Page 1 sur 23 NUMPAGES23 Faculté / Institut Médecine Module Année Universitaire 2020-2021 Elément de module Semestre QCM Session ENTRAINEMENT Date et durée de l’épreuve Gynécologie obstétrique Pr : BARGACH SAMIR Enseignants Pr : Pr : Contraception Question n° 1 : l’indice de Pearl : A- Est le rapport du nombre de grossesses « accidentelles » sur le nombre total de mois multiplié par 1200 B- L'indice de Pearl est un outil statistique utilisé dans les essais cliniques pour mesurer l'efficacité des méthodes de contraception. C- Plus l'indice de Pearl est faible et plus la méthode contraceptive est efficace. D- Plus l'indice de Pearl est grand et plus la méthode contraceptive est efficace. Question 2° : le choix d’une contraception et rôle du médecin : A- le rôle du médecin est d’imposer, la contraception la efficace, même si elle pas acceptable acceptable par la patiente. B- Le rôle du médecin est en particulier d’informer la patiente sur les avantages, inconvénients et les échecs de la méthode retenue, C- le rôle du médecin est d’éliminer les contre-indications et de proposer le produit le plus adapté à la patiente. D- Une femme qui souhaite une contraception médicale, choisit la méthode contraceptive qu’elle désire. Question n° 3 : Contre-indications de la contraception estroprogestative : A- L’hypertension artérielle (PA systolique > 16 mm Hg ou diastolique > 10 mm Hg) est une contre indication relative. B- Les antécédents d'accident thromboembolique ou d'affection cardiovasculaire, (atteintes coronaires, valvulaires...), sont une contreindication absolue de la contraception estroprogestative. C- Le cancer du sein n’est pas une contre-indication absolue de la contraception estroprogestative. D- les mastopathies bénignes, sont une contre-indication absolue de la contraception estroprogestative. n’est les Page 2 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 4 : Les estroprogestatifs : A - sont responsables d’un blocage de l’ovulation. B - d’une inhibition de la sécrétion de FSH et suppression du rétrocontrôle positif de l’estradiol). C - sont responsables, d’une modification de la glaire cervicale, qui devient épaisse. D - empêchent la pénétration des spermatozoïdes à travers le col utérin. Question n° 5 : La prise d'estroprogestatif : A- augmente le risque de Salpingites. B- diminue le risque de cancer de l'ovaire et de l'endomètre. C- favorise le risque de kystes ovariens fonctionnels et de salpingite. D- diminue le risque de grossesse extra-utérine. Question n° 6 : Effets bénéfiques de la contraception estroprogestative : A- La prise d’estroprogestatifs augmente le risque de cancer de l’ovaire. B- Diminue le risque de kyste ovarien fonctionnel. C- Diminue le risque de grossesse extra-utérine. D- Augmente le risque de grossesse extra-utérin Question n° 7 : Mode d’action des stérilets en cuivre : A- Les ions cuivreux peuvent entrainer une diminution de la mobilité et du pouvoir fécondant des spermatozoïdes. B- La présence d’un stérilet en cuivre dans la cavité utérine entraine des modifications biochimiques et morphologiques au niveau de l’endomètre nuisant au transport des spermatozoïdes. C- Les ions cuivreux agissent par un blocage de l’ovulation. D- La présence de cuivre sur le stérilet ne gène pas le déplacement des spermatozoïdes. Page 3 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 8 : Quelles sont les différentes méthodes contraceptives utilisant des progestatifs ? A- progestatif seul micro dosé. B- prise de progestatif seul (dosage fort) du 5ème au 25ème jour du cycle. C- le stérilet en cuivre. D- Injection IM de progestatif