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Compte rendu Tp électrocinétique 2-3

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Compte rendu Tp électrocinétique
Afin de découvrir l’ensemble des fonctionnalités et bénéfices liés à la simulation sur PSIM,
nous avons divisé notre étude en 3 grandes parties. Dans la première partie, nous, nous
sommes intéressées à la simulation d’un diviseur de tension dans un montage prédéfini, dans
la seconde partie à la réponse indicielle d’un montage électrique et dans la dernière partie à un
montage en régime sinusoïdale.
Commande courante :
Pour chaque montage des paramètres de simulation sont à respecter
pour obtenir des résultats ergonomiques et exploitables
Un outils de contrôle de simulation est pour cela mis à disposition
Partie 1 :
-
Pour comparer les valeurs théoriques obtenues lors des TD , il a fallu tout d’abord
réaliser un schéma des montages à étudier :
-
Lors de la simulation l’utilisation de voltmètre est nécessaire afin d’afficher la valeur de la
source qui n’est pas directement exploitable, un rééquilibrage est aussi nécessaire au niveau
de l’offset à -6 pour centrée le graphique dans le cas d’un signal triangle symétrique.
-
Pour déterminer la période, la fréquence ainsi que les valeurs moyennes, une
manipulation des sondes de mesures au niveau des graphiques est à réaliser , la valeur
théorique de la fréquence nous permet d’en déduire la période théorique .
La prévisualisation des graphiques nous permet d’obtenir des résultats exploitables :
Après exploitation et comparaison de ces derniers , on observe dans le cas d’une source
continue des signaux constants alors que dans le cas d’un signal triangle symétrique de 12Vcc
des signaux triangulaires et en phase sont observés, globalement on constate une quasisimilarité entre les valeurs théoriques et les valeurs issues de la simulation, ces derniers
illustrent bien le principe d’un diviseur de tension ( la possibilité d’afficher les valeurs d’un
voltmètre lors de la simulation illustre bien ce phénomène ) et la fiabilité de la simulation
dans ce cas
Partie 2 :
-
nous avons commencé lors de cette partie à réaliser le montage d’un nouveau circuit
avec l’introduction d’un condensateur et une source rectangulaire symétrique à valeur
moyenne nulle qui se trouve dans la barre des composants, voici un aperçu du schéma
avec l’offset en préréglage à –5 :
Comme dans le premier montage la valeur de Ve et C n’étant pas directement exploitable il a
fallut introduire deux voltmètres en parallèle afin d’obtenir des valeurs exploitables. Des
réglages au niveau de la fréquence de la source Ve sont aussi nécessaire afin de distinguer la
phase transitoire de la phase permanente :
-
Grâce au paramètre optimisé on observe le régime transitoire et le régime permanent
qui se fait pour f=150Hz , toute fréquence au-dessus rend complexe la distinction des
deux phases ,la manipulation de sonde de mesure nous permet dans ce graphique de
distinguer aussi la phase initiale et finale , La Comparaison des valeurs théoriques que
nous avons calculées avec celles obtenues par simulation montre des résultats
identiques.
Partie 3 :
- Pour la partie 3, nous avons exploité un circuit que nous avons étudié en Tp et dont il nous a
était demandé de schématiser la première branche :
Nous savons que ω= 100π or L1* ω = 75 donc L1=75 /100π = 0, 23873 H
Pour ce même circuit plusieurs simulations nous ont été demandées, pour les graphiques
impliquant une intensité mesuré à l’aide d’un ampèremètre, il a fallu multiplier l’ensemble
des valeurs par 150 pour obtenir des résultats que l’on puisse discernée et les diviser de
nouveau lorsque c’était nécessaire :
- la première simulation de u(t) et uR1(t) est à l’origine d’un graphique avec des signaux
sinusoïdaux déphasés les résultats sont exploitables est quasiment identiques aux valeurs
-la deuxième simulation de u(t) et i(t) est aussi à l’origine d’un graphique avec des signaux
déphasés il a fallu faire attention au signe de Δt de i(t) vers u(t) (s), les résultats sont encore
une fois quasiment identiques.
-La troisième simulation de de uR1(t) et i(t) est à l’origine d’un graphique avec deux courbes
en phase avec par conséquent des Δt de uR1(t) vers i(t) et Δϕ de uR1(t) vers i(t) null
-la quatrième simulation de de uL1(t) et i(t) est à l’origine d’un graphique avec deux signaux
sinusoïdaux déphasés les résultats obtenus sont cohérents avec les résultats théoriques.
Pour le calcul de l’impédance, on obtient le Module en divisant Vmax par Imax et l’argument
correspond au déphasage soit ϕv − ϕi
Pour conclure on peut dire que la Simulation de par les valeurs relativement fiables
qu’elle fournit, la polyvalence du logiciel et la facilité de mise en place et une véritable
alternative à l’expérimentation en laboratoire bien qu’elle ne peut pas l’a remplacé
totalement .
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