See discussions, stats, and author profiles for this publication at: https://www.researchgate.net/publication/332621454 Electrocinétique : Cours et applications Presentation · April 2019 CITATIONS READS 0 10,199 1 author: Jamal Baliti Université Sultan Moulay Slimane 27 PUBLICATIONS 57 CITATIONS SEE PROFILE Some of the authors of this publication are also working on these related projects: EC4 Project : Make the planet great again, really, no bla-bla View project Lattice Boltzmann method for gas micro-flows View project All content following this page was uploaded by Jamal Baliti on 07 May 2020. The user has requested enhancement of the downloaded file. Université Sultan Moulay Slimane Faculté Polydisciplinaire - Beni Mellal Département de Physique Filière : SVI Module 12 : Physique II Electricité : Electrocinétique : Cours et applications Jamal BALITI Année universitaire 2018/2019 Concepts de base L’électrocinétique est l’étude du mouvement d’ensemble des charges dans un circuit que l’on appelle courant électrique. Les charges se déplacent sous l’effet d’un champ électrique extérieur créé par une différence du potentiel. 1-Courant et tension électrique 1.1-Courant électrique a-Définition Le courant électrique est le déplacement des porteurs de charges dans un conducteur sous l’effet d’un champ électrique externe. Le sens du courant électrique (représenté par une flèche) est, par convention, celui dans lequel se déplaceraient les charges positives (donc sens inverse des électrons). Il est généralement compté positif Fig .1 de la borne + du générateur à la borne – dans le circuit extérieur (Fig.1). L’intensité d’un courant (notée I) est un débit de charges (quantité de charges par unité du temps) donnée par : . L’intensité du courant est donnée en Ampère (A), qui correspond à 1 C.s-1. Le courant électrique se mesure par l’ampèremètre. Application : Une batterie se charge pendant une durée de 4 heures, par un chargeur qui délivre un courant d’intensité I=5mA, sous une tension U=12V. Quel est le nombre de porteurs de charge circulant dans le circuit pendant la période de charge. b-Loi des nœuds Un nœud d’un réseau est une interconnexion où arrivent trois fils ou plus. Un nœud n'est jamais connecté à un autre nœud que luimême. Dans un circuit quelconque la quantité de charge électrique est Fig.2 conservée et cette conservation dans un nœud se traduit par la conservation du courant. Donc, le courant qui entre un doit être égale à celui qui en sorte. Dans cette exemple (Fig.2) . En général, pour un nœuds qui contient plusieurs courants entrants et sortant du ∑ nœud la loi des nœuds se traduit par : ∑ . Application : Identifier les nœuds dans le circuit, et donner les équations liant les courants (Fig.3). Fig.3 1 1.2-Tension électrique b-Définition La tension électrique est une différence du potentiel électrique entre deux points d’un circuit. La tension est mesurée avec un voltmètre qui la donne en Volt (V). c-Loi des mailles -Une branche est constituée d’une association en série d’un ou plusieurs dipôles (fils, résistance, bobine, ...), c’est une portion de circuit située entre deux nœuds : dans le circuit ci-contre (Fig.4), BAFE est une branche, BCDE et BE également. -Une maille est une partie du réseau constituée d’un ensemble de branches formant un circuit fermé dans lequel un nœud n’est rencontré qu’une seule fois. Dans le circuit ci-contre, ABEFA est une maille et BCDEB également. Fig.4 A partir de la conservation de la quantité des charges dans une maille la somme des différences de potentiel aux bornes des branches formant cette maille est nulle. Dans cet exemple, . Application : Identifier les mailles dans le circuit, et donner les équations liant les tensions (Fig.5). 