retard. Question n° 9 : Quelles sont les contre-indications absolues du DIU ? A- antécédents de GEU. B- trouble de la crase sanguine. C- La grossesse. D-Les cardiopathies valvulaires. Question n° 10 : Quelles sont les indications d’un stérilet ? A- Femmes cherchant une contraception fiable réversible B- Femmes cherchant une contraception fiable irréversible C- Contraception du lendemain chez les femmes ayant eu des relations sexuelles non protégées jusqu’à 7 jours D- Femme qui allaite Les tumeurs de l’ovaire Question n° 1 : Le ou les principaux facteurs de risque de tumeur de l’ovaire ? A - Estroprogestatifs B- L’infertilité C- La stérilisation tubaire D- La grossesse et l’allaitement Page 4 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 2 : Les tumeurs de l’ovaire. A- Les tumeurs de l’ovaire peuvent s’accompagner d’un Syndrome endocrinien. B- L’existence de végétations intra kystiques à l’échographie est un argument en faveur de la malignité. C- Le dosage du marqueur CA 125 lorsqu’il est élevé avant traitement sera utile pour la surveillance post-thérapeutique des cancers épithéliaux de l’ovaire. D- Les cancers ovariens sont le plus souvent diagnostiqués au stade I (FIGO) Question n° 3 : Les tumeurs de l’ovaire : ABCD- Ne s’accompagnent jamais de syndrome masculinisant Peuvent s’accompagner d’un syndrome endocrinien féminisant Ne s’accompagnent jamais de syndrome féminisant Peuvent s’accompagner d’un syndrome endocrinien masculinisant Question n° 4 : Sd de Démons Meigs: A- Est du à une tumeur ovarienne maligne avec ascite et épanchement pleural. B- Est dû à une tumeur ovarienne bénigne avec ascite et hydrothorax C- L’ablation de la tumeur permet la guérison du syndrome de Démons Meigs. D- L’ablation de la tumeur ne permet pas la guérison et nécessite une chimiothérapie complémentaire. Question 6° : Radiographie A- des images de calcifications ou de dents, sur un cliché d’abdomen sans préparation sont en faveur d’un kyste endométriosique. B- des images de calcifications ou des dents, sur un cliché d’abdomen sans préparation sont en faveur d’un cancer de l’ovaire. C- des images de calcifications ou des dents, sur un cliché d’abdomen sans préparation sont en faveur d’un kyste dermoïde de l’ovaire. D- des images de calcifications ou des dents, sur un cliché d’abdomen sans préparation sont en faveur d’un kyste fonctionnel de l’ovaire. Page 5 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 7 : La coelioscopie A- La coelioscopie est utilisée de façon systématique en cas tumeur ovarienne à l’échographie. B- La coelioscopie n’est utilisée qu’en cas de doute diagnostique. C- Elle permet l’élimination de lésions non ovariennes et la confirmation de lésions ovariennes. D- Elle permet le traitement de lésions bénignes ovariennes. Question n° 8 : Kyste non fonctionnel : A- l’abstention thérapeutique peut être proposée en cas de kyste fonctionnel de B- la ponction écho guidée peut être proposée en cas de kyste fonctionnel de C- la ponction écho guidée est contre-indiquée en cas de kyste fonctionnel de D- l’abstention thérapeutique n’est pas autorisée en cas de kyste fonctionnel de l’ovaire. l’ovaire. l’ovaire. l’ovaire. Question n°9 : Classification FIGO : Une tumeur de l’ovaire uni ou bilatérale avec extension pelvienne est classée : A- Stade IB. B- Stade III. C- Stade II. D- Stade IV. Question 10 : Classification FIGO : une tumeur ovarienne uni ou bilatérale avec métastases péritonéales ou abdominales étendues au delà du petit bassin est classée : A- Stade IIC B- Stade III C- Stade IV D- Stade IIB Question n° 11 : Les séminomes de l’ovaire : A- Sont des tumeurs