois 6-12 mois ± à +± Signe de vieillissement Thérapie Améliorer l’alimentation Mollets gonflés avec œdème qui ne prend pas le godet (pas de marques lorsqu’on appuie avec un doigt sur les mollets gonflés) Hormones thyroïdiennes Ecchymoses sur les cuisses et les jambes Taches rouges (pétéchies) sur le bas des jambes et les chevilles 33 16 Combinaisons T4-T3 : ½ à 1,5 comprimé/jour Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Thérapie Dose Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Œstradiol transdermique à 0,06 % : de 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel Manger plus d’aliments à base de protéines animales Ecchymoses sur les cuisses et les jambes Taches rouges (pétéchies) sur le bas Corriger l’excès des jambes et en cortisol les chevilles Hydrocortisone : maximum de 20, 30, Diminuer la prise ou 40 mg/jour d’un traitement Méthylprednisolone : en cours maximum de 3, 4 ou 5 mg/jour DHEA Testostérone Augmenter Œstrogènesles hormones « anabolisantes » progestérone Hormone de croissance/IGF-1 Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 4-6 mois 6-12 mois ± 1-3 mois 2-6 mois ±à+ 1-3 mois 2-6 mois ± à +± 1-3 mois 2-6 mois ± à +± 2-6 mois 2-6 mois ±à+ 2-6 mois 2-6 mois ± 2-6 mois 2-6 mois ± 2-6 mois 2-6 mois ± 2-6 mois 2-6 mois 0à+ DHEA 15-30 mg/jour (femmes) et 25-70 mg/ jour (hommes), au réveil Améliorer la digestion Acide chlorhydrique : 1-3x 150-300 mg/jour, au début des repas 6 mois 6 mois 0à+ Augmenter l’apport alimentaire/ calorique à ≥ 2000 kcal/jour chaque fois que cela est nécessaire 6 mois 6 mois 0à± Augmenter l’apport en aliments riches en protéines (viande, poisson, volailles, œufs) ≥ 180g/jour 6 mois 6 mois 0à± Éviter les sucreries, le sucre, les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, riz, etc.), les noix : n’en prendre qu’une seule fois par semaine 6 mois 6 mois 0à+ 6 mois 6 mois ± Améliorer le régime alimentaire Peau très mince sur le bas des jambes 33 Mélange 2 x 3 g/jour, 10 minutes avant d’acides aminés les repas Hormone de croissance Injections sous-cutanées de 0,1-0,6 mg/ jour au coucher 4-6 mois 9-18 mois 0à+ IGF-1 Injections sous-cutanées de 0,2-1,2 mg/ jour avant un repas ou ensemble avec l’hormone de croissance au coucher 4-6 mois 9-18 mois ± à +± Insuline (à longue durée d’action) Injections sous-cutanées detemir ou glargine de 0.5-4 IU, avant un repas ou ensemble avec l’hormone de croissance au coucher 4-6 mois 9-18 mois ±à+ Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 17 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Peau très mince sur le bas des jambes Varicosités Thérapie DHEA lors de la prise de cortisol pour éviter les effets cataboliques Améliorer le régime alimentaire pour éviter tout ballonnement intestinal du bas-ventre et donc compression des vaisseaux lymphatiques qui évacuent la lymphe (liquide entre les cellules). Une compression lymphatique provoque par accumulation de la lymphe une compression des capillaires qui se dilatent en amont et s’éclatent en varicosités 33 Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 15-30 mg/jour (femmes) et 25-70 mg/ jour (hommes), au réveil 4-6 mois 3-6 mois 0à+ Augmenter l’apport en aliments riches en protéines (viande, poisson, volailles, œufs) ≥ 180g/jour 2-6 mois 2-6 mois Éviter les céréales (pain, pâtes, muesli, porridge, de riz, etc.), les noix et autres semences non germées qui irritent l’intestin : n’en prendre pas plus d’une seule fois par semaine 2-6 mois 2-6 mois Dose +± pour prévenir de nouvelles varicosités Consommer des céréales seulement si elles sont germées et des noix seulement si elles ont été trempées préalablement dans de l’eau 6 mois 6 mois Testostérone (hommes) gel transdermique liposomal à 10 % Appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite au-dessus des clavicules, etc., au réveil 4-6 mois 6-12 mois ± à + pour prévenir Testostérone (femmes) gel transdermique liposomal à 0,5 % Appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ± à + pour prévenir 4-6 mois 6-12 mois 0 Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Œstradiol transdermique à 0,06 % : à -30 à -65 % de la dose habituelle (de 0,5 à 1,5 mg/jour), au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 18 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Varicosités Varices sur les jambes 33 Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact Thérapie Dose Éviter des œstrogènes oraux Éviter de prendre des œstrogènes par la bouche, car ceux-ci s’accumulent alors dans le foie qui, « sous dominance œstrogénique », produit alors un excès de SHBG (sex hormone binding globulin), la protéine transporteuse d’androgènes (hormones mâles). Cet excès garde les hormones mâles trop solidement attachées à des molécules de SHBG dans le sang, les empêchant d’exercer leur action protectrice antivarice sur la paroi musculaire des capillaires et veines. Position Éviter la station debout prolongée 1-2 ans 1-5 ans Meilleur régime alimentaire Augmenter l’apport en aliments riches en protéines (viande, poisson, volailles, œufs) ≥ 180 g/jour, pour produire de bonne fibres musculaires dans la paroi des veines 1-2 ans 1-5 ans Éviter l’alcool qui dilate les veines des jambes 1-2 ans 1-5 ans Mélange 2 x 3 g/jour, 10 minutes avant d’acides aminés les repas 1-2 ans 1-5 ans Acides aminés à chaine ramifiée 2 x 2 g/jour, 10 minutes avant les repas 1-2 ans 1-5 ans Testostérone (hommes) gel transdermique liposomal à 10 % Appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite audessus des clavicules, etc., au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Appliquer en frottant 10 fois d’avant en arrière sur le front, les côtés du cou, au-dessus des clavicules, etc. au réveil 4-6 mois 6-12 mois ± à +± pour prévenir Ajouter une application locale sur varices des jambes 2 x/jour en le frottant du bas vers le haut (jamais dans le sens inverse : dans le sens du flux de sang) 4-6 mois 6-12 mois 0à± Appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ± à +± pour prévenir Ajouter une application locale de testostérone 0,1-0,25 % sur varices des jambes 2 x/jour en le frottant du bas vers le haut (jamais dans le sens inverse, toujours dans le sens du flux de sang) 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ (parfois curatif) Testostérone (hommes) gel transdermique liposomal à 10 % Testostérone (femmes) gel transdermique liposomal à 0,5 % ± à + utile pour prévenir la survenue de nouvelles varicosités et l’aggravation d’anciennes Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com ± à +± pour prévenir ± pour prévenir la survenue de nouvelles varices et l’aggravation d’anciennes 19 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Thérapie Dose Durée nécessaire pour améliorer clairement Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Œstradiol transdermique à 0,06 % : à -30 à -65 % de la dose habituelle (de 0,5 à 1,5 mg/jour), au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois 6-12 mois Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois 6-12 mois Éviter la prise d’œstrogènes oraux Éviter de prendre des œstrogènes par la bouche, car ceux-ci s’accumulent alors dans le foie qui, « sous dominance œstrogénique», produit alors un excès de SHBG (sex hormone binding globulin), la protéine transporteuse d’androgènes (hormones mâles). Cet excès garde les hormones mâles trop solidement attachées à des molécules de SHBG dans le sang, les empêchant d’exercer leur action protectrice antivarice sur la paroi musculaire des capillaires et veines. Améliorer l’alimentation Augmenter l’apport en aliments riches en protéines : ≥ 200 g par jour Bains ou tissus froids/chauds alternés Durée de chaque bain : 1,5 à 2 minutes ; 4 bains ou applications froides, 4 chaudes Baume qui ouvre les capillaires A appliquer localement ; le baume contient de la dihydroquercitine et du camphre ; ex. : Capillar Varices sur les jambes Ulcères veineux de la jambe (de couleur rougebrun) 33 Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 0 ± à + utile pour prévenir la survenue de nouvelles varices et l’aggravation d’anciennes 6 mois 6 mois 0à+ 2 -4 semaines 4-12 semaines ± à +± Mélange 2 x 3 g/jour, 10 minutes avant d’acides aminés les repas 6 mois 6 mois ± 1 à 4 g/jour au réveil en fonction du Acides gras degré de l’inflammation ; à des doses > polyinsaturés de 2 g/jour, ajouter 400 mg de vitamine E type oméga-3 pour éviter une surproduction de radicaux libres 6 mois 6 mois 0à+ Silicium 2 x 10 mg/jour, au réveil et au coucher 6 mois 6 mois 0à± Testostérone (hommes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1x 250 mg tous les 10-14 jours 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite au-dessus des clavicules, etc., au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Appliquer aussi 2 x/jour le gel de testostérone