Telechargé par Mehdi zouaoui

Classifications en Odontologie (index)

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CLASSIFICATIONS
1/ OCE :
Classification Si/Sta :
• Site 1 = Carie occlusale
• Site 2 = Carie proximale (en mésial ou distal)
• Site 3 = Carie radiculaire
• Stade 0 = Lésion superficielle active, sans cavitation
• Stade 1 = Lésion active débutante, atteinte du 1/3 externe de la dentine
• Stade 2 = Lésion active, étendue modérée, cavitaire, atteinte du 1/3 médian de
la dentine
• Stade 3 = Lésion active étendue, cavitaire, atteinte du 1/3 interne de la dentine.
Fragilisation des cuspides
• Stade 4 = Lésion cavitaire extensive et parapulpaire avec destruction des
cuspides.
Classification de Black :
• 1 = Carie débutant au niveau des défauts de structure dans les puits et sillons
• 2 = Carie proximale des molaires et prémolaires
• 3 = Carie proximale des incisives et canines sans atteinte des bords incisifs
• 4 = Carie proximale des incisives et canines avec atteinte des bords incisifs
• 5 = Carie des collets dentaires
Classification ICDAS :
Codes des lésions :
• 0 : Saine
• 1 : Premier changement visuel de l’émail (visible uniquement après séchage
prolongé ou confiné aux puits et fissures)
• 2 : Changement visuel net de l’émail
• 3 : Rupture localisée de l’émail (sans signe visuel d’atteinte dentinaire)
• 4 : Zone sombre dans la dentine sous-jacente visible à travers l’émail
• 5 : Cavité distincte avec dentine exposée
• 6 : Cavité de grande étendue avec dentine exposée
Codes des restaurations :
• 0 : face saine : face sans restauration, ni scellement
• 1 : scellement, partiel
• 2 : scellement, entier
• 3 : restauration réalisée avec des matériaux esthétiques
• 4 : restauration à l’amalgame
• 5 : couronne métallique (métal non précieux)
• 6 : couronne céramique, céramo-métallique, en or ou facette ou inlay ou onlay
ou autres matériaux de restauration
• 7 : perte ou fracture de la restauration
• 8 : restauration temporaire
• 9 : autres cas :
•
•
•
•
•
•
-
-
90 = implant placé pour raison non-carieuse
91 = implant placé pour raison carieuse
92 = bridge placé pour raison non-carieuse
93 = bridge placé pour raison carieuse
96 = face ne pouvant être examinée : face exclue
97 = dent absente pour raison carieuse (chaque face sera codée 97)
Classification de Baume :
Catégorie I : pulpes vivantes sans symptomatologies lésées accidentellement ou
proche d'une carie profonde susceptible d'être protégées par coiffage.
Catégorie II : pulpes vivantes avec symptomatologies, dont la vitalité pulpaire peut
être protégée par coiffage ou biopulpotomie.
Catégorie III : pulpes vivantes dont la biopulpectomie suivie d'une obturation
radiculaire immédiate est indiquée pour des raisons esthétique, iatrogène,
prothétique ou pronostique.
Catégorie IV : pulpes nécrosées avec en principe infection de la dentine radiculaire
accompagnée ou non de complications périapicales exigeant un traitement canalaire
antiseptique et une obturation hermétique.
Classification des érosions grâce à l’indice BEWE :
0 : pas de perte de substance par érosion
1 : perte de substance initiale avec modification de la texture des tissus amélaires
2 : défaut constitué avec une perte des tissus durs < à 50% de la face examinée
3 : défaut constitué avec une perte des tissus durs > à 50% de la face examinée
Classification des systèmes adhésifs :
M&R : mordançage suivi d’un rinçage
• M&R 3 : mordançage, primer, adhésif
• M&R 2 : mordançage, (primer + adhésif)
SAM : systèmes automordançants que l’on applique directement sur les surfaces
dentaires sans aucun traitement préliminaire
• SAM 1 : mordançage, primer et adhésif en 1 seule application
• SAM 2 : (mordançage + primer) puis adhésif
2/ TRAUMATOLOGIE :
Classification d’Andreasen :
- Lésions des tissus durs :
o Lésions dentaires : fractures
§ Infraction amélaire
§ Fracture coronaire non compliquée
§ Fracture coronaire compliquée
§ Fracture corono-radiculaire
§ Fracture radiculaire intra-alvéolaire
o Lésions parodontales : luxations
§ Concussion
§ Subluxation
-
-
§ Luxation extrusive
§ Luxation latérale
§ Luxation intrusive
§ Avulsion
o Lésions osseuses : fractures
§ Fracture comminutive de l’alvéole
§ Fracture d’une paroi alvéolaire
§ Fracture du procès alvéolaire
§ Fracture des maxillaires
Lésions des tissus mous :
o Lésions de la face
o Lésions des lèves
o Lésions des muqueuses buccales
o Lésions de freins labiaux
o Lésions de la langue
Classification de Vanek :
Fêlure coronaire
Fracture coronaire sans exposition pulpaire
Fracture coronaire avec exposition pulpaire
Fracture coronaire complète
Fracture corono-radiculaire oblique
Fracture radiculaire
Luxation
Avulsion
3/ ODF :
-
Classification squelettique de Ballard :
I = rapports normaux
II = mandibule en retrait par rapport au maxillaire ou maxillaire avancé par rapport à
la mandibule
III = mandibule avancée par rapport au maxillaire ou maxillaire en retrait par
rapport à la mandibule
Classification d’Angle molaire :
I = normalité. La cuspide mésiovestibulaire de la 1 molaire maxillaire est reçue dans
le sillon vestibulaire de la 1 molaire mandibulaire.