germinales lymphophiles B- Sont des tumeurs radiorésistantes viscérales intra Page 6 sur 23 NUMPAGES23 C- N’envahissent jamais les ganglions lomboaortiques, thoraciques et sus claviculaires. D- Sont des tumeurs bénignes. Question n°12 : Le dosage du CA125 : A- Est utilisé, pour aider dans la distinction kyste bénin / cancer. B- Une élévation du CA 125 après la ménopause, est en faveur de la malignité. C- Le dosage du CA125 à est demandé, en cas de surveillance après traitement d’une tumeur maligne de l’ovaire. D- L’augmentation du CA 125 est en faveur d’une récidive tumorale, après traitement. Question n° 13 : Quelle est votre conduite thérapeutique devant un kyste de l’ovaire organique d’allure bénigne ? : A- Kystectomie par coelioscopie chez les femmes ménopausées. B- kystectomie par coelioscopie chez les femmes non ménopausées. C- Ovariectomie ou annexectomie par coelioscopie chez les femmes ménopausées. D- Traitement d’épreuve par progestatifs avant d’envisager une chirurgie. Les aménorrhées Question n° 1 : L'aménorrhée primaire : A- l’aménorrhée est primaire, si la ménarche n’est pas survenue à 16 ans. B- peut s'accompagner d'un impubérisme C- la radiographie de la main est un, des examens du bilan D- un des diagnostics est le simple retard pubertaire Question n° 2 : Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous devant une aménorrhée secondaire associée à des signes cliniques d'hyper androgénie? : A- Grossesse B- Syndrome des ovaires poly kystiques C- Adénome à prolactine D- Hyperplasie congénitale des surrénales Page 7 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 3 : Définition de l’aménorrhée secondaire : A- Est l’absence de règles depuis plus de six mois. B- Est l’absence de règles depuis plus de trois mois. C- Est l’absence de ménarche à l’âge de 16 ans. D- Est l’absence de ménarche à l’âge de 12,5 ans. Question n° 4 : La première cause d’aménorrhée secondaire à évoquer : A- Est l’hyperprolactinémie non tumorale. B- Est le syndrome des ovaires poly kystiques. C- Est la grossesse. D- Est la ménopause précoce. Question n° 5 : Le syndrome de Sheehan : A- Survient après un accouchement compliqué de choc hémorragique. B- S’accompagne d’une absence de montée laiteuse. C- S’accompagne d’une Hyperglycémie. D- S’accompagne d’une nécrose du lobe antérieur de l’hypophyse. Question n° 6 : Dystrophie ovarienne ou syndrome des ovaires polykystiques (OPK ) peut s’accompagner de : A- Spanioménorrhée B- Aménorrhée avec obésité C- Hypertrichose D- Stérilité Question n° 7 : Une aménorrhée primaire avec virilisation des caractères sexuels secondaires peut être en rapport avec : A- une hyperplasie congénitale des surrénales B- une tumeur ovarienne C- une tumeur de la surrénale D- une insuffisance hypophysaire globale Page 8 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 8 : Une aménorrhée primaire avec virilisation des caractères sexuels secondaires peut être en rapport avec : ! ! ! ! A#!un!syndrome!de!Turner.! B#!une!hyperplasie!congénitale!des!surrénales! C#!une!tumeur!ovarienne! D#!un#syndrome#de#Rokitansky#Küster#Hauser.!! ! Question n° 9 : Une aménorrhée avec hyperprolactinémie peut être due à : A- un adénome à prolactine. B- une hyperprolactinémie non tumorale. C- une cause iatrogène. D- une cause psychogène. Question n° 10 : Aménorrhée primaire avec développement des caractères sexuels secondaires anormal ou absent : la radiographie de la main objective : A- Sésamoïde du pouce absent en faveur d’un retard pubertaire. B- Sésamoïde du pouce absent en faveur d’un impubérisme. C- Sésamoïde du pouce présent en faveur d’un retard pubertaire. D- Sésamoïde