à 10 % sur le pourtour des ulcères et éventuellement légèrement sur la surface de ceux-ci 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1 x 50-70 mg tous les 10-14 jours 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Testostérone (hommes) gel transdermique liposomal à 10 % Testostérone (femmes) Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 20 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Thérapie Finastéride Ulcères veineux de la jambe (de couleur rougebrun) Testostérone (femmes) gel transdermique liposomal à 0,5 % Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Ulcères artériels (de la jambe ou) du pied (de couleur plus pâle) 33 Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 2,5-10 mg/jour au réveil pour éviter chez les femmes la masculinisation liée à la dihydrotestostérone, particulièrement des injections 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Appliquer aussi 2 x/jour le gel de testostérone à 0,1-0,25 % 2 x/jour sur le pourtour des ulcères et éventuellement légèrement sur la surface de ceux-ci 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Œstradiol transdermique à 0,06 % : de 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois 6-12 mois Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel 4-6 mois 6-12 mois 6 mois 6 mois Dose Améliorer l’alimentation Augmenter l’apport en protéines, y compris les poissons et les fruits de mer : ≥ 200 g par semaine Bains ou tissus froids/chauds alternés Durée de chaque bain : 1,5 à 2 minutes ; 4 bains ou applications froides, 4 chaudes Baume qui ouvre les capillaires A appliquer localement, contient de la dihydroquercitine et du camphre ; ex. : Capillar ±à+ ± 21 2-4 semaines 4-12 semaines ± à +± Mélange 2 x 3 g/jour, 10 minutes avant d’acides aminés les repas 6 mois 6 mois ± Mélange 2 x 3 g/jour, 10 minutes avant d’acides aminés les repas 6 mois 6 mois ± 1 à 4 g/jour, au réveil en fonction du Acides gras degré de l’inflammation ; à des doses > polyinsaturés de 2 g/jour, ajouter 400 mg de vitamine E type oméga-3 pour éviter une surproduction de radicaux libres 6 mois 6 mois 0à+ Silicium 2x 10 mg/jour, au réveil et au coucher 6 mois 6 mois ± à ++ Zinc 25-75 mg/jour au coucher 6 mois 6 mois ± Testostérone (hommes) Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1 x 250 mg tous les 10-14 jours 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Appliquer en frottant 10 fois de gauche à droite sur le front, de haut en bas sur les côtés du cou, de gauche à droite au-dessus des clavicules, etc., au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Appliquer aussi 2 x/jour le gel de testostérone à 10 % 2 x/jour sur le pourtour des ulcères et éventuellement légèrement sur la surface de ceux-ci 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Testostérone (hommes) gel transdermique liposomal à 10 % Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Signe de vieillissement Durée nécessaire pour améliorer clairement Durée de persistance des bénéfices après arrêt du traitement Degré d’efficacité/ impact 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ Appliquer en frottant 10 fois de haut en bas sur la partie interne de l’avant-bras, au réveil 4-6 mois 6-12 mois ±à+ Appliquer aussi 2 x/jour sur les zones autour des ulcères sur les jambes 4-6 mois 6-12 mois ± à ++ 4-6 mois 6-12 mois ±à+ A injecter en 3 à Injections sous-cutanées de 0,2- 6 points 1,2 mg/jour avant un repas ou autour de ensemble avec l’hormone de l’ulcère de croissance au coucher la jambe 1-2 x/jour Levimir ou glargine 1 x 0,5-2 au réveil U/jour avant un repas ou et au ensemble avec l’hormone de croissance et l’IGF-1 au coucher coucher 4-6 mois 9-18 mois 4-6 mois 9-18 mois 6 mois 6 mois Améliorer l’alimentation Apport en légumes crus 2-4 mois 2-4 mois ±à+ Enzymes pancréatiques Contient de la lipase pour digérer et absorber les bonnes graisses : 100-400 mg à la fin d’un repas riche en graisse saine 3-6 mois 6 mois ±à+ Acides gras oméga-6 polyinsaturés 2-7 g d’huile de bourrache par jour 2-4 mois 2-4 mois ++ Thérapie Injections intramusculaires d’énanthate de testostérone : 1 x 50-70 mg tous les 10-14 jours Finastéride 2,5-10 mg/jour au réveil pour éviter chez les femmes la masculinisation liée à la dihydrotestostérone, particulièrement des injections Œstradiol transdermique à 0,06 % : de 0,75 à 2,25 mg/jour, au réveil du 15e au 25e jour du cycle menstruel Hormones féminines à ajouter à la testostérone chez les femmes pour éviter la masculinisation Progestérone orale ou vaginale 100200 mg, au coucher du 15e au 25e jour du cycle menstruel Hormone de croissance Injections sous-cutanées de 0,1-0,6 mg/jour au coucher IGF-1 Insuline (à action prolongée) Peau floconneuse, squameuse sur le bas des jambes Dose Testostérone (femmes) Testostérone (femmes) gel transdermique (liposomal ou non) à 0,5 % Ulcères artériels (de la jambe ou) du pied (de couleur plus pâle) 33 22 ± à +± Conclusion Q uel plaisir de pouvoir se tenir debout et marcher autant que l’on veut parce que nos jambes vont bien ! N’est-il pas agréable d’être en mesure de pouvoir attendre en position debout dans une rue ou une pièce sans perdre l’équilibre, et d’être en mesure de pouvoir courir ou danser comme on le souhaite ? En général, nous ne percevons l’importance de ce plaisir-là que lorsque nous commençons à perdre nos capacités. La meilleure façon de l’éviter est de prévenir le vieillissement de nos jambes. Si les jambes ne sont pas utilisées, elles « rouillent » et se dégradent. Utilisez-les donc. Marcher 30 minutes par jour est non seulement excellent pour garder les jambes en forme, mais aussi pour vivre environ 3 à 8 ans de plus ! Donc, continuez à bouger régulièrement. Ne laissez pas passer une occasion de vous mettre en marche. Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Questions souvent posées par les patients Les produits des traitements hormonaux couramment utilisés sont-ils de bonne qualité ? Oui, en général les hormones sont achetées et vendues en pharmacie et sont livrables uniquement sur prescription médicale, ce qui est la garantie d’un produit de qualité. La quasi totalité des hormones sont enregistrées comme traitement dans la pharmacopée officielle du pays. Il n’en va pas de même pour les hormones que l’on peut acheter sans prescription médicale par Internet. Pour l’hormone de croissance, par exemple, traitement hormonal disponible sur prescription médicale en pharmacie, il y a un marché parallèle, sur Internet et dans les centres de body building. On retrouve le phénomène aussi dans certains pays étrangers en voie de développement où aucune prescription médicale n’est nécessaire, et où fourmillent toutes sortes de marques différentes, les unes soi-disant meilleures que les autres. Presque systématiquement, lorsqu’on a pu vérifier chez un patient les effets d’une hormone de croissance achetée dans le circuit parallèle, les effets de ces traitements pris aux petites doses nécessaires pour rétablir une carence se sont révélés décevants ou insuffisants. Pas étonnant parce que le contenu et la qualité de ces produits ne sont pas contrôlés par un organisme indépendant. Le manque d’effet n’est pas toujours causé par un mauvais produit en soi, parfois le traitement ne fonctionne pas avec ce produit simplement parce que il n’y pas de conservateur dans le flacon, ce qui rend le produit inefficace trois à quatre jours après qu’un flacon ait été entamé. J’ai moi-même été contacté par une firme qui livrait une de ces hormones de croissance : j’ai dû injecter huit fois la dose normale pour obtenir les mêmes effets bénéfiques qu’avec la préparation achetée en pharmacie ! Il y a eu une époque pendant laquelle la DHEA était en vente libre aux États-Unis et le contenu des capsules ne correspondait souvent pas à ce qui était indiqué sur l’étiquette de la boîte. Elle est toujours en vente libre, mais dans la majorité des cas, le contenu correspond à ce qui est désigné. Mon expérience, cependant, auprès de mes patients qui prennent de la DHEA achetée en vente libre, est que leurs taux sanguins de DHEA sulfate dans le sang après prise de DHEA sont parfois inférieurs à ceux attendus. Bref, si vous obtenez votre préparation hormonale en pharmacie, le produit vendu a été officiellement enregistré et est garanti de qualité. Parfois, quand le produit n’est pas disponible en pharmacie dans un pays donné, il faut le faire venir de l’étranger. Dans ce cas-là, il faut que le fabriquant puisse vous envoyer sa fiche de contrôle de produit analysé par un organisme officiel et indépendant. Toute autre source est à rejeter : il faut une garantie de qualité par un certificat ad hoc que la firme doit pouvoir vous montrer. Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 23 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Questions souvent posées par les patients Quels sont les problèmes ou risques d’une thérapie hormonale ? Divers types de risques prédominent : le surdosage, le déséquilibre hormonal et des effets indésirables atypiques : 1. Le surdosage : Tout comme le manque d’hormones est nuisible, en diminuant la qualité de la vie et la santé, l’excès d’hormones produit des effets désagréables. Ces signes physiques et plaintes de surdosage viennent en règle générale très vite, en un à trois jours, et sont souvent facilement reconnaissables par le patient lui-même ce qui lui permet de rapidement diminuer la dose et rétablir la situation. 2. Le déséquilibre hormonal est un autre problème. Lors de traitements hormonaux, un taux d’hormones peut devenir excessif par rapport à un autre, entrainant souvent des effets atypiques. Un mauvais équilibre peut par exemple survenir chez une femme entre les deux hormones féminines œstradiol et progestérone. Les seins sont douloureusement tendus et le ventre ballonné lorsque le taux de progestérone est insuffisant par rapport au taux d’œstradiol. Il suffit d’ajouter ou augmenter la progestérone, et éventuellement de diminuer l’œstradiol pour restaurer l’équilibre. D’autres équilibres hormonaux doivent être respectés : l’équilibre chez la femme entre hormones mâles et DHEA d’une part et hormones féminines d’autre part, l’équilibre entre hormones thyroïdiennes et hormones féminines, l’équilibre entre hormone de croissance ou mélatonine, hormones calmantes et relaxantes d’une part, et hormones thyroïdiennes ou cortisol, hormones excitantes d’autre part, etc. Pour trouver les dosages corrects et corriger ces déséquilibres hormonaux, le médecin doit acquérir de l’expérience. Le patient doit lui aussi acquérir de l’expérience. Il peut aider son médecin à trouver l’équilibre hormonal optimal en apprenant à reconnaître les signes et plaintes liés au manque ou excès des hormones qu’il prend – cela grâce une information qui lui est généralement donnée. 3. Des effets indésirables graves sont fort rares et généralement pas observés avec les traitements aux hormones bio-identiques, substances naturelles propres au corps, contrairement aux dangers de certains médicaments créés par l’industrie pharmaceutique qui donnent facilement des effets indésirables, parfois même à doses minimes, parce que leur structure moléculaire ne convient pas aussi bien au corps humain que les traitements hormonaux à molécules bio-identiques. Ils sont pour cette raison aussi potentiellement plus toxiques. Cependant, les traitements hormonaux peuvent également donner des effets indésirables atypiques qui ne mettent pas la vie en danger. C’est assez souvent dû à des additifs présents dans les préparations hormonales que le patient ne tolère pas. Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 24 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Questions souvent posées par les patients Quels sont les effets Comme tout médicament, les traitements hormonaux peuvent donner des effets secondaires de surdosage ou dûs à un déséquilibre entre une hormone et une autre (une hormone étant relativement trop fortement dosée par rapport à une autre, requérant que l’on augmente aussi le niveau de l’hormone déficiente). C’est pour cette raison qu’au début d’un traitement hormonal on doit revenir plus souvent en consultation pour un contrôle des doses. secondaires des thérapies hormonales ? RÉFÉRENCES POUR DES JAMBES FERMES ET SOLIDES Perte de muscle et d’os aux hanches, cuisses et bas-jambes (atrophie) Affaissement de la partie interne des cuisses La pratique d’exercice physique régulier, et non pas la prise d’acides aminés améliore le volume et la force musculaire dans les jambes chez les personnes âgées 1. Godard MP, Williamson DL, Trappe SW. Oral amino-acid provision does not affect muscle strength or size gains in older men. Med Sci Sports Exerc. 2002 Jul;34(7):1126-31. (“All variables showed an improvement with training (P < 0.05); however, there were no differences between the groups.”) La prise de suppléments d’acides aminés, même sans exercices physiques, est efficace pour atténuer l’atrophie dans les jambes due à l’immobilité et l’arthrose chez des personnes âgées 2. Dreyer HC, Strycker LA, Senesac HA, Hocker AD, Smolkowski K, Shah SN, Jewett BA. Essential amino acid supplementation in patients following total knee arthroplasty. J Clin Invest. 2013 Nov;123(11):4654-66. (“28 older adults undergoing total knee arthroplasty (TKA). Patients were randomized to ingest either 20 g of Essential amino acids (EAAs) (n = 16) or placebo (n = 12) twice daily between meals for 1 week before and 2 weeks after TKA … EAAs also attenuated atrophy in the nonoperated quadriceps and in the hamstring and adductor muscles of both extremities. The EAA group performed better at 2 and 6 weeks after surgery on functional mobility tests (all P < 0.05). Change in quadriceps muscle atrophy was significantly associated with change in functional mobility (F = 5.78, P = 0.021).”) La prise de suppléments d’acides aminés en présence d’exercices physiques répétés est efficace pour améliorer le volume et la force musculaire dans les jambes 3. 4. 5. 6. Brooks NE, Cadena SM, Cloutier G, Vega-López S, Roubenoff R, Castaneda-Sceppa C. Influence of exercise on the metabolic profile caused by 28 days of bed rest with energy deficit and amino acid supplementation in healthy men. Int J Med Sci. 2014 Sep 21;11(12):1248-57. (“28 days of BR with 8 ± 6% energy deficit in male individuals (30-55 years) randomized to resistance exercise with amino acid supplementation (RT, n=24) or amino acid supplementation alone (EAA, n=7). U … healthier metabolic profile was maintained with exercise, including NormalMD (EAA: BLN: 124 ± 6 vs. BR: 110 ± 5 cm(2), RT: BLN: 132 ± 3 vs. BR: 131 ± 4 cm(2); p<0.001, time-by-group); although, exercise did not completely alleviate the unfavourable metabolic changes seen with BR”) Román E, Torrades MT, Nadal MJ, Cárdenas G, Nieto JC, Vidal S, Bascuñana H, Juárez C, Guarner C, Córdoba J, Soriano G. Randomized pilot study: effects of an exercise programme and leucine supplementation in patients with cirrhosis. Dig Dis Sci. 2014 Aug;59(8):1966-75. doi: 10.1007/s10620-014-3086-6. (“In the exercise group, exercise capacity improved, as shown by the increase in the 6-min walk test from 365 (160-420) to 445 m (250-500) (p = 0.01), and in the 2-min step test (p = 0.02). Lower thigh circumference also increased, from 41 (34-53) to 46 cm (36-56) (p = 0.02),”) Laboute E, France J, Trouve P, Puig PL, Boireau M, Blanchard A. Rehabilitation and leucine supplementation as possible contributors to an athlete’s muscle strength in the reathletization phase following anterior cruciate ligament surgery. Ann Phys Rehabil Med. 2013 Mar;56(2):102-12. (“The leucine group generally showed more improved muscle parameters than the placebo group, with only one significant positive result with regard to thigh muscle perimeter at 10cm from the patella (P=0.009).“) Willoughby DS, Stout JR, Wilborn CD. Effects of resistance training and protein plus amino acid supplementation on muscle anabolism, mass, and strength. Amino Acids. 2007;32(4):467-77. (“The protein supplement resulted in greater increases in total body mass, fatfree mass, thigh mass, muscle strength, serum IGF-1, IGF-1 mRNA, MHC I and IIa expression, and myofibrillar protein. Ten-wks of resistance training with 20 g protein and amino acids ingested 1 h before and after exercise is more effective than carbohydrate placebo”) . Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 25 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 7. 8. 9. 33 Kambis KW, Pizzedaz SK. Short-term creatine supplementation improves maximum quadriceps contraction in women. Int J Sport Nutr Exerc Metab. 2003 Mar;13(1):87-96. (“0.5 g x kg(-1) FFM of either CrH2O or placebo (.. Creatine monohydrate (CrH2O improves muscle performance in women without significant gains in muscle volume or body weight.) Ziegenfuss TN, Rogers M, Lowery L, Mullins N, Mendel R, Antonio J, Lemon P. Effect of creatine loading on anaerobic performance and skeletal muscle volume in NCAA Division I athletes. Nutrition. 2002 May;18(5):397-402. (“before and after 3 d of Cr (0.35 g/kg of fat-free mass) or P (maltodextrin) ingestion .. Cr supplementation can increase thigh muscle volume and may enhance cycle sprint performance in elite power athletes; moreover, this effect is greater in females as sprints are repeated.”) Willoughby DS, Rosene J. Effects of oral creatine and resistance training on myosin heavy chain expression. Med Sci Sports Exerc. 2001 Oct;33(10):1674-81.