II = occlusion distale de plus d’une demi-cuspide de la 1 molaire mandibulaire par
rapport à la 1 molaire maxillaire.
o Division 1 : surplomb incisif augmenté
o Division 2 : surplomb normal ou diminué lié à la palatoversion des
incisives maxillaires.
III = occlusion mésiale de plus d’une demi-cuspide des molaires mandibulaires par
rapport aux maxillaires.
Classification d’Angle canine :
I = normalité. La canine inférieure est en avance d'une demi-dent par rapport à la
canine supérieure.
ère
ère
-
ère
ère
-
-
II = la canine inférieure est en avance de moins d’une demi-dent ou pas en avance du
tout par rapport à la canine supérieure.
- III : la canine inférieure est en avance de plus d'une demi-dent par rapport à la canine
supérieure.
Classification d’Izard :
- Orthofrontal (optimal) : le menton se situe à égale distance des plans Izard et
Simon
Transfrontal : le menton est légèrement déplacé vers l'avant
Cisfrontal : le menton est légèrement déplacé vers l’arrière
4/ PPA :
Classification de Kennedy :
I : édentement bilatéral postérieur en extension
II : édentement unilatéral postérieur en extension
III : édentement unilatéral encadré
IV : édentement antérieur
Les divisions indiquent le nombre d’édentement encastré supplémentaire.
Classification de Kennedy-Applegate :
I : édentement bilatéral postérieur en extension
II : édentement unilatéral postérieur en extension
III : édentement unilatéral encadré sans perte des canines
IV : édentement antérieur
V : édentement unilatéral encastré avec une faiblesse de la dent pilier
antérieur (ex : perte de canine)
VI : édentement unilatéral encastré: avec un espace restreint mais des
dents piliers solides
Classification de Wild :
I : présentant un ou plusieurs segments édentés encastrés.
II : présentant un édentement postérieur.
III : est une combinaison des 2 premières classes.
Classification osseuse de Zarb et Lekholm :
I : constitué presque exclusivement d’os cortical
II : os cortical épais entourant un noyau spongieux à trabéculations denses
III : os cortical fin entourant un noyau spongieux à trabéculations denses
IV : os cortical fin entourant un noyau spongieux peu dense
5/ PARODONTOLOGIE:
Classification de Seibert et Lindhe :
Type 1 : parodonte plat et épais
Type 2 : parodonte fin et festonné
Classification des lignes du sourire selon Tjan :
Haute
Moyenne
Basse
Classification de Maynard et Wilson :
I : hauteur de tissu kératinisé suffisante (3-5mm) et parodonte épais (gencive
et os alvéolaire)
II : hauteur de tissu kératinisé diminuée (<2mm) et parodonte épais
III : hauteur de tissu kératinisé suffisante (3-5mm) et os alvéolaire fin
IV : hauteur de tissu kératinisé diminuée et os alvéolaire fin
Classification de Korbendau et Guyomard :
Type A : procès alvéolaire épais, son bord marginal est proche de la JAC
(1mm), le tissu gingival est épais et de hauteur > 2mm
Type B : procès alvéolaire mince, son bord marginal est proche de la JAC
(1mm), le tissu gingival est mince et de hauteur > 2mm
Type C : procès alvéolaire mince, son bord marginal est à distance de la JAC
(déhiscence > 2mm), le tissu gingival est mince et tendu, de hauteur > 2mm
Type D : procès alvéolaire mince, son bord marginal est à distance de la JAC
(déhiscence > 2mm), le tissu gingival est mince et très réduit, de hauteur <
1mm
Classification de Miller :
Classe I : la récession n'atteint pas la ligne muco-gingivale et un
recouvrement est possible à 100 %.