1.3- Dipôle On appelle dipôle électrocinétique tout système relié à l'extérieur par deux conducteurs uniquement. Fig.5 a- Dipôle passif Un dipôle passif est un dipôle qui convertit toute l’énergie électrique qu’il reçoit en énergie thermique (conducteur ohmique, diode, ...). Sa caractéristique passera forcément par l’origine (Chapitre suivant). b- Dipôle actif Un dipôle actif fournit à l’extérieur de l’énergie électrique et une autre forme d’énergie (générateur). 2- Conducteur ohmique (Résistance) 2.1- Définition 2 Une résistance est un dipôle linéaire passif (récepteur) qui transforme toute l’énergie qu’il reçoit sous forme de chaleur. La résistance est mesurée par l’Ohmètre et donnée en Ohm (𝛺). 2.2- Loi d’Ohm Lorsqu’on applique une différence du potentiel (Fig.6) au bornes de larésistance électrique il y a passage d’un courant de la borne A vers la borne B à travers la résistance. La résistance qui lie ces paramètre est dite loi d’Ohm : . Cette loi peut être mise sous la forme , avec Fig.6 est la conductance qui s'exprime en Siemens (S). Dans une résistance le courant électrique qui la parcoure est de sens inverse à la tension à ses bornes. 2.3- Résistivité et conductivité Soit un conducteur ohmique qui est sous forme cylindrique de section et de longueur présentant des charges libres assurant la conduction. Par application de différence du potentiel entre les bornes du conducteur, il y aura un mouvement des porteurs des charges. La quantité de charges transportée par application d’une différence du potentiel est donnée par , où est la densité volumique de charge et le volume du conducteur, avec et la vitesse des porteurs de charges. Donc, . La vitesse est proportionnelle à la différence du potentiel entre les extrémités du conducteur de longueur , avec est la mobilité des électrons. Résistivité x 10-8 𝛺.m argent 1,6 cuivre 1,7 or 2,4 aluminium 2,7 magnésium 4,6 tungstène 5,6 zinc 6 nickel 7 laiton 7 cadmium 7,6 Résistivité x 10-8 𝛺.m platine 10 fer 10 silicium 10 étain 18 plomb 21 germanium 46 constantan 49 mercure 96 nichrome 100 carbone 3500 Matériau Matériau 3 Selon la loi d’Ohm on a , donc , avec la résistivité en , donnée en (S.m-1). (𝛺.m). La conductivité est l’inverse de la résistivité Application : Calculer la résistance d’un fil en cuivre de longeur de section . Quelle est la tension à ses bornes s’il est traversée par un courant I=1mA. 2.4- Association des résistances a- Association en série Soient trois résistances et montées en série entre deux bornes A et D (Fig.7). Ces trois résistances sont parcourues par un courant I par effet d’une différence du potentiel . Fig.7 Les trois résistances sont parcourues par le même courant I alors que chacune à sa propre différence du potentiel entre ses bornes. La tension entre les bornes A et D est donnée par la loi des mailles : . Soit R la résistance équivalente à ces trois résistances. Donc, par application de la loi d’Ohm on a : , , et , Alors ( ) , ce qui donne . En général, si un circuit contient N résistance résistance equivalente est : montées en série alors la ∑ b- Association en parallèle Soient trois résistances et montées en parallèle entre deux bornes A et B (Fig.8). Ces trois résistances soumises à une même différence du potentiel . Les trois résistances ont une même différence du potentiel entre leur bornes, alors que chacune est parcourue par son propre courant. Le courant I est donné par la loi des noeuds : . Soit R la résistance équivalente à ces trois résistances. Donc, par Fig.8 4 application de la loi d’Ohm on a : Alors ( , , ) , ce qui donne et , . En général, si un circuit contient N résistance résistance equivalente est : montées en parallèle, alors la ∑ Application : Calculer la résistance équivalente de le montage de la figure(Fig.9). Que devient sa valeur si les cinq résistances sont égales ? Fig.9 5 Réseaux linéaires en régime continu 1-Générateur C'est un dipôle capable d'imposer une tension constante, appelée force électromotrice quelle que soit la charge reliée à ses bornes. Il est également appelé source de tension. , 1.1-Générateur en circuit ouvert et en charge En circuit ouvert, la tension qui existe à ses bornes lorsqu'il ne débite aucun courant est la tension à vide. Le générateur de tension est donc un dipôle virtuel dont la tension à ses bornes (force électromotrice f.