du pouce présent en faveur d’un impubérisme. Question n° 11 : En cas d’impubérisme : A- le développement des caractères sexuels secondaires est anormal ou absent. B- le développement des caractères sexuels secondaires est normal. C- Il existe une aménorrhée primaire. D- A la radiographie de la main, le sésamoïde du pouce est présent. Page 9 sur 23 NUMPAGES23 Question n° 12 : Une aménorrhée primaire avec développement des caractères sexuels secondaires normal et génotype féminin normal peut se voir en cas de : A- malformations utéro-vaginales. B- tuberculose génitale pré pubertaire. C- syndrome de Turner. D- testicule féminisant. Cancer du sein : Question n° 1 : En cas d’exploration du sein : A- La mammographie ne permet jamais d’évaluer des atteintes du revêtement cutané. B- La galactographie ne doit pas être pratiquée en cas d’écoulement mamelonnaire unicanalaire. C- La micro biopsie à l’aiguille tranchant (Tru-cut) n’a de valeur que si elle est positive. D- Biopsie d’exérèse, avec étude histologique extemporanée est systématique en cas de tumeur du sein. Question n° 2 : Quel(s) est (sont) le(s) facteur(s) de risque du cancer du sein ? : A- la nulliparité B- la ménopause précoce C- l'allaitement maternel de longue durée D- l'obésité Question n° 3 : Les facteurs de risque du cancer du sein : A- Premières règles tardives B- ménopause tardive C- stérilité par anovulation D- célibataires et absence d’allaitement Question n° 4 : En cas de traitement substitutif de la ménopause : A- Le risque du cancer du sein ne dépend pas de la durée du traitement. B- Le risque du cancer du sein augmente avec la durée de traitement. Page 10 sur 23 C- Les estrogènes par voie percutanée, avec ou sans, progestérone naturelle n’augmentent pas ce risque. D- Toutes les réponses sont vraies. Question n° 5 : Le ou les facteur(s) de risque du cancer du sein : A- Un cancer du sein chez la mère ou chez la sœur. B- Les mastopathies bénignes C- L’adénofibrome D- La dysplasie kystique simple Question n° 6 : Facteurs de risque du cancer du sein : A- Consommation de graisses. B- Le niveau socio-économique bas. C- Le stress. D- Irradiations à hautes doses. Question n° 7 : La maladie de Paget est souvent associée à : A- un carcinome intracanalaire. B- une tumeur phyllode . C- un fibrosarcome. D- un liposarcome. Question n° 8 : Le cancer du sein : A- Est une affection maligne de la glande mammaire B- il occupe le deuxième rang des cancers féminins C- il occupe le premier rang des cancers féminins D- il représente la première cause de mortalité chez les femmes de 35 à 55 ans Page 11 sur 23 Question n° 9 : à l’échographie le cancer du sein : A- donne une image hypo échogène. B- donne une image hyper échogène. C- le grand axe de cette image échographique est parallèle au plan cutané. D- les contours sont flous irréguliers. Question n° 5 : Pronostic du cancer du sein : A- La présence des récepteurs hormonaux aux estrogènes et à la progestérone (dans la tumeur ou dans un ganglion) est un bon B- La présence des récepteurs hormonaux aux estrogènes et à la progestérone (dans la tumeur ou dans un ganglion) est un mauvais Pronostic. C- Le classement en 3 grades histo-pronostiques de Scarff, Bloom et Richardson : I, II, III. Est de gravité décroissante. D- Le classement en 3 grades histo-pronostiques de Scarff, Bloom et Richardson : I, II, III. Est de gravité croissante. Question n° 6 : L’examen histologique d’une tumeur du sein : ! ! ! ! A#!Affirme!la!malignité! B#!Précise!le!grade!histo#pronostique! C#!Précise!les!récepteurs!hormonaux! D#!Ne!permet!pas!de!préciser!l’existence!d’angio#invasions! ! Question)n°)7):)) ) Le)dosage)des)récepteurs)hormonaux)(estrogène)et)progestérone))se)fait)dans):! ! ! ! ! ! A#!les!ganglions.! B#!les!métastases.! C#!la!tumeur.! D#!toutes!les!réponses!sont!justes! Question)n°)8):)) Le)haut)risque)de)métastases):) A-Envahissement ganglionnaire (≥ 3 gg) B- grade histopronostique II C- taille de la tumeur stade III D- absence de récepteurs hormonaux Pronostic. Page 12 sur 23 Question n° 9 : La mammographie : ! ! ! ! A#!permet!d’évaluer!des!atteintes!du!revêtement!cutané!du!sein.!! B#!une!opacité!