Évolution des plantes: Chlorophylle à reproduction sexuée

Telechargé par Feuaim Hamdi
De la molécule chlorophyllienne à la reproduction sexuée des
plantes à fleurs…
Depuis que les paléobotanistes et les palynologues eurent recours aux vestiges
des plantes du passé, et eurent jeté leur dévolu sur les graines de pollen
fossilisées ; la collecte bancaire des graminées du Crétacé* a montré que cette ère
géologique était une Terre de prédilection agraire.
Cette période Mésozoïque s’est vu aménager pour la première fois dans le monde
du règne végétal, des modes de reproductions sexués capables de donner des
fruits variés et riches en nutriments.
Cette Terre de 65-145 millions a révolutionné le monde végétal en faisant
paraître pour la première fois deux grandes classifications de plantes. Les plantes
«
gymnospermes
» et les plantes «
angiospermes
». Elles sont dénommées ainsi parce
que les botanistes ont voulu leur attribuer des noms grecs qui répondent à des
principes de rangement et de classification savante. Ces plantes vont avoir des
structures vasculaires et cotylédonaires rythmées qui abriteront prodigieusement
des organes producteurs
mâles
et
femelles
.
Les paléobotanistes qualifient les plantes
angiospermes
de plantes opportunistes
parce que ces plantes à fleurs sont parvenues en dernier dans la classification du
monde végétal et depuis lors elles règnent par droit divin sur tous les végétaux
pour leurs manifestations spectaculaires et artistiques de leurs floraisons.
Les plantes à fleurs assurent une
reproduction sexuée
qui intéressent avec
beaucoup de regain d’intérêt les agrobiologistes* pour déterminer les frontières
indéterminées qui séparent le règne végétal du règne animal.
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*Crétacé (creta= signifie craie en latin), qui entre autres les grandes falaises).
Tel («gumnos», qui veut dire « nu », «aggiéon» qui veut dire «récipient» et
«sperma», qui veut dire « graine ».*(du grec, agros « champ »et du grec, bios « vie
».
Dotées de ces précieux organes, les plantes à fleurs coloniseront vite tous les
milieux terrestres.
Le règne végétal
Les progrès d’études et les observations spécifiques en ce domaine ont fait
ressortir des horizons d’études jamais soupçonnées jusqu’alors. Les scientifiques
disent que le monde de la biologie moléculaire a permis de comprendre le sens
de la variabilité génétique des populations chez les végétaux. Son étendu de
recherche d’étude à la sylviculture, et à l’horticulture a rendu bien des services au
monde des forets alpins (
gymnospermes
) et au monde de l’horticulture et
floriculture (les
angiospermes
).
L’observation scientifique
Les observations, les méthodes de recherches approfondis et les inquisitions du
monde végétal- ont permis aux hommes de reculer les pénombres de l’ignorance
et ont enrichi leur savoir. Ils parviennent à des vérités insoupçonnées et gagnent
de jour en jour, des savoirs autant avérés par les hypothèses que par les assertions
scientifiques. que par et à reculer les frontières de l’ignorance qui délimitent les
activités secrètes, des plantes et de leur floraison.
Ces observations sont devenues possibles grâce à la volonté des hommes qui ont
dressé les étendards de la connaissance comme la seule arme capable de nous
franchir des frontières de l’ignorance et de nous libérer des jougs inconsidérés des
préjugées et des incompréhensions.
Cette démarche consensuelle des chercheurs connaît de plus en plus d’éclats et
gagne en assurance l’universalité. Cette universalité d’entendement largement
acquise et parcourue par le commun des mortels est consignée dans le registre
de doléances Coraniques. En voici, un extrait de l’Universel qui d’emblée souscrit
l’observation scientifique comme un maillon fort qui conduirait à la quête de la
vérité, à la quête de l’existentialisme divin.
A la sourate intitulée « Qaf », aux versets 4 et 5, Dieu dit :
Au nom de Dieu, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux
Quoi donc, n’observent-ils pas (…) le sol terrestre ? Que de plantes avons-nous
germé par l’union des paires sexuées ! Elles sont matières d’études pour
l’observateur et un rappel pour tout être repentant «…. »
La quintessence de ce verset est l’observation de la nature et elle est une
recommandation divine. Elle s’inscrit dans l’ordre d’un échéancier de versets. Elle
n’est pas imputable à la religion musulmane et demeure irréversible dans le cadre
des commandements.
Les chercheurs ne sont pas dénués de compréhensions lorsqu’il s’agirait de
scruter la nature. Ils ne vont pas de main forte mais pleine d’enthousiasmes et
d’ardeurs scientifiques, ils vouent des capacités cognitives et des investigations
pour sonder les composés du vivant et les choses inertes de la matière qui nous
entoure.
L’observation scientifique est une mission quémandée par le Très-Haut
Dieu, nous recommande de circuler sur terre, de faire des expéditions
scientifiques, un impératif qui ne recouvre aucune ambiguïté lorsqu’il s’agirait de
scruter les frontières de la connaissance et de reculer les limites du savoir humain.
Cet impératif sort droit du décret divin que voici.
A la sourate intitulée «L’araignée», au verset (2O) Dieu dit :
Au nom de Dieu, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux
- Circulez* sur Terre et voyez comment Dieu a entamé la Création.
* Circuler (voyage d’études)
Agir en conséquence pour examiner les sources originelles de la création est une
conduite recommandée et un acte de foi chez le musulman attentif aux
commandements du divin.
Lorsqu’un chercheur par exemple observe la nature. On le voit toujours partir
d’un bon cœur et humilité. On le voit partir, en emportant avec soi, pour seule
arme et bagage des effets vestimentaires, recouvrant ses connaissances, ses
hypothèses et ses doutes …
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