(“ For Type I, IIa, and IIx MHC mRNA expression, CRT was significantly greater than CON and PLC, ”) Taux bas en testostérone : association à une masse musculaire diminuée dans les jambes 10. Kojo G, Yoshida T, Ohkawa S, Odamaki M, Kato A, Takita T, Maruyama Y, Kumagai H. Association of serum total testosterone concentration with skeletal muscle mass in men under hemodialysis. Int Urol Nephrol. 2014 May;46(5):985-91. (The mean serum total testosterone in our hemodialysis (HD) patients (6.33 ± 2.90 ng/mL) was not lower than that of the Japanese general population, but showed a positive correlation with the thigh muscle area (TMA) (r = 0.39, p < 0.05), abdomen muscle area (AMA) (r = 0.52, p < 0.001.. A multiple-regression analysis showed both serum total testosterone and age to be an independent determinant of the muscle mass in these patients.) Traitement à la testostérone ou à l’un de ses dérivés : amélioration du volume musculaire dans les jambes tant chez les hommes que chez les femmes 11. 12. 13. 14. 15. 16. Okamoto S, Sonoda S, Tanino G, Tomida K, Okazaki H, Kondo I. Change in thigh muscle cross-sectional area through administration of an anabolic steroid during routine stroke rehabilitation in hemiplegic patients. Am J Phys Med Rehabil. 2011 Feb;90(2):106-11. (“in hemiplegic patients … At the end of 6 weeks of anabolic steroid metenolone enanthate (ME) administration, the cross-sectional area (CSA) of the thigh increased in the ME group (13.4%, affected side; 14.5%, unaffected side) and was significantly larger than that in the control group (3.3%, affected side; 5.2%, unaffected side).”) Allan CA, Strauss BJ, Burger HG, Forbes EA, McLachlan RI. Testosterone therapy prevents gain in visceral adipose tissue and loss of skeletal muscle in nonobese aging men. J Clin Endocrinol Metab. 2008 Jan;93(1):139-46. (“in Sixty healthy but symptomatic, nonobese men aged 55 yr or older .. transdermal testosterone patches or placebo for 52 wk … Serum total testosterone (TT) increased by 30% (P = 0.01), and LH decreased by 50% (P < 0.001). Relative to placebo, total body FFM (P = 0.03) and skeletal muscle (P = 0.008) were increased and thigh skeletal muscle loss was prevented (P = 0.045) with testosterone therapy and visceral fat accumulation decreased (P = 0.001)”) Miller KK, Biller BM, Beauregard C, Lipman JG, Jones J, Schoenfeld D, Sherman JC, Swearingen B, Loeffler J, Klibanski A. Effects of testosterone replacement in androgen-deficient women with hypopituitarism: a randomized, double-blind, placebo-controlled study. J Clin Endocrinol Metab. 2006 May;91(5):1683-90. (“51 women of reproductive age with androgen deficiency due to hypopituitarism… Mean free testosterone increased into the normal range during testosterone administration. Mean hip (P = 0.023) and radius (P = 0.007), but not posteroanterior spine, bone mineral density increased in the group receiving testosterone, compared with placebo, as did mean fat-free mass (P = 0.040) and thigh muscle area (P = 0.038),”) Woodhouse LJ, Gupta N, Bhasin M, Singh AB, Ross R, Phillips J, Bhasin S. Dose-dependent effects of testosterone on regional adipose tissue distribution in healthy young men. J Clin Endocrinol Metab. 2004 Feb;89(2):718-26. (“54 healthy men (18-35 yr) in a 20-wk, randomized, double-blind study of combined treatment with GnRH agonist plus one of five doses (25, 50, 125, 300, or 600 mg/wk) of testosterone enanthate (TE .. Treatment regimens resulted in serum nadir testosterone concentrations ranging from subphysiological to supraphysiological levels. Dose-dependent changes in AT mass were negatively correlated with TE dose at all sites and were equally distributed between the trunk and appendices. The lowest dose was associated with gains in sc, intermuscular, and intraabdominal AT, with the greatest percent increase occurring in the sc stores. At the three highest TE doses, thigh intermuscular AT volume was significantly reduced, with a greater percent loss in intermuscular than sc depots, whereas intraabdominal AT stores remained unchanged.”) Sinha-Hikim I, Artaza J, Woodhouse L, Gonzalez-Cadavid N, Singh AB, Lee MI, Storer TW, Casaburi R, Shen R, Bhasin S. Testosteroneinduced increase in muscle size in healthy young men is associated with muscle fiber hypertrophy. Am J Physiol Endocrinol Metab. 2002 Jul;283(1):E154-64. (“the increases in muscle volume in healthy eugonadal men treated with graded doses of testosterone are associated with concentration-dependent increases in cross-sectional areas of both type I and type II muscle fibers and myonuclear number. We conclude that the testosterone induced increase in muscle volume is due to muscle fiber hypertrophy.”) Elbers JM, Asscheman H, Seidell JC, Gooren LJ. Effects of sex steroid hormones on regional fat depots as assessed by magnetic resonance imaging in transsexuals. Am J Physiol. 1999 Feb;276(2 Pt 1):E317-25. (“treatment with (oral) ethinyl estradiol in male to female transsexuals induced a significant increase in all subcutaneous fat depots, with a lesser but proportional and significant increase in the visceral fat depot and a decrease in thigh muscle area. Testosterone administration in female to male transsexuals markedly increased thigh muscle area, reduced subcutaneous fat deposition at all levels measured, but slightly increased the visceral fat area.”) Taux bas en IGF-1 : association à une masse musculaire diminuée dans les cuisses 17. Chantry CJ, Hughes MD, Alvero C, Cervia JS, Hodge J, Borum P, Moye J Jr; PACTG 1010 Team. Insulin-like growth factor-1 and lean body mass in HIV-infected children. J Acquir Immune Defic Syndr. 2008 Aug 1;48(4):437-43. (“lower baseline IGF-1 and IGFBP-3 were associated with lower mean weight, height, mid-arm muscle circumference, and mid-thigh circumference z scores”) Traitement à l’hormone de croissance : amélioration du volume musculaire dans les jambes tant chez les hommes que chez les femmes 18. Lafortuna CL, Minocci A, Capodaglio P, Gondoni LA, Sartorio A, Vismara L, Rizzo G, Grugni G. Skeletal muscle characteristics and motor performance after 2-year growth hormone treatment in adults with prader-willi syndrome. J Clin Endocrinol Metab. 2014 May;99(5):1816-24. (‘GH treatment significantly increased lean body mass (GH12, P < .05; GH24, P < .05), reduced percentage of body fat (GH12, P < .05; GH24, P < .05), and augmented skeletal muscle cross-sectional area and skeletal muscle attenuation of both lumbar (GH12, P < .01; GH24, P < .001) and thigh muscles (GH24, P < .05). Handgrip”). Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 26 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 33 Bredella MA, Lin E, Brick DJ, Gerweck AV, Harrington LM, Torriani M, Thomas BJ, Schoenfeld DA, Breggia A, Rosen CJ, Hemphill LC, Wu Z, Rifai N, Utz AL, Miller KK. Effects of GH in women with abdominal adiposity: a 6-month randomized, double-blind, placebo-controlled trial. Eur J Endocrinol. 2012 Apr;166(4):601-11.(« Mean 6-month GH dose was 1.7±0.1 mg/day, resulting in a mean IGF1 SDS increase from -1.7±0.08 to -0.1±0.3 in the GH group. GH administration decreased total abdominal adipose tissue, TAT) and hs CRP compared with placebo. In addition, it increased thigh muscle mass and lean body mass … ”) Sode-Carlsen R, Farholt S, Rabben KF, Bollerslev J, Schreiner T, Jurik AG, Christiansen JS, Höybye C. Growth hormone treatment in adults with Prader-Willi syndrome: the Scandinavian study. Endocrine. 2012 Apr;41(2):191-9. (“Twenty-five women and 21 men with PWS were randomized to treatment with GH or placebo during 1 year followed by 2 years of open labeled GH treatment…. Visceral fat decreased by 22.9 ml (P = 0.004), abdominal subcutaneous fat by 70.9 ml (P = 0.003) and thigh fat by 21.3 ml (P = 0.013), whereas thigh muscle increased 6.0 ml (P = 0.005). Lean body mass increased 2.25 kg (P = 0.005), and total fat mass decreased 4.20 kg”) Sode-Carlsen R, Farholt S, Rabben KF, Bollerslev J, Schreiner T, Jurik AG, Frystyk J, Christiansen JS, Höybye C. Growth hormone treatment for two years is safe and effective in adults with Prader-Willi syndrome. Growth Horm IGF Res. 2011 Aug;21(4):185-90. (“39 female patients with Prader-Willi … GH dosage averaged 0.61 mg/day (range 0.2-1.6). Based upon CT, body composition improved at two years; thigh muscle volume increased 6.7 mL (3.7 to 9.7; P<0.001) whereas abdominal subcutaneous fat volume decreased by 53.3 mL (13.8 to 92.9; P=0.01). Sode-Carlsen R, Farholt S, Rabben KF, Bollerslev J, Schreiner T, Jurik AG, Christiansen JS, Höybye C. One year of growth hormone treatment in adults with Prader-Willi syndrome improves body composition: results from a randomized, placebo-controlled study. J Clin Endocrinol Metab. 