à!contours!spiculés!est!une!image!typique!de!tumeur!maligne.! C#!une!opacité!contenant!des!micro!calcifications!est!très!suspecte!de!malignité! D#!les!micro!calcifications!sont!en!faveur!d’un!cancer!in!situ!! ! Question)n°)10):)) Eléments)de)suspicion)de)malignité)d’une)tumeur)du)sein)à)l’échographie):! A- image hyper échogène. B- une image à grand axe perpendiculaire à la peau C- contours flous irréguliers. D- cône d’ombre postérieur. Question n° 11 : Classification TNM : A- T2 : tumeur supérieure à 5 cm B- T1 : tumeur inférieure à 2 cm C- N2 : ganglion homolatéral palpable mobile D- M1 : métastases. Question n° 12 : L’intervention Patey est une : A- ablation de la glande mammaire, des lymphatiques axillaires et des muscles pectoraux. B- ablation de la glande, des lymphatiques axillaire, avec conservation des muscles pectoraux. C- tumorectomie avec lymphadenectmie axillaire. D- quadrantectomie avec lymphadenectomie axillaire. Question n° 13 : Quel(s) est (sont) le(s) cancer(s) dont la fréquence est augmentée chez les patientes mutées BRCA1? A- cancer du col de l'utérus B- cancer du sein C- cancer de l'endomètre D- cancer de l'ovaire Page 13 sur 23 Question° 14 : Cancer du sein A- C ‘est le cancer de la femme, le plus fréquent. B- C’est un cancer hormonodépendant C- Son dépistage se fait par échographie D- Son dépistage se fait par mammographie Question n° 15 : Taux d’incidence du cancer du sein : A- varie selon les pays. B- bas dans les pays sous développés. C- varie selon l’âge. D- augment à partir de 35 ans. Endométriose : Question n° 1 : Epidémiologie : A- L’endométriose est la première cause de dysménorrhées et de douleurs chroniques. B- Elle survient surtout chez la jeune fille (< 30 ans) C- L’endométriose est plus fréquente chez la race blanche D- quand le niveau socio-économique est élevé. Question n° 2 : Grande fréquence de l’endométriose chez les femmes ayant subi : A- curetage, B- césarienne, C- épisiotomie, D- Toutes les réponses sont justes. Question n° 3 : L’endométriose est souvent associée à : A- Altérations de l’immunité humorale. B- Anomalies de l’immunité à médiation cellulaire. pelviennes Page 14 sur 23 C- La personnalité anxieuse et stressée. D- Toutes les réponses sont justes. Question n° 4 : L’ adénomyose est liée : A- à un facteur génétique B- aux traumatismes chirurgicaux (curetage, hystérotomie) C- à l’hyperestrogénie D- à l’hypoestrogénie Question n° 5 : Endométriose externe : A- les foyers d’endométriose sont liés à une implantation ectopique des cellules endométriales provenant du reflux menstruel en cas d’obstruction du tractus génital. B- peut être due à une métaplasie de l’épithélium coelomique, en cellules endométirales. C- Peut être due à des métastases veineuses ou lymphatiques des cellules endométriales. D- Toutes les réponses sont justes. Question n° 6 : L’adénomyose peut s’accompagner de : A- syndrome hémorragique B- dysménorrhée, secondaire (2-3ème j du cycle) C- dyspareunie profonde D- troubles urinaires à type de dysurie-pollakiurie. Question n° 7 : En cas d’adénomyose : A- Une