é.m) est toujours égale à la tension à vide quelle que soit la valeur du courant donné. Dans un générateur, le courant circule de la borne positive vers la borne négative à travers le circuit extérieur. La différence de potentiel aux bornes d'un générateur à vide est égale à sa f.é.m, alors que La différence de potentiel aux bornes d'un générateur en charge est égale à sa f.é.m. diminuée de la chute de potentiel due à sa résistance interne (Fig.1). Fig.1 , Où est la résistance interne du générateur. Il est dit idéal si sa résistance est nulle ( ). Le générateur de tension ne peut être qu'un modèle théorique, car mis en court-circuit, il devrait délivrer un courant infini et donc fournir une puissance également infinie ce qui est irréalisable. 1.2-Point de fonctionnement Lorsqu’un générateur de force électromotrice et de résistance interne est fermé sur une charge (résistance ), il débite un courant et puisque leurs bornes sont communes et ils sont traversés par le même courant (Fig.2). Ils ont donc le même point de fonctionnement : même tension aux bornes, même intensité. Fig.2 Le point de fonctionnement est donné par le point d’intersection de la caractéristique du générateur et celle de la résistance . Analytiquement le point de fonctionnement peut être déterminé par le faite que (Fig.3), Donc , ce qui donne et . Fig.3 6 Application : Calculer le courant dans un générateur court-circuité. 1.3-Ponts diviseurs a- Pont diviseur de tension Dans le montage les deux résistances et sont en série et parcourue par le même courant (Fig.4), donc par application de loi d’Ohm ( ) . On a de même . Alors, . Donc, la tension de sortie est une fraction de la tension d’entrée. Pour le cas où , Fig.4 . b- Pont diviseur du courant Dans le montage les deux résistances et ont une même tension à leurs bornes (Fig.5). Donc par la loi d’Ohm ( sont en parallèle et ) . De même de la tension aux bornes de la résistance de sortie . Donc, Fig.5 . Donc, le courant de sortie est une fraction du courant d’entrée. Pour le cas où , . Application : En appliquant le diviseur de tension calculer la tension à travers les résistance R3, R2et R4 (Fig.6), sachant que E=20V , R1= R2=10𝛺, R3= 3R1 et R4= 2R1. Calculer les courants dans chaque branche par la méthode de diviseur de courant. Fig.6 2-Bilan énergétique 2.1- Effet Joule La résistance transforme toute l’énergie électrique reçue en énergie thermique. Cet effet est appelé effet Joule. La puissance électrique transformée en puissance thermique s’écrit: 7 Remarque : la puissance électrique des fils de connexion est négligeable, cela revient au fait que la résistance des fils de connexion très faible. Ce qui amène à négliger leur différence de potentiel (U=RI) et donc la puissance électrique (ou l’énergie électrique) qu'ils transforment. 2.2- Puissance fournie par le générateur Un générateur transforme de l'énergie chimique en énergie électrique et énergie thermique. L’expression de cette puissance sera de la forme : . Cette équation traduit la conservation de l'énergie (énergie reçue = énergie fournie): - est la puissance chimique reçue et transformée par l'accumulateur. est la puissance électrique fournie par l'accumulateur (aux charges, c-à-d. au courant, et finalement au reste du circuit). - est la puissance thermique fournie par l'accumulateur (effet Joule dans la résistance r). Application : Un circuit de résistance est alimenté par un générateur de f.