2010 Nov;95(11):4943-50. (“GH treatment increased IGF-I by 125 μg/liter (1.51 sd score), and based upon computed tomography, body composition improved with a decrease in visceral fat mass of 22.9 ml (P = 0.004), abdominal sc fat mass 70.9 ml (P = 0.003), and thigh fat mass 21.3 ml (P = 0.013), whereas thigh muscle mass increased 6.0 ml (P = 0.005).”) Sartorio A, Narici MV. Growth hormone (GH) treatment in GH-deficient adults: effects on muscle size, strength and neural activation. Clin Physiol. 1994 Sep;14(5):527-37. (“Thigh muscle + bone cross-sectional area (CSAM+B) and lower limb muscle plus bone volume (LLVM+B) of the GHD patients were 66.1 % and 47.6 of those recorded in the controls (P < 0.01),….. After 6 months of GH treatment lean body mass (LBM increased by 6.0 % (P < 0.02), CSAM+B by 14.5 % (P < 0.01) and LLVM+B by 10.1 % (P < 0.01), Cuneo RC, Salomon F, Wiles CM, Hesp R, Sönksen PH. Growth hormone treatment in growth hormone-deficient adults. I. Effects on muscle mass and strength. J Appl Physiol (1985). 1991 Feb;70(2):688-94. (“After 6 mo of treatment, significant increases were noted in the rhGH group for total cross-sectional area of thigh muscle (+11.2 +/- 3.1 vs. -0.5 +/- 3.0 cm2; P = 0.015 vs. placebo) and quadriceps muscle (+4.1 +/- 0.8 vs. +0.4 +/- 1.2 cm2; P = 0.031) measured by computerized tomography. Strong correlations were noted between lean body mass (measured as total body potassium) and total thigh muscle area in normal and GH-deficient adults both before and after rhGH treatment.”) Jørgensen JO, Pedersen SA, Thuesen L, Jørgensen J, Ingemann-Hansen T, Skakkebaek NE, Christiansen JS. Beneficial effects of growth hormone treatment in GH-deficient adults. Lancet. 1989 Jun 3;1(8649):1221-5. (“mean muscle volume of the thigh, estimated by computerised tomography (CT), was significantly higher after GH than after placebo (70.0 [3.7] vs 66.3 [3.1] ml/0.8 cm crosssectional slice). The mean adipose tissue volume of the thigh and subscapular skinfold thickness fell significantly during GH treatment. Growth hormone caused a small increase in the isometric strength of the quadriceps muscles and a significant rise in exercise capacity (60.8 [7.2] vs 54.2 [6.6] kJ).”) Traitement à la DHEA : potentialise l’augmentation du volume musculaire des cuisses par l’exercice, pas d’effet seul 26. Villareal DT, Holloszy JO. DHEA enhances effects of weight training on muscle mass and strength in elderly women and men. Am J Physiol Endocrinol Metab. 2006 Nov;291(5):E1003-8. (“DHEA alone for 6 mo did not significantly increase strength or thigh muscle volume. However, DHEA therapy potentiated the effect of 4 mo of weightlifting training on muscle strength, evaluated by means of one-repetition maximum measurement and Cybex dynamometry, and on thigh muscle volume, measured by magnetic resonance imaging. Serum insulin-like growth factor concentration increased in response to DHEA replacement”) Cellulite (femmes) Coussinets de graisse au-dessus des genoux Traitement à la testostérone : diminution de la graisse dans les cuisses chez les femmes 27. 28. 29. Elbers JM, Asscheman H, Seidell JC, Gooren LJ. Effects of sex steroid hormones on regional fat depots as assessed by magnetic resonance imaging in transsexuals. Am J Physiol. 1999 Feb;276(2 Pt 1):E317-25. (“Testosterone administration in female to male transsexuals markedly increased thigh muscle area, reduced subcutaneous fat deposition at all levels measured, but slightly increased the visceral fat area.”) Miller KK, Biller BM, Beauregard C, Lipman JG, Jones J, Schoenfeld D, Sherman JC, Swearingen B, Loeffler J, Klibanski A. Effects of testosterone replacement in androgen-deficient women with hypopituitarism: a randomized, double-blind, placebocontrolled study. J Clin Endocrinol Metab. 2006 May;91(5):1683-90. (“51 women of reproductive age with androgen deficiency due to hypopituitarism… Mean free testosterone increased into the normal range during testosterone administration. … increased in the group receiving testosterone, compared with placebo, … fat-free mass (P = 0.040) and thigh muscle area (P = 0.038),”) Hertoghe T. Données personnelles et basées sur les études sur la diminution par la testostérone sur la cellulite sur la graisse des cuisses. 2015 Traitement à l’hormone de croissance : diminution de la graisse dans les cuisses chez hommes et femmes 30. 31. Lafortuna CL, Minocci A, Capodaglio P, Gondoni LA, Sartorio A, Vismara L, Rizzo G, Grugni G. Skeletal muscle characteristics and motor performance after 2-year growth hormone treatment in adults with prader-willi syndrome. J Clin Endocrinol Metab. 2014 May;99(5):1816-24. (‘GH treatment significantly increased lean body mass (GH12, P < .05; GH24, P < .05), reduced percentage of body fat (GH12, P < .05; GH24, P < .05), and augmented skeletal muscle cross-sectional area and skeletal muscle attenuation of both lumbar (GH12, P < .01; GH24, P < .001) and thigh muscles (GH24, P < .05). Handgrip”) Sode-Carlsen R, Farholt S, Rabben KF, Bollerslev J, Schreiner T, Jurik AG, Christiansen JS, Höybye C. One year of growth hormone treatment in adults with Prader-Willi syndrome improves body composition: results from a randomized, placebo-controlled study. J Clin Endocrinol Metab. 2010 Nov;95(11):4943-50. (“GH treatment increased IGF-I by 125 μg/liter (1.51 sd score), and based upon computed tomography, body composition improved with a decrease in visceral fat mass of 22.9 ml (P = 0.004), abdominal sc fat mass 70.9 ml (P = 0.003), and thigh fat mass 21.3 ml (P = 0.013), whereas thigh muscle mass increased 6.0 ml (P = 0.005).”) Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 27 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 32. 33. 33 Jørgensen JO, Pedersen SA, Thuesen L, Jørgensen J, Ingemann-Hansen T, Skakkebaek NE, Christiansen JS. Beneficial effects of growth hormone treatment in GH-deficient adults. Lancet. 1989 Jun 3;1(8649):1221-5. (“mean muscle volume of the thigh, estimated by computerised tomography (CT), was significantly higher after GH than after placebo (70.0 [3.7] vs 66.3 [3.1] ml/0.8 cm crosssectional slice). The mean adipose tissue volume of the thigh and subscapular skinfold thickness fell significantly during GH treatment. Growth hormone caused a small increase in the isometric strength of the quadriceps muscles and a significant rise in exercise capacity (60.8 [7.2] vs 54.2 [6.6] kJ).”) Hertoghe T. Données personnelles et basées sur les études sur l’influence de l’hormone de croissance sur la graisse des cuisses. 2015 Arthrose de la hanche/Epaississements et déformations de la hanche épaissies (par arthrose)/ Arthrose du genou/Epaississements et déformations du genou (par arthrose) Taux de IGF-1 bas : association avec une incidence plus élevée d’arthrose, en particulier d’arthrose du genou 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. Lis K. [Insulin-like growth factor 1 (IGF-1) and growth hormone (hGH) as the markers of osteoarthritis]. Chir Narzadow Ruchu Ortop Pol. 2008 Jan-Feb;73(1):49-52. Polish..(“… o statistics difference in growth hormone serum level between osteoarthritis patients and healthy persons. … IGF-1 concentration in osteoarthritis patients serum was significant lower then in control group. …”) Tauchmanova L, Di Somma C, Rusciano A, Lombardi G, Colao A. The role for growth hormone in linking arthritis, osteoporosis, and body composition. J Endocrinol Invest. 2007;30(6 Suppl):35-41. Review. (“both GH deficiency and GH excess are responsible for some well-defined alterations in metabolism, body composition, bone mass, and joint physiology. Their normalization (by GH replacement or treatment of acromegaly) reverses most of these abnormalities, thus confirming their GH-related etiology”) Ekenstedt KJ, Sonntag WE, Loeser RF, Lindgren BR, Carlson CS. Effects of chronic growth hormone and insulin-like growth factor 1 deficiency on osteoarthritis severity in rat knee joints. Arthritis Rheum. 2006 Dec;54(12):3850-8.. (“chronic GH/IGF-1 deficiency causes an increased severity of articular cartilage lesions of osteoarthritis without the bony lesions normally seen in this disease”) Denko CW, Malemud CJ. Role of the growth hormone/insulin-like growth factor-1 paracrine axis in rheumatic diseases. Semin Arthritis Rheum. 2005 Aug;35(1):24-34. Review. (“In particular, serum IGF-1 levels in OA were shown to be lower or no different compared with age-matched normal subjects. Further, in OA, impaired articular chondrocyte response to IGF-1 was attributed, in part, to low synovial fluid IGF-1 that further compromised IGF-1 .”) Pagura SM, Thomas SG, Woodhouse LJ, Ezzat S. Women awaiting knee replacement have reduced function and growth hormone. Clin Orthop Relat Res. 2003 Oct;(415):202-13. (“Insulin-like growth factor-I values were markedly reduced in women overall and women having surgery had significantly reduced levels despite lean body mass correction.”) Hedström M, Sääf M, Dalén N. Low IGF-I levels in hip fracture patients. A comparison of 20 coxarthrotic and 23 hip fracture patients. Acta Orthop Scand. 