hystérosalpingographie demandée dans le cadre d’un bilan d’infertilité peut montrer des signes directs ou indirects d’adénomyose. B- L’hystérosalpingographie n’a aucun intérêt diagnostique. C- La Coelioscopie peut montrer un utérus est augmenté de volume et de petites lésions kystiques rouges ou bleutées à la surface de l’utérus. D- Toutes les réponses sont justes. Page 15 sur 23 Question n° 8 : L’endométriose externe peut s’accompagner : A- d’une dysménorrhée. B- de nodules marrons ou bleuâtres au niveau des organes génitaux externes ou niveau d’une cicatrice (épisiotomie, césarienne). C- d’une infertilité. D- Toutes les réponses sont justes. Question n° 10 : Endométriose externe : A- L’échographie pelvienne est intéressante en cas d’endométriose ovarienne. B- L’échographie peut objectiver une augmentation du volume d’un ovaires ou un kyste évocateur d’un endométriome. C- L’intérêt de l’hystérosalpingographie, est l’appréciation de l’atteinte tubaire et l’adénomyose associée. D- L’hystéroscopie peut montrer des noyaux bleutés sous muqueux. Question n° 11 : Imagerie par Résonnance magnétique (IRM) A- Est systématique en cas d’endométriose externe. B- Elle est utile dans les endométrioses profondes. C- Elle permet de réaliser une cartographie des lésions en préopératoire. D- Une uro-IRM peut être utile en cas de lésion urétérale. Question n° 12 : La coelioscopie en cas d’endométriose externe : A- Examen essentiel de diagnostic d’endométriose pelvienne et ovarienne. B- permet de biopsier toutes les lésions suspectes et les adhérences (pour examen anatomopathologique). C- permet le bilan d’extension des lésions et examiner toute la surface du péritoine pelvien. D- permet d’avoir la preuve anatomopathologique, (par ponctions et biopsies). au Page 16 sur 23 Question n° 13 : La coelioscopie en cas d’endométriose ovarienne : A- peut retrouver des granulations brunâtres, ou rouges sombres, (ϕ 0,5 à 2 mm), à la surface de l’ovaire. B- peut retrouver des lésions kystiques de taille variables de coloration brunâtre. C- La présence de liquide brun, chocolat est pathognomonique d’endométriose. D- il est contre-indiqué de réaliser l’ouverture, le lavage de l’endométriome, et l’exploration de l’intérieur de la poche kystique, à la recherche de plages d’endomètre par coelioscopie. Question n° 14 : Traitement médical de l’endométriose : A- La contraception œstroprogestative est efficace sur la dysménorrhée en cas d’endométriose. B- La contraception œstroprogestative est contre-indiquée en cas de dysménorrhée due à une endométriose. C- Les progestatifs peuvent être prescrits comme traitement médical de l’endométriose. D- Les analogues de la LH-RH, entraine une castration médicale. Cet effet est réversible à l ‘arrêt du traitement. Fibromyome utérin : Question n° 1 : A- Les femmes de race noire présentent, plus de fibromyomes que les femmes de race blanche. B- Les femmes de race blanche présentent, plus de fibromyomes que les femmes de race noire. C- Les fibromes utérins apparaissent, surtout entre l’âge de : 35-50 ans. D- Les fibromes utérins apparaissent, surtout entre l’âge de : 25-35 ans. Question n° 2 : A- les fibromyomes augmentent parfois sous traitement œstro-progestatif B- les fibromyomes augmentent sous traitement œstrogénique après la ménopause C- A la ménopause, les fibromyomes tendent à augmenter de volume. D- l'endomètre des femmes porteuses de fibromyome témoigne d'une hyperœstrogénie responsable d’hyperplasie de l’endomètre Page 17 sur 23 Question n° 3 : Fibrome utérin A- Le fibrome utérin est une pathologie fréquente. B- Le traitement du fibrome est toujours