Classe II : la récession atteint ou dépasse la ligne muco-gingivale, sans perte
des tissus parodontaux proximaux et un recouvrement est possible à 100 %
Classe III : la récession atteint ou dépasse la ligne muco-gingivale, avec perte
d'attache des tissus parodontaux proximaux ou malpositions. Le recouvrement
à 100 % n'est plus envisageable, seul un recouvrement partiel sera possible.
Classe IV : la recession atteint ou dépasse la ligne muco-gingivale,
d’importantes pertes d’attache des tissus parodontaux proximaux ou
d’importantes malpositions. Le recouvrement est alors impossible.
Classification de Benque :
Récession en U
Récession en V
Récession en I
Classification de Sullivan et Atkins :
large et longue
large et courte
étroite et longue
étroite et courte
Classification de Mülheman :
0 : ankylose
1 : mobilité physiologique perceptible entre 2 doigts
2 : mobilité transversale visible à l’œil nu < 1mm
3 : mobilité transversale supérieure à 1mm
4 : mobilité axiale et transversale
Classification des atteintes de la furcation de Lindhe :
Degré 1 : perte horizontale des tissus de soutien ne dépassant pas 1/3 de la
largeur de la dent
-
Degré 2 : perte horizontale des tissus de soutien dépassant 1/3 de la largeur
de la dent mais n’atteignant pas la largeur totale de l’espace inter-radiculaire
Degré 3 : destruction horizontale de part en part des tissus de soutien au
niveau de l’espace inter-radiculaire
Classification de Meyer :
Lésion inter-radiculaire supra-osseuse
LIR juxta-osseuse
LIR infra-osseuse
Classification des maladies parodontales :
I. MALADIE GINGIVALE
o A) Maladie gingivale induite par la plaque
§ 1) Gingivite associée avec la plaque uniquement
·
sans facteurs locaux
·
avec facteurs locaux (voir VIII A)
§ 2) Maladie gingivale associée à des facteurs systémiques
·
a) Associée à des modifications endocriniennes :
o 1) gingivite de la puberté
o 2) gingivite associée aux cycles menstruels
o 3) gingivite au cours de la grossesse gingivite,
granulome pyogénique
o 4) gingivites et diabète sucré
·
b) Associée à un trouble de la crase sanguine : leucémie,
autres troubles
§ 3) Maladie gingivale et médicaments :
·
1) hypertrophie gingivale induite par les médicaments
·
2) gingivite aggravée par les médicaments : contraceptifs
oraux et gingivite
·
3) autres médicaments
§ 4) Gingivites et malnutritions
·
a) gingivite et carence en acide ascorbique
·
b) autres
o B) Lésion gingivale non induite par la plaque
§ 1) Pathologie gingivale liée à une bactérie spécifique : Neisseria
gonorrhea, Treponema pallidum, Streptocoques
§ 2) Maladie gingivale d'origine virale
·
a) infections à herpes virus gingivostomatite lors de la
primo -infection à herpes virus, herpes buccal récidivant
·
b) varicelle –zona
·
c) autres
§ 3)Maladie gingivale d'origine fungique
·
a) infection à candida : candidose gingivale généralisée
·
b) érythème gingival linéaire
·
c) histoplasmose
·
d) autres
§ 4) Lésions gingivales d'origine génétique
·
a) gingivite au cours des fibromatoses
·
b) autres
§ 5) Gingivites au cours de manifestations générales
·
a) atteintes cutanéo-muqueuses
o 1) lichen plan
o 2) pemphigoïde
o 3) pemphigus vulgaire
o 4) érythème polymorphe
o 5) lupus érythémateux
o 6) induites par des médicaments
o 7) autres
·
b) réactions allergiques
o 1) aux matériaux d'obturations dentaires : mercure
nickel acrylique et autres
o 2) réactions allergiques attribuées à : pâtes dentifrices,
bain de bouche, additif contenu dans les chewinggums, additifs présents dans les aliments
o 3) autres
§ 6) Lésions traumatiques (factices, iatrogènes, accidentelles)
chimique, physique, thermique
§ 7) Réactions auto-immunes
§ 8) Non spécifiques
II. PARODONTITES CHRONIQUES
o A) Localisées,
o B) Généralisées
III. PARODONTITES AGRESSIVES
o A) Localisées,
o B) Généralisées
IV. PARODONTITES MANIFESTATIONS D'UNE MALADIE GENERALE