1999 Apr;70(2):145-8. (“We found consistently lower levels of IGF-I and IGFBP-3 and a tendency to higher levels of IGFBP-1 in the patients with hip fractures, who also had a lower total body mass, lower fat mass and bone mineral density than the coxarthrosis group, indicating a more catabolic state in the patients with hip fracture, even 6 months after the trauma.”) Moskowitz RW, Boja B, Denko CW. The role of growth factors in degenerative joint disorders. J Rheumatol Suppl. 1991 Feb;27:1478. (“Serum levels of IGF-1 were diminished, and levels of insulin and growth hormone elevated compared to controls. In patients with diffuse idiopathic skeletal hyperostosis (DISH), serum levels of insulin and GH were elevated, but IGF-1 levels were normal.”) Denko CW, Boja B, Moskowitz RW. Growth promoting peptides in osteoarthritis: insulin, insulin-like growth factor-1, growth hormone. J Rheumatol. 1990 Sep;17(9):1217-21. (“Levels of 3 growth promoting compounds were abnormal in OA as demonstrated by low levels of insulin-like growth factor-1 (IGF-1) and elevated levels of insulin and growth hormone (GH) compared to controls.”) Études montrant l’inverse : taux élevés d’IGF-1 associés avec plus d’arthrose 42. 43. Bagge E, Edén S, Rosén T, Bengtsson BA. The prevalence of radiographic osteoarthritis is low in elderly patients with growth hormone deficiency. Acta Endocrinol (Copenh). 1993 Oct;129(4):296-300. (“There were no major differences in the prevalence of osteoarthritis between the acromegalics and the normal population, but the patients with growth hormone deficiency had significantly (p < 0.001) less osteoarthritis than the normal population.”) Biermasz NR, Wassenaar MJ, van der Klaauw AA, Pereira AM, Smit JW, Roelfsema F, Wolterbeek R, Kroon HM, Kloppenburg M, Romijn JA. Pretreatment insulin-like growth factor-I concentrations predict radiographic osteoarthritis in acromegalic patients with long-term cured disease. J Clin Endocrinol Metab. 2009 Jul;94(7):2374-9. (“Patients with pretreatment IGF-I sd scores in the highest tertile had an almost 4-fold increased risk for radiological osteoarthritis of the hip when compared with patients in the lowest tertile. After adjustment for age, gender, BMI, and disease duration, pretreatment IGF-I sd scores predicted radiographic osteoarthritis in all joint sites.”) Traitement à l’hormone de croissance : régénération/diminution des changements pathologiques d’arthrose, en particulier d’arthrose du genou 44. 45. 46. Tauchmanova L, Di Somma C, Rusciano A, Lombardi G, Colao A. The role for growth hormone in linking arthritis, osteoporosis, and body composition. J Endocrinol Invest. 2007;30(6 Suppl):35-41. Review. (“both GH deficiency and GH excess are responsible for some well-defined alterations in metabolism, body composition, bone mass, and joint physiology. Their normalization (by GH replacement or treatment of acromegaly) reverses most of these abnormalities, thus confirming their GH-related etiology”) Dart AJ, Little CB, Hughes CE, Chu O, Dowling BA, Hodgson DR, Rose RJ, Johnson KA. Recombinant equine growth hormone administration: effects on synovial fluid biomarkers and cartilage metabolism in horses. Equine Vet J. 2003 May;35(3):302-7. (“6 mature horses were given 20 microg/kg bwt reGH daily for 8 weeks by i.m. injection .. Concentrations of IGF-1 in serum and synovial fluid were significantly elevated (P < 0.05) at 6 and 8 weeks in the reGH group. Glycosaminoglycan concentrations in synovial fluid were significantly less than controls at these time points, suggesting that reGH may modulate proteoglycan metabolism in articular cartilage. In the reGH group, there were not any alterations in synovial fluid content of 3B3(-) epitope or aggrecan metabolite, or in aggrecan or link protein catabolites retained within cartilage, that might be expected with development of osteoarthritis.”) Bail H, Klein P, Kolbeck S, Krummrey G, Weiler A, Schmidmaier G, Haas NP, Raschke MJ. Systemic application of growth hormone enhances the early healing phase of osteochondral defects--a preliminary study in micropigs. Bone. 2003 May;32(5):457-67. (“circulating r-pGH or one of its mediators may accelerate osteochondral defect healing by stimulating the formation of osseous and chondral tissue”) Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 28 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 47. 48. 49. 33 Polisson R. Innovative therapies in osteoarthritis. Curr Rheumatol Rep. 2001 Dec;3(6):489-95. Review. (“Cartilage agonists such as recombinant human growth factors and gene therapy constructs that stimulate the chondrocyte are being studied in animal models and in humans.”) Halbrecht J, Carlstedt CA, Parsons JR, Grande DA. The influence of growth hormone on the reversibility of articular cartilage degeneration in rabbits. Clin Orthop Relat Res. 1990 Oct;(259):245-55. (“rabbits. … Cartilage lesions were created in femoral condyles using an immobilization model. .. Growth hormone had no influence on prevention of immobilization abnormalities but had a significant affect on healing of established lesions.”) Chrisman OD. The effect of growth hormone on established cartilage lesions. A presidential address to the Association of Bone and Joint Surgeons, 1974. Clin Orthop Relat Res. 1975;(107):232-8. (“The major problem in osteoarthritis research today is our inability to promote effective cartilage regeneration in the presence of adult chondromalacia. Yet such regeneration is consistently present in acromegalics. … experimentally damaged rabbit knee cartilage measures numbers of cells, mitoses, tritiated thymidine incorporation, DNA content, collagen presence under polarized light and sulfated protein polysaccharides histologically. Under growth hormone stimulation cell counts nearly double as compared to controls, tritiated thymidine incorporation increases, DNA content triples or more. Matrix healing is evident histologically. … the first reported demonstration of these effects of growth hormone on experimentally damaged cartilage Traitement à la parathormone, aux dérivés de cortisol et à l’insuline : régénération du vieux cartilage 50. Livne E, Weiss A, Silbermann M. Articular chondrocytes lose their proliferative activity with aging yet can be restimulated by PTH(1-84), PGE1, and dexamethasone. J Bone Miner Res. 1989 Aug;4(4):539-48. (“the ability of old tissues to resume DNA synthesis following in vitro treatment with PTH-(1-84), PGE1, and dexamethasone.”) Mollets gonflés avec œdème qui ne prend pas le godet Mollets gonflés avec œdème qui prend le godet Photo 51. source: http://authenticallyemmie.com/wp-content/uploads/2010/06/edema1.jpg Déficience thyroïdienne : association avec œdème des jambes 52. Kureshi F, Davis MD, Burkemper NM, Weenig RH, Pittelkow MR, Gamble GL. Thyroid dermopathy: an underrecognized cause of leg edema. Cutis. 2007 Mar;79(3):219-24. Excès en aldostérone : association avec rétention d’eau et de sodium 53. Brørs O, Enger E, Jacobsen S, Aakvaag A, Foss OP. Effects of hydroflumethiazide in congestive heart failure: renal electrolyte excretion related to urinary thiazide excretion and aldosterone. Acta Pharmacol Toxicol (Copenh). 1981 Nov;49(5):399-406. Peau (trop) mince, sur le bas des jambes Taux bas en hormone de croissance et IGF-1 : association avec une peau plus mince 54. 55. 56. Lange M, Thulesen J, Feldt-Rasmussen U, Skakkebaek NE, Vahl N, Jørgensen JO, Christiansen JS, Poulsen SS, Sneppen SB, Juul A. Skin morphological changes in growth hormone deficiency and acromegaly. Eur J Endocrinol. 2001 Aug;145(2):147-53. (“Epidermal thickness was significantly decreased in both untreated (median 39 microm, range 28-55 microm) and GH-treated patients with GHD (median 53 microm, range 37-100 microm), compared with that in controls (median 66 microm, range 40-111 microm; P<0.02).”) Conte F, Diridollou S, Jouret B, Turlier V, Charveron M, Gall Y, Rochiccioli P, Bieth E, Tauber M. Evaluation of cutaneous modifications in seventy-seven growth hormone-deficient children. Horm Res. 2000;54(2):92-7. (“in GHD children, dermis was thinner (0.70 +/0.10 vs. 0.80 +/- 0.10 mm, p < 0.0001 for prepubertal children and 0.81 +/- 0.10 vs. 0.94 +/- 0.11 mm, p < 0.0001 for pubertal children), stiffer (178.5 +/- 57.3 vs. 113.09 +/- 37 kPa, p < 0.0001 for prepubertal children and 172.5 +/- 61.7 vs. 117.3 +/- 42.5 kPa for pubertal children, p < 0.001) and less elastic (0.44 +/- 0.09 vs. 0.39 +/- 0.06 (nonelasticity index), p < 0.01 for prepubertal children and 0.39 +/- 0.05 vs. 0.33 +/- 0.04, p < 0.001 for pubertal children) compared to controls. 