chirurgical. C- Le principal signe révélateur est la ménorragie. D- Le fibrome utérins est une tumeur bénigne encapsulée. Question n° 4 : Fibrome utérin : A- Le fibrome peut être découvert au cours, d'un examen gynécologique systématique. B- Le fibrome peut être découvert au cours, d'un examen gynécologique systématique. C- En cas de fibrome asymptomatique, on peut se contenter d’une simple surveillance (dans la CAT), sauf s’il présente un volume important. D- Toutes les réponses sont justes. Question n° 5 : Le principal signe révélateur du fibromyome utérin est : A- Ménorragie. B- Douleur. C- Augmentation du volume de l’abdomen. D- Trouble urinaire. Question n° 6 : Complications des fibromes A- Le fibrome sous muqueux peut se compliquer d’hémorragie. B- Les hémorragies répétées peuvent entrainer une anémie chronique hypochrome microcytaire. C- Les hémorragies répétées peuvent entrainer une anémie chronique normo chrome macrocytaire. D- Les hémorragies répétées peuvent entrainer une anémie chronique normo chrome normocytaire. Page 18 sur 23 Question n° 7 : Une image en cocarde avec une hyperéchogénicité centrale à l’échographie : A- est en faveur d’une dégénérescence sarcomateuse. B- est en faveur d’une nécrobiose aseptique. C- est en faveur d’une infection du fibromyome. D- son traitement est en en premier lieu, médical Question n° 8 : Traitement du fibrome A- Seuls les fibromyomes volumineux ou compliqués doivent être opérés. B- Les progestatifs ne réduisent pas, le volume des fibromyomes. C- Les progestatifs sont indiqués, en cas de ménorragies et de ménométrorragies D- Les progestatifs régularisent l’abondance et la durée des règles. Question n° 9 : A- L’abstention thérapeutique est indiquée pour les fibromes asymptomatiques (ϕ < 10 cm) et de découverte fortuite. B- Le traitement chirurgical est indiqué pour tout fibrome. C- Les progestatifs permettent la réduction du volume du fibrome en préopératoire. D- Les analogues de la LH-RH sont indiqués en première intention pour réduire les saignements. Question n° 10 : Les examens complémentaires à demander en premier lieu en cas de fibrome utérin : A-IRM pelvienne B- Scanner pelvien C- Taux de ßHCG D- Echographie pelvienne Question n° 11 : Un traitement médical par progestatifs en cas de ménorragies se fait : A- du 16ème au 25ème jour du cycle. B- du 5ème au 25ème jour du cycle s’il y a un désir de grossesse. C- durant tout le cycle en continu. D- toutes les réponses sont justes. Page 19 sur 23 Question n° 12: Traitement chirurgical du fibrome : A- L’hystérectomie peu se faire par laparotomie. B- L’hystérectomie ne se fait jamais par cœlioscopie. C- L’hystérectomie peu se faire par voie vaginale. D- La cœlioscopie est indiquée pour les fibromes de moins de 8 cm et en faible nombre (< 3) Question n° 13 : Embolisation pour fibrome utérin A- L’embolisation préopératoire, peut être utilisée, pour réduire les saignements peropératoires B- L’embolisation a un intérêt, pour les patientes, présentant des contre- indications à l’anesthésie ou à la chirurgie, comme alternative à l’hystérectomie. C- l’embolisation peut être une alternative au traitement chirurgical, dans la prise en charge des fibromes utérins. D- L’embolisation est une technique abandonnée depuis une des décennies. Ménopause Question n° 1 : Sur le plan biologique, la pré-ménopause, se caractérise par : A - Une élévation de la FSH. B - Une élévation de la progestérone. C - Une élévation de la Delta-4-androstènedione. D - Une élévation de l'œstradiol. Infertilité Question n° 1 : En cas d’infertilité A- la coelioscopie est recommandée en cas de pathologie