o A) Associées à une hémopathie neutropénie acquise, leucémie, autres
o B) Associées à une anomalie génétique
§ 1) neutropénie familiale cyclique
§ 2) syndrome de Down
§ 3) syndrome de déficience d'adhésion des leucocytes
§ 4) syndrome de Papillon-Lefèvre
§ 5) syndrome de Chediak-Higashi
§ 6) hystiocytose
§ 7) maladie du stockage du glycogène
§ 8) agranulocytose de l'enfant
§ 9) syndrome de Cohen
§ 10) syndrome de Ehlers-Danlos (types IV et VIII)
§ 11) hypophosphatasie
§ 12) autres
o C) Non spécifiées
V. PARODONTOPATHIES ULCERO-NECROTIQUES
o A) Gingivite ulcéro –nécrotique
o B) Parodontite ulcéro-nécrotique
VI. ABCES PARODONTAL
o A) Abcès gingival,
o B) Abcès parodontal,
o C) Abcès péricoronaire
VII. PARODONTITE ASSOCIEE A UNE PATHOLOGIE ENDODONTIQUE : lésions
combinées endo-parodontales
VIII. ANOMALIES BUCCO-DENTAIRES ACQUISES OU CONGENITALES EN RAPPORT
AVEC LES PARODONTOPATHIES
o A) Facteurs locaux liés à la dent prédisposant aux gingivites ou aux
parodontites induites par la plaque :
§ 1) facteur lié à l'anatomie de la dent
§ 2) obturation et restauration dentaire
§ 3) fractures des racines
§ 4) résorptions cervicales
§ 5) fissures du cément
o B) Malformation muco-gingivale au voisinage des dents
§ 1) récessions gingivales au niveau des surfaces linguales ou
vestibulaires, interproximales
§ 2) défaut de kératinisation de la gencive
§ 3) réduction de la profondeur du vestibule
§ 4) frein aberrant, anomalie de l'insertion musculaire
§ 5) excès de gencive : pseudo-poche, gencive marginale
inconsistante, excès de gencive visible, hypertrophie gingivale
§ 6) anomalie de la coloration
o C) Malformation mucogingivale et édentation
§ 1) déficit horizontal ou vertical de la crête alvéolaire
§ 2) déficit de kératinisation de la gencive
§ 3) hypertrophie gingivale
§ 4) frein aberrant, anomalie de l'insertion musculaire
§ 5) réduction de la profondeur du vestibule
§ 6) anomalie de la coloration
o D) Traumatisme occlusal : occlusal primaire, secondaire
6/ CHIR :
-
Classification ASA :
ASA I : patient en bonne santé
ASA II : patient présentant une atteinte modérée d’une grande fonction (ex: HTA
modérée, bronchite chronique,…)
ASA III : patient présentant une atteinte sévère d’une grande fonction limitant
activité sans entraîner d’incapacité (ex : angor stable…)
ASA IV : patient présentant une atteinte très sévère d’une grande fonction,
invalidante et mettant en jeu le pronostic vital (ex : angor instable…)
ASA V : patient moribond, espérance de vie inférieure à 24h
7/ PEDODONTIE :
Classification des dentinogénèses imparfaites selon Shields :
- Type I : la pathologie est toujours associée à une ostéogénèse imparfaite et affecte les
deux dentures à différents degrés. La denture temporaire est, dans de nombreux cas,
plus touchée que la denture permanente. Aspect ambré et translucide, couleur varie
du gris au jaune brun ou au brun violet. Couronne globuleuse, constriction cervicale
marquée
- Type II : la plus rencontrée. La pathologie ne présente aucune association avec
l’ostéogénèse imparfaite. La maladie touche les deux dentures, et toutes les dents
sont affectées
- Type III : aussi appelée « dentine opalescente héréditaire isolée couleur brandy ».
-
Classification de Nolla :
Stade 0: Absence de crypte
Stade 1: Présence de crypte
Stade 2: Calcification initiale
Stade 3: le tiers de la couronne est édifié
Stade 4: les deux tiers de la couronne sont édifiés
Stade 5: la couronne est presque achevée
Stade 6: la couronne est achevée
Stade 7: le tiers de la racine est édifié
Stade 8: les deux tiers de la racine sont édifiés (forme en tromblon)
Stade 9: la racine est presque achevée, elle a sa longueur définitive mais l’apex est
ouvert
Stade 10: l’extrémité apicale de la racine est achevée (la jonction cémento-dentinaire
en place)
assification en odontologie
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