14 GHD children were re-evaluated after 1 year of GH treatment: dermal thickness and skin stiffness were significantly improved (p < 0.001 and p < 0.05 respectively) while elasticity was not modified. During the same period, 11 controls did not show any significant cutaneous modification. IGF-1 values, but not IGFBP-3 values, correlated positively with dermal thickness in GHD children, before and after 1 year of GH treatment.”) Touliatos J, Lindholm BW. Treatment of acromegaly by transsphenoidal hypophysectomy with cryoapplication. Clin Endocrinol (Oxf). 1975 Jan;4(1):53-64. (“thickness, the level of serum inorganic phosphorus and the urinary excretion of hydroxyproline and calcium were significantly decreased in the great majority of the patients”) Traitement à l’hormone de croissance : épaississement de la peau 57. 58. Lange M, Thulesen J, Feldt-Rasmussen U, Skakkebaek NE, Vahl N, Jørgensen JO, Christiansen JS, Poulsen SS, Sneppen SB, Juul A. Skin morphological changes in growth hormone deficiency and acromegaly. Eur J Endocrinol. 2001 Aug;145(2):147-53. (“Epidermal thickness was significantly decreased in both untreated (median 39 microm, range 28-55 microm) and GH-treated patients with GHD (median 53 microm, range 37-100 microm), compared with that in controls (median 66 microm, range 40-111 microm; P<0.02).”) Conte F, Diridollou S, Jouret B, Turlier V, Charveron M, Gall Y, Rochiccioli P, Bieth E, Tauber M. Evaluation of cutaneous modifications in seventy-seven growth hormone-deficient children. Horm Res. 2000;54(2):92-7. (“in GHD children, dermis was thinner (0.70 +/0.10 vs. 0.80 +/- 0.10 mm, p < 0.0001 for prepubertal children and 0.81 +/- 0.10 vs. 0.94 +/- 0.11 mm, p < 0.0001 for pubertal children), stiffer (178.5 +/- 57.3 vs. 113.09 +/- 37 kPa, p < 0.0001 for prepubertal children and 172.5 +/- 61.7 vs. 117.3 +/- 42.5 kPa for pubertal children, p < 0.001) and less elastic (0.44 +/- 0.09 vs. 0.39 +/- 0.06 (nonelasticity index), p < 0.01 for prepubertal children and 0.39 +/- 0.05 vs. 0.33 +/- 0.04, p < 0.001 for pubertal children) compared to controls. 14 GHD children were re-evaluated after 1 year of GH treatment: dermal thickness and skin stiffness were significantly improved (p < 0.001 and p < 0.05 respectively) while elasticity was not modified. During the same period, 11 controls did not show any significant cutaneous modification. IGF-1 values, but not IGFBP-3 values, correlated positively with dermal thickness in GHD children, before and after 1 year of GH treatment.”) Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 29 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 59. 33 Kann P, Piepkorn B, Schehler B, Lotz J, Prellwitz W, Beyer J. Growth hormone substitution in growth hormone-deficient adults: effects on collagen type I synthesis and skin thickness. Exp Clin Endocrinol Diabetes. 1996;104(4):327-33.(“ PICP, the indicator of collagen type I synthesis, was increased after six months of therapy when compared to placebo. Skin thickness .. at the dorsum of the hand with strong compression of the skin both increased significantly following growth hormone substitution.”) Taux bas en œstrogènes : association avec une peau plus mince 60. Raine-Fenning NJ, Brincat MP, Muscat-Baron Y. Skin aging and menopause: implications for treatment. Am J Clin Dermatol. 2003;4(6):371-8. (“Collagen content may be measured by various methods such as direct skin biopsy, skin blister assessment for collagen markers and skin thickness measurement. All these variables indicate a reduction in collagen content following menopause. This may be reversed with the administration of estrogen given both topically and systemically.”) Traitement aux œstrogènes : épaississement de la peau 61. 62. 63. 64. Raine-Fenning NJ, Brincat MP, Muscat-Baron Y. Skin aging and menopause: implications for treatment. Am J Clin Dermatol. 2003;4(6):371-8. (“Collagen content may be measured by various methods such as direct skin biopsy, skin blister assessment for collagen markers and skin thickness measurement. All these variables indicate a reduction in collagen content following menopause. This may be reversed with the administration of estrogen given both topically and systemically.”) Brincat MP, Baron YM, Galea R. Estrogens and the skin. Climacteric. 2005 Jun;8(2):110-23. Review. (“Estrogen treatment in postmenopausal women has been repeatedly shown to increase collagen content, dermal thickness and elasticity”) Verdier-Sévrain S. Effect of estrogens on skin aging and the potential role of selective estrogen receptor modulators. Climacteric. 2007 Aug;10(4):289-97. Review. Shu YY, Maibach HI. Estrogen and skin: therapeutic options. Am J Clin Dermatol. 2011 Oct 1;12(5):297-311. (“Estrogen restores skin thickness by increasing collagen synthesis while limiting excessive collagen degradation. Wrinkling is improved following estrogen treatment since estrogen enhances the morphology and synthesis of elastic fibers, collagen type III, and hyaluronic acids. Dryness is also alleviated through increased water-holding capacity, increased sebum production, and improved barrier function of the skin.) Traitement à la DHEA : épaississement de la peau 65. Baulieu EE, Thomas G, Legrain S, Lahlou N, Roger M, Debuire B, Faucounau V, Girard L, Hervy MP, Latour F, Leaud MC, Mokrane A, Pitti-Ferrandi H, Trivalle C, de Lacharrière O, Nouveau S, Rakoto-Arison B, Souberbielle JC, Raison J, Le Bouc Y, Raynaud A, Girerd X, Forette F. Dehydroepiandrosterone (DHEA), DHEA sulfate, and aging: contribution of the DHEAge Study to a sociobiomedical issue. Proc Natl Acad Sci U S A. 2000 Apr 11;97(8):4279-84. (“women and men 60-79 years old) were given DHEA, 50 mg, or placebo, orally, daily for a year in a double-blind, placebo-controlled study… Improvement of the skin status was observed, particularly in women, in terms of hydration, epidermal thickness, sebum production, and pigmentation.”) Peau floconneuse, sur le bas des jambes Traitement aux acides gras polyinsaturés, en particulier en acides gras polyinsaturés du type oméga- 6 : diminution de la sécheresse de la peau 66. 67. 68. 69. Neukam K, De Spirt S, Stahl W, Bejot M, Maurette JM, Tronnier H, Heinrich U. Supplementation of flaxseed oil diminishes skin sensitivity and improves skin barrier function and condition. Skin Pharmacol Physiol. 2011;24(2):67-74. (“Supplementation with flaxseed oil led to significant decreases in sensitivity (after nicotinate irritation), TEWL, skin roughness and scaling, while smoothness and hydration were increased.”) Senapati S, Banerjee S, Gangopadhyay DN. Evening primrose oil is effective in atopic dermatitis: a randomized placebo-controlled trial. Indian J Dermatol Venereol Leprol. 2008 Sep-Oct;74(5):447-52. Simon D, Eng PA, Borelli S, Kägi R, Zimmermann C, Zahner C, Drewe J, Hess L, Ferrari G, Lautenschlager S, Wüthrich B, SchmidGrendelmeier P. Gamma-linolenic acid levels correlate with clinical efficacy of evening primrose oil in patients with atopic dermatitis. Adv Ther. 2014 Feb;31(2):180-8. Eriksen BB, Kåre DL. Open trial of supplements of omega 3 and 6 fatty acids, vitamins and minerals in atopic dermatitis. J Dermatolog Treat. 2006;17(2):82-5. (“open trial of high oral doses of n-3 and n-6 PUFA in dry form (powder) or omega 3,6,9 fatty acid capsules, vitamin E tablets (d-alpha-tocopherol), zinc solution or tablets, and multivitamin capsules daily for 16 weeks….The mean SCORAD improved in 14 of 17 patients by more than 50% after 8 weeks and 16 weeks of treatment (p<0.01 and p<0.001, respectively). “) Varicosités Varices sur les jambes Taux bas en testostérone et taux élevé en œstrogènes : association avec une incidence élevée en varices de jambes chez l’homme 70. 71. 72. Özcan S, Tezcan O, Kurt T, Türköne H, Karahan O, Çalışkan A, Adam G. Elevated serum estradiol/free testosterone ratio precipitate recurrent varicose veins in men. Int Angiol. 2015 Mar 20. [Epub ahead of print] (“53 men with an elevated E2/fT ratio (Group A), and 143 men with no endocrinologic problems (Group B) … The serum E2/fT ratio was significantly higher in Group A (5.21 ± 0.56) compared to Group B (2.54 ± 0.27) in the recurrent varicose vein groups (p ≤ 0.05). Moreover, there was a high correlation between serum E2/fT ratio and the CEAP clinical classification in Group A (5) compared to Group B (2) (p ≤ 0.05). Also, recurrence rate was higher in Group A (54%) compared to Group B (32%)(p ≤ 0.05).”) Ozcan S, Odabasi D, Kurt T, Gür AK, Kunt A, Balaharoglu Y, Kunt AS. Impact of elevated serum estradiol/free testosterone ratio on male varicose veins in a prospective study. Wien Klin Wochenschr. 2014 Nov 20. [Epub ahead of print] (“E2/fT ratio was significantly higher in group A (4.18 ± 0.54) compared with group B (2.98 ± 0.36). Moreover, there is a high correlation between serum E2/fT ratio and CEAP clinical classification in group A (4) compared with group B (2).”) Kendler M, Blendinger Ch, Haas E. Elevated serum estradiol/testosterone ratio in men with primary varicose veins compared with a healthy control group. Angiology. 