tubopelvienne. suspectée. B- L’échographie endovaginale est demandée en première intention. C- L’Hystérosalpingographie n’est pas recommandé pour l’exploration de l’appareil génital féminin. D- L’endométriose n’est pas une cause de stérilité tubaire. Page 20 sur 23 Question n° 2 : Stérilité tubaire A- La Salpingite est une cause de stérilité tubaire. B- l’endométriose est une cause de stérilité tubaire. C- Une intervention chirurgicale sur le bassin (appendicectomie par exemple), peut être une cause de stérilité. D- Toutes les réponses sont justes. Question n° 3 : Stérilité tubaire Le ou (les) moyen (s), qui permet (tent), de mieux faire un bilan des lésions tubaires est (sont) : A- La coelioscopie avec, épreuve de perméabilité tubaire au bleu de méthylène. B- L’hystérosalpingographie + Coelioscopie . C- La coelioscopie exclusive. D- L’hystéroscopie. HTA et grossesse Question n° 1: Pendant la grossesse, l'hypertension est classée comme : A- légère ou modérée, lorsque la systolique est entre : 160 -169 mm Hg, ou diastolique entre : 110-119 mm Hg. B- légère ou modérée lorsque la systolique est entre : 140-159 mm Hg, ou diastolique entre : 90-109 mm Hg. C- sévère lorsque la systolique ≥ 160 mm Hg ou diastolique ≥ 110 mm Hg. D- Aucune réponse n’est juste. Question n° 2 : HTA et grossesse A- La triade classique pour poser le diagnostic de pré-éclampsie était : l'hypertension, l'œdème, et la protéinurie. B- La pré éclampsie sévère est caractérisée par des signes en plus des principaux critères de diagnostic : céphalées, et troubles visuels.  C- L'éclampsie est le développement de crises convulsives de femme enceinte ou en post-partum atteinte de pré éclampsie. D- L'hypertension qui persiste plus de 12 semaines après la naissance est considérée comme une hypertension chronique. Page 21 sur 23 Question n° 3 : HTA et grossesse A- La stéatose hépatique aiguë de la grossesse est une complication rare et mortelle. B- La stéatose hépatique aiguë de la grossesse est une complication fréquente et mortelle. C- La stéatose hépatique aiguë ne s’accompagne jamais d’ictère. D- Le HELPP syndrome peut s’accompagner d’un hématome rétro placentaire. Question n° 4 : HTA et grossesse Facteurs de risque de la pré-éclampsie : A- Âge maternel avancé (> 40 ans). B- Hypertension chronique. C- Grossesse pré éclamptique précédente. D- Obésité. Question n° 5 : Protéinurie et pré-éclampsie A- Les évaluations d'urine pour la protéinurie ont un taux élevé de résultats faux négatifs et faux positifs. B- La méthode de la bandelette d'urine n’est pas fiable. C- La méthode de la bandelette d'urine est fiable. D- Elle ne doit être utilisée que si d'autres méthodes quantitatives ne sont pas disponibles. Question n° 6 : Le HELPP Syndrome constitué de : A- Thrombocytopénie. B- Elévation des transaminases hépatiques (cytolyse). C- Hémolyse. D- Hyperleucocytose. Question n° 7 : Antihypertenseurs utilisés chez la femme enceinte : A- Methyldopa (Aldomet) B- Les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IECA) C- Nicardipine (Loxen) D- Nifédipine (Adalate) Page 22 sur 23 Question n° 8 : Une hypertension systolique sévère aiguë (systolique ≥ 160 mm Hg et / ou diastolique ≥ 110 mm Hg) peut survenir : A- pendant la grossesse. B- pendant le travail et l'accouchement. C- pendant la période post-partum. D- toutes les réponses sont justes. Question n° 9 : Médicaments antihypertenseurs contre-indiqués pendant la grossesse : A- Methyldopa (Aldomet) B- Les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IECA) C- les inhibiteurs des récepteurs de l'angiotensine (IRA) D- Labétalol (Trandate) ) ! Page 23 sur 23