é.m. et de résistance interne ( 𝛺 𝛺) .Calculer la puissance fournie par le générateur et celle dissipée par la résistance R. 3-Réseaux linéaires en régime permanant Un réseau électrique linéaire est un ensemble de dipôles linéaires, reliés par des conducteurs de résistance négligeable. On suppose que le réseau contient au moins un générateur. Un réseau est constitué de b « branches » connectées par n « nœuds » et formant m « mailles ». Un nœud est un point de jonction de plusieurs conducteurs. Une branche est une portion de circuit entre deux nœuds. Une maille est un parcours fermé, constitué de branches et ne passant qu'une seule fois par un nœud donné. Fig.7 Dans cet exemple (Fig.7), le réseau est constitué de b=3 branches : FABC, CDEF et CF, n=2 nœuds : C et F et 3 mailles : ABCFA, CDEFC et ABDEA. 3.1-Méthode de Kirchhoff Cette méthode s’appuie sur les lois des nœuds et des mailles pour calculer les valeurs des courants et des tensions dans des réseaux de résistances soumis à des sources de tension. Toutefois, lorsque le réseau devient plus complexe (présence d'une résistance en série avec 8 la source, augmentation du nombre de nœuds) la nombre d'inconnues à déterminer augmente, et avec elle le nombre d'équations disponibles. À l'aide du circuit de la figure 7, on va montrer qu'il existe des systèmes d'équations qui, bien qu'établis avec les lois de Kirchhoff, n'admettent aucune solution. Afin de déterminer les courants I1, I2 et I3 on commence par l’application de la loi des nœuds. On établit alors les deux équations suivantes : Au nœud F : Au nœud C : . . A la maille ABCF : . A la maille ABDE : . A la maille ABCF : . Il est évident que les deux premières équations sont les mêmes. La 3 ème et la 4ème équations ne pourront donner solution puisque par soustraction de la 3 ème et la 4ème on trouve la dernière équation. Ce qui met en évidence que, dans un réseau électrique, de nombreuses équations déterminées par les lois de Kirchhoff sont linéairement dépendantes. Donc, si on ne sélectionne pas les équations à utiliser dans la méthode de Kirchhoff le problème ne sera pas résolu. 3.2-Choix des équations indépendantes Pour la détermination des valeurs des différents courants, il faut en premier lieu choisir judicieusement les équations à résoudre. Dans cet objectif, on présente une méthode en trois étapes permettant de sélectionner, parmi les relations issues des lois de Kirchhoff, un système d'équations linéairement indépendantes. 1. La première étape consiste à déterminer le nombre n de nœuds du circuit. Cette étape permet de donner (n-1) équations issues de la loi des nœuds. 2. Dans un second temps, il faut comptabiliser le nombre b de branches. Cette étape permet de donner le nombre d'inconnues à déterminer est égal à b. 3. La dernière étape consiste donc à établir m équations indépendantes en appliquant la loi ( ) des mailles, avec . 9 Application : Calculer les courants R2=3𝛺, R3=4𝛺, R4=6𝛺, R5=7𝛺) et (Fig.8). (E1=4V, E2=1V, E3=6V, R1=2𝛺, Fig.8 Les flèches dans les pointillés dans les mailles indiquent le sens choisi arbitrairement dans les trois mailles. Dans ce montage on a : 1. n=3 nœuds (B, C et F), donc n-1=2 équations entres les 5 courants I1, I2, I3, I4 et I5. En B : I4= I1- I2. En C : I5= I2- I3. 2. b=5 branches (BAGF, BC, BF, CE, CDE), alors il y a cinq inconnues à déterminer (les cinq courants I1, I2, I3, I4 et I5). 3. Finalement il nous faut m = b - (n - 1) = b - n + 1= 5-3+1=3 équations issues de la loi des mailles : Dans la maille ABFGA : E2+ R1 I1- E1+ R1 I4 =0, soit 1+ 2I1- 4+ 6(I1- I2)=0. Dans la maille FBCEF : -R4 I4+ R2 I2+ R5 I5=0, soit - 6(I1- I2)+ 3I2+ 7(I2- I3)=0. Dans la maille CDEC : R3I3- R5I5-E2=0, soit 4I3- 7(I2- I3)-6=0. Finalement ces équations seront de la forme suivante : { Qui sera sous la forme matricielle: [ ][ ] 10 [ ], alors | | | | , | | | | | | et . | | Application : Calculer les courants R2=10𝛺, R3=15𝛺) et Fig.9 11 (Fig.8). (E1=12V, E2=20V, R1=10𝛺, Exercices corrigés Exercice 1 1-Déterminer la résistance équivalente de chaque dipôle, sachant que 400Ω, = 200Ω, = 100Ω et = 300Ω. Exercice 2 1-Déterminer la tension U4 en fonction de U2. 