2009 Jun-Jul;60(3):283-9. (“21 symptomatic varicose men (VM [C > or = 2] mean age of 40.3/+6.9 years) and 13 healthy men (HM [C < or = 1] mean age of 38.1/+ 7.4 years) were analyzed. The serum E2:fT ratio (VM 2.83/+ 0.79 and HM 2.32/+0.63) was significantly different (P < .05) between the two groups”) Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 30 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 33 Taux élevé en œstrogènes : association avec une incidence élevée en varices de jambes chez la femme 73. Ciardullo AV, Panico S, Bellati C, Rubba P, Rinaldi S, Iannuzzi A, Cioffi V, Iannuzzo G, Berrino F. High endogenous estradiol is associated with increased venous distensibility and clinical evidence of varicose veins in menopausal women. J Vasc Surg. 2000 Sep;32(3):544-9. (“Serum levels of estradiol in the upper tertile of the frequency distribution were significantly associated with clinical evidence of varicose veins (prevalence odds ratios 3.6; 95% CI 1.1-11.6) and with increased lower limb venous distensibility (prevalence odds ratios 4.4; 95% CI 1.2-15.5). No association was found for SHBG and testosterone.”) Ecchymoses sur les cuisses, les jambes et les pieds Taches rouges (pétéchies) sur le bas des jambes Taches rouge-brun sombre (pétéchies) au-dessus et/ou sur les chevilles Déficit en vitamine B3 = vitamine PP = niacine : peau rougeâtre 74. https://en.wikipedia.org/wiki/Pellagra (“The red skin lesions of this disorder include desquamation, erythema, scaling, and keratosis of sun-exposed areas, all of which are exhibited in this patient.”) Déficit en vitamine C : association avec une incidence élevée en pétéchies 75. 76. 77. 78. 79. Wong C, Lyons G, Nicolopoulos J, Varigos G. A rare cause of petechial rash in the 21st century. Aust Fam Physician. 2014 Dec;43(12):853-5. (“Scurvy was first described by Hippocrates (460-370 BC) as a condition characterised by poor dental health, bruising, bleeding and fragile skin.”) Solanki M, Baweja DK, Patil SS, Shivaprakash PK. Ascorbic acid deficiency: a case report. J Dent Child (Chic). 2011 Jul;78(2):115-9. (“presents itself by the formation of perifollicular petechiae and bruising, gingival inflammation and bleeding… Swanson AM, Hughey LC. Acute inpatient presentation of scurvy. Cutis. 2010 Oct;86(4):205-7. (“Scurvy .. The clinical manifestations of follicular hyperkeratosis, perifollicular petechiae, corkscrew hairs, and easy bruising are due to defective collagen synthesis”) Fraser IM, Dean M. Extensive bruising secondary to vitamin C deficiency. BMJ Case Rep. 2009;2009. pii: bcr08.2008.0750(“56year-old man presented with extensive ecchymosis and soft-tissue haematomas affecting his legs. <.. Further questioning revealed a severely restricted diet. The bruising improved rapidly after commencing oral vitamin C supplementation. Serum vitamin C level was low, supporting the clinical diagnosis of scurvy.”) de Boer J, Kalk WW, van Assen S, van der Wouden EJ. [Bruises, loose teeth and fatigue in a patient with schizophrenia]. Ned Tijdschr Geneeskd. 2005 Aug 6;149(32):1769-72. (“A 53-year-old woman was referred because of progressive haematomas of the lower extremities and fatigue. Her medical history included hyperplastic gums and tooth loss. Scurvy was diagnosed; this was the result of an insufficient diet due to a paranoid psychosis. There was a dramatic improvement within a few days after addition of vitamin C and starting highly nutritious food.”) Déficit en manganèse : association avec une incidence élevée en ecchymoses 80. Larrèque M, Charpentier C, Laidet B, Lambert M, Bressieux JM, Prigent F, Canuel C, Tanzer J. [Prolidase and manganese deficiency. Apropos of a case: diagnosis and treatment]. Ann Dermatol Venereol. 1982;109(8):667-78. (“A 36-year-old woman has been followed since the age of 12 for ulcerations and erythematous erysipelatoid plaques of the lower limbs … This tenth case of prolidase deficiency underlines the character of the disease: recurrent ulcers (7/10), ecchymosis (4/10) Ulcères veineux de la jambe Ulcères artériels du pied (et/ou de la jambe) Zinc : amélioration plus rapide des ulcères veineux de jambes chez les personnes à taux bas en zinc 81. 82. 83. Hallböök T, Lanner E. Serum-zinc and healing of venous leg ulcers. Lancet. 1972 Oct 14;2(7781):780-2. Greaves MW, Ive FA. Double-blind trial of zinc sulphate in the treatment of chronic venous leg ulceration. Br J Dermatol. 1972 Dec;87(6):632-4. Wilkinson EA, Hawke CI. Oral zinc for arterial and venous leg ulcers. Cochrane Database Syst Rev. 2000;(2):CD001273. (“six eligible trials. All are small and serum zinc was measured at baseline or during the trial in 4 trials. Overall there is no evidence of a beneficial effect of treatment with zinc sulphate on the number of ulcers healed at the end of the trials. There is some evidence that oral zinc might have a beneficial effect on healing of venous ulcers in people with a ‘low’ serum zinc level at baseline.”) Déficience en testostérone : association avec une plus grande incidence d’ulcères de jambes 84. 85. Thomas AM. Venous ulceration in hypogonadal men. Lancet. 1982 Nov 13;2(8307):1103. Gattringer C, Scheurecker C, Höpfl R, Müller H. Association between venous leg ulcers and sex chromosome anomalies in men. Acta Derm Venereol. 2010 Nov;90(6):612-5. (“two cases of men, aged 46 and 23 years, with refractory chronic venous leg ulcers in association with sex chromosome aberrations: one with a 47,XXY/48,XXXY karyotype (Klinefelter syndrome) and the other with a 47,XYY karyotype (Jacob syndrome)… androgen deficiency”). Traitement à la testostérone : amélioration ou disparition des ulcères de jambes 86. 87. 88. 89. 90. Moller J, Einfeldt H. Testosterone treatment of cardiovascular diseases. Springer-Verlag Berlin heidelberg New York Tokyo, 1984 Cholesterol: Interactions with Testosterone and Cortisol in Cardiovascular Diseases de Jens Moeller, Springer-Verlag Berlin heidelberg New York Tokyo Winther O. Testosterone and fibrinolytic activity. Scand J Clin Lab Invest Suppl. 1967;99:207-10. Winther O. Testosterone and blood fibrinolytic activity. Lancet. 1965 Apr 10;1(7389):823. Bonithon-Kopp C, Scarabin PY, Bara L, Castanier M, Jacqueson A, Roger M. Relationship between sex hormones and haemostatic factors in healthy middle-aged men. Atherosclerosis. 1988 May;71(1):71-6.(“ low circulating testosterone levels might be associated with a hypercoagulability state and therefore could contribute to an increased risk of IHD.”) Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com 31 GARDEZ DES JAMBES FERMES ET SOLIDES 91. 92. 33 Glueck CJ, Glueck HI, Stroop D, Speirs J, Hamer T, Tracy T. Endogenous testosterone, fibrinolysis, and coronary heart disease risk in hyperlipidemic men. J Lab Clin Med. 1993 Oct;122(4):412-20. Yeap BB, Alfonso H, Chubb SA, Handelsman DJ, Hankey GJ, Golledge J, Flicker L, Norman PE. Lower plasma testosterone or dihydrotestosterone, but not estradiol, is associated with symptoms of intermittent claudication in older men. Clin Endocrinol (Oxf). 2013 Nov;79(5):725-32. (“higher T was associated with reduced risk of having claudication (per 1 SD increase, odds ratio [OR] = 0·80, 95% confidence interval [CI] = 0·69-0·94, P = 0·006; quartiles, Q4/Q1, OR = 0·54, 95% CI = 0·36-0·81). Higher DHT was associated with reduced risk of having claudication (per 1 SD increase, OR = 0·86, 95% CI = 0·73-1·00, P = 0·048; Q4/Q1, OR = 0·64, 95% CI = 0·43-0·95).”) 32 SOURCES D’INFORMATION MÉDICALE • • • • International Hormone Society : www.intlhormonesociety.org World Society of Anti-aging Medicine : www.wosaam.ws American Academy of Anti-Aging Medicine : www.a4m.com Formations et livres Hertoghe Medical School : www.hertoghemedicalschool.eu • Clinique Dr Thierry Hertoghe : www.hertoghe.eu Tél. : +32 (0) 2 736 68 68 – E-mail : [email protected] Adresse : 7 avenue Van Bever, 1180 Bruxelles, Belgique À nos lecteurs : Nous faisons notre possible afin de vous informer pour le mieux. Cependant, pour des raisons légales, de capacité et de sécurité, le Dr Hertoghe ne peut répondre à des e-mails médicaux personnels sans consultation individuelle avec examen physique. Seules certaines questions qui peuvent intéresser tout le monde seront sélectionnées pour trouver une réponse dans une Lettre prochaine. Dans la Lettre il y a souvent des alternatives de suppléments nutritionnels que vous pouvez prendre sous la supervision d’un nutritionniste ou médecin pour assurer la sécurité. Merci pour votre compréhension. La rédaction Visitez notre site : http://www.santenatureinnovation.com