2-Déterminer la tension U2 puis U4 en fonction de E. On donne = = et = = =2 . Exercice 3 Soit le circuit suivant : 1-Identifier les différents nœuds dans le circuit, en déduire les équations liant les courants. 2-Identifier les différentes branches, en déduire les inconnues à déterminer ainsi que le nombre et les équations liées aux mailles. 3-Calculer l’intennsité du courant . 12 = 100Ω, = On donne 4 . = 10 , =5 , =4 , =6 , =5 , =1 , =2 , = Exercice 4 Soit lemontage suivant : On veut calculer les courants dans ce montage par deux méthodes : diviseur de courant et la méthode de Kirtchhoff. I-Diviseur de courant : 1-Donner la résistance équivalente R à l’association des résistances de la portion BCDFGH. 2-Calculer la résistance équivalente de R//R1, en déduire I2. 3-Calculer, par la méthode de diviseur de courant, l’intensité de I1 et I3. 4-Par la même méthode, calculer l’intensité de I4 et I5. II-Méthode de Kirchhoff : 1-Donner les nœuds dans le circuit, puis les équations entre les courants. 2-Donner le nombre des branche, puis le nombre et les équations indépendantes liées aux mailles. 3-Calculer l’intensité des différants courants présents dans le circuit. On donne = 10 , = = 20 , = = 13 = = 10 Correction des exercices Exercice 1 Pour déterminer la résistance équivalente à une association quelconque, il convient de procéder méthodiquement et de proche en proche pour réduire petit à petit la complexité du dipôle. De même, on doit commencer par isoler les associations simples. = 1- + + = 100 + = + = + = 500, 3- = + = = + = → = = , donc + + + 300 = 400 = 457.14 . 2- 4- + ( = + )( ) + = + = = , donc = 100 + + + = , donc = 58.82 . + = + 100 = 271.43 . = 340 . Exercice 2 Les deux tensions sont déterminées par la méthode de diviseur de tension. 1- = 2- = Alors, = , avec = , avec = = = ( + = = , Donc ( )= ) = = = , donc = = . . . Exercice 3 1-Les nœuds du circuit B et H (B,C et D sont le même nœud, ainsi pour H, G et F), n=2, donc on a une (n-1=1) équation liant les courants : en B : = + + . 2-Les branches du circuits : BAIH, BH, CG et CDFG, b=4, donc on a 4 inconnues à déterminer ( , , et ). Le nombre d’équations indépendantes liées aux mailles est m=b-n+1=3 équations. (Il est indispensable de bien choisir les mailles pour résoudre le problème facilement). Maille ABHIA : =0→ = . A.N, =1 . Maille ACGIA : + =0→ = . A.N, =7 . Maille ADFIA : + =0→ = . A.N, =4 . 14 Et finalement = + + = 12 . Exercice 4 II-Diviseur de courant : 1-La résistance équivalente R est celle vue entre B et H, sans la portion ABHI du circuit (fig. ci contre). R=[( en série avec donc = = 2= ( ) // = = )// + ]en série avec ( = = ) , + 10 = 20 . = 10 , donc = 0.5 . 3-Par la méthode de diviseur de courant (figure ci-dessus), on a 0.25 , = = 0.25 (ou par div.courant = = Finalement, = 0.125 = et = 0.25 , = ). 4-Par la même procédure les autres courants pourront être calculés, 0.25 = 0.5 = = = 0.125 . = 0.5 , = 0.25 , = 0.125 et = 0.125 . II-Méthode de Kirchoff : 1-Les nœuds du circuit sont : B, C et G (F, G, H et I sont le même nœud), n=3, donc n-1=2 équations liant les courants à déterminer : = et = = . 2-Les branches du circuit sont : BAIH, BH, BC, CG et CDFG, b=5 courants à déterminer, donc on a m=b-n+1=3 équations indépendantes à déterminer par la loi des mailles : = 0 → 20 + 10 -Maille ABHIA : =0→ -Maille BCGHB : + 10 + 20 + 20 -Maille CDFG : = 10 ( + ) =0→ ( 15 =0→ = 10 + )( )=0→ 20 ) = 0 → 20 20( 20 + 40 = 0. Donc, on a un système de 3 équations à 3 inconnues ( , { 2 =| 1 1 0.5 , 1 0 2 2| = 16, 1 2 | = = Finalement, | = | = = 0.25 , = | = = | = = 0.25 , = 0.125 , = 0.5 , = = 0.25 et = 0.25 , 16 View publication stats ) à résoudre 2 + =1 +2 +2 =1 +2 =0 | = et = 0.125 et = = 0.125 . = 0.125 . =