Institut National des Recherches Agricoles du Bénin BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE Littératures des productions animale et halieutique dans les départements du nord Bénin de 1970 à 2002 Réalisé par : Gérard DOSSOU-GBETE, Assistant de Recherche, INRAB Sylvain C. DOSSA, Chercheur, INRAB Geoffroy PADONOU, Documentaliste en service au MAEIA Inès DAVAKAN, Documentaliste, INRAB Décembre 2003 Centre de Recherche Agricole d'Agonkanmey Laboratoire de Recherches Zootechnique Vétérinaire et Halieutique 01 BP 884- Recette principale, Cotonou – Bénin Tél. : 30-02-64/ 35-00-70 INRAB/LRZVH/CRA-Nord Avant-Propos Pour éviter les doublons qui sont source d'ambiguïté, le présent travail a été initié en productions animale et halieutique. Le constat qui a été fait est que depuis plusieurs décennies, tous les thèmes de recherche développés au Bénin en général et dans la partie nord du pays sont dupliqués. Ceci est dû au fait que les résultats de la plupart des travaux effectués ne sont pas consignés dans des documents écrits sous forme de rapports, d'articles ou de publications diverses. Cette situation conduit ainsi à la répétition des thèmes ayant déjà fait l'objet de recherches antérieures. Pour mettre un terme à cette situation, tous les travaux de recherche effectués dans la partie nord du Bénin en productions animale et halieutique au cours de la période allant de 1970 à 2002 ont été recensés, collectés, rassemblés et résumés puis compilés en un document unique et également gravés sur CD-ROM. Les résumés ainsi réalisés ont été classés par espèce animale et par type de production. C'est ainsi que concernant les bovins nous avons les aspects tels que les performances zootechniques, la reproduction, l'alimentation, la santé, la traction animale, la transformation, la commercialisation et les systèmes d'élevage; viennent ensuite les sujets de généralité, les petits ruminants avec des aspects tels les systèmes d'élevage, la santé et l'alimentation couplée avec les performances zootechniques. Nous avons ensuite la volaille avec un seul aspect qui est la santé. Ensuite viennent l'élevage non-conventionnel, la pêche et la pisciculture, les animaux de compagnie, les porcins, les chevaux, un paragraphe qui fait une analyse générale des différents résumés réalisés puis enfin les références bibliographiques. Ce précieux outil de travail sera mis à la disposition des centres de documentation et servira désormais de bréviaire aux chercheurs, aux enseignants, aux ONG ainsi qu'aux développeurs. Notre souhait est que le présent document soit d'un intérêt certain et d'une utilité incommensurable à tous ces utilisateurs. DOSSOU-GBETE Gérard INRAB/LRZVH/CRA-Nord 1 Sommaire Pages Avant-Propos 1 Remerciements 8 1 9 Bovins 1.1 Performances zootechniques 9 L'effet des plantes lactogènes sur la quantité du lait chez la vache. 9 Influence du mode d'élevage sur le poids des veaux dans la tranche d'âge de 0 a 15 jours dans la province du Borgou : cas des secteurs élevage de Kandi , Banikoara , Gogounou et Sègbana. 10 Contribution à l'étude des possibilités de la production laitière en République Populaire du Bénin. 11 Productivité de la race bovine borgou selon les systèmes d'élevage traditionnels au Nord-Est du Bénin. 11 La race bovine somba : sa caractérisation et recherches en vue de son amélioration. 12 Sauvetage des veaux: incidences dans le développement du cheptel bovin dans le Borgou. 13 Notes sur la détermination de l'âge par le remplacement des incisives chez les bovins borgou dans le Nord-Est du Bénin. 13 Etude de quelques paramètres de productivité de la race bovine borgou. 14 Effets des facteurs du milieu sur l'âge à la puberté chez le mâle et la femelle de la race bovine borgou. 14 Mesures barymétriques chez le bovin de race borgou dans le Nord-Est du Bénin. 15 Contribution à l'évaluation de l'expérience sur les troupeaux témoins bovins dans les provinces de l'Atacora, du Borgou et du Zou. 16 Les perturbations climatiques et l'élevage bovin dans la province du Borgou. 17 Contribution à l'étude des productivités des différentes races bovines dans le Borgou. 18 Productivité de la race borgou à la ferme d'élevage de l'Okpara au Bénin. 19 Effets des hormones de croissance chez les mâles de race lagunaire et borgou en République Populaire du Bénin. 19 L'importance économique de la production bovine au sein des Fulbé dans le Nord Bénin. 20 1.2 Reproduction 21 Essai d'amélioration du comportement reproductif de la vache borgou en système d'élevage semi-extensif par la méthode de réduction du temps de permanence du veau avec la vache. 21 Détermination de l'âge moyen au premier part, l'intervalle inter-vêlage et l'intervalle vêlageinsémination fécondante de la vache borgou élevée en système semi-intensif. 22 Essai d'introduction de l'insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels dans l'Atacora : cas du secteur agricole de Kouandé. 22 Etude comparative de deux méthodes de synchronisation et de détection des chaleurs chez les vaches et génisses lagunaire et borgou en République Populaire du Bénin. 23 Essais d'introduction de l'insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels: cas du périmètre N'Dali- Nikki- Kalalé (département du Borgou). 24 Post-partum et reprise de la cyclite chez la femelle trypanotolérante (borgou). 25 Caractéristiques du sperme et potentiel d'utilisation par insémination artificielle des taureaux de race borgou. 26 Technologie du sperme de taureau de race borgou. 26 Quelques éléments d'appréciation du sperme de taureau de race borgou. 27 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 2 1.3 Alimentation 28 Contribution à l'étude des possibilités d'amélioration de l'alimentation des bovins dans la province du Borgou. 28 Effets d'une complémentation en graines de coton pour la production laitière et la croissance des veaux et des vaches de race borgou au Bénin. 29 1.4 Santé et parasitologie 29 Contribution à l'enquête sur les principales maladies contagieuses des bovins dans la province du Borgou. 29 Contribution à l’étude épizootiologique descriptive de la fasciolose bovine en Afrique de l’Ouest : le cas du nord de la République Populaire du Bénin. 30 Trypanosomiase bovine : impact sur l'élevage traditionnel dans la province de l'Atacora. 31 Incidence de la Brucellose (Brucella abortus) dans les troupeaux bovins du Nord-Est du Bénin. 32 Sensibilité des tiques des bovins aux acaricides au Bénin. 32 Efficacité de la Fluméthrine "pour-on" sur les tiques des bovins au Bénin. 33 Prévalences parasitologique et sérologique de la typanosomose au sein de différentes races de bovins au Bénin. 33 Contribution à la maîtrise de la santé animale dans le Borgou : cas de la lutte contre la peste bovine. 34 Etude comparative de l'efficacité/coût de trois anthelminthiques utilisés en élevage bovin traditionnel dans le Borgou. 34 La peste bovine dans la province du Borgou : état actuel de la situation et perspectives d'avenir. 35 De la thérapeutique traditionnelle en médecine vétérinaire: cas de la République Populaire du Bénin. 36 Les nématodes parasites du tube digestif et de la cavité péritonéale des bovins dans le département du Borgou: taxonomie et épidémiologie. 37 Contribution à l'étude de la pasteurellose bovine dans le département de l'Atacora. 37 Incidence de la pression glossinaire sur le taux d'infestation à Trypanosoma chez les bovins du Projet Développement Production Animale. 38 Lutte contre les tiques parasites des bovins en République du Bénin : essai d'utilisation du ® Bayticol "pour on" (Fluméthrine) dans la province du Borgou. 39 Contribution à l'étude de la prophylaxie des zoonoses infectieuses bovines en République Populaire du Bénin. 39 Epidémiologie de la cowdriose au Bénin: études préliminaires sur la présence du germe chez les tiques vectrices. 40 Infection artificielle à Trypanosoma brucei brucei chez les bovins de races lagunaire et borgou au Bénin. 41 Trypanosomose expérimentale à Trypanosoma brucei brucei chez les taurins Holstein et les zébus Bororo blancs. 42 Insectes et acariens parasites des bovins dans les départements de l'Alibori et du Borgou. 42 Détection d'antigènes circulants au cours d'une infection expérimentale à Trypanosoma brucei brucei chez les bovins borgou, lagunaire et zébus Bororo blancs. 43 Epizootie de fièvre aphteuse au Nord-Bénin durant la saison sèche de 1990-1991. 44 Lutte contre Glossina tachinoïdes au Bénin . Utilisation particulière de piège -pneus imprègnes de Deltaméthrine. 44 Contribution à l'étude de la strongylose bovine dans le département de l'Atacora. 45 La protection sanitaire de l'élevage bovin dans la sous-préfecture de Sinendé: contraintes et propositions d'amélioration. 46 Contribution à l'étude de l'efficacité du Diminaphen sur le bétail bovin dans le Borgou. 46 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 3 Situation actuelle de l'hémoparasitisme bovin dans le Nord-Est du Bénin : agents responsables, taux d'infestation, facteurs de variation. 47 Contribution à l'étude épizootiologique de la Péripneumonie Contagieuse Bovine dans le SudBorgou: propositions relatives à son éradication. 48 Contribution à l'étude des causes de mortalités des jeunes bovins dans l'élevage traditionnel : cas de la province de l'Atacora. 49 Contribution à la lutte biologique contre la fasciolose à Fasciola gigantica Cobbold, 1885 : inventaire et etude de la dynamique de la population de dipteres Sciomyzidae dans le SudBorgou de novembre 2000 à mai 2001. 49 Contribution à l'étude des bases d'une législation sanitaire sur quelques zoonoses infectieuses en République Populaire du Bénin. 50 Contribution à l'étude du tableau biochimique du calcium, du phosphore et du magnésium chez les bovins de la zone d'intervention du Projet Développement de l'Elevage. 51 1.5 Traction animale 52 Introduction des cultures fourragères performantes dans les exploitations agricoles: un défi pour l'approche intègrée de la culture attelée dans les départements de l'Atacora et du Borgou au nord du Bénin. 52 Incidences de la traction animale sur le développement de l'élevage bovin dans la province du Borgou. 52 Promotion de la culture attelée: impact sur la production et les revenus des groupes cibles dans la province du Borgou ( République Populaire du Bénin). 53 Etude comparative de la rentabilité de la cultutre attelée et motorisée: étude de cas du village Gando dans le département du Borgou. 54 1.6 Transformation- Commercialisation 55 Technologie traditionnelle des produits laitiers au Nord-Bénin : quelques propositions d'amélioration. 55 Commercialisation du lait de vache et des produits laitiers dans le département du Borgou. 56 Préparation des viandes grillées dans la ville de Parakou : les risques sanitaires et leurs incidences socio-economiques. 56 La commercialisation du gros bétail: etude de cas dans les provinces du Borgou et de l'Atacora. 57 Etude des utilisations faites des peaux et des cuirs en République Populaire du Bénin. 58 1.7 Systèmes d'élevage 59 Etude socio-économique du système d'élevage transhumant dans un contexte de projet de développement: cas des interventions du projet PPEA dans la sous-préfecture de Péhunco (département de l'Atacora). 59 La pratique agricole chez les éleveurs (cas de douze campements peuhl dans le district de Péhunco). 60 Contribution à l'analyse de la transhumance et de la sédentarisation de l'élevage bovin dans le Borgou. 60 Rapport de l'enquête sur la typologie des exploitations d'élevage et le disponible en bétail dans les départements de l'Atacora et de la Donga. 62 Contribution à l'étude de la dynamique saisonnière des élevages et la survie des veaux dans la ferme élevage de l'Okpara. 62 Elevage traditionnel des bovins dans la province du Borgou : possibilités d'amélioration. 63 Contribution à l'amélioration de l'élevage bovin traditonnel dans la province du Borgou. 64 Contribution à l'étude des possibilités d'amélioration de l'élevage traditionnel des veaux dans la province du Borgou. 65 Contribution à l'étude de la structure et de l'exploitation du troupeau bovin dans le Sud- Borgou. 65 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 4 2 3 Aspects techniques et socio-économiques de l'introduction des cultures fourragères dans les systèmes d'exploitation de l'Atacora. 66 Contribution à l'étude des possibilités de développement de l'élevage dans une unité pastorale du Borgou: cas de Boukousséra. 66 Généralités 68 Appui aux services agricoles du Bénin: revue du sous-secteur élevage et propositions d'éventuelles actions de développement. 68 Contribution à l'étude de la couverture des besoins protéiques d'origine animale dans la province du Borgou. 68 Agriculteurs et éleveurs au Nord Bénin: écologie et genre de vie. 69 La gestion agropastorale du terroir et le développement de l'élevage dans le Nord Borgou : cas du secteur élevage de Kandi. 69 Mise en œuvre d'un processus d'intégration agriculture-élevage dans le village de Kokey, souspréfecture de Banikoara. 70 Les communautés peuhl et l'économie rurale dans la province du Borgou. 71 Contribution à l'amélioration des méthodes de contention des animaux domestiques en République Populaire du Bénin. 72 Etude de la géologie et de l'écologie des pâturages de la savane sub-humide de la zone NordOuest du Bénin. 72 La documentation vétérinaire en République Populaire du Bénin. 73 Système d'intégration agriculture traditionnelle-élevage comme fondement au système agricole durable dans la savane sub-humide. 74 Petits ruminants 75 3.1 Système d'élevage 75 Elevage traditionnel des petits ruminants dans le secteur de Karimama: incidences sociales, sanitaires et économiques. 75 Contribution à l'amélioration de l'élevage ovin dans la province du Borgou. 75 Etude de la structure et de la taille des troupeaux ovins - caprins en fonction de la taille des ménages et des systèmes de production Bariba, Boco , Gando et Peulh : cas des districts ruraux de Nikki et de Kalalé. 76 Collection des oeufs d'helminthes gastro-intestinaux parasites des animaux domestiques. 76 L'élevage dets petits ruminants dans le Nord-Est de l'Atacora : situation actuelle et possibilités d'amélioration. 77 Contribution à l'étude des entraves au développement des petits ruminants dans la province de l'Atacora. 77 3.2 Santé et parasitologie 78 Contribution au dépistage de la brucellose ovine dans le département de l'Atacora. 78 Etude de la brucellose des petits ruminants dans la zone du Projet de Développement de l'Elevage dans le Borgou-Est. 79 Prévalence de la trypanosomiase dans les troupeaux ovins-caprins : cas des sous-préfectures de Kouandé- Péhunco- Copargo dans l'Atacora. 79 Essai de traitement des parasitoses gastro-intestinales par les graines de papaye chez les montons Djallonké. 81 Etude de l'efficacité de trois plantes Hyplis suaveolens, Mitracarpus scabei, Ricinus communis dans le traitement de la gale des petits ruminants. 82 Les nématodes parasites du tube digestif des petits ruminants dans le département du Borgou: taxonomie et épidémiologie. 83 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 5 4 Essais de traitement de la gale sarcoptiforme des petits ruminants à l'aide de plantes médicinales Lantana camara et Ricinus communis dans quelques localités du Nord-Ouest du Bénin. 84 Insectes et acariens parasites des petits ruminants dans les départements de l'Alibori et du Borgou. 85 Méthodologie appliquée à l'amélioration des performances de productivité des petits ruminants dans le Borgou- Est: cas de Nikki et de Kalalé. 86 Possibilité d'embouche ovine à partir des fourrages cultivés à Tchaourou. 86 Contribution à l'étude des paramètres zootechniques et de productivité des troupeaux de démonstration de petits ruminants suivis par le Projet de Développement Pastoral Intègre dans le Borgou. 87 Evolution pondérale chez les agneaux Djallonké alimentés de graines de coton et de drèche de bière locale au Centre des Petits Ruminants de Béket (Péhunco). 88 Contribution à l'étude des possibilités d'amélioration de l'élevage traditionnel des agneaux et des chevreaux dans l'Atacora. 89 Essais d'embouche intensive d'ovins (Fulani et Djallonké) à Nikki, au Nord- Est du Bénin. 90 Essai préliminaire d'embouche intensive de béliers Fulani et Djallonké à base de céréales (mil et maïs) et de graines de coton, au Nord-Est du Bénin. 91 Volaille 92 4.1 Général 92 Contribution à l'amélioration de l'aviculture traditionnelle dans la circonscription urbaine de Kandi : cas des poulets. 92 Etude préliminaire au développement de l'élevage de la pintade dans la zone de Batia (Atacora). 93 Contribution à l'étude des causes de mortalité des pintades (Numidae meleagris) de race locale dans le département du Borgou. 94 Contribution à l'étude des modes actuels et de l'importance socio-économique de l'élevage des pintades au Nord-Bénin. 94 Elevage des dindonneaux dans la commune urbaine de Djougou : contraintes et possibilités d'amélioration. 95 4.2 Santé et parasitologie 5 96 Contribution à l’amélioration de la lutte contre la pseudo-peste aviaire dans la sous-préfecture de Matéri. 96 Diagnostic des verminoses par examens coprologiques et autopsies helminthologiques du tube digestif des pintades dans la zone d'intervention du Projet Appui au Développement de l'Elevage dans le Borgou. 96 Faune parasitaire helminthique du tube digestif et de l'appareil respiratoire de la pintade domestique dans les départements de l'Alibori et du Borgou. 97 Elevage non conventionnel 98 5.1 Général 98 Essai d'héliciculture en République Populaire du Bénin : bilan et perspectives. 98 Programme d'amélioration de l'apiculture traditionnelle dans l'Atacora : situation actuelle et perspectives. 98 Etude écoéthologique du cobe de buffon (Adenota Kob-Bovide Reduncine) dans le Parc National de la Pendjari. 99 Enquête sur la cuniculture dans la province de l'Atacora. 100 Contribution à l'étude pour le développement de l'apiculture au Bénin. 101 Enquêtes sur l'élevage du lapin dans la province du Borgou. 102 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 6 6 Pêche et pisciculture 103 6.1 Général 103 Tentative d'approche pour l'amélioration de la collecte des données statistiques des pêcheries en République Populaire du Bénin. 103 Etude préliminaire des performances de croissance de Sarotherodon melanotheron (Cichlidae) nourri en bassins avec des composés de son de maïs, de tourteau de coprah et/ou de tourteau de palmiste. 103 Effet d'une alimentation salée sur la tolérance à la salinité chez les tilapias du genre Oreochromis. 104 7 8 Etat actuel et perspectives d'avenir de la pisciculture dans la province de l'Atacora: étude particulière de la situation de Tanéka-Koko (Djougou). 104 Problèmes d'approvisionnement du Nord-Bénin en produits de pêche. 105 Point sur l'évolution de la pisciculture en République Populaire du Bénin. 105 La pêche aux crevettes de lagune en République Populaire du Bénin: méthodes, techniques et incidences socio-économiques. 106 Animaux de compagnie 107 Etude de la rage canine en République Populaire du Bénin. 107 Contribution à l'étude de la trypanosomose canine dans la ville de Natitingou. 108 Porcins 109 La peste porcine africaine dans les départements de l'Atacora et de la Donga: état des lieux et perspectives d'avenir. 9 Chevaux 109 110 Elevage et exploitation traditionnel du cheval dans la province de l'Atacora. 110 10 Analyse générale de la situation 111 11 Références bibliographiques 114 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 7 Remerciements Les auteurs du présent travail remercient les autorités béninoises pour avoir financé sa réalisation, Madame AVASSI Michaëlle pour la réalisation des travaux de saisie, Mesdemoiselles KANEHO Sandrine et SAVI Rosalie pour leur contribution à la recherche desdits documents ainsi qu'à la réalisation des résumés. Au personnel de tous les centres de documentation prospectés, merci pour avoir permis l'accès aux documents concernés. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 8 1 Bovins 1.1 Performances zootechniques L'effet des plantes lactogènes sur la quantité du lait chez la vache. Auteur: AGBOKOUNOU Aristide Mahoutin. Date: 1990. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Abomey-Calavi. Collation: 123 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : L'étude de l'effet des plantes lactogènes sur la quantité de lait chez la vache dans la province du Borgou a été effectuée en 2 phases : phase d'enquête et phase expérimentale. Parmi les élevages enquêtés, nous pouvons distinguer les élevages avec troupeaux traditionnels de grands effectifs qui sont transhumants, les élevages améliorés et les élevages traditionnels à faible effectif qui sont sédentaires. Les élevages visant principalement la reproduction, fournissent en moyenne par campement et par jour 5,6 litres de lait dont chaque vache fournit en moyenne 0,780 litre. Ainsi les productions maximale et minimale observées sont respectivement 1244,5 ml et 447,5 ml de lait. L'une des possibilités d'amélioration des productions serait probablement les plantes lactogènes. 14 plantes reconnues lactogènes et 11 potions faites à base de ces dernières ont été recensées. Un test a été organisé sur 8 vaches allaitantes réparties en 4 lots de 2 vaches dont un lot témoin. Les 3 lots traités ont reçu respectivement pendant 7 jours, avant le pâturage, 3 potions A,B etC choisies parmi les potions recensées. Une dose de 1,5 litre a été utilisée. Le même traitement a été repris après un mois à la différence que la potion est portée à 2 litres. Par ailleurs, le lot témoin a reçu au cours de chaque traitement un volume d'eau correspondant à la dose de potion reçue par les lots traités. Les résultats issus de l'étude des effets de ces plantes sur l'évolution hormonale n'ont pas été concluants à cause de la très grande sensibilité de l’œstrogène, de la prolactine et de l'ocytocine aux conditions expérimentales aléatoires. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 9 Influence du mode d'élevage sur le poids des veaux dans la tranche d'âge de 0 a 15 jours dans la province du Borgou : cas des secteurs élevage de Kandi , Banikoara , Gogounou et Sègbana. Auteur: BIAO Salomon Date: 1989. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 58 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé : L’étude a porté sur une population homogène d'animaux de 0 à 15 jours de race borgou et métis borgou-zébu et a duré du 1er juin au 15 août 1989. Elle a concerné 4 secteurs méridoonnaux de la zone élevage du NordBorg ou. La méthodologie utilisée est basée sur des enquêtes menées dans lesdits secteurs et des données relevées dans les fermes d'élevage de l'Etoile, de Kokoubou, de l'Okpara et de M'Bétécoucou. Les résultats révèlent que le poids moyen du bovin borgou est de 14,31kg à la naissance et de 18,88kg à 15 jours de lactation. Ainsi le veau traditionnel nouveau -né fait 79,5% du poids du veau de référence (veau élevé dans l'une des fermes d'élevage) et à 15 jours 59,63% du poids du veau de référence. En somme , le poids des veaux dans les conditions d'élevage traditionnel évolue à la baisse dans la tranche d'âge de 0 à 15 jours. Pour améliorer les performances zootechniques des veaux, il faudrait intensifier les efforts sur le mode d'exploitation des parcours naturels, sur le mode d'alimentation des animaux, céer des pâturages artificiels, utiliser les sous-produits agricoles et agro-industriels dans l'alimentation du bétail, mettre à la disposition des animaux des pierres à lécher et entourer les animaux de tous âges de soins adéquats. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 10 Contribution à l'étude des possibilités de la production laitière en République Populaire du Bénin. Auteur: BATCHO Robert. Date: 1981. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 125 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé : Cette étude vise à améliorer la production laitière bovine au Bénin. Pour y parvenir il aurait fallut agir sur trois points essentiels que sont le milieu, l'animal et l'homme. Les actions sur le milieu consiste à intégrer l'agriculture à l'élevage afin de permettre aux animaux de jouir des sous-produits agricoles et agro-industriels ainsi qu'à l'intensification des cultures fourragères; ensuite les actions sur l'animal consiste à une amélioration génétique des races locales existantes et enfin les actions sur l'homme ont consisté à regrouper les éleveurs en coopératives pour leur assurer un bon encadrement technique et permettre l'établissement des circuits de collecte du lait. Productivité de la race bovine borgou selon les systèmes d'élevage traditionnels au Nord-Est du Bénin. Auteurs: DEHOUX J.P. ; HOUNSOU-VE G. Date: 1993. Source: World Animal Review, n° 74-75, 36-48 Collation: 13 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : Des données ont été collectées dans cinq troupeaux transhumants de bovins de race borgou et quatre autres troupeaux non transhumants, sur une période de cinq ans. Il a été noté que l'âge moyen au premier vêlage est de 43 mois 16 jours, le taux de vêlage 65,4%, le taux de mortalité des adultes de 3,1%, celui des veaux 23,1%. Le taux moyen de vente 11,8% alors que celui de l'accroissement observé était de 3,9%. Le taux moyen de mortalité et celui de la vente diffèrent significativement entre les systèmes de production. Les résultats montrent que la productivité de cette race est identique à celle des autres races trypanotolérantes élevées dans les mêmes conditions. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 11 La race bovine somba : sa caractérisation et recherches en vue de son amélioration. Auteur: CIRDES (Centre International de Recherche-Développement sur l'Elevage en zone Subhumide). PPEA (Projet Promotion de l'Elevage dans l'Atacora). DSEA-INZV (Direction Scientifique de la Recherche Agronomique-Institut National Zootechnique et Vétérinaire), Togo. INRAJJ-LGB (Institut National de la Recherche Agronomique. Centre de Recherche de Jouy-en-Josas- Laboratoire de Génétique Biologique), France. UMILIZ (Università degi Stdi Milano, Istituto di Zootecnica-Facoltà di Medicina Veterinarià), Italia. Date: 2001. Source: Italia, Dipartimento di Patologia animale Via Léonardo da Vinci Collation: 35 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque Projet Promotion de l'Elevage dans l'Atacora (PPEA) Résumé : Face à l'utilisation abusive des bovins de race Somba (sacrifice, recherche d'animaux de grands gabarits) des études de caractérisation génétique de la race ont été entreprises. Les paramètres considérés ont été: pureté génétique, biologique, résistance aux maladies et vecteurs,caractérisation génétique de la race, évaluation de sa trypanotolérance ainsi que des études sur la reproduction pour constituer une banque de gènes. Six institutions partenaires ont été associées dans ce projet : le CIRDES au Burkina Faso ; le PPEA du Bénin ; la DSRA-INZV du Togo ; l'INRA.JJ de France ; l'UMIL.IZ et l'UTRN.DPA, toutes deux d'Italie. La caractérisation génétique confirme que le taurin somba est très proche du groupe des Lagunaires du Golfe de Guinée et des Baoulé des savanes subhumides et forme avec ces derniers le groupe de bétail trypanotolérant à courtes cornes d'Afrique de l'Ouest. Les groupes sanguins, le polymorphisme biochimique des hémoglobines, albumines et transferrines, montrent un très faible degré de métissage sur les somba du Bénin et du Togo, le bétail lagunaire du Golfe de Guinée étant par contre mieux conservé. L'épidémiologie des parasitoses du sang et des helminthoses gastro-intestinales indiquent une bonne résistance des somba vis-à-vis des parasitoses et un moindre coût des interventions zoo-sanitaires. La mise au point de méthodes de collecte de semence et de production d'embryons de taurins somba a permis de constituer une banque de gènes pour faciliter la conservation de la race et son amélioration à partir des sujets d'élite. La caractérisation du lait de vaches somba montre des qualités dans la production du fromage. Les gènes qui commandent ces propriétés sont très appréciés. Grâce à ce projet la race somba apparaît désormais comme une des mieux connues du cheptel trypanotolérant d'Afrique de l'Ouest. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 12 Sauvetage des veaux: incidences dans le développement du cheptel bovin dans le Borgou. Auteur: GARBA Taïrou. Date: 1975 Source: . Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 40 pages. Lieu d'édition: Sékou Localisation: Bibliothèque LAMS. Résumé : L'effectif du troupeau est en moyenne de 50 à 70 têtes avec 10 à 15 veaux qui sont souvent victimes de sous-alimentation lactée dans les premiers mois de leur vie et aussi de polyparasitisme entraînant des mortalités de 30 à 50% la première année, 10% la deuxième année, 5% la troisième année. La maîtrise de ces causes de mortalité permettra d'augmenter l'effectif du cheptel, d'augmenter les ressources de l'éleveur et de réformer les vieilles vaches et les vieux taureaux. Pour ce faire l'éducation de l'éleveur peulh et la lutte contre les maladies parasitaires et infectieuses s'imposent. Par ailleurs, l'accent est mis sur un certain nombre de facteurs, permettant de réduire le taux de mortalité, que sont l'alimentation et l'abreuvement. L'éducation des peuhl sur les modalités de traite qui tiennent compte des veaux, l'adoption des pratiques de vaccinations systématiques contre les grandes maladies, le déparasitage aussi bien interne qu'externe permettrait de diminuer le taux de mortalité et accroître en conséquence l'effectif du cheptel bovin. Notes sur la détermination de l'âge par le remplacement des incisives chez les bovins borgou dans le Nord-Est du Bénin. Auteur: SYMOENS C., HOUNSOU-VE G. Date: 1990. Source: . Belgique, Tropicultura, 8: 4, 193-195 Collation: 3 pages. Lieu d'édition: France Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: Une étude de la dentition des bovins de race borgou des systèmes traditionnels d'élevage bovin a permis de déterminer les âges au remplacement des incisives et les âges moyens aux stades 2; 4 et 6 incisives adultes. Les borgou semblent, comme d'autres métis de taurins et zébus et aussi comme les taurins africains, plus précoces par rapport aux zébus purs et les bovins européens. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 13 Etude de quelques paramètres de productivité de la race bovine borgou. Auteur: CHABI Maco Yacoubou. Date: 1992. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 137 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : Des données ont été recueillies entre fin juin et début octobre 1991 et sur 172 animaux répartis en 5 troupeaux sédentaires et transhumants, dans un échantillon de bovins de trait. 149 contrôles laitiers des traites matinales ont permis de calculer la traite matinale moyenne. Les résultats suivants ont été obtenus: l'âge moyen au premier vêlage est de 4 ans ± 12 mois, l'intervalle moyen de vêlage 16 mois 2 semaines ± 6 mois, taux de reproduction moyen de 51,78% avec une période de grandes naissances allant d'avril à juillet (84,2% des naissances dans l'année). Ceci a permis de situer la période de grandes saillies fécondantes entre juillet et décembre. Le taux de mortalité est plus élevé chez les veaux (14,3%) que chez les taurillons plus génisses (5,3%) et chez les taureaux, les vaches (4,6%). La distribution de fréquence mensuelle montre une forte mortalité en juin et juillet avec plus de 50% de mort d'animaux. Le poids à la naissance 16,5kg est assez élevé mais avec une croissance faible caractérisée par les poids moyens de 21,2 kg, 42,8 kg et 60,3 kg respectivement à 1mois, 5 mois et 12 mois et un gain de poids moyen quotidien (GMQ) de 100g à 1mois et 190 g à 4mois et plus. Chez les animaux de 0 dent, 2-6 dents et 8 dents et plus, les poids moyens sont respectivement 154 kg, 213,8kg et 240 kg en troupeaux d'élevage et 186kg, 218,4 kg et 306,2 kg en culture attelée. Pour ces deux types d'élevage les GMQ sont de 880 g, 426 g et 315 g chez le premier et 884 g, 700 g et 400 g chez le second. Le GMQ diminue avec l'âge. La production laitière est estimée à 2,8 litres pour les vaches avec des veaux âgés de 0 à 6 mois avec un coefficient de variation de 20%. Le stade de lactation et le mois calendaire ont un effet significatif sur la traite matinale au seuil de 95%. La traite du soir est estimée à 77% de la traite matinale. Le prélèvement par la traite est estimée à 62,4% de la production laitière. Effets des facteurs du milieu sur l'âge à la puberté chez le mâle et la femelle de la race bovine borgou. Auteur: DAOUDA Is- Haquou Akinwoumi. Date: 1990. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 172 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation: Bibliothèque FSA. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 14 Résumé:Trois lots de génisses ont été constitués : 17 génisses élevées selon le mode traditionnel; 7 génisses selon le mode semi-extensif et 10 génisses selon le mode amélioré. Les premières manifestations de chaleur suivies de saillie sont considérées comme marquant le début de la puberté. Des prélèvements sanguins sont effectués tous les 10 jours chez les génisses pour étudier les profils des sécrétions hormonales de F.S.H. et de progestérone puis tous les 21 jours chez les taurillons pour les sécrétions de L.H et de testostérone. Les résultats montrent que chez la génisse borgou, l'amélioration du "management" de leur élevage réduit l'âge à la puberté de 3 ans en élevage traditionnel à 2 ans en élevage semi-extensif ou amélioré, que le mois de naissance a également un effet significatif sur leur puberté sexuelle et puis l'analyse des profils de sécrétion hormonale indique chez les génisses suivies un changement assez net de la fréquence et/ou l'aptitude des pics reflétant l'établissement des cycles oestraux ou la présence d'un corps jaune gestatif. Quant aux taurillons borgou, les profils de sécrétion hormonale obtenus n'ont donné que des résultats indicatifs sur la phase péripubertaire. L'étude des spermogrammes n'a pu être entreprise simultanément. Mesures barymétriques chez le bovin de race borgou dans le Nord-Est du Bénin. Auteur: SYMONENS C.; HOUNSOU-Vê G. Date: 1991. Source: Revue d'Elevage de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux, 44: 4, 487-490. Collation: 4 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : 115 bovins mâles et femelles de race borgou, âgés de 10 à 12 ans ont été pesés et leur périmètre thoracique mesuré. La longueur de l'omoplate a été mesurée chez 52 de ces animaux. L'équation de regression du poids Y sur le périmètre thoracique X: In Y= - 8,081+ 2,712 In X avec un coefficient de détermination r puissance 2 égal à 98% en a été tirée et a permis de mettre au point une table d'estimation du poids à partir du périmètre thoracique. L'évolution du poids en fonction de l'âge est également présentée. Elle permet d'attribuer la valeur de 0,67 UBT par tête présente en élevage traditionnel. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 15 Contribution à l'évaluation de l'expérience sur les troupeaux témoins bovins dans les provinces de l'Atacora, du Borgou et du Zou. Auteur: TOSSOU Romain F. Date: 1988. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 66 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: L' alimentation de l'élevage passe par la connaissance des données fiables sur les paramètres zootechniques qui sont très utiles pour définir les caractéristiques de chaque espèce élevée et en même temps de faire des comparaisons et des choix entre une multiplicité des alternatives de l'élevage. L'expérience des troupeaux témoins, qui consiste en un encadrement plus serré et un suivi régulier des animaux, peut constituer un outil privilégié pour la collecte et l'analyse des données capables de nous conduire à un plan de développement cohérent de l'élevage. La composition des troupeaux montre que le renouvellement se fait également de manière positive. Les potentialités internes d'évolution des troupeaux témoins sont très satisfaisantes ; avec 1 taureau pour 15 vaches (zone PPEA), 1 taureau pour 16 vaches (Province du Borgou) lorsque l'on sait que les normes zootechniques indiquent 1 taureau pour 40 à 50 vaches. Cependant, il existe beaucoup de disparités entre les différents troupeaux. Ainsi il existe des troupeaux qui n'ont pas de géniteurs ce qui entraîne une baisse de productivité. L'expérience des troupeaux témoins est une pratique qui reste encore au stade de balbutiement et manque de rigueur et de coordination. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 16 Les perturbations climatiques et l'élevage bovin dans la province du Borgou. Auteur: WAMMASSE Cohovi. Date: 1984. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 109 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé : La présente étude vise à comprendre l'action des conditions climatiques sur l'élevage bovin dans le Borgou. Le secteur élevage a malheureusement connu au cours de la dernière décennie, des contraintes d'ordre climatique se manifestant par des précipitations aussi tardives que capricieuses, peu étendues suivies d'une longue période sèche. Ceci conduit à des modifications de la végétation qui se traduisent par la présence d'un couvert herbacé et de légumineuses sauvages dont la biomasse a considérablement diminué, la dominance et l'abondance des essences xérophiles (Baobabs et Rôniers) et la fréquence des espèces épineuses qui sont des formes de résistance des plantes. Ces variations climatiques influent sur la disponibilité en fourrages, le disponible en eau, l'état de santé des animaux et sur les productions animales (dépréciation des carcaces aux abattoirs, faible taux de fécondité, nombreux cas d'avortements et parfois des cas de stérilité secondaire). INRAB/LRZVH/CRA-Nord 17 Contribution à l'étude des productivités des différentes races bovines dans le Borgou. Auteur: YATAOU Moussa Tamou. Date: 1989. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 46 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque du CPU Résumé : Des enquêtes réalisées pendant 60 jours ont permis de collecter les données relatives à la production de viande aux abattoirs et de lait dans la ville de Parakou. L'estimation des poids des animaux a été faite à partir de la formule barymétrique. Le pèrimètre thoracique des animaux est mesuré et il permet d'estimer leurs poids. La formule barymétrique utilisée est Poids = (P. TH)3*K ou P.TH équivaut au périmètre thoracique et K à une constante qui est égale 83 pour les veaux et 77 pour les adultes sur 121 animaux alors que la production laitière a été suivie tous les 10 jours sur 56 vaches en lactation. Les résultats montrent une bonne aptitude à la production de viande des taureaux borgou adultes comparativement aux taureaux zébus et métis. Le rendement moyen en viande carcasse (51,04%) est bon, par contre le rendement moyen en viande carcasse des vaches borgou adultes (47,90%) est faible comparativement à celui des vaches zébus qui est de 48,52%. Les vaches métisses avaient le plus faible rendement 47,81%. Les taureaux métis et les taureaux zébus ont sensiblement les mêmes rendements moyens en viande carcasse. La comparaison des trois types de bovins, tous sexes confondus, place les métis et les borgou en tête du classement pour la productivité en viande carcasse avec des rendements moyens respectifs de 49,77% et 49,10%. Les zébus viennent en troisième position dans le classement avec un rendement moyen en viande égal à 48,90%. Concernant la production laitière, elle est en moyenne de 1,78kg/jour chez la vache borgou, de 1,56kg/jour chez la vache zébu et de 1,78kg/jour chez la vache métisse (zébu croisé borgou). INRAB/LRZVH/CRA-Nord 18 Productivité de la race borgou à la ferme d'élevage de l'Okpara au Bénin. Auteurs: YOUSSAO A. K. I.; AHISSOU A.; TOURE Z.; LEROY P. L. Date: 2000. Source: Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux .53: 1, 67-74 Collation: 8 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : La productivité du bovin de race borgou a été étudiée à la ferme d'élevage de l'Okpara au Bénin sur une période de 4 ans avec une moyenne de 2577 animaux élevés dans des conditions semi- améliorées. Les paramètres de reproduction sont caractérisés par un taux de fertilité de 78%, un intervalle de mise-bas de 441 jours, un âge au premier vêlage de 42,1 mois, et une longévité atteignant 14 - 15 ans. Le poids à la naissance est de 19kg pour les mâles et 18,3kg pour les femelles. Le gain moyen quotidien de la naissance à 12 mois est de 229 et 214g pour les mâles et les femelles respectivement. Deux équations de régression sont proposées pour estimer les poids des veaux et velles. Le taux de mortalité général est de 1,2%, les jeunes animaux étant les plus affectés. La performance du bovin de race borgou est meilleure à la ferme de l'Okpara comparée aux systèmes d'élevage traditionnel. Effets des hormones de croissance chez les mâles de race lagunaire et borgou en République Populaire du Bénin. Auteur: DOSSA Micheline Date: 1997 Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 189 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : L’analyse de relevés des mesures corporelles des bovins a montré une évolution continuelle du périmètre thoracique, du tour de ventre et de la longueur scapulo-ischiale. Ces trois mesures ont une vitesse de croissance appréciable après le traitement aux anabolisants. Parmi elles la mesure du périmètre thoracique s’est révélée la meilleure en milieu paysan pour l’établissement des formules barymétriques . La formule de COULOMB (1972) et col. a été utilisée pour l’estimation du poids des bovins mâles lagunaires et celle de CREYAT (1890) pour les bovins borgou. La comparaison de l’évolution du poids des bovins mâles traités de race lagunaire et de race borgou fait apparaître qu'il est préférable de traiter un taurillon lagunaire qu’un bouvillon lagunaire ; ou de traiter un bouvillon borgou plutôt qu’un lagunaire avec nos produits. En outre, notre travail a montré une rétention de l’urée plasmatique, ce qui confirme un métabolisme important des protéines alimentaires mises à la disposition des animaux. Le taux de créatinine est très proche des limites physiologiques surtout chez les bovins traités. L’utilisation des anabolisants s’est révélée efficace dans la recherche d’un meilleur indice de conversion alimentaire des bovins mâles lagunaires et borgou. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 19 L'importance économique de la production bovine au sein des Fulbé dans le Nord Bénin. Auteur: KUHN J. Date: 1994. Source: Sozialanthropologische- Arbeits papiere .1 Collation: 16 pages. Lieu d'édition: Allemagne. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: Une étude économique a été conduite dans le Borgou, au Bénin en 1987 et 1988, au sein de 10 familles Fulbé. Le questionnaire a été axé sur les points suivants: la taille et la structure du cheptel, le revenu généré par les ventes de bovins, la consommation familiale, les bovins disponibles à être vendus, l'importance nutritionnelle du lait, la production de subsistance de mil et de maïs, et l'importance du coton comme culture de rente. Le troupeau moyen compte 48 animaux. Seulement 7,5% des animaux sont vendus par an, le plus souvent pour des raisons de cérémonies. La consommation familiale est négligeable 0,4%, et seulement dans un seul cas il a été question d'achat d'un animal. Le lait n'est pas seulement important comme aliment mais aussi comme une source régulière de revenus. La culture du mil et du maïs procure aux familles des provisions de grains, tandis que le coton procure un revenu annuel moyen équivalent à deux jeunes taureaux (taurillons). Les bovins sur pieds constituent à la fois un capital et un moyen de production pour les Fulbé. Les vaches produisent du lait et constituent à long terme des épargnes, alors que les taureaux constituent une épargne à moyen terme, à partir de laquelle plusieurs problèmes peuvent bien être résolus sans compromettre la capacité reproductrice du troupeau. Les Fulbé ont très peu besoin de consommer ainsi que de biens de luxe et de ce fait ne maximisent pas leurs revenus INRAB/LRZVH/CRA-Nord 20 1.2 Reproduction Essai d'amélioration du comportement reproductif de la vache borgou en système d'élevage semi-extensif par la méthode de réduction du temps de permanence du veau avec la vache. Auteur: MAFFON Médessi Césaire. Date: 1998. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU),Université Nationale du Bénin. Collation: 68 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU Résumé : Dans le but d'améliorer le comportement reproductif de la vache borgou en élevage semi-extensif, 274 fiches de contrôle de reproduction de ces animaux ont été analysées ; 15 parturientes à 30 - 45 jours et leurs veaux ont été repartis en trois groupes. Les vaches du groupe 1 allaitent deux heures par jour leur veaux, celles du groupe 2 quatre heures par jour alors que les vaches du groupe 3 allaitent en permanence leurs veaux. Ces animaux ont été suivis pour déterminer la durée de la période part-gestation ainsi que les intervalles inter-vêlages correspondants. De l'analyse des fiches de contrôle, 558 vêlages ont été enregistrés et la durée moyenne de l'intervalle inter-vêlage obtenue est de 602 plus ou moins 60 jours. Du part à la gestation, les animaux du groupe1 mettent en moyenne 54,2 jours et ceux du groupe deux 61,2 jours ce qui montre qu'il n'existe pas de différence significative entre les deux groupes. L'intervalle inter-vêlage estimé est de 327,2 jours pour les animaux du groupe 1 et 331,2 jours pour ceux du groupe 2. Pendant les cinq mois qu'ont duré nos essais, 100 % des vaches du groupe 1 et 80 % du groupe 2 ont présenté des signes de chaleur, ont été saillies et ont été confirmées gestantes alors qu'aucune des vaches du groupe 3 n'a encore présenté des signes de chaleur à la date du 15 mai 1998. Ces résultats indiquent que la vache borgou en élevage semi-extensif met bas pratiquement tous les deux ans (au lieu de chaque année), l'allaitement est l'un des facteurs qui dépriment la reprise de l'activité sexuelle après le part chez la vache borgou.On note qu'à deux heures ou à quatre heures par jour le temps de permanence des vaches avec leurs veaux. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 21 Détermination de l'âge moyen au premier part, l'intervalle inter-vêlage et l'intervalle vêlage- insémination fécondante de la vache borgou élevée en système semiintensif. Auteur: FIOSSI Childerick Kirin. Date: 1999. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 62 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé : Dans le but de contribuer à l'étude des performances reproductives de la vache borgou en élevage semi-extensif, 277 fiches de contrôle reproductif ont été enregistrées. De ces fiches ont été déterminés l'âge moyen au premier part, l'intervalle inter-vêlage et l'intervalle vêlage- insémination fécondante. De l'analyse de ces fiches, 530 vêlages ont été enregistrés et l'âge moyen au premier part est de 51 mois. La durée moyenne de l'intervalle inter-vêlage est de 536 ± 201 jours. Elle diffère selon le rang du vêlage. En cas de mortalité du veau à la naissance, l'inter-vêlage est réduit (463 ± 150 jours). Comparativement à celui des vaches allaitant des veaux, l'intervalle inter-vêlage est réduit chez celles allaitant des velles. Enfin, la saison de mise-bas influence considérablement la durée de l'anoestrus post-partum. Contrairement aux pluripares, l'anoestrus post partum est plus longue en saison sèche qu'en saison de pluie chez les primipares. Ces résultats montrent que : en élevage semiextensif, la vache borgou conçoit son premier veau en âge avancé, en manutention semi-extensive, la vache borgou, après le part, met plus de temps (256 jours) pour concevoir (au lieu de 90 jours), puis la saison de mise-bas, le sexe des veaux et la durée de permanence de ceux-ci avec leur mère sont tant de facteurs qui affectent l'intervalle inter-vêlage chez la vache borgou élevée en système de manutention semi-extensif. Essai d'introduction de l'insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels dans l'Atacora : cas du secteur agricole de Kouandé. Auteur: AGANDAN Cossi Denis. Date: 1995. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA ), Université Nationale du Bénin,. Collation: 121 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : L’introduction de l'insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels du secteur agricole de Kouandé pour une rationalisation de leurs productions s'est déroulée en 2 phases qui sont respectivement la phase de sensibilisation et celle d'expérimentation. L'étude a porté sur 45 éleveurs dont 6 sont retenus pour l'expérimentation et 33 femelles bovines réparties comme suit 17 vaches borgou, 5 génisses borgou, 5 génisses métisses borgou-somba et 6 INRAB/LRZVH/CRA-Nord 22 vaches métisses borgou-somba. Les génisses sont âgées de 3 à 4 ans tandis que les vaches sont mises à la reproduction 3 à 4 mois après vêlage. Ces animaux subissent pour la première fois une insémination artificielle. De la première phase, il ressort que les éleveurs réagissent différemment face à l'innovation. Ainsi 71% d'éleveurs ouverts, 24% attentistes et 5% d'éleveurs réfractaires à l'innovation. La seconde phase donne pour résultats 84,84%, 94%, 53,57% correspondant respectivement aux venues en chaleur suite au traitement de synchronisation; au non retour en chaleur; au taux de fertilité transrectale à77 jours. De même les degrés de synchronisation calculés sont de 70% pour les génisses, 78,25% pour les vaches et 75,75% pour les femelles. Il est à noter que les chaleurs se manifestent plus chez les vaches que chez les génisses. En outre la réalisation de cette opération est favorisée par la taille du cheptel bovin du secteur, la sédentarisation progressive des agro-éleveurs; la promotion de la culture fourragère et la construction de retenues d'eau. Cependant trois contraintes majeures entravent cette étude. La première contrainte est liée aux déplacements intempestifs des animaux, leur état sanitaire défectueux, les pénuries alimentaires saisonnières et les mélanges de troupeaux au point d'abreuvement des animaux. La deuxième contrainte est liée d'une part à l'influence des acteurs socio-économiques. La troisième contrainte enfin est liée à l'augmentation du coût de l'insémination dû aux techniques de maîtrise des chaleurs. Etude comparative de deux méthodes de synchronisation et de détection des chaleurs chez les vaches et génisses lagunaire et borgou en République Populaire du Bénin. Auteur: DAGA Lazare.. Date: 1987. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 149 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : Une bonne maîtrise de la reproduction passe par une détection précoce et précise des chaleurs naturelles. L'utilisation des méthodes médicales (synchronisation des chaleurs) suivies de l'insémination artificielle permet d'améliorer la productivité du cheptel. La détection des chaleurs s'est faite selon deux méthodes qui sont: l'observation directe et l'observation différée à l'aide d'une vache androgénissée dans les fermes de Samiondji et de M'Bétécoucou respectivement sur 30 vaches "lagunaires", 30 génisses "borgou" et deux femelles androgénissée (1lagunaire, 1 borgou). Ces deux races d'animaux ont été réparties en deux lots de 15 animaux, soit au total 4 lots d'animaux traités avec deux produits différents (SMB et PGF2 ). La détection par observation directe et la vache androgénissée ont permis de conclure que les manifestations des chaleurs se font pendant les périodes moins chaudes et les moins éclairées de la journée, les manifestations comportementales sont plus perceptibles et plus marquées chez les génisses borgou que chez les vaches lagunaires et la synchronisation par les implants (SMB) a apparu plus efficace que celle par le (PGF2) lors de l'observation des manifestations comportementales et anatomophysiologiques. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 23 Essais d'introduction de l'insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels: cas du périmètre N'Dali- Nikki- Kalalé (département du Borgou). Auteur: BELLO BOULANKI Bio Oumarou. Date: 1995. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 138 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: La présente étude a été conduite dans le périmètre N'Dali, Nikki, Kalalé, au Borgou-Est de juin à décembre 1994. Elle a commencé par une phase d'enquête au cours de laquelle les éleveurs ont été informés de l'existence de l'insémination artificielle et des avantages qu'ils peuvent tirer de cette méthode de croisement pour l'amélioration de la production bovine. L'entretien s'est déroulé suivant deux méthodes: le contact individuel consistant à rencontrer un seul éleveur et l'entretenir sur l'objectif du travail à effectuer, le contact en groupe qui consiste à réunir des éleveurs pour leur porter l'information. L'objectif du travail est l'étude de la faisabilité de l'insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels afin de permettre aux éleveurs d'accéder à cette technologie. Par conséquent, la réaction des éleveurs face à la nouvelle méthode de croisement est notée afin d'identifier ceux qui sont disposés à faire le premier essai dans leur élevage. Des différents entretiens avec ces éleveurs au cours de la phase d'enquête, nous avons noté trois catégories d'adoptants: les ouverts, les attentistes et les réfractaires à l'insémination artificielle. La proportion des éleveurs ouverts à l'innovation est de 22% contre 38% pour les attentistes et 40% pour les réfractaires. L'étude expérimentale a porté sur les femelles mises à notre disposition par les éleveurs ouverts. Elles sont de 33% de femelles de race borgou et métisses zébu – borgou dont 17 vaches et 16 génisses. Ces femelles ont été traitées à l'implant synchro-mate B de Norgestomet pour induire et synchroniser les chaleurs. Les résultats de détection des chaleurs par observation directe donne 94% (31/33) de femelles venant en chaleurs dans un intervalle de 48 heures. Ces résultats très proches de ceux de la littérature montrent l'efficacité du produit utilisé sur nos races locales. Cependant toutes les femelles n'ont pas répondu au traitement au même moment. La majorité d'entre elles a manifesté des chaleurs à j 11 (le retrait de l'implant étant fait à J9), parmi celles qui restent, certaines ont montré des signes de chaleurs à J10 d'autres à J12. Cette variation serait due au caractère physiologique propre à chaque femelle. L'insémination faite à la suite de ce traitement donne un résultat après palpation rectale à 78 jours de 52% de femelles gestantes. Nous avons observé des variations de fertilité mais le faible effectif des animaux ne permet pas de tirer des conclusions fiables. Cependant les facteurs de variation à soupçonner sont la race: 58% de borgou contre 42% de métisse sont gestantes; la catégorie: 53% de vaches contre 50% de génisses. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 24 Post-partum et reprise de la cyclite chez la femelle trypanotolérante (borgou). Auteur: BABIO Ali Zénabou.. Date: 1992. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 118 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : En vue d'une rationalisation de la production animale, cette étude a pour but de connaître la durée moyenne du cycle oestral chez la femelle de race borgou, d'évaluer le moment de la reprise des cycles sexuels après la mise-bas et enfin d'estimer la production laitière chez cette race. L'étude s'est déroulée de juillet à septembre 1991 à la ferme de M'Bétécoucou et a porté sur 30 génisses, 30 vaches gestantes et 21 couples mères-veaux. Les résultats de détection des chaleurs par observation directe ou par celle des vulves, confirmés par les résultats du dosage de progestérone, nous ont permis de connaître la durée des cycles et les moments de reprise des cyclicités. Pour le dosage de la progestérone, les prises de sang ont été effectuées tous les jours chez les génisses et tous les 10 jours chez les vaches. Le nombre de jours séparant deux oestrus représente la durée du cycle. Cette durée est en moyenne de 20,5 jours et de 22,7 jours respectivement chez les génisses et chez les vaches. Chez les vaches le profil hormonal obtenu ne nous permet pas d'estimer la durée des différentes phases. La période de reprise de l'activité ovarienne correspond à la période de la reprise de la cyclicite. Cette reprise à lieu si le taux de progestérone atteint une valeur seuil de 0,31ng/ml. La durée de l'anoestrus post-partum est de 92 jours. On note une corrélation positive entre la variation du poids des génisses et le nombre de cycles. Enfin, il n'existe pas de différence significative entre la durée de l'anoestrus post-partum et le numéro de lactation. Estimée à partir de la croissance des veaux, qui ont subi des pesées tous les 15 jours, la quantité moyenne de lait produite est de 1,5 litre par jour. INRAB/LRZVH/CRA-Nord 25 Caractéristiques du sperme et potentiel d'utilisation par insémination artificielle des taureaux de race borgou. Auteurs: ADAMOU N'DIAYE Mama; JONDET R.; ADJOVI A. Date: 1996. Source: Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux. 49: 2, 174-177. Collation: 4 pages. Lieu d'édition: France Localisation :Bibliothèque FSA. Résumé : Le but de ce travail est d'évaluer les caractéristiques principales du sperme du taureau de race borgou en milieu tropical humide en vue de pratiquer l'insémination artificielle dans cette race. Les récoltes de sperme (au vagin artificiel) se sont déroulées pendant trois mois au cours de la grande saison des pluies au Bénin, au rythme d'un éjaculat par semaine pour 10 taureaux et de deux éjaculats par semaine pour 6 taureaux. Les résultats pour les éjaculats retenus lors des récoltes hebdomadaires sont en moyenne, volume 3,43 ml; motilité de masse 3,85 (échelle 0-5); motilité individuelle75,7%; concentration 1,19*109 spermatozoïdes/ml; nombre total 4,09*109 spermatozoïdes. Ils sont, pour les éjaculats retenus lors des récoltes bihebdomadaires, volume 3,16; motilité de masse 4,30; motilité individuelle 79,5%; concentration 0,76*109 spermatozoïdes/ml; nombre total 2,45*109 spermatozoïdes. Technologie du sperme de taureau de race borgou. Auteur: ADAMOU-N'DIAYE Mama. Date: 1994. Source: Faculté des Sciences Agronomiques( FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 146 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: La semence de taureau de race borgou utilisée a été conservée soit par dilutions dans différents milieux soit par congélation et ses caractéristiques ont été étudiées: le refroidissement du sperme dilué ( entre + 32 et 5°C), la congélation des spermatozoïdes ainsi que leur survie après incubation (test de thermorésistance). Les caractéristiques du sperme (volume, concentration en spermatozoïdes, mobilité massale, mobilité individuelle) à partir de 104 éjaculations (10 taureaux soumis à un rythme hebdomadaire de récolte pendant 7 semaines) ont été établies. Deux récoltes de sperme par semaine augmentent la quantité du sperme disponible et un intervalle de 72 heures entre ces deux récoltes semble favorable. Trois temps de refroidissement des gamètes ont été comparés (30, 60 et 120 mn ) en utilisant le dilueur au citrate de sodium/jaune INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 26 d'œuf, additionné ou non de fructose et de glycérol. Faible longévité des spermatozoïdes entre les 3 temps de refroidissement. La longévité des spermatozoïdes n'a pas été augmentée par l'addition de fructose et de glycérol au dilueur. Pour la congélation des spermatozoïdes, le sperme est dilué dans un milieu composé de citrate et de sodium/jaune d'œuf/ fructose, glycérol et la semence obtenue est conditionnée en paillettes de 0,25 ml disposées dans un petit gobelet plastique qui est placé dans un Canister métallique introduit dans un conteneur portatif d'azote liquide (capacité de 10l) jusqu'à ce qu'il entre en contact avec l'azote liquide. La température des paillettes atteint -130° dès la 15e minute plus tard. Les pourcentages de survie des spermatozoïdes au dégel sont de 42% en moyenne et dépassent même 50% pour certains taureaux. L'utilisation d'un seul gobelet permet de congeler 100 paillettes de 0,5 ml ou 207 paillettes de 0,25 ml en 30 minutes. Quelques éléments d'appréciation du sperme de taureau de race borgou. Auteur: ABISSI Oloukou Félix. Date: 1985. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 112 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Des prélèvements d’organes génitaux de taureaux adultes de 4 à 6 ans de race borgou ont été opérés à l’abattoir de Cotonou – Porto-Novo lors des abattages juste au moment de l’extirpation des organes génitaux. Une balance de laboratoire et un mètre ruban ont permis de peser chacun des testicules ainsi que de mesurer la longueur et le diamètre. La récolte de la semence a lieu à la ferme de la F.S.A (Faculté des Sciences Agronomiques). Toutes les récoltes ont été effectuées au vagin artificiel de type français, tous les matins du mardi au vendredi, le lundi étant consacré à apprêter du matériel et quelques fois à traiter des animaux. L’opération se déroule le matin entre 9 heures et 10 heures 30 minutes. Pour ces expériences, 30 taureaux et 2 vaches ont été utilisés. 15 taureaux ont été excités par la présence des vaches respectivement le mardi et le jeudi puis les 15 autres le mercredi et le vendredi. Le samedi et le dimanche, les animaux sont au repos total. Les récoltes qui ont donné du sperme clair de couleur jaune et de consistance liquide ont été annulées. Ces spermes sont éliminés lors de la détermination de la concentration parce que l’expérience a montré qu’ils sont pauvres en spermatozoïdes. Les autres , après examen macroscopique (volume, aspect , couleur, consistance) ont été soumis à un examen microscopique (motilité massale et individuelle, concentration et numération des spermatozoïdes) et biochimique (Ph du sperme). Il a été procédé ensuite à la dilution du sperme , à son conditionnement , à sa congélation et à sa conservation. Les résultats ont été pour l’ensemble acceptables sauf dans certains paramètres comme la concentration qui est assez faible. Cela pourrait être attribué à l’alimentation INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 27 des animaux. Par ailleurs pour la conservation au frais, la semence est restée utilisable pour une période de sept jours alors que dans le cas de la conservation dans l’azote donc après congélation, les spermatozoïdes ne survivent plus après dégel. 1.3 Alimentation Contribution à l'étude des possibilités d'amélioration de l'alimentation des bovins dans la province du Borgou. Auteur: DOKO ALLOU Sanni-Yô. Date: 1983. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 120 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé : La'a présente étude vise à promouvoir le développement de la production animale par une exploitation rationnelle des patûrages et une valorisation par le bétail des sous-produits agricoles, à améliorer la conduite du troupeau bovin et à organiser les éleveurs en vue d'une bonne utilisation des parcours naturels. Pour y parvenir, il faudrait améliorer la production fourragère par des mesures administratives (installation des patûrages améliorés, réglémentation de la gestion des terres sous forme privée ou communautaire, définition de la constitution de coopérative), par l'amélioration de l'utilisation rationnelle des patûtages naturels existants (conduite de l'exploitation du patûrage, rotation des patûrages, contrôle et utilisation rationnelle des feux, organisation de la transhumance), par l'application de quelques méthodes de conservation du fourrage, par l'utilisation des sous-produits agricoles et agroindustriels (récupération et utilisation) et par l'abreuvement du bétail. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 28 Effets d'une complémentation en graines de coton pour la production laitière et la croissance des veaux et des vaches de race borgou au Bénin. Auteur: OGODJA J.O. ; HOUNSOU-VE G. ; DEHOUX J.P. Date: 1993. Source: Bulletin of Animal Health and Production in Africa, 41: 1, 51-56; Collation: 6 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : De février 1990 à février 1991, 81 vaches laitières de race borgou, réparties en deux groupes ont été élevées dans des conditions traditionnelles dans la région Nord-Est du Bénin, avec ou sans supplémentation de tourteaux de graines de coton à raison de 1kg par jour. Les quantités de lait obtenues des deux groupes sont de 742 et 1008 ml par jour (35% de la production totale). La production estimée de lait pendant 250 jours de lactation est de 530 et 720 litres, respectivement. Le gain de poids quotidien des veaux allaitants dans les deux groupes est de 192 et 238 g. Après 30 semaines les différences dans les gains de poids entre les veaux sont de 14%. 1.4 Santé et parasitologie Contribution à l'enquête sur les principales maladies contagieuses des bovins dans la province du Borgou. Auteur: ZIKA Oumarou. Date: 1985. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 60 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: L'amélioration de la santé des animaux est l'une des conditions essentielles pour l'augmention de la production animale. L'objet de cette étude est d'inventorier les principales maladies contagieuses des bovins de la province du Borgou et à en étudier certains caractères épizootiologiques. L'étude s'est déroulée en 2 phases: une phase documentaire à la Direction Nationale de l'Elevage (DNE) et Projets de développement intervenant dans la province et une phase de terrain qui a duré 8 semaines pour recuelir à l'aide d'une trame de questions des réponses. Les réponses recueillies lors des questionnaires font état de trois maladies contagieuses majeures dans la province du Borgou. Il s'agit dans l'ordre décroissant de gravité de la Peste Bovine, de la Septicémie Hémorragique des Bovins et de la Péripneumonie INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 29 Contagieuse Bovine. La Peste Bovine apparaît souvent sous forme épizootique, la Pasteurellose Bovine ou Septicémie Hémorragique des bovins sous forme enzootique et enfin la Péripneumonie Contagieuse Bovine, depuis 1972 n’est réapparue qu’en 1985. La lutte contre ces maladies connaît de graves lacunes qui sont dues à deux facteurs principaux dont l'insuffisance des moyens humains, matériels et financiers mis à la disposition du service de l'élevage et la carence de la législation sanitaire vétérinaire en vigueur en République Populaire du Bénin. Le contrôle, la maîtrise et l'éradication des grandes maladies du bétail ne peuvent être pleinement attendus que de la connaissance parfaite de l'épizootiologie de ces maladies, de la conjugaison des forces productrices et de l'application correcte des mesures appropriées. Contribution à l’étude épizootiologique descriptive de la fasciolose bovine en Afrique de l’Ouest : le cas du nord de la République Populaire du Bénin. Auteur: VISSOH Koffi Date: 1980 Source: Thèse de Doctorat – Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar. Collation: 124 pages. Lieu d'édition: Dakar. Localisation : Auteur. Résumé: L’étude a consisté en des enquêtes regroupées en trois séries : des enquêtes auprès des agents des services vétérinaires, (entre août et septembre 1978 à 1979), une étude des registres d’abattoir (au niveau des abattoirs de Parakou, Kandi, Ségbana, Banikoara et Malanville) qui a permis d’appréhender l’impact de la fasciolose de 1930 à 1978 et des enquêtes sur les gîtes à Limnée. Les résultats obtenus ont permis de dire que dans le Sud-Borgou (de 1939 à 1976) le taux de prévalence est de 3,61% à l’exception des années 1958 et 1967 où le taux de saisie n’a jamais été supérieur à 4%. Dans le nordBorgou, sur une période de 15 ans, le taux de prévalence est de 11,62%. A Ségbana les taux d’infestation de 1959 à 1979, varient de 3,26% à 73,45% qui est le taux le plus élevé obtenu en 1966. A Banikoara, au cours de la même période, les taux varient de 0,22% à 16,01% qui est le taux le plus élevé obtenu en 1971. A Kandi, pendant la même période (1959 à 1979) les taux varient de 5,54% à 24,27% qui est le taux le plus élevé obtenu en 1959. A Malanville, pour la même période, les taux varient de 9,33% à 37,64% qui est le taux le plus élevé obtenu en 1959. Les taux d’infestation varient entre 20 et 60% à Malanville et sont les plus élevés en saison sèche. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 30 Trypanosomiase bovine : impact sur l'élevage traditionnel dans la province de l'Atacora. Auteur: TAHIROU Lafia. Date: 1988. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 49 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé : Le diagnostic de la trypanosomiase est basé sur le diagnostic clinique (observation des signes cliniques tels que anémies, pica, poils piqué, avortement oedêmes et anorexie), le diagnostic microscopique et la méthode de Woo. Des frottis sanguins ont été réalisés sur 366 animaux dans cinq districts de la province (Kouandé, Kérou, Natitingou, Péhunco et Djougou). Les prélèvements sont réalisés très tôt le matin avant le départ des animaux pour le pâturage, puis ensuite traités et observés au microscope. Les prélèvements effectués du 29 juin 1988 au 10 août 1988 ont donné les résultats suivants concernant les taux d'infestation. A Kouandé, sur 57 prélèvements le taux d'infestation est de 63,15%; à Kérou, sur 95 prélèvements il est de 67,36%; à Natitingou, sur 51 prélèvements il est de 76,47%, à Djougou, sur 78 prélèvements il est de 48,71%. Sur l'ensemble des prélèvements 27,04% des animaux sont infestés par les trypanosomes; 13,93% par les babesies et 12,84% par Theileria. La trypanosomiase occupe une place importante et le district de Natitingou est le plus atteint, suivie de babesiose et de theileriose occupent une place non négligeable dans les parasitismes sanguins, constituant un facteur limitant pour le développement de l'élevage. La méthode de Woo a été appliquée seulement au district de Natitingou sur 15 prélèvements. Elle permet de voir les trypanosomes à l'état vivant et a permis d'avoir un taux d'infestation de 53,233%. Ces trypanosomes ont des effets sociaux entraînant des déplacements des populations, économiques dû aux mortalités , aux coûts des traitements des animaux affectés, et à la baisse des productions, puis culturels caractérisés par la perpétuation de la tradition qui soumet les animaux à la pression des glossines, ce qui réduit d'avantage les rendements. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 31 Incidence de la Brucellose (Brucella abortus) dans les troupeaux bovins du NordEst du Bénin. Auteur: SEWADE Alex. Date: 1993. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 64 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé : Une étude de prévalence brucellique a été conduite dans le nord-est du Borg ou, de mi-juin à mi-septembre sur 25 000 têtes de bovins appartenant à 500 troupeaux distribués dans les sous-préfetures de Nikki, de Kalalé et de Ségbana. Les prélèvements de lait effectués ont été soumis au test de l'anneau qui permet de déceler les anticorps antibrucelliques dans le lait. Ainsi, à Nikki sur les 610 prélèvements effectués, 76 se sont révélés positifs (soit 12,5%) et 14 sont douteux (soit 2,3%), à Kalalé sur les 625 prélèvements, 76 se sont révélés positifs (soit 12,2%) et à Ségbana, sur les 666 prélèvements, 122 se sont révélés positifs (soit 18,3%) avec 8 tests douteux (soit 1,2%). Ceci donne, sur les 1901 prélèvements effectués dans le Nord-Est du Bénin, 274 cas positifs (soit 14,4%) et 22 cas douteux (soit 1,2%). Tous ces taux varient en fonction des zones et des systèmes d'élevage pratiqués. La prévalence à Ségbana est nettement supérieure à celle observée à Nikki et l'est davantage au niveau de Kalalé. Le type d'élevage pratiqué à Ségbana est l'élevage sédentaire tandis qu'à Nikki et à Kalalé l'élevage est transhumant. Les taux d'infection sont plus élevés dans les élevages sédentaires que dans les troupeaux transhumants, dans les troupeaux de race métis que dans ceux de race borgou, dans les troupeaux de grande taille que dans ceux de petite taille. Sensibilité des tiques des bovins aux acaricides au Bénin. Auteurs : PANGUI L.J. ; HOUNDETE A. ; BELOT J. Date: 1993. Source: Bulletin of Animal Health and Production in Africa, 41: 3, 225-228. Collation: 4 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : La sensibilité des tiques aux acaricides a été testée en utilisant les tiques du genre Amblyomma variegatum, Hyalomma marginatum rufipes et Boophilis geigyi, collectées dans la ferme d'Etat de l'Okpara ainsi que dans certaines fermes paysannes dans la province du Borgou au Bénin. Le calcul des LD50 et le coefficient de résistance ont montré que Amblyomma et Hyalomma sont légèrement sensibles aux acaricides organophosphorés testés (Coumaphos, Dioxathion et Diazinon). La Dieldrine et la Cyperméthrine ont été aussi testées. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 32 Efficacité de la Fluméthrine "pour-on" sur les tiques des bovins au Bénin. Auteurs: PANGUI L. J., BELOT J. ; HOUNDETE A., ANGRAND A. Date: 1993. Source: Bulletin of Animal Health and Production in Africa, 41: 3, 209-212. Collation: 4 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : Des tests comparatifs de traitements contre les tiques (des genres Amblyomma, Boophilus, Hyalomma et Rhipicephalus) ont été conduits sur 150 bovins de race borgou dans le département du Borgou, région du Bénin. Deux acaricides ont été utilisés: Fluméthrine et Coumaphos. Les animaux ont été répartis en trois groupes. Les groupes 1 et 2 sont traités respectivement toutes les trois et quatre semaines avec la Fluméthrine "pour-on" et (Bayticol "pour-on", tandis que le groupe 3 était pulvérisé au Coumaphos (Asuntol) une fois par semaine. Les réductions au sein des populations de tiques ainsi que l'oviposition étaient contrôlés tous les sept jours. Les résultats montrent clairement que la Fluméthrine "pour-on" est plus efficace que le Coumaphos dans le traitement des infestations par les tiques au Bénin. Prévalences parasitologique et sérologique de la typanosomose au sein de différentes races de bovins au Bénin. Auteurs: PANDEY V. S. DOKO A.MAGNUS E. VERHULST A.G. UILENHERG (ed.). R. HAMERS. Date: 1993. Source: Resistance or tolerance of animals to disease and veterinary epidemiology and diagnostic methods, 68-71 Collation: 4 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : Les principaux trypanosomes rencontrés au Bénin sont Trypanosoma congolense et Trypanosoma vivax. Un test à l'anticorps fluorescent a été positif chez 106 bovins sur un total de 118. La parasitémie est présente dans 19% des 357 bovins. Les races testées sont les lagunaires, borgou, zébus et borgou croisés zébu. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 33 Contribution à la maîtrise de la santé animale dans le Borgou : cas de la lutte contre la peste bovine. Auteur: OGBAN KOTAN Fidèle T. Date: 1994. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 54 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS . Résumé: Trois difficultés minent le sous-secteur élevage : l'alimentation , l'abreuvement et les affections. La maîtrise de ce paramètre important qu'est la santé animale implique la mise en place d 'un dispositif adéquat pour asseoir un système performant de lutte sanitaire à travers le contrôle de l'efficacité des prestations des agents et des divers traitements vétérinaires exécutés. Un autre aspect de la contribution à la maîtrise de la santé animale dans le département est l'élaboration du protocole d'échantillonnage pour la sérosurveillance de la peste bovine dans le Borgou. L'analyse de laboratoire n'a pu se faire faute de réactifs. Cependant , au terme des recherches , le constat fait est que les efforts déjà consentis pour mieux encadrer les nombreux éleveurs sont insuffisants et il reste beaucoup à faire . Etude comparative de l'efficacité/coût de trois anthelminthiques utilisés en élevage bovin traditionnel dans le Borgou. Auteur: MENAI Laurent. Date: 1989. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 65 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS Résumé: Dans le cadre de la lutte contre le parasitisme interne chez les bovins, des essais sur l'efficacité/coût de trois anthelminthiques que sont le Bolumisole3, le Thelmizole 15% et le Valbazen ont été conduits dans deux troupeaux localisés à Sokounon et à Kika, durant les mois de juillet, août et septembre. Les animaux sont répartis en 4 lots comprenant respectivement 17, 16, 17 et 16 animaux identifiés, leurs âges estimés par la dentition et leurs poids par la barymétrie. Les animaux du lot1 sont traités une fois au Bolumisole3, ceux du groupe2 une fois au Thelmizole 15%, ceux du groupe3 trois fois à trois doses différentes à l'Albendazole (dose maxilmale, dose double à la précédente et dose 2,5 fois la première) puis le lot4 qui n'a reçu aucun traitement. Les prélèvements de fèces et analyses ont été effectués tous les 15 jours pendant 8 semaines pour les 1er, 2ème et 4ème lots et 9 semaines pour le 3ème lot. Les analyses de laboratoire sont basées sur la méthode qualitative par flottaison et sédimentation et la méthode quantitative (Mac Master). Après traitement, les INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 34 résultats montrent que le Valbazen est beaucoup plus efficace que le Thelmizole 15% et le Bolumisole3 sur les nématodes avec une faible réinfestation chez 60% des animaux traités au Valbazen contre 100% de ceux traités au Bolumisole3 et au Thelmizole 15%. Par ailleurs aucun des anthelminthiques n'a d'effet sur les trématodes. Le Bolumisole3 est nettement moins cher que les deux autres et le Thelmizole 15% fait plus de deux fois le prix du Bolumisole3, tandis que le Valbazen coûte très cher par rapport aux deux autres. La peste bovine dans la province du Borgou : état actuel de la situation et perspectives d'avenir. Auteur: MORA Sarré. Date: 1985. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 74 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU Résumé: Du fait de la peste bovine, l'élevage qui est une activité économique n'arrive pas à satisfaire les besoins protéiques de la population au Bénin, alors que c'est le secteur rural qui joue un rôle essentiel. Elle sévit sous forme enzootique avec des foyers sporadiques chaque année. Ces formes d'apparition les plus courantes sont les formes aigues et cutanées. Pour minimiser la portée des répercussions économiques dues à cette maladie, des mesures pouvant être appliquées immédiatement sont le contrôle des frontières, le signalement et le contrôle des foyers, la politique de l'eau et de l'alimentation, l'information et la formation, le renforcement des moyens matériels et la vaccination des animaux contre la peste bovine. Dans un proche avenir il faudrait agir sur l'habitat, les pathologies, programmer des actions au niveau régional (action d'urgence, campagne d'immunisation) et renforcer la collaboration et la solidarité sous-régionales. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 35 De la thérapeutique traditionnelle en médecine vétérinaire: cas de la République Populaire du Bénin. Auteur: LEGBAGAH A. Régine. Date: 1983. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 107 pages. Lieu d'édition: Abomey-.Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Ce travail a été entrepris dans le but de contribuer à une meilleure connaissance de l’art traditionnel des traitements des animaux et l'objectif visé est de faire une étude rétrospective de la médecine traditionnelle et de sa pharmacopée en République Populaire du Bénin, assister aux interventions des éleveurs au niveau des bovins et des volailles. La médecine traditionnelle appliquée aux animaux est plus curative que préventive et les traitements sont surtout symptomatiques. De plus la prévention demeure plus mystique que pragmatique. La médecine ancestrale connaît des échecs face aux maladies virales, certaines maladies bactériennes et parasitaires et est dépassée en cas d'épidémie. L’éleveur fait appel au vétérinaire quand la peste ou les charbons sont déclarés dans le troupeau ; le bouvier dans certains cas par contre , se passe du vétérinaire pour les traitements des affections comme les hygromas, les panaris inter-digités, les lésions cutanées, qui donnent de bons résultats. Les aviculteurs eux, portent des soins souvent inefficaces. Avec la solution de Capsicum frutescens ils arrivent à récupérer environ 20% des volailles affectées lors d’une épidémie. Le déparasitage externe est très efficace chez les volailles. Du fait de l’évolution du processus morbide qui échappe aux éleveurs , ils ne posent de diagnostic qu’à la phrase d’état; les traitements accusent du retard, l'administration tardive des médicaments explique en partie les échecs de la médecine traditionnelle. En effet, les composants thérapeutiques sont recherchés dans la nature pour les diverses médications. La réalisation, le mode d’administration, la posologie relèvent de l’entendement des éleveurs . Tout médicament devient poison à dose forte. Ainsi la dose, le moment et la durée des traitements doivent être déterminés. La médecine traditionnelle jalousement conservée est devenue une médecine secondaire. Elle doit être encouragée, chaque fois qu'une pratique thérapeutique traditionnelle peut suppléer à la moderne sans préjudice aucun. La vulgarisation scientifique de la médecine ancestrale contribue largement à la promotion de l'élevage car l'élément fondamental de la vie pastorale est l'animal, objet de soins multiples. Ainsi l'intégration de la médecine traditionnelle à la médecine moderne dans les soins de santé animale permettra l'amélioration de la santé des animaux. Celle-ci, compte tenu de la couverture sanitaire de notre pays, sera effective grâce à plusieurs autres dispositions à prendre à savoir: la mise en confiance des éleveurs, l'éducation des éleveurs, la protection des éléments thérapeutiques, l'amélioration des techniques de réalisation et d'administration, la codification des médicaments, l'institutionnalisation de la médecine traditionnelle dans les soins de la santé animale. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 36 Les nématodes parasites du tube digestif et de la cavité péritonéale des bovins dans le département du Borgou: taxonomie et épidémiologie. Auteur: NOUHOUN Alassane Abdoulaye. Date: 1998. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 81 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Pour lutter contre les nématodoses digestives, la connaissance des espèces en cause et des caractéristiques épidémiologiques sont nécessaires. Les objectifs de l'étude reposent sur l'identification des espèces rencontrées, ensuite sur l'analyse de l'influence de certains facteurs sur la distribution des infestations et enfin sur une proposition de lutte. Elle a duré huit mois allant de mars à avril 1997 et de septembre 1997 à février 1998 et a concerné les animaux abattus aux abattoirs. Les tractus digestifs non vidés sont achetés et les parasites récoltés sont traités et identifiés au laboratoire. Le département a été divisé eu deux zones dont la zone 1 caractérisée par un climat sahélien regroupant les secteurs de Banikoara, Kandi, Malanville, Gogounou, Sègbana et Karimama et la zone 2 caractérisée par un climat de type guinéen regroupant les secteurs de Bembéréké, Nikki, Pèrèrè, Parakou, Kalalé, Tchaourou et Sinendé. Les résultats obtenus donnent un taux global des infestations de 90,98%; les parasites rencontrés par ordre croissant sont Gaigeria pachyocelis, Trichuris globulosa, Bunostomum phlebotomum, Trichostrongylus colubriformis, Setaria labiatopapillosa, Oesophagostomum radiatum et Haemonchus placei; ils ont été rencontrés dans toutes les catégories d'âges à l'exception de Bunostomum phlebotomum, Gaigeria pachyocelis et Trichuris globulosa qui ont été rencontrés chez les animaux les plus âgés, la race et le sexe n'ont pas d'influence sur le parasitisme qui a été observé aussi bien dans le Borgou Sud que dans le Borgou Nord. Les infestations se rencontrent aussi bien en saisons humide qu'en saison sèche. Contribution à l'étude de la pasteurellose bovine dans le département de l'Atacora. Auteur: MEGUE Ali Ouénou. Date: 1991. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 36 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Une enquête clinique a été réalisée sur le terrain auprès des éleveurs, paysans, marchands de bétail et agents vétérinaires à l'aide d'une grille de questions. Il apparaît que la maladie semble être connue des différentes INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 37 catégories de personnes interrogées. Un examen bactériologique basé sur la recherche des pasteurelles a été réalisé. Les analyses ont eu pour cadre le laboratoire vétérinaire de Natitingou. Les prélèvements effectuées sur des animaux soupçonnés d’avoir la pasteurellose sont constitués par des morceaux d’organes : foie, rate, rein , poumon , cœur , sang provenant des cadavres, des abattages d’urgence et des trouvailles d’abattoir des secteurs d’élevage de Kouandé, de Péhunco, de Djouguo, de Natitingou, de Copargo et de Tanguieta. Au total 74 organes provenant de 30 animaux. Néanmoins il apparaît que la pasteurellose bovine est une réalité, car avant ces travaux, le diagnostic de cette maladie était uniquement clinique ce qui pourrait prêter à confusion du fait de la similitude des signes cliniques. Les symptômes couramment observés sont: violente fièvre, anorexie, ptyalisme, tremblements musculaires, respiration difficile (signes rappellent la forme suraiguë); la prostration, baisse d'appétit, accélération du rythme cardiaque, toux, jetage, colique accompagnée de diarrhées sanguinolantes et parfois des oedèmes au niveau de certains régions comme l'auge, le périnée (forme aiguë). Certains animaux qui présentent ces signes cliniques succombent brutalement et en un temps très court (24h au plus), alors que d'autres meurent quelques jours plus tard (6 à 8 jours environ au maximum) en absence de tout traitement. L'ampleur de la maladie sur les élevages est liée au manque de prophylaxie sanitaire convenable, seul moyen sûr de se débarrasser de la maladie et à l'absence d'une prophylaxie médicale qui permet de limiter les pertes. Les moyens matériels, la distance entre les secteurs et le laboratoire pour l'envoi des prélèvements et le temps ont été des facteurs limitants. Incidence de la pression glossinaire sur le taux d'infestation à Trypanosoma chez les bovins du Projet Développement Production Animale. Auteur: HOUNKONNOU Abel S.Y. Date: 1992. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 70 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Les trypanosomoses animales africaines font partie des maladies parasitaires qui constituent un handicap sérieux au développement socioéconomique du monde rural dans bon nombre de pays situés au sud du Sahara. A l'aide de la prospection entomologique, de la technique de sédimentation et de l'examen coproscopique, il a été déterminées deux espèces de glossines de même groupe (Palpalis): Glossina palpalis et Glossina tachinoïdes. La première est en nombre nettement supérieur par rapport à la seconde. Suite aux enquêtes hématologiques portant sur 585 animaux, il ressort que les bovins sont parasités par trois espèces de trypanosomes à savoir : Tripanosoma vivax, Trypanosoma congolense et Trypanosoma brucei à des taux respectifs de 95,83%; 6,38%; 6,38%. L'intensité de cette infestation trypanosomienne varie cependant grandement suivant les conditions INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 38 géographiques, les espèces de glossines rencontrées et les types de bétail présents. Lutte contre les tiques parasites des bovins en République du Bénin : essai d'utilisation du Bayticol ® "pour on" (Fluméthrine) dans la province du Borgou. Auteur: HOUNDETE André Monvêha Date: 1990. Source: Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar. Collation: 135 pages. Lieu d'édition: Dakar. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Les recherches se sont déroulées dans la province du Borgou et ont concerné les bovins de race borgou (ou métis borgou-zébu). Les animaux ont été classés en trois catégories dont les veaux et velles (<l an), les taurillons et génisses (1à 4 ans) et les taureaux et vaches (reproducteurs de plus de 4 ans). Au total 150 animaux ont été utilisés et répartis en trois lots : lot 1 (50 animaux traités au Bayticol toutes les 3 semaines) ; lot 2 (50 animaux traités au Bayticol toutes les 4 semaines) et lot 3 (50 animaux traités à l'Asuntol toutes les semaines), puis deux acaricides le Bayticol (Fluméthrine) en "pour on" et l'Asuntol (Coumaphos) en pulvérisation. Les résultats montrent que les animaux traités au Bayticol présentent un état général satisfaisant, ceux traités à l'Asuntol ont présenté un état dépressif accentué vers la fin de la semaine, après un traitement car les manifestations prurigineuses redeviennent intenses. Les animaux traités toutes les 3 semaines au Bayticol ont montré un pourcentage moyen de réduction parasitaire égal à 99,30% et ceux traités toutes les 4 semaines ont présenté un pourcentage moyen de réduction parasitaire de 97,75%. Les animaux traités à l'Asuntol ont présenté un pourcentage moyen de réduction de 42,58% pour les traitements à deux semaines d'intervalle puis 58,02% pour les traitements à une semaine d’intervalle. Concernant l'oviposition, l'inhibition de la ponte chez les tiques gorgées pour les traitements à 3 semaines d'intervalle est totale alors que chez les tiques traitées à 4 semaines d'intervalle, des 38 tiques prélevées, 9 ont pondu. Aucune inhibition n'a été notée en ce qui concerne l'Asuntol. Contribution à l'étude de la prophylaxie des zoonoses infectieuses bovines en République Populaire du Bénin. Auteur: GOUNONGBE Laurent. Date: 1981. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 109 pages. Lieu d'édition: Abomey- Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 39 Résumé: Les zoonoses bovines sont des maladies transmissibles à l'homme. Pour empêcher leur apparition et leur prophylaxie, des méthodes de lutte constituant la prophylaxie sont mises en œuvre. S'agissant de la prophylaxie sanitaire, elle ne fait pas encore l'objet d'une application conséquente. Jusqu'ici elle ne couvre que quelques maladies: le charbon bactéridien, la pasteurellose et particulièrement la tuberculose et la fièvre aphteuse. Par conséquent cette action médicale est loin de répondre aux normes et aux besoins des éleveurs. Quelle que soit la maladie, le taux d'immunisation est toujours inférieur à 70%. L'inefficacité de la lutte contre les zoonoses tient d'une part aux facteurs écologique, socio-économique inhérents au Bénin ou à la sous-région, aux difficultés d'ordre technique et aux difficultés liées à la procédure d'application des tests. Il apparaît au terme de cette étude que le charbon bactéridien, la pasteurellose, la tuberculose, la brucellose, les salmonelloses et la fièvre aphteuse sont les zoonoses infectieuses bovines les plus redoutables de la dernière décennie. Epidémiologie de la cowdriose au Bénin: études préliminaires sur la présence du germe chez les tiques vectrices. Auteur: FAROUGOU S. TOGUEBAYE B. S. TOUNKARA K. SY D. AKPAKPA A.J. Date: 1998. Source: Revue de Médecine Vétérinaire, 149: 10, 953-958. Collation: 6 pages. Lieu d'édition: France. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: Les recherches ont été effectuées dans deux zones d'élevage de bovins au Bénin en 1996. Des échantillons de tiques adultes (mâles et femelles) du genre Amblyomma variegatum ont été ensuite examinés par la méthode PCR pour identifier la présence du germe Cowdria ruminantum. Sur 150 tiques traitées, une prévalence totale de 8% a été observée. A Bembéréké une zone d'élevage de la partie nord du Bénin, le taux d'infestation est de 10% tandis que à Dassa-Zoumé, ville située au sud du Bénin, il est de 5,71%. Le sexe des tiques n'a aucune influence sur leur taux d'infestation. La présence du germe chez les vecteurs indique l'existence probable de la cowdriose dans ces deux zones du Bénin. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 40 Infection artificielle à Trypanosoma brucei brucei chez les bovins de races lagunaire et borgou au Bénin. Auteurs: DOKO A.; VERHULST A.; PANDEY V. S.; STUYFT VAN DER P. Date: 1997. Source: Veterinary Parasitology. 69: 1-2, 151-157 Collation: 7 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Dix bovins de race lagunaire et 10 bovins de race borgou au Bénin ont été inoculés en sous-cutanée avec Trypanosoma brucei brucei (T. b. brucei) An Tat 1.1E. Les signes cliniques, l'hématocrite, la parasitémie, les anticorps spécifiques trypanolytiques et le complément hémolytique ont été suivis pour évaluer les variations entre et au sein des races. Tous les animaux ont montré seulement des symptômes transitoires avec guérison clinique au bout de 20 jours pi. Les animaux infectés ont montré une baisse modérée de l'hématocrite après 5 à 10 jours pi. La baisse de l'hématocrite au 20è jour pi. est de 2,9 ± 2,7% pour les bovins de race borgou et de 1,2 ± 1,8% pour les lagunaires. A l'exception de deux animaux de race borgou, tous les animaux ont développé une parasitémie détectable. Deux pics de parasitémie, le premier au jour 5-6 pi et le second au jour 9-10pi. sont observés. La parasitémie a persisté durant 25 jours chez deux bovins borgou et un lagunaire. Il y a de larges variations individuelles de l'hématocrite et de la parasitémie. An Tat 1.1 spécifiques anticorps trypanolytiques ont été décelés à partir du 6 et 7 jour pi. chez tous les animaux, à l'exception d'un bovin borgou et ils ont persisté jusqu'à la fin de l'observation, au 30è jour pi. . Une baisse du complément de sérum hémolytique correspond aux premières vagues de parasitémie. Après le 15è jour pi. le niveau du complément a été rapidement rétabli et a excédé les valeurs initiales au jour zéro. Les résultats indiquent que tous les bovins borgou infectés expérimentalement, ainsi que la race lagunaire bien connue, sont tolérantes à l'infection à Trypanosoma brucei. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 41 Trypanosomose expérimentale à Trypanosoma brucei brucei chez les taurins Holstein et les zébus Bororo blancs. Auteurs: DOKO A.; VERHULST A.; PANDEY V. S.; VAN DER STUYFT P. Date: 1997. Source: Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux. vol.50: n°.1, 23-28. Collation: 6 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Des taurins Holstein et zébus Bororo blancs ont été infectés avec An Tat1.1, un variant antigénique de Trypanosoma brucei brucei. Les paramètres cliniques, ainsi que l'hématocrite, la parasitémie, la réponse immuno-humorale et l'activité hémolytique du complément ont été examinés en vue de préciser l'allure clinique de la trypanosomose à Trypanosoma brucei brucei chez ces deux races bovines ainsi que leur degré de sensibilité. Les animaux des deux races se sont montrés très sensibles à l'infection. Les Holstein ont contracté une maladie aiguë mortelle en quelques semaines; les zébus Bororo blancs une maladie chronique avec inanition progressive et mort après quelques mois. Tous sont restés parasitémiques jusqu'à la phase terminale de la maladie. Des anticorps trypanolytiques An Tat 1.1 spécifiques ont été produits en grande quantité. L'infection a induit une hypocomplémentemie persistante chez les deux races. Le comportement des zébus Bororo blancs et Holstein est très différent de celui observé antérieurement chez les bovins lagunaire et borgou soumis à un protocole expérimental similaire. Les variations individuelles sont importantes chez toutes les races étudiées. Insectes et acariens parasites des bovins dans les départements de l'Alibori et du Borgou. Auteur: CHABI Touri Abdoul Kader Nasser. Date: 1999. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque du CPU Résumé: Cette étude a abordé les aspects tels que la taxonomie, la localisation, l'identification des diverses espèces d'ectoparasites des animaux, l'incidence de certains facteurs (saison, âge, race, sexe) sur la distribution du parasitisme et des suggestions sur les méthodes de lutte. Des prélèvements ont été effectués sur le terrain, traités et identifiés au laboratoire, puis des analyses statistiques ont été réalisées. Les investigations ont couvert la période d'août INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 42 1998 à mars 1999 dans la zone 1 correspondant au département de l'Alibori et dans la zone 2 correspondant au département du Borgou, puis ont porté sur les bovins d'abattoir, des marchés de bétail et des camps peulh ainsi que ceux destinés à la culture attelée. Les résultats ont montré un taux global d'infestation estimé à 34,72%, des populations parasitaires diversifiées se composant de Linognathus vituli et Simulium sp. pour les insectes et de Sarcoptes scabiei, Psoroptes ovis, Amblyomma variegatum, Boophilus sp. et Rhipicephalus sp. pour les acariens; la prévalence de l'infestation est plus élevée pendant la période humide d'investigation; toutes les catégories d'âge sont infestées par les ectoparasites et le taux de prévalence est plus élevé chez les animaux de 0 à 3 ans; les parasites sont présents dans les deux départements et les infestations à Amblyomma variegatum et Boophilus sp. sont fréquentes; contrairement à la race, le sexe n'a aucune influence sur le parasitisme. Les méthodes de lutte doivent tenir compte de la nature des produits et du moment de leur utilisation, de la localisation des lésions, du nombre d'animaux à traiter, des implications économiques et des contraintes environnementales et agro-écologiques. Détection d'antigènes circulants au cours d'une infection expérimentale à Trypanosoma brucei brucei chez les bovins borgou, lagunaire et zébus Bororo blancs. Auteur: DOKO A.; VERHULST A.; PANDEY V. S.; BÜSCHER Ph.; LEJON V. Date: 1996. Source: Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux. vol.49: 3, 207211. Collation: 5 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: La présente étude vise à déceler les antigènes circulants suite à une infection expérimentale chez les bovins borgou, lagunaires et zébus Bororo blancs, à Trypanosoma brucei brucei . Dix bovins de race borgou, 10 de race lagunaire et 10 zébus de race Bororo blancs du Bénin ont été infectés expérimentalement avec un clone de Trypanosoma brucei brucei, en vue d'évaluer le test ELISA de détection d'antigènes circulants. Aucun des trois animaux du groupe témoin, non infectés et appartenant à chacune des trois races n'a développé d'infection. Les bovins de races borgou et lagunaire ont développé une maladie bénigne suivie de guérison spontanée tandis que les zébus Bororo blancs ont développé une maladie typique à allure chronique qui a été fatale après plusieurs mois. La sensibilité générale du test ELISA pour détecter les antigènes à Trypanosoma brucei brucei est de 20,46%, clairement inférieure à celle de la méthode du buffy coat de détection des parasites (40,24%). La sensibilité des tests ELISA varie grandement en fonction du type d'animaux et de l'allure de l'infection. Elle est la plus élevée chez les bovins borgou (44,44%), qui ont des parasitémies élevées de courtes durées, et la plus faible chez zébus Bororo blancs (4,09%), qui ont des parasitémies faibles et INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 43 intermittentes. Augmenter la sensibilité du test de détection des antigènes circulants en abaissant la densité optique de 0,05 (seuil de positivité) à 0,025 parait impossible sans altérer sa spécificité. Comparés au buffly coat, les taux négatifs du début d'infection et les taux positifs d'après la guérison spontanée compromettent également la valeur du test pour le diagnostic des infections actives à Trypanosoma brucei. Epizootie de fièvre aphteuse au Nord-Bénin durant la saison sèche de 1990-1991. Auteurs: DEHOUX J. P. HOUNSOU - Vê G. Date: 1991. Source: Revue d'Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux, 44, 3, 261-262 Collation: 2 pages. Lieu d"édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Une épizootie de fièvre aphteuse éclata dans le Nord-Bénin durant la saison sèche de 1990 à 1991 (novembre - mai). Venue de l'extérieur du Bénin, elle s'est rapidement répandue surtout à travers les troupeaux transhumants. Aucune mesure n'a été prise pour contrôler la maladie qui est endémique et commune au Bénin. Les anticorps au virus des types A, O et SAT2 ont été détectés dans les sera durant cette épizootie. Lutte contre Glossina tachinoïdes au Bénin . Utilisation particulière de piège -pneus imprègnes de Deltaméthrine. Auteur: DEHOUX J.P. Date: 1993. Source: Revue d'Elevage et Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux , 46: 4, 581-589. Collation: 9 pages. Lieu d'édition: France. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé : Cette étude a été effectuée au Nord-Est du Bénin au cours des saisons sèches 1992 et 1993, avec pour but de comparer l'efficacité de deux types de leurres imprègnés de Deltaméthrine (les pièges-pneus d'Hanotier et les écrans de Laveissière), sur Glossina tachinoïdes, autour de retenues d'eau servant d'abreuvoirs au bétail taurins. Les écrans se sont révélés rapidement très efficaces (80 à 100% de réduction des densités apparentes) tandis que l'utilisation des pièges-pneus n'a pas permis de réduire significativement les populations de glossines. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 44 Contribution à l'étude de la strongylose bovine dans le département de l'Atacora. Auteur: BAGUIRI Andemi. Date: 1996. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 54 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque du CPU. Résumé: Les recherches se sont déroulées successivement en saison sèche (décembre 95 à février 1996) et en saison des pluies (mai à octobre 1996) et ont concerné les zones de Kérou, Kouandé, Cobly, Toucountouna, Natitingou et Djougou. Au total 30 troupeaux ont été prélevés soit 8 dans chacune des souspréfectures de Kérou, Kouandé et Djougou puis 2 dans chacune des souspréfectures de Natitingou, Toucountouna et Cobly. Vingt prélèvements ont été effectués par troupeau (10 adultes, 6 jeunes et 4 veaux ) soit un effectif total de 600 animaux pour les 6 sous-préfectures. Des prélèvements de selles ont été réalisés chez chaque animal directement dans le rectum tôt le matin avant le départ pour le pâturage. Les prélèvements ont été traités selon 3 méthodes dont la méthode quantitative, la méthode qualitative et la méthode de coproculture larvaire. La méthode qualitative est une technique de flottaison permettant d'identifier les oeufs présents dans les selles; quant à la méthode quantitative qui utilise la méthode de Mac Master, elle permet de dénombrer les oeufs contenus dans les selles alors que la coproculture larvaire permet de mettre en évidence et d'identifier les larves des parasites dans les selles. L'analyse des résultats des trois méthodes montre que selon les saisons le taux d'infestation de bovins en saison sèche est de 70,33% alors qu'il est de 89,5% en saison des pluies; selon les classes d'âge, en saison sèche, 75% des adultes, 78,89% des jeunes et 45,83% des veaux sont infestés alors qu'en saison des pluies 92,22% des adultes, 93% des jeunes et 75,8% des veaux sont infestés; selon les souspréfectures, les résultats montrent qu'en toute saison les bovins des souspréfectures de Toucountounna, Djougou et Kouandé sont infestés dans des proportions plus considérables que ceux de Cobly, Kérou et Natitingou. Les strongyloses rencontrées sont Bunostomose (30,11%) qui constitue la dominante strongylienne dans le département; ensuite et par ordre décroissant de prédominance nous pouvons citer la Trychostrongylose (24,34%), l'Haemoncose (19%), la Dictyocaulose (17,67%) et l'Oesophagostomose (6,44%). Par ailleurs la Coopériose (1,33%), l'Ostertagiose (0,78%) et la Nématoderose (0,33%); elles se rencontrent dans l'Atacora à des proportions très faibles. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 45 La protection sanitaire de l'élevage bovin dans la sous-préfecture de Sinendé: contraintes et propositions d'amélioration. Auteur: ASSOUMA Mama. Date: 1992. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 60 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque Sékou. Résumé: L'enquête a duré du 10 juillet au 10 août 1992 et a concerné 150 éleveurs dont 77 à Fô-Bomé, 52 dans Sinendé et 21 dans Sèkèrè. Des interviews directes ont été accordées aux éleveurs après une pré-enquête menée sur 10 troupeaux à Parakou et 10 à Sinendé. Les paramètres recherchés au cours de l'enquête sont les maladies parasitaires observées sur le bétail par les éleveurs, la préférence des éleveurs pour les consultations et soins vétérinaires, la fréquence des vaccinations et des traitements prophylactiques ainsi que le nombre d'animaux traités ou vaccinés ; les sources d'approvisionnement en produits vétérinaires, l'appréciation de la santé des animaux par les éleveurs, les obstacles rencontrés pour un meilleur suivi sanitaire des animaux ainsi que leurs souhaits pour l'amélioration de leur santé. Les résultats ont montré outre la persistance de certaines maladies (Pasteurellose bovine, Fièvre aphteuse, Dermatophylose, Trypanosomose, etc… ) ,les problèmes d'encadrement selon les éleveurs portent préjudice à une meilleure protection sanitaire dans l'élevage des bovins. Cependant, le point cardinal lié au milieu et qui handicape le développement d'une protection sanitaire adéquate reste le système de protection mis en place. Contribution à l'étude de l'efficacité du Diminaphen sur le bétail bovin dans le Borgou. Auteur: ASSOGBA Etienne Idjiwa. Date: 1990. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 78 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les études ont concerné trois troupeaux situés dans un même campement peulh durant les mois d'août et de septembre 1990. Les animaux sont tous systématiquement vaccinés contre la peste, la péripneumonie et la pasteurellose alors que les traitements contre les hémoparasites ne sont pas effectués. Les animaux observés cliniquement, leur sang a été prélevé pour la recherche des trypanosomes. Ils ont été répartis en trois lots : lot 1 composé de 20 animaux infectés de trypanosomes et traités au Diminaphen aux doses prescrites par le fabricant et par voie intramusculaire, lot 2 composé de 7 INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 46 animaux infectés de trypanosomes mais non traités et lot 3 regroupant des animaux indemnes. Les prélèvements sont effectués tôt le matin au niveau de la veine de l'oreille, avant le départ pour le pâturage, et toutes les deux semaines pendant quatre semaines pour les trois lots d'animaux. Les méthodes d'analyse utilisées sont le frottis, la goutte épaisse et le Woo, après lecture de l'hématocrite. Le test de Woo n'a été utilisé que pour la première observation. Avant le traitement, 13 animaux soupçonnés sur la base des symptômes cliniques ont été prélevés. Les résultats ont confirmé 8 sur les 13, soit 61,54% des suspicions avec des taux d'infection trypanosomienne de 31,25% pour le lot 1, 61,54% pour le lot 2 et 69,23% pour le lot 3. Les infections à T. vivax dominent avec une fréquence relative de 51,85% et un taux d'infection de 36,21%, viennent ensuite celles à T. congolense avec une fréquence relative de 18,52% et un taux d'infection de 18,96% puis enfin T. brucei avec une fréquence relative de 3,7% et un taux d'infection de 5,17%. Il existe également des infections mixtes à T. vivax et T. congolense avec une fréquence relative de 18,52% puis des infections à Anaplasma avec un taux de 1,72%. La moyenne de l'hématocrite est de 35,6% pour le lot 1, de 37,14% pour le lot 2 et de 36,7% pour le lot 3. Les animaux infectés à T. congolense ont l'hématocrite la plus faible (30,5%) suivis de ceux à infections mixtes (32,5%). Après traitement (2 semaines après) le taux d'infection du lot 1 est passé à 5% alors qu'il est resté constant dans le lot 2 et est passé de 0 à 30% dans le lot 3. Dans le cas d'infection à T. vivax , T. congolense et T. brucei, la guérison a été totale au bout de deux semaines et les animaux sont restés indemnes jusqu'à la quatrième semaine après traitement. Par contre dans les infections mixtes à T. congolense la guérison n'est intervenue que dans 80% des cas au bout des deux premières semaines après le traitement, et de 100% au bout de quatre semaines après traitement. Quant à l'hématocrite, elle est passée de 35,6% à 37,25% les deux premières semaines après le traitement dans le lot 1, et a sensiblement baissé dans le lot 2 passant de 37,14% à 34,71%. Le relèvement du taux d'hématocrite est beaucoup plus sensible dans les infections à T. brucei et à T. congolense que dans celles à T. vivax et mixtes. Situation actuelle de l'hémoparasitisme bovin dans le Nord-Est du Bénin : agents responsables, taux d'infestation, facteurs de variation. Auteur: ADEBI Abdoul- Aziz. Date: 2001. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 41 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Une étude réalisée sur les hémoparasites des bovins dans les départements du Borgou et de l'Alibori s'est déroulée d'octobre 2000 à mai 2001 et en deux phases dont la première est celle des prélèvements de sang pour la confection des étalements suivie de leur fixation et la deuxième est celle de laboratoire caractérisée par la coloration des lames et l'identification des INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 47 parasites. Les animaux intéressés par l'étude ont été divisés en trois groupes à savoir les veaux et velles (animaux de moins d'un an), les génisses et taurillons (animaux de plus d'un an et ayant l'âge de reproduction) et les repeoducteurs. Le sang a été prélevé au niveau de l'oreille des animaux pour la réalisation des étalements qui ont été colorés au Giemsa R. Au total 310 animaux ont été examinés. Les résultats montrent que sur les 310 animaux examinés, 56 sont porteurs de parasites (soit un taux d'infestation de 18,06%) dont 55 porteurs de trypanosomes (soit un taux d'infestation de 17,74) et un porteur de Babésia (soit un taux d'infestation de 0,32%). Trois espèces de trypanosomes ont été rencontées et par ordre d'importance décroissante Trypanosoma brucei, Trypanosoma vivax et Trypanosoma congolense et une seule espèce de Babésia en l'occurrence Babesia bigemina. Les hémoparasites sont rencontrés dans toutes les localités, chez les animaux de toute race, de tous sexe et de tous âges. Contribution à l'étude épizootiologique de la Péripneumonie Contagieuse Bovine dans le Sud-Borgou: propositions relatives à son éradication. Auteur: ADAM Amidou. Date: 1988. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 94 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: L'évolution de la maladie est favorisée par l'humidité de la saison pluvieuse et son apparition est constatée chez les animaux métis zébu-borgou et surtout les vieilles vaches qui présentent les formes aiguës et suraiguës alors que les jeunes ne présentent que des cas d'arthrite. Les troupeaux soumis au mode d'élevage caractérisé par le nomadisme et les transhumances sont les plus réceptifs. Les animaux sains se contaminent lors des contacts avec les troupeaux malades ou en s'abreuvant à des points d'eau contaminée. Les études ont permis de savoir que les secteurs de Kalalé et de Nikki ainsi que la partie nord du secteur de Tchaourou sont des zones enzootiques de la PPCB. Il en résulte ainsi que les méthodes de lutte telles que le dépistage sérologique suivi de l'abattage de tous animaux réagissant avec association de la vaccination sont impossibles à appliquer. Des propositions pour l'éradication et la prévention de la maladie concernant le cantonnement des troupeaux encore atteints (leur isolement en un lieu pourvu de pâturages et de points d'eau et interdit d'accès), la quarantaine et le contrôle des déplacements avec vaccination des animaux tous les six mois et seuls les animaux vaccinés seraient autorisés à entrer dans les zones cantonnées, et un appel aux autorités politico-administratives pour une application rigoureuse de la législation sanitaire. A titre préventif, il faudrait une protection particulière des zones frontalières basée sur la vaccination continuelle à intervalles réguliers de six mois, la réduction des parcours des animaux par l'installation des pâturages et points d'eau, l'institution de contrôle sanitaire des troupeaux avant les déplacements ainsi qu'à leur retour, l'institution de la vaccination dans les pays INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 48 d'origine des troupeaux étrangers et la rigueur au contrôle des certificats d'origine et sanitaire par les vétérinaires. Contribution à l'étude des causes de mortalités des jeunes bovins dans l'élevage traditionnel : cas de la province de l'Atacora. Auteur: BIO BATA Abdoulaye Date: 1986. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 86 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Pour contribuer à élucider les causes de mortalité des jeunes bovins dans la province de l'Atacora , une étude a été menée. Le taux de mortalité en 1985 se situait autour de 20% dans la partie Est et de 16, 53% dans le reste de la province. Pour déterminer les différentes causes de la perte des jeunes bovins , des enquêtes ont été effectuées surtout dans la zone de transhumance de la province et des observations ont été faites au laboratoire. Au terme de cette étude, il a été montré que la mortalité des veaux résulte de plusieurs facteurs conjugués : la sous-alimentation , le polyparasitisme et les maladies infectieuses. Les éleveurs traient par ailleurs exagérément les vaches , ce qui porte préjudice à la santé des veaux. Contribution à la lutte biologique contre la fasciolose à Fasciola gigantica Cobbold, 1885 : inventaire et etude de la dynamique de la population de dipteres Sciomyzidae dans le Sud-Borgou de novembre 2000 à mai 2001. Auteur: KPEROU GADO Byll Orou B. Date: 2001. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 82 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU Résumé: Pendant sept mois et dans trois secteurs du Sud Borgou, une étude s'est intéressée à l'utilisation d'une famille de mouches (les diphtères Sciomyzidae) dans la lutte biologique contre la fasciolose. L'étude a porté sur quatre espèces à savoir Sepedon ruficeps Becher (64% des 789 spécimens capturés), Sepedon trichrooscelis Spersser (14,2%), Sepedon ornatifrons Adam (12,7%) et Sepedon nara Verbeke (9,1%). Ces dernières ont une écologie qui varie surtout avec le régime alimentaire de leurs larves respectives mais aussi avec : la température qui a une influence inversement proportionnelle à INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 49 l'évolution de leurs populations ; l'humidité relative définissant strictement leurs habitats ; les mouvements saisonniers de l'eau déterminant leur dispersion ; la nature de la végétation qui peut les attirer ou les repousser. Les taux de sciomyzides femelles sont respectivement : 36,9%, 28,6%, et 27,4% à N'Dali , Parakou et Tchaourou. Le recours aux données de recherches antérieures sur la dynamique de la population des limnées et la prévalence de la fasciolose permet de constater que ces deux paramètres et la dynamique de la population des sciomyzidae dans la même zone sont en corrélation ; cette remarque est de nature à encourager la poursuite des recherches pour la lutte envisagée. Contribution à l'étude des bases d'une législation sanitaire sur quelques zoonoses infectieuses en République Populaire du Bénin. Auteur: HOUNTONDJI Marie-Cécile. Date: 1984. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 42 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Parmi les maladies infectieuses, certaines revêtent un caractère particulièrement préoccupant en raison de leurs incidences économique et sociale. Diverses enquêtes effectuées en République Populaire du Bénin permettent de recenser un certain nombre de zoonoses infectieuses dont notamment la Rage, la Tuberculose, le Charbon bactéridien, les Salmonelloses, les Ornithoses (Psittacose), et la Brucellose. Pour lutter contre ces maladies, il est important de les connaître. La lutte contre les zoonoses infectieuses n'est pas seulement une affaire de la législation sanitaire qui permet d'orienter et de canaliser le service vétérinaire dans ses réflexes de lutte contre les fléaux du monde animal. Mais, la lutte efficace contre les zoonoses est tout d'abord une affaire d'homme. C'est-à-dire qu'après la prévision des dispositions générales et particulières de prophylaxie contre les zoonoses infectieuses, l'efficacité de la lutte doit tenir compte d'un facteur important qu'est le milieu social. Le secteur de la production animale est une composante du domaine du développement rural qu'il importe de ne pas négliger en raison de son importance pour l'alimentation de nos populations. Dans ce sens, la mise au point d'une législation sanitaire apparaît comme un facteur de contribution à l'épanouissement de ce secteur. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 50 Contribution à l'étude du tableau biochimique du calcium, du phosphore et du magnésium chez les bovins de la zone d'intervention du Projet Développement de l'Elevage. Auteurs: AHOUANDJINOU M. K. Inès. Date: 2001. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 57 pages. Lieu d'édition: Abomey- Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Le choix raisonné d’une supplémentation minérale suppose une connaissance des excès ou carences minérales dont souffrent les animaux, et par conséquent une étude du tableau biochimique des différents macroéléments et micro-éléments qu’il présente. Ce présent travail, s'inscrit dans ce cadre et constitue une première série d'investigations. L'observation de certaines anomalies telles la baisse de fécondité des femelles, la croissance retardée des jeunes, le mauvais engraissement des jeunes etla mauvaise résistance aux maladies ont permis de soupçonner les minéraux tels le calcium, le phosphore et le magnésium, qui ont fait l'objet d'analyses chez certains bovins de la zone d'intervention du projet. C’est dans ce souci que le Projet de Développement de l'Elevage (PDE) a conduit des recherches, de novembre à avril 2001(période de la saison sèche ) sur le tableau biochimique de quelques minéraux. Des prélèvements sanguins ont été effectués très tôt le matin avant le départ des animaux au pâturage, sur 1071bovins (environs 1% de l’effectif du cheptel bovin de la zip), sans distinction de sexe ni d’âge, des races lagunaire et zèbu et appartenant aux fermes d’Etat ou Antennes de l’Okpara, de M'Bétécoucou, de Samiondji, du Mono et aux troupeaux privés des départements du Borgou , des Collines, du Zou et du Plateau . Les résultats obtenus, comparés aux valeurs types considérées par le laboratoire révèlent une carence en calcium chez tous les animaux testés, un excès de phosphore sanguin chez les bovins testés des département du Borgou et des Collines, un déficit en phosphore sanguin chez les bovins testés et un déficit en magnésium chez les bovins testés des départements du Zou, du Mono et du Plateau avec une carence en magnésium chez les bovins de l’antenne de Kpinnou et une carence prononcée en magnésium chez les bovins de l’antenne de l’Okpara . Ces résultats mettent la lumière sur les causes probables des anomalies observées chez les bovins du PDE et pour palier à ces anomalies il convient de servir aux animaux des zones exposées à des carences, une supplémentation minérale en calcium, en phosphore et magnésium et de corriger l'alimentation des animaux des zones exposées à des excès de l'un ou l'autre des minéraux dosés. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 51 1.5 Traction animale Introduction des cultures fourragères performantes dans les exploitations agricoles: un défi pour l'approche intègrée de la culture attelée dans les départements de l'Atacora et du Borgou au nord du Bénin. Auteur: DAGBA E. F. Date: 1998. Source: CIRAD-EMVT, p.91 Collation: 91 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé : L'auteur présente les différents projets régionaux de développement qui ont essayé de promouvoir sans grand succès les cultures fourragères arbustives dans les départements de l'Atacora et du Borgou, situés respectivement au Nord et au Nord-Est du Bénin. Le Centre de Promotion de la Culture Attelée de Boko (CPCA) en collaboration avec ces différents projets a réintroduit avec succès auprès des agro-éleveurs utilisant la culture attelée et des éleveurs peulhs, des cultures fourragères en bandes entre des cultures vivrières; les haies sont constituées d'une association de légumineuses ligneuses, Gliricidia sepium et Leucaena leucocephala et de graminées Panicum manimum et Penisetum purpureum. L'auteur estime que l'action mérite d'être poursuivie avec une meilleure formation et information des agro-éleveurs et éleveurs, pour accroître la production agricole et promouvoir une culture intensive et durable. Incidences de la traction animale sur le développement de l'élevage bovin dans la province du Borgou. Auteurs: HODJAKPODJI Cyprien. Date: 1982. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 58 pages. Lieu d'édition: Abomey- Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Des efforts soutenus sont mis en oeuvre dans la province du Borgou pour augmenter la production agricole au moyen de la traction bovine. C’est cette contribution de l’élevage au développement de l’agriculture qui a intéressé la présente étude. Les milieux physiques et humains offrent des possibilités énormes tant pour les productions végétales que pour les productions animales. L’association agropastorale ne pourra qu'être bénéfique dans ces conditions et se manifeste par la culture attelée ce qui contribue efficacement à l’élevation du niveau de la production agricole dans le Borgou. Pour le moment, la traction INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 52 bovine constitue le seul moyen permettant d'intensifier et de sédentariser l'agriculture et l'élevage, de convaincre les paysans sur la nécessité de réorganiser le cheptel afin d'éliminer les vieux animaux. Outre ses nombreux avantages , elle engendre une disponibilité en sous-produits agricoles et implique un suivi sanitaire rigoureux d’où une qualité pondérale appréciable faisant ainsi du cheptel une source de revenus non moins importante . Mais elle a des exigences non moins négligeables dont les problèmes d’essouchage inhérents à toute mécanisation rationnelle , la construction d’étables , le dressage , les réserves fourragères, etc... Néanmoins elle constitue une arme qui, nous l'espérons permettra de rendre service aussi bien aux paysans qu'à l'état qui voit aussi se développer harmonieusement son monde rural. Aussi des améliorations restent à apporter à la traction animale dans le Borgou pour consolider cette association agro-pastorale et de se rendre compte de ses impacts surtout zootechniques, vétérinaires et socio-économiques pour appréhender sa portée dans le monde rural. Promotion de la culture attelée: impact sur la production et les revenus des groupes cibles dans la province du Borgou ( République Populaire du Bénin). Auteur: ZOUNDI Boubacar. Date: 1988. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 55 pages. Lieu d'édition: Abomey- Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Cette étude a pour but d'apporter une contribution aux efforts d'extension de la culture attelée dans les autresprovinces du Bénin. Son utilisation contribue à la modernisation des méthodes des cultures et à l'accroissement des superficies emblavées. Elle est caractérisée parv l'utilisation des animaux et du matériel agricole dont il faut étudier un certain nombre de paramètres pour leur usage effectif: choix des animaux de trait, leur dressage, leur alimentation, leur suivi sanitaire, leur logement et le matériel agricole. L'usage de cette force de travail permet une diminution de l'effort humain, une revalorisation de l'outil de travail, une modernisation des méthodes culturales et l'association de l'agriculture à l'élevage. Ainsi si la culture attelée est un système de production qualitativement supérieur, de grands efforts devront être entretenus pour son extension et son utilisation effective. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 53 Etude comparative de la rentabilité de la cultutre attelée et motorisée: étude de cas du village Gando dans le département du Borgou. Auteur: EDAH Clément. Date: 1997. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 109 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: L'objectif visé par cette étude est de faire une analyse comparative de quelques performances techniques de la rentabilité financière de la culture attelée et de la culture motorisée. Trois cultures ont été considérées à savoir le coton, le maïs et le sorgho et l'étude qui s'est déroulée dans le village Gando de la sous-préfecture de Bembéréké ( République du Bénin) concerne les données d'une seule campagne (1995-1996). Les analyses statistiques, économétriques et économiques ont révélé les résultats suivants: le rendement du maïs a été sensiblement amélioré avec l'association de la culture attelée et de la culture motorisée alors que ceux du coton et du sorgho ne sont pas significatifs; les productions du coton et du maïs par actif ont été considérablement accrus avec l'association de la culture attelée et de la culture motorisée alors que celle du sorgho quoi que sensible est relativement faible. L'association de la culture attelée et de la culture motorisée est plus profitable aux producteurs agricoles, avec un taux de rentabilité interne de 46%, que la culture attelée dont le taux de rentabilité interne est de 25%. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 54 1.6 Transformation- Commercialisation Technologie traditionnelle des produits laitiers au Nord-Bénin : quelques propositions d'amélioration. Auteur: YACOUBOU Souley Abdou Date: 1990. Source: Mémoire Lycée Agricoles Medji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 38 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les études se sont déroulées dans le Borgou et l'Atacora et concernent les technologies de transformation du lait et de ses dérivés. Le lait obtenu est consommé ou bouilli ou transformé en lait caillé, crème, beurre et fromage. Outre ces transformations traditionnelles, nous avons le yaourt qui n'est pas traditionnel mais très apprécié des populations. Le lait caillé est obtenu après avoir laissé le lait frais du jour s'acidifier tout naturellement jusqu'au lendemain, la crème est obtenue en laissant le lait frais au repos, la crème récupérée est laissée à la fermentation puis remuée avec une louche en calebasse puis elle se transforme en une bouillie fluide blanchâtre qui acquiert une consistance avec une apparition de petits grumeaux; ajouter un peu d'eau et continuer à remuer quand elle devient bien consistante. Les petits grumeaux apparaissent alors colorés en jaune. Le fromage est obtenu traditionnellement par l'une des deux méthodes suivantes : la méthode du lactosérum dans laquelle le sérum du lait est l'agent coagulant et la méthode du Callotropis où l'on introduit un morceau de Callotropis procera pour coaguler le lait. Cette méthode est identique à celle du lactosérum mais la différence se situe au niveau de la fabrication du coagulant. Les améliorations proposées sont: addition de quelques gouttes de jus de citron dans le lait frais bouilli, protection de la crème du lait contre la poussière et les mouches et un plus long battage. Pour améliorer la qualité hygiénique du fromage, il a été proposé de le mettre en sachets de matière plastique après égouttage, après teinture et surtout de la vente au marché. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 55 Commercialisation du lait de vache et des produits laitiers dans le département du Borgou. Auteur: HONVO Gontran Emmanuel. Date: 1990. Source: Mémoire Lycée Agricole Medji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 86 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les enquêtes menées sur le terrain ont permis de constater que la qualité de lait trait quotidiennement est répartie par la femme peulh suivant les proportions moyennes suivantes : 45% environ pour l'autoconsommation du ménage, 8% environ pour des dons éventuels, 32% environ pour la vente contre de l'argent en espèce et 15% environ pour les échanges contre les autres produits vivriers. Le lait est vendu sous forme de lait frais ou caillé et est aussi transformé en divers produits laitiers (beurre de vache local, l'huile de beurre, fromage, yaourt aromatisé au monastère de l'Etoile). La commercialisation du lait et des produits laitiers est influencée par des facteurs tels les traditions peulh, le milieu et les saisons liés au système d'élevage. Le lait vendu va du producteur primaire au consommateur final en passant par de nombreux intermédiaires. Le lait produit dans les campements peulh est soit vendu sur place ou sur le marché. La ferme d'élevage de l'Okpara est aussi un producteur de lait qui est vendu aux consommateurs directs mais surtout aux revendeuses. Les distributeurs de lait, les fromagères et les collecteurs jouent un rôle important dans le circuit. Concernant les fromages, ils sont la spécialité des femmes Bariba et Gando qui transforment le lait après l'avoir cherché dans les campements peulh. Les fromages sont vendus sur les marchés des villages ou villes ou aux revendeuses. Le beurre local est produit par les femmes peulh qui le revendent directement en même temps que le lait. Le yaourt quant à lui est produit par les moines du monastère de l'Etoile à Parakou et est vendu dans les supermarchés du Bénin. Préparation des viandes grillées dans la ville de Parakou : les risques sanitaires et leurs incidences socio-economiques. Auteur: AMADOU S. Soumaïla. Date: 1995. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 54 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: La viande demeure jusqu'à nos jours la source de protéines la plus connue. Sa préparation avant la consommation se fait sous plusieurs formes mais elle est importée des pays sahéliens et est récente chez nous au Bénin. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 56 Elle prend de jour en jour assez d'ampleur dans bon nombre de nos villes comme Parakou aux voisinages des buvettes et sur les artères principales. Le manque d'hygiène sur les lieux de préparation et la toilette défectueuse des cuisiniers avides du gros bénéfices, sont les meilleurs acheteurs des animaux malades auprès des vendeurs de bétail qui les leur livrent parfois égorgés, à des prix souvent dérisoires. Mais malgré cela, le nombre de consommateurs ne fait que s'accroître chaque jour. Hormis les risques sanitaires que comporte ce commerce, la vente de viandes grillées favorise aussi la prolifération des cas de vol d'animaux. Ce qui fait que les forces de l'ordre reçoivent régulièrement des plaintes. Il importe donc que ce secteur commercial soit structuré et régi par des lois. La commercialisation du gros bétail: etude de cas dans les provinces du Borgou et de l'Atacora. Auteurs: TRAORE San. Date: 1983. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 187 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque FSA. Résumé: Compte tenu du rôle important de la commercialisation dans tout processus de développement, il est apparu intéressant de mener une étude sur la structure du marché de gros bétail pour évaluer le degré de compétition, l'efficience de la formation des prix et l'efficience dans l'allocation des prix du marché. Les objectifs de l'étude consistent à identifier et tracer le circuit de commercialisation du gros bétail, à étudier le marché en terme de degré de concentration des acheteurs et des vendeurs, à examiner le rôle et la conduite des intermédiaires, à examiner les facilités de commercialisation utilisées pour le transport, à essayer d'évaluer les coûts de commercialisation, à évaluer les performances du marché par des analyses temporelle, spatiale et des moyens de commercialisation et à faire des recommandations et suggestions susceptibles d'améliorer l'efficacité de la commercialisation. Des enquêtes ont été donc menées à Cotonou dans huit (8) districts du Nord où cent (100) commerçants de gros bétail ont été interviewés. Il s'agit des districts de Karimama, de Malanville, de Banikoara, de Kandi et Bembéréké dans le Borgou, de Djougou, de Kérou et de Ouassa-Pehunco dans l'Atacora. Après la collecte des données basée sur la méthode d'interview à l'aide de questionnaires, 82 commerçants ont été retenus pour l'étude. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 57 Etude des utilisations faites des peaux et des cuirs en République Populaire du Bénin. Auteur: VIGNON Euphrem.. Date: 1983. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 50 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Le but de ce travail est d'apporter une contribution à l'étude des utilisations faites des peaux et cuirs. Une partie de ces peaux et cuirs est destinée à la consommation humaine du fait des mentalités de certaines ethnies, de l'apport en viande fourni par les animaux sauvages et de l'inégale répartition du cheptel, tandis qu'une autre partie est destinée à la transformation artisanale. L'utilisation des peaux et cuirs dans l'alimentation humaine n'apporte pas grand chose à l'organisme humain, donc constitue une perte d'ou la néccesité de se tourner vers leur mise en valeur pour l'exportation. Pour mener à bien cette activité, il faudra améliorer la production du bétail, la commercialisation de la viande et l'exploitation des peaux et des cuirs. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 58 1.7 Systèmes d'élevage Etude socio-économique du système d'élevage transhumant dans un contexte de projet de développement: cas des interventions du projet PPEA dans la souspréfecture de Péhunco (département de l'Atacora). Auteur: ABIASSI Erick Herman. Date: 1993. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 148 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: La présente étude vise à apprécier l'impact du projet PPEA sur le revenu issu de l'élevage des ruminants, à évaluer les impacts du projet sur l'utilisation des ressources agropastorales par l'éleveur en vue d'atteindre ses objectifs de production, à faire des suggestions en vue d'améliorer les conditions de vie des éleveurs et favoriser une gestion plus efficace et plus durable des ressources hydriques et fourragères. Les résultats montrent que les interventions du projet ont contribué à l'amélioration du croît réel des troupeaux consécutive à une réduction du taux de mortalité, grâce à la construction de neuf retenues d'eau au niveau de la sous-préfecture et leur autogestion par les unités pastorales, le projet PPEA a contribué à atténuer l'acuité du problème d'approvisionnement en eau des troupeaux en saison sèche, à la vulgarisation des pâturages artificiels sans grands succès. Par ailleurs des suggestions pour les améliorations telles que l'accroissement du revenu monétaire des éleveurs grâce à un taux de commercialisation plus élevé des animaux et l'initiation à une gestion plus efficace et plus durable des ressources agropastorales. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 59 La pratique agricole chez les éleveurs (cas de douze campements peuhl dans le district de Péhunco). Auteur: AKOBI Alidou A. Date: 1988. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 41 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Pour la sauvegarde de l'équilibre alimentaire et la valorisation du revenu des paysans dans notre pays, il s'avère nécessaire d'amener nos paysans aux revenus assez dérisoires à faire du secteur élevage la base de toutes productions. Des enquêtes menées sur le territoire et qui ont duré trois mois, il a été observé que le district de Péhunco a une population constituée en minorité de peulh pour qui l'élevage et l'agriculture constituent les deux activités économiques essentielles. Pour l'éleveur, le cheptel bovin constitue un patrimoine qu'il se doit de conserver, mais son développement est confronté à des problèmes d'encadrement technique, de techniques culturales rudimentaires et de main d'œuvre. Contribution à l'analyse de la transhumance et de la sédentarisation de l'élevage bovin dans le Borgou. Auteurs: ALLAFI Djidengar. Date: 1995. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 78 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Le présent travail de recherche et de réflexion s’appuie sur les échanges d’expériences entre les techniciens des productions animales et les éleveurs peulh et a pour objectif de contribuer à l’analyse des modifications de relations de vie et production des sociétés pastorales du Borgou. L’enquête a été menée auprès de cent (100) éleveurs peulh pris soit individuellement soit en groupe. Les opérations de terrain ont duré trois mois (novembre – décembre – janvier ) et la méthode de collecte d'informations a été l’interview direct et a eu pour support une fiche d’enquête dite "fiche d'enquête sur l'élevage des bovins". Les campements , les hameaux , les villages ,les marchés à bétail , les terrains de vaccinations ont été les lieux d’enquête et/ou de vaccination. Dans son exécution, la campagne comporte la phase de sensibilisation et le déroulement des opérations de vaccination. Dans les 14 secteurs d'élevage du Borgou, nous avons ciblé trois secteurs en tenant compte de leur situation géographique afin de mieux expliquer et situer le choix du thème: Malanville, Karimama et INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 60 Gogounou. Ces éleveurs se repartissent en six (6) grands groupes socioprofessionnels déterminés par leur activité principale à savoir : les éleveurs ‘’purs‘’ les éleveurs agriculteurs, les agriculteurs éleveurs, les commerçants éleveurs, les fonctionnaires éleveurs et les autres éleveurs . En effet 52% des chefs de ménage interviewés ont pour activité principale l’élevage , 29% l’agriculture et 19% ont pour activité principale le commerce, l’administration et autres. Il est fondamental de remarquer que l'élevage "pur" comme système de production est en voie de disparition au profit de l’élevage associé à d’autres activités. On rencontre moins de 7% d’éleveurs purs contre plus de 40% d’éleveurs qui associent l’agriculture (surtout les cultures vivrières) à leurs élevages. Il ressort que 62% soit plus de la moitié des chefs de ménages interviewés jouissent d’une propriété exclusive sur leurs animaux contre seulement environ 6% des chefs ayant une propriété partielle sur les bovins . On note par ailleurs que 3% des ménages ne conduisent pas eux–mêmes leurs animaux . Ils sont confiés aux bouviers non propriétaires . Ils est a remarqué aussi que le système de confiage est en régression. Ceci s'explique par l'essor remarquable que connaît la culture attelée et le savoir-faire acquis des agriculteurs dans le domaine de la conduite des animaux. De l’analyse des résultats obtenus , il ressort qu’en réalité la transhumance s’explique chez les pasteurs par un besoin de sécurisation de leurs troupeaux (accès permanents aux pâturage et à l’eau) , d’échanges commerciaux et de certaines contraintes administratives. A côté de la lutte contre la disette, la transhumance a un rôle prophylactique (l'abandon, pendant une partie de l'année des zones de parcours, rompt le cycle des parasites) et les animaux ont la possibilité de pâturer des fourrages de compositions différentes (cures salées). Ainsi la sédentarisation nécessite une attention particulière à travers la conception d'une action d'encadrement rationnel et progressif. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 61 Rapport de l'enquête sur la typologie des exploitations d'élevage et le disponible en bétail dans les départements de l'Atacora et de la Donga. Auteur: PDE/ CARDER- ATACORA. Date: 2001. Source: Rapport d'enquête. Collation: Lieu d'édition: Bénin. Localisation : Bibliothèques CARDER- ATACORA et FSA . Résumé: L'objectif principal de cette enquête est de documenter les caractéristiques des exploitations, l'identification de leurs chefs, les principales spéculations ou options et du type d'encadrement, les espèces animales élevées, le sexe, l'âge, les effectifs des troupeaux, le mode de conduite et les principales contraintes entravant le développement de l'élevage. La zone d'enquête couvre les départements de Atacora et de la Donga. Seulesles plus grandes exploitations des sept circonscriptions administratives (Kouandé, Péhunco, Kérou,, Boukoumbé, Tanguiéta, Matéri et Djougou), ont été prises en compte. L'enquête conjointe a concerné les agents de terrain et les agents de la Direction Générale du CARDER Atacora. Les résultats obtenus ont permis de déterminer l'âge des chefs d'exploitation qui varie de 20 ans à plus de 70 ans avec les plus jeunes chefs à Kérou, Kouandé se retrouve entre 31 et 70 ans. Concernant l'ethnie du chef d'exploitation on note d'une façon globale que les peuhls sont les éleveurs par excellence dans l'Atacora et la Donga, mis à part Boukoumbé et Tanguiéta dans le Nord - Ouest et Djougou dans le Sud où se retrouvent d'autres ethnies agro- éleveurs à un moindre degré. Contribution à l'étude de la dynamique saisonnière des élevages et la survie des veaux dans la ferme élevage de l'Okpara. Auteur: ATEMBA Grégoire Kossi. Date: 1992. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 82 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: L'étude a porté sur les veaux de race borgou âgés de 0 à 1 an. Elle a été réalisée en deux étapes. La première a porté sur les vêlages et le suivi des veaux de la ferme de l'Okpara de 1988 à 1991 et est basée sur la collecte des données à partir des rapports. La seconde dite transversale des vêlages à porté sur le suivi des veaux de la ferme de janvier à septembre 1992 et est fondée sur les renseignements recueillis des agents de la ferme de l'Okpara ainsi que les observations et données enregistrées dans les rapports . Aussi, quelques pesées ont été faites sur un effectif de 122 veaux au cours des mois de juinjuillet 1992. Une visite effectuée sur la ferme du Monastère de Sainte Etoile INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 62 vient renchérir l'appréciation du système traditionnel d'élevage. De l'analyse des résultats par rapport au rythme des vêlages sur la ferme d'élevage de l'Okpara, de profonds écarts ont été constatés d'une année à l'autre. Les moyennes calculées de 1988 à 1991 ont donné les résultats suivants : 30,89% des naissances en janvier, février et mars ; 18,40% en avril, mai et juin ; 15,83% en juillet, août et septembre ; puis 34,88% en octobre, novembre et décembre. Il se dégage de la moyenne calculée que l'on enregistre plus de vêlages en saison sèche qu'en saison pluvieuse avec un taux de 65,77% des naissances en saison sèche contre 34,23% en saison pluvieuse. Elevage traditionnel des bovins dans la province du Borgou : possibilités d'amélioration. Auteur: BABATOUNDE René. Date: 1981. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 99 pages. Lieu d'édition: Abomey Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: La province du Borgou abrite les 66,5% de l'effectif du cheptel bovin national. Il est cependant soumis à des contraintes qui diminuent substantiellement les productions. Nous pouvons citer les techniques d'élevage peu productives et l'insuffisance d'encadrement. Pour remédier à cette situation, les propositions suivantes ont été faites: d'abord la protection sanitaire par les vaccinations ainsi que des actions zootechniques basées sur l'insémination artificielle, les croisements, le suivi généalogique et la sélection massale; ensuite l'amélioration du milieu basée sur celle de l'alimentation, l'hydraulique pastorale et enfin l'amélioration du circuit de commercialisation. Il est donc nécessaire de créer de nouveaux marchés de bétail dotés d'infrastructures adéquats (bascules, couloirs de contention, puits, etc…) INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 63 Contribution à l'amélioration de l'élevage bovin traditonnel dans la province du Borgou. Auteur: DABADE Kassinwin Jacques.. Date: 1977. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 42 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Le système d’élevage traditionnel des bovins se fait selon deux modes : l’élevage sédentaire et l’élevage transhumant dont le premier est pratiqué par les Gando uniquement tandis que le second est pratiqué par les Peulh et est essentiellement de type extensif. La conduite des troupeaux est assurée par les Peulh qui les mènent au pâturage très tôt le matin en saison sèche mais un peu plus tard en saison de pluies, attendant la disparition de la rosée abondante ; la pratique de la traite des vaches est surtout assurée par les Peulh alors qu’elle est rare chez les Gando ; elle se fait tôt le matin avant le départ pour le pâturage. Peu d’importance est accordée à la situation sanitaire des animaux dont notamment celle des veaux qui subissent la pression des maladies parasitaires, infectieuses et nutritionnelles, cause de mortalité très élevée. L’exploitation du cheptel est mal faite quand on observe la structure des troupeaux. Ils sont gardés dans le seul souci de procurer du lait et de l’argent aux éleveurs et aucune tentative d’amélioration du potentiel génétique n’est envisagée. L’amélioration de ce type d’élevage consiste à mener des actions sur le milieu, sur l’animal et sur l’homme. Concernant le milieu, il faut améliorer les pâturages, aménager des points d’eau et prévoir une étable pour la protection contre les intempéries ; ensuite les actions sur l’animal consistent en la protection sanitaire et à l’amélioration de l’animal (revoir la structure du troupeau, sélectionner les géniteurs et reproducteurs pour l’organisation des croisements) ; enfin les actions sur l’homme portent sur la formation du personnel d’encadrement, le regroupement et l’éducation des éleveurs, l’orientation des éleveurs vers d’autres types d’élevage, l’organisation des marchés de bétail ainsi que des foires à bétail. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 64 Contribution à l'étude des possibilités d'amélioration de l'élevage traditionnel des veaux dans la province du Borgou. Auteur: GANTOLI Geoffroy Y. Date: 1984. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 75 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Pour couvrir ses besoins d'origine animale, le Bénin dispose de grandes potentialités en matière d'élevage des animaux domestiques notamment bovin. Ces animaux, dans leur milieu habituel, constituent une richesse énorme favorable à notre développement économique à condition que soient consentis des efforts d'amélioration. L'amélioration de l'élevage traditionnel des veaux n'est pas une opération nouvelle dans le Borgou et dans son ensemble il reste encore soumis à certaines contraintes telles que l'existence dans l'année d'une saison sèche plus ou moins longue, défavorable à l'alimentation et à l'abreuvement du bétail. Il en résulte une sous alimentation des animaux en général et des veaux en particulier et enfin les facteurs pathologiques notamment les parasitoses qui provoquent constamment chez les veaux, la mortalité dont le taux demeure encore relativement élevé. Cette situation exige qu'une attention plus soutenue soit portée sur les conditions d'élevage des veaux dans le souci d'une augmentation rapide de notre cheptel national. Contribution à l'étude de la structure et de l'exploitation du troupeau bovin dans le Sud- Borgou. Auteur: NAGNIMI Bouko Mohamed Date: 1987. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 51 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: L'éleveur reste encore préoccupé par le nombre impressionnant d'animaux , alors que l'idée première devrait être la rentabilité de l'activité. C'est donc pour tendre à une sensibilisation poussée que ce thème a été élaboré. Les travaux effectués à cet effet ont couvert d'une part le mois de septembre 1986 et d'autre part la période de janvier à mai et ont concerné les secteurs de Tchaourou , Parakou , Pèrèrè et Nikki. Les enquêtes ainsi réalisées à l'aide d'un questionnaire rapportent que dans les troupeaux subsistent beaucoup d'animaux qui constituent une charge inutile voire nuisible pour les pâturages déjà insuffisants. Une exploitation rationnelle des animaux et une gestion plus adéquate du troupeau donneraient un meilleur profit à l'éleveur. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 65 Aspects techniques et socio-économiques de l'introduction des cultures fourragères dans les systèmes d'exploitation de l'Atacora. Auteurs: DJENONTIN A. J.; DJOGBEDE M. J.; NONFON C. R.; Date: 1998. Source: CIRAD-EMVT,93-99 Collation: 7 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Le département de l'Atacora est un milieu complexe avec des versants montagneux et caillouteux à écologie fragile. La densité de population y est relativement élevée et elle contribue à la dégradation de l'environnement. La terre et la végétation sont les deux composantes les plus marquées, par cette dégradation très poussée. La lutte anti-érosive et la restauration de la strate arborée, particulièrement dans les espaces cultivés, constituent les préoccupations majeures des paysans. L'élevage, seconde activité dans le département après l'agriculture, est basée sur un mode d'exploitation intensif qui ne permet pas de valoriser les potentialités des animaux élevés. Cet élevage très peu intégré à l'agriculture est confronté aux problèmes d'alimentation des animaux surtout pendant la saison sèche. La divagation ou la transhumance des animaux pendant plus de six mois par an rend la situation plus complexe. Plusieurs approches ont été testées: soit introduire des plantes de couverture dans les jachères pour à la fois améliorer la fertilité des sols et la production fourragère, soit installer des bandes de graminées fourragères et anti-érosives. Les paysans adhèrent plus à l'association des cultures, bien que des problèmes subsistent. Il s'agit notamment de la réduction du rendement du maïs et de la faible production des cultures fourragères. L'installation des haies est acceptée mais les feux de brousse et la pression des animaux ont limité la gamme des graminées à introduire. La gestion du fourrage produit est rendue difficile à cause du mode d'élevage et du surplus de travail qu'exigent sa conservation et son stockage. Contribution à l'étude des possibilités de développement de l'élevage dans une unité pastorale du Borgou: cas de Boukousséra. Auteur: KINHA Christophe H. Date: 1992. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 65 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: L'élevage bovin constitue 80% du cheptel national et assure la presque totalité de la production de viande. Les 56% du cheptel ovin sont concentrés dans le Borgou. Cette place qu'occupe le Borgou au plan national est due à un accroissement numérique du cheptel grâce à la mise en place de INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 66 programme de protection sanitaire alors que la faible productivité des troupeaux est restée stagnante et le disponible en viande par habitant par an est relativement faible. Le développement de l'élevage dans l'U.P. de Boukousséra appelle non seulement la conscience des encadreurs mais aussi celle du groupe cible. Les contraintes au développement de l'élevage surtout celles liées à l'alimentation sont beaucoup plus cruciales. Elles sont essentiellement dues à la mauvaise exploitation des ressources fourragères. A cet effet, il importe de rationaliser l'exploitation du disponible fourrager naturel, d'élargir l'utilisation des résidus de récolte à ceux des autres cultures telles que le manioc et l'igname qui constituent des fourrages très riches en protéines. Il est donc impérieux de sensibiliser les éleveurs sur les avantages de l'intégration de l'agriculture à l'élevage (résidus de récolte comme fourrage des animaux et la force de traction animale fournie à la ferme par l'élevage). INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 67 2 Généralités Appui aux services agricoles du Bénin: revue du sous-secteur élevage et propositions d'éventuelles actions de développement. Auteur: ASSEO M. Date: 1989. Source: . BDPA-SCETAGRI. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: France. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: Dans l'optique d'appui éventuel aux services agricoles béninois, volet élevage, l'auteur actualise les données de base, examine les diverses contraintes et les projets en cours dans ce domaine. Il identifie ensuite les principaux messages vulgarisables et le partage des tâches entre les différents services: vulgarisation, action coopérative, vétérinaire, recherche zootechnique et le rôle des éleveurs. Il indique les moyens à mettre en ouvre et fait une approche des coûts. Il donne ensuite les termes de références pour des études complémentaires, en particulier la mise en ouvre d'un programme de gestion des ressources fourragères dans les provinces nord du pays. Contribution à l'étude de la couverture des besoins protéiques d'origine animale dans la province du Borgou. Auteur: DAMON Arouna. Date: 1982. Source: Mémoire. Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 58 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Au fil des ans, les sources de protéine d'origine animale, autrefois abondantes, diminuent de façon spectaculaire, face à une population sans cesse croissante. Cette disproportion entre la production et l'accroissement de la population se traduit par une situation de crise et plus précisément par une malnutrition et une sous-alimentation qui est surtout aggravée ces dernières années par les caprices du climat. Il ressort de cette étude qu'il y a un contraste entre la production et la consommation en protéine d'origine animale au niveau de la province du Borgou. Ceci se traduit par une production par tête d'habitant de 2,55 donnant une possibilité de consommation de 28.496,397 g de protéine d'origine animale. Mais à côté, la manipulation des statistiques fait apparaître un déficit de consommation de 87,47% environ. L'une des conséquences à cette non couverture est l'enregistrement de quelques cas de kwashiorkor chez les enfants à l'âge pré-scolaire. Les statistiques relatives recueillies de 1978 à 1982 sont de 827 cas de mortalité contre 63 cas de mortalité dans la province du Borgou. La création du Bureau d'Etude de l'Elevage (BEE) aiderait à juguler tous les problèmes de production, d'exploitation, de distribution et de répartition. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 68 Agriculteurs et éleveurs au Nord Bénin: écologie et genre de vie. Auteur: DE HAAN L. J. Date: 1997. Source: . Paris, Karthala. Collation: 217 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Il s'est établi en Afrique de l 'Ouest entre les peuhl, les éleveurs et les agriculteurs des relations permettant la complémentarité des deux modes de vie régulant les conflits potentiels : échanges de produits (lait contre céréales), partage de l'espace. A partir des années 70-80, d'importantes sécheresses affectent l'environnement d'où diminution des aires de pâture et du disponible en eau. L'ouvrage fait l'inventaire des phénomènes de dégradation de l'environnement : épuisement du sol , érosion, de dégradation de la végétation. Il traite des relations entre agriculteurs et éleveurs au Borgou (Bénin ) et évalue la charge que ces deux genres de vie font peser sur l'environnement. Afin de créer les conditions d'un développement durable, il recommande une restructuration de la gestion du terroir, la résolution des conflits entre agriculteurs et éleveurs et la lutte contre la dégradation de l'environnement sont fortement liées. La gestion agropastorale du terroir et le développement de l'élevage dans le Nord Borgou : cas du secteur élevage de Kandi. Auteur: KATE Sabi. Date: 1992. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 51 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Dans le milieu rural, surtout dans le Nord Borgou, le bovin est l'une des espèces animales qui suscite le plus d'intérêt. Malgré son rôle clé pour le développement socio-économique de notre pays, l'élevage de cette espèce dans le Borgou se trouve dans une crise profonde quant à ce qui concerne l'espace pâturable. Dans le contexte actuel de leur production, agriculteurs et éleveurs, aux intérêts apparemment opposés, mènent des actions antagonistes sur les terres agro-pastorales.La croissance démographique, l'extension des cultures de rente et l'utilisation de la charrue font que l'agriculture réclame toujours de grandes superficies. Le Projet Développement Elevage Bovin Borgou (PDEBB) a permis de résoudre bon nombre de problèmes qui entravent l'épanouissement de l'élevage dans le département du Borgou. Mais la remontée des effectifs du bétail à la faveur des actions prophylactiques INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 69 soutenues, la poussée démographique, les problèmes fonciers, les pratiques agricoles archaïques et les aléas climatiques contribuent au rétrécissement de l'espace pâturable et de ce fait constitue un frein au développement de l'élevage. Il en résulte une menace permanente pour les écosystèmes qui se caractérise par une surexploitation du potentiel naturel. Mise en œuvre d'un processus d'intégration agriculture-élevage dans le village de Kokey, sous-préfecture de Banikoara. Auteur: KATE Sabi Date: 2001. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 66 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Cette étude s’est déroulée en 2 phases de novembre 1999 à juillet 2001. Une phase de diagnostic pour identifier de concert avec les producteurs les technologies à expérimenter et une phase expérimentale pour l’exécution, le suivi et l’évaluation des technologies mises en œuvre. Les animaux impliqués dans les différentes technologies se répartissent comme suit : 216 animaux pour la fabrication du fumier pour le test de complémentation, 54 animaux sont complémentés et 20 constituent le groupe témoin. Au cours de la 1ère phase qui consistait à trouver des solutions aux problèmes de fertilité des sols et de déficit fourrager, il a été organisé un diagnostic participatif sur la gestion des résidus de récolte dans le village de Kokey afin d’avoir une meilleure compréhension des modes d’utilisation des résidus de récolte, de discuter des modes et techniques de gestion rationnelle des résidus de récolte, d’identifier en concertation avec les paysans les technologies adaptées pouvant mieux intégrer l’agriculture à l’élevage. Suite à ce diagnostic les technologies suivantes ont été expérimentées : production de fumier dans les parcs de stabulation, collecte et stockage des résidus de récolte pour alimenter les bœufs de trait en saison sèche, intégration des cultures fourragères au sein des exploitations agricoles, recherche des solutions aux conflits entre agriculteurs et éleveurs. Au cours de la deuxième phase (phase expérimentale), l’évaluation a montré que les bœufs de trait complémentés aux pailles, aux fanes et aux graines de coton ont conservé leur poids jusqu’à la fin de la saison sèche la production de fumier dans un parc donne une capacité de restauration de la fertilité du sol trois fois plus grandes que le parcage traditionnel et la réduction des conflits intercommunautaires par la mise en œuvre de plates-formes de discussion entre agriculteurs et éleveurs. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 70 Les communautés peuhl et l'économie rurale dans la province du Borgou. Auteur: LAWANI A. Lassissi Date: 1986. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 67 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: L'élevage est une activité généralement réservée au monde Peuhl, en Afrique et plus particulièrement en République Populaire du Bénin. Toute action visant une amélioration de ce secteur dans la région touche alors inévitablement cette communauté. Il est permis de noter d'une part que le Borgou est une province très propice à l'élevage, malgré les problèmes que ce secteur connaît et que cette activité est incontestablement dominée par les Peuhl qui ne représentent que 13% de la population de la province. D'autre part on a pu noter, grâce à ce travail, la contribution très importante de l'élevage dans l'économie de la province. De ce rôle capital de l'élevage dans le Borgou découle la place des communautés peuhl dans la vie socio-économique de la province, car ces derniers vivent en majorité par et pour l'élevage. Toutefois, ce secteur qui constitue la principale activité des Peuhl connaît, dans le Borgou, d'énormes difficultés liées d'une part aux Peuhl eux-mêmes de par leur mentalité, et d'autre part à la dégradation de l'environnement. Sur le plan économique, les Peuhl sont éleveurs de nature, mais les contraintes que connaît l'élevage ces dernières années, les obligent à pratiquer aussi d'autres activités. La revalorisation de l'élevage passe par des actions telles que la sauvegarde du cheptel existant par la protection sanitaire collective des animaux, la mise à la disposition du bétail d'une bonne alimentation et d'un abreuvement suffisant, et enfin la réorganisation du circuit de commercialisation du bétail et l'opérationnalisation des services de l'élevage. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 71 Contribution à l'amélioration des méthodes de contention des animaux domestiques en République Populaire du Bénin. Auteur: MADJA Emmanuel Mahouna. Date: 1981. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 100 pages. Lieu d'édition: Abomey Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: En République Populaire du Bénin diverses méthodes permettent de saisir, maintenir, coucher ou déplacer les animaux. Il convient donc de les recenser, de les analyser, puis d'envisager les conditions possibles de leur amélioration. Ces méthodes de contention concernent la volaille, les petits ruminants, les porcs et les bovins. Chez la volaille le transport se fait souvent à bras par les piétons, à vélos, cyclomoteur ou autres engins à deux roues et par automobile de même que le transport des petits ruminants sauf qu'on note l'absence du transport à bras. La contention des bovins se fait d'abord pour leur abattage où les manipulateurs usent souvent d'une extrême brutalité, ensuite pour la traite du lait où ils attachent les pattes de l'animal. La proposition de contention passe d'abord par la mise en confiance des animaux, puis ensuite par la contention passive par le logement des animaux, au niveau d'un parc et dans les couloirs de contention, par la contention des animaux en vue d'obtenir un service : la traction animale (pose et tolérance du joug et l'entraînement à la marche) et la garde par le chien et enfin par la contention en vue d'une action thérapeutique, médicamenteuse ou chirurgicale. Ainsi on aura par exemple besoin de saisir, maintenir, coucher et déplacer ces animaux suivant les objectifs visés. Etude de la géologie et de l'écologie des pâturages de la savane sub-humide de la zone Nord-Ouest du Bénin. Auteur: MEURER M. Date: 1998. Source: Germany, Karlsruher Schriften zur Geographie und Geookologie Inst. fur Geographie und Geookologie , 1, 259-279. Collation: 21 pages. Lieu d'édition: Allemagne. Localisation: Bibliothèque FSA. Résumé: L'impact d'une augmentation de 3% de la population et une augmentation de 6% par an de la production animale est évaluée sur les systèmes de pâturage du Nord-Ouest du Bénin. L'intensification de l'agriculture et de l'élevage devient une nécessité alors que la production fourragère a été négligée jusqu'à maintenant. L'approvisionnement des bovins en eau de INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 72 boisson insuffisante et la capacité de charge de la terre sont rapidement devenus des contraintes sévères. Les principaux sujets sont: premièrement l'économie des prairies du Nord-Ouest du Bénin, deuxièmement l'écosystème des herbes pendant la saison sèche, troisièmement l'utilisation des prairies et des fourrages, quatrièmement le rôle des feux de savane dans l'économie des prairies et cinquièmement les perspectives pour soutenir la productivité des pâturages. Il est à conclure que l'intensification de l'agriculture occasionnera l'érosion du sol et la réduction des surfaces des prairies. L'introduction de la charrue a abouti à la culture excessive du coton. Une des recommandations est de planter des haies vives. La documentation vétérinaire en République Populaire du Bénin. Auteur: ARIORI Maurice Lino. Date: 1982. Source : Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 105 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Elle se propose de promouvoir non seulement le développement de la production animale mais également le développement politique, économique et social. L'étude de la documentation vétérinaire nous montre qu'elle est mal appréciée, inorganisée, malgré son importance, voire économique pour le développement de notre pays. Cette étude a permis d'affirmer particulièrement qu'il n'y a jamais eu jusque là une bonne structuration de la documentation vétérinaire. Les quelques rares centres de documentation existants sont mal organisés et manquent encore de personnel qualifié et approprié. De plus ces centres ne sont pas bien équipés en sources d'information que constituent les documents techniques vétérinaires (publications en séries, revues, journaux, livres, rapports, thèses, brevets, actes de congrès etc.). Une telle situation entrave la prise de bonnes décisions relatives au développement de l'élevage et de la pratique vétérinaire. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 73 Système d'intégration agriculture traditionnelle-élevage comme fondement au système agricole durable dans la savane sub-humide. Auteurs: STURM H. J., WEST Me. Date: 1996. Source: USA, Rangeland in a sustainable biosphere. Proceedings of the Fifth International Rangeland Congress, Salt Lake City, Utah, USA, 1, 535-536. Collation: 2 pages. Lieu d'édition: USA. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Le lien étroit entre les systèmes d'élevage et d'agriculture est vu comme la base pour le développement des systèmes agricoles durables dans la zone de la savane sub-humide. Il est évident que l'intégration des pratiques agricoles dans un système de production animale est plus aisée à maîtriser et offre un potentiel significatif pour une planification future dans l'utilisation de terres agricoles. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 74 3 Petits ruminants 3.1 Système d'élevage Elevage traditionnel des petits ruminants dans le secteur de Karimama: incidences sociales, sanitaires et économiques. Auteur: YOUSSAO Abdou Karim Issaka. Date: 1991 Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 54 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation: Bibliothèque LAMS. Résumé: L'élevage traditionnel des petits ruminants se fait selon le mode transhumant entraînant d'abord des conséquences sociales caractérisées par des déplacements permanents des éleveurs qui influent sur l'éducation de leurs enfants qui profitent de l'absence de leurs pères pour abandonner les classes. Vu le mode communautaire, on assiste à des cas de vols ou de détournements des animaux. Ce mode de conduite occasionne des conflits sociaux entre éleveurs et agriculteurs puis entre éleveurs, agriculteurs et agents des eaux, forêts et chasses; ensuite des conséquences sanitaires qui soumettent les animaux à toutes sorte de maladies infectieuses et parasitaires; par ailleurs les animaux ne sont plus soumis à aucune intervention vétérinaire mais les éleveurs font usage de la pharmacopée pour traiter les cas d'intoxications alimentaires et enfin des conséquences économiques caractérisées par des détournements et des vols, surtout suite à des mise-bas, ce qui est à l'origine des réticences de certains propriétaires à confier leurs animaux, des pertes qui sont rares dans la conduite communautaire mais fréquentes dans la conduite des animaux transhumants puis des pertes dues aussi aux pathologies. Contribution à l'amélioration de l'élevage ovin dans la province du Borgou. Auteur: SABI FERI Bah-Sarè. Date: 1980. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 48 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: L'élevage des moutons pratiqué dans le Borgou obéit à trois modes suivant les ethnies: élevage familial, embouche du mouton et élevage du mouton en association avec les autres espèces. Il est à noter que les méthodes d'élevage pratiquées par nos paysans et éleveurs Peuhls restent encore sans souci d'amélioration et sans égards pour l'avenir. En plus, le manque INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 75 d'encadrement, de sensibilisation et le faible niveau de vie du paysan béninois en général ne lui permettent pas de faire face aux dépenses exigées pour la sauvegarde de la santé de ses animaux. L'état sanitaire du cheptel ovin est essentiellement dominé par le polyparasitisme : les parasites internes, les parasites externes et les épizooties dont le tableau est dominé par la peste des petits ruminants. En outre les maladies nutritionnelles ou carences diverses viennent compliquer la situation sanitaire. L'élevage ovin au Borgou présente un caractère traditionnel, lié au mode de vie des paysans. Les animaux élevés ne sont en fait que le produit d'une simple cueillette. Il en résulte une faible production qui est loin de satisfaire les besoins croissants de la population. Etude de la structure et de la taille des troupeaux ovins - caprins en fonction de la taille des ménages et des systèmes de production Bariba, Boco , Gando et Peulh : cas des districts ruraux de Nikki et de Kalalé. Auteur: ISSAKA Mora Date: 1989. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 72 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Cette étude se propose de contribuer à la promotion de l'élevage des petits ruminants par la mise en place d'un mode de gestion plus approprié à partir des pratiques enregistrées. L'enquête basée sur trois types de questionnaires a pris en compte 60 ménages possédant uniquement des ovins ou uniquement des caprins interviewés au hasard de part et d'autre des axes routiers Nikki - Kalalé Zambara et Nikki - Ourmoni – Sakabansi. Les tailles des troupeaux sont encore modestes . La taille la plus grande des troupeaux ovins est observée au niveau des Peuhl , suivi par les Gando, les Bariba et les Boco. S'agissant des troupeaux caprins, la plus grande taille est observée chez les Gando, puis les Boco , les Bariba et enfin les Peulh. La structure des troupeaux est stable chez les Peulh et les Gando. Ce n'est pas le cas chez les Boco et les Bariba parce que ceux-ci possèdent pour le moment une petite connaissance en matière d' élevage des petits ruminants . Collection des oeufs d'helminthes gastro-intestinaux parasites des animaux domestiques. Auteur: ZOFFOUN Alex G. Date: 1985. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 64 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 76 Résumé: Cette étude a utilisé deux méthodes dont une physique reposant sur le principe de la flottation et l'autre physico-chimique ou diphasique regroupant respectivement les méthodes de Willis et de Bailenger. Les examens coprologiques effectués sur les bovins, les porcins, les chiens et les poulets montrent un parasitisme gastro-intestinal des animaux domestiques dominé par les nématodoses. Il apparait, que les porcins ne souffrent exclusivement que de cette affection. Les cestodoses très faiblement représentées sont rencontrées chez les bovins, les chiens et les poulets. Quant aux trématodoses, elles ont été constatées uniquement chez les bovins. La collection des divers types d'œufs rencontrés a été faite. Les helminthes gastro-intestinaux sont fréquents chez tous les animaux domestiques. L'élevage dets petits ruminants dans le Nord-Est de l'Atacora : situation actuelle et possibilités d'amélioration. Auteur: AHOUI Vidjogni Date: 1985. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 47 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Dans le souci de pallier au déficit protidique des populations, ce présent travail se propose de faire la promotion de l'élevage ovin-caprin dans le Nord-Est de l'Atacora. Ce sont des animaux à cycle biologique court , très rustiques et dont l'alimentation ne concurrence pas celle de l'homme. De l'étude qui a été faite , il est à constater que l'élevage des petits ruminants se trouve limité dans son développement par divers facteurs liés au mode d'élevage à savoir manque de logement , du caractère saisonnier de l'alimentation, de l'abreuvement et des problèmes pathologiques. Néanmoins , la faible densité de la disponibilité du pâturage naturel dans ce département devrait constituer une base pour le développement de l'élevage. Contribution à l'étude des entraves au développement des petits ruminants dans la province de l'Atacora. Auteur: MAMA Moukaïla. Date: 1988. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 47 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : : Bibliothèque CPU. Résumé: L’objectif visé ici est de mettre en évidence les problèmes liés à ce type d ‘élevage afin de dégager les possibilités d’amélioration suivant les potentialités du milieu. Au nombre des obstacles nouspouvons citer les INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 77 problèmes nutritionnels et les problèmes sanitaires. La saison des pluies est marquée par la multiplication des épizooties tandis que la saison sèche se distingue par la malnutrition et polyparasitisme. Des actions permettent de limiter ces dégâts. IL faudra de ce fait intégrer l'agriculture à l'élevage, débarrasser les animaux de leurs parasites et les protéger par des mesures prophylactiques rigoureuses. Il faut à cet égard , à côté des traitements curatifs de saison des pluies, redonner tout son sens à la notion de traitements stratégiques et traiter de façon systématique en saison sèche les jeunes et les femelles gestantes en protégeant la santé des animaux par des mesures prophylactiques rigoureuses. L'application de ces dernières mesures réclame une modification dans la conduite du troupeau. 3.2 Santé et parasitologie Contribution au dépistage de la brucellose ovine dans le département de l'Atacora. Auteur: SOUNON K.L.S. Adam. Date: 1997. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 38 pages. Lieu d'édition: Abomey- Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: La brucellose peut être une contrainte majeure à la reproduction du mouton dans toutes les régions où elle sévit à l'état enzootique. Pour le dépistage, des prélèvements du sang ont été effectués dans des tubes vacutainer et laissés coaguler pour l'obtention des sérums. Ils sont ensuite centrifugés (2500 tours/ min pendant 5 minutes) en vue d'être purifiés. Les sérums recueillis sont conservés au congélateur à -20°C pour des examens sérologiques ultérieurs. Pour les analyses , la technique d'agglutination est utilisée. Sur les 408 sérums prélevés, 406 se sont révélés négatifs et 2 seulement étaient positifs, soit une séro-prévalence de 0,49%. Un test de confirmation qui est la fixation du complément (FC) a révélé tous les 408 sérums négatifs. Les taux d'avortement de 9,56% et ceux d'épididymite de 02,21% révélés par le diagnostic clinique sur le terrain pourraient être dus à d'autres maladies infectieuses. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 78 Etude de la brucellose des petits ruminants dans la zone du Projet de Développement de l'Elevage dans le Borgou-Est. Auteur: LAWIN Dowo Daniel. Date: 1994. Source: Mémoire Lycée Agricole Medji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 40 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les travaux ont couvert la période allant de juillet à mi-septembre et ont concerné 1030 animaux dont 966 ovins et 64 caprins issus des troupeaux encadrés par le projet et 21 sérums (dont 17 d’ovins et 4 de caprins) issus d'élevages traditionnels. Chaque animal est soumis à un examen clinique suivi d'une prise de sang dans la veine jugulaire. Les sera obtenus sont décantés et centrifugés immédiatement puis congelés. Ils sont ensuite soumis au test BENGATEST qui est le test au Rose Bengale qui permet de poser le diagnostic sérologique des Brucelloses à Brucella abortus, Brucella melitensis et Brucella suis par agglutination rapide sur lame. Les résultats montrent sur le plan clinique l'observation des symptômes tels que avortements, caséification des testicules et les mammites tandis que sur le plan de l'infection, la maladie existe aussi bien chez les moutons que chez les chèvres Djallonké et métisses. Le taux d'infection moyen est de 2,2% dans les deux sous-préfectures. A Nikki, selon l'espèce animale, le taux d'infection brucellique est de 1,80% chez les ovins et de 0% chez les caprins; à Kalalé selon l'espèce animale, le taux d'infection brucellique est de 2,50% chez les ovins et de 6,20% chez les caprins. Prévalence de la trypanosomiase dans les troupeaux ovins-caprins : cas des souspréfectures de Kouandé- Péhunco- Copargo dans l'Atacora. Auteur: OLOUKOU Antoine. Date: 1995. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 65 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les travaux ont constitué en une revue documentaire, en la détermination de la prévalence de la trypanosomiase. Des prélèvements de sang ont été effectués sur 250 animaux (ovins et caprins) et ont permis de confectionner 250 frottis et 250 gouttes épaisses. Les prélèvements proviennent de 21 ovins du Centre des Petits Ruminants de Bêket (CPR Bêket), de 130 ovins et caprins suivis (72 ovins et 58 caprins) et de 99 ovins et caprins non suivis (44 ovins et 55 caprins). Les frottis réalisés ont été fixés, colorés au GIEMSA puis observés. Quant aux gouttes épaisses, après confection, elles INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 79 sont aussi colorées au GIEMSA puis observées au microscope. En plus de ces prélèvements, 1898 autres effectués de 1988 à 1994 par le Laboratoire de Diagnostic Vétérinaire de Natitingou ont été associés. Les prélèvements de sang ont été effectués dans 4 localités de chacune des sous-préfectures y compris le chef-lieu. Les résultats indiquent que sur les 250 frottis réalisés, 32 se sont révélés positifs aux trypanosomiases (soit un taux d'infestation de 12,8%) pour la zone d'étude. Sur les 250 gouttes épaisses réalisés, 37 se sont révélées positives à la trypanosomiase (soit un taux d'infestation de 14,8%). Considérant les résultats à partir des gouttes épaisses, les taux d'infestation sont de 16,4; 7,7 et 20,9% respectivement à Kouandé, Péhunco et Copargo. On note sur les 250 échantillons prélevés des taux d'infestaion de 14,8% à Tryapanosoma, 12% à Babésia et 15,6% à Theileria. Que ce soit à Kouandé, Péhunco ou Copargo, la seule espèce de trypanosomose rencontrée est Trypanosoma vivax. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 80 Essai de traitement des parasitoses gastro-intestinales par les graines de papaye chez les montons Djallonké. Auteurs: AFFOGNON Kouami John; ZINSOU Finagnon Emmanuel. Date: 2000. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin, Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé : L'objet de ce travail est d'étudier l'efficacité comparée des graines de papaye et d'une molécule classique le Vermitan® (Albendazole) dans le traitement des parasitoses gastro-intestinales des moutons Djallonké. La présente étude, réalisée en trois phases, s'est déroulée sur la ferme de la Faculté des Sciences Agronomiques sur 91 moutons Djallonké infestés dont 59 brebis âgées de 2 à 5 ans et 32 agneaux âgés de 2 à 6 mois, pendant la période allant de novembre 1999 à février 2000. Dans la première phase, où les graines ont été séchées et moulues dans un moulin à maïs après avoir été conservées pendant 2 à 3 mois, nous avions utilisé cinq lots de huit animaux. Les résultats obtenus dans cette phase ne montrent pas clairement l'efficacité des graines de papaye sur les parasites en cause ( strongles, coccidies et cestodes). Dans la deuxième phase, où les graines ont été sèchées à l'étude pendant 24 h à une température de 105°C puis broyées à l'aide d'un appareil, les résultats semblent démontrer une efficacité essentiellement sur les strongles. En effet, les graines de papaye utilisées à la dose de 200 mg/kg de poids vif ont produit un effet maximal par la réduction de 73,82% du degré d'infestation des animaux par les strongles. Ce taux n'a pas pu être amélioré même avec une augmentation de dose à 400 mg/kg de poids vif. Enfin dans la troisième phase où 21 animaux répartis en 4 lots sont faiblement infestés au début de l'expérience, les résultats n'ont pas permis une interprétation pouvant aboutir à l'évaluation de l'efficacité ou non des extraits aqueux ou alcoolique utilisés dans cette phase. Les résultats demeurent préliminaires et doivent être confirmés par des tests de comptage de vers dans une étude post-mortem. Globalement, les graines de papaye n'ont pas porté préjudice à la santé des animaux. Il a été conclu que les graines de papaye séchées à l'étuve pourraient être utilisées dans le traitement des strongyloses gastro-intestinales des ovins à la dose de 200 mg/kg de poids vif. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 81 Etude de l'efficacité de trois plantes Hyplis suaveolens, Mitracarpus scabei, Ricinus communis dans le traitement de la gale des petits ruminants. Auteurs: WABI Aboubakar.. Date: 2000. Source : Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 51 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: En matière de maladie parasitaire, la gale est une maladie qui réduit fortement la rentabilité des élevages de petits ruminant. Cette étude se veut d'aborder l'aspect de l'utilisation des formes digestées et des pommades dans la lutte contre la gale. Les plantes ont été testées sur les animaux galeux de la ferme de la Faculté des Sciences Agronomiques (FSA/UNB) où l'étude a été faite sur 56 ovins. La particularité ici est la présence de nombreux cas chroniques ayant récidivé après différents traitements aux produits modernes, puis à Djrègbé situé à 3 km de Porto-Novo, les travaux ont porté sur 34 caprins. Les ovins de la FSA avant les expériences n'ont pas été déparasités car ils étaient en attente d'une autre étude sur les parasites internes; les caprins ont été déparasités avant le démarrage des traitements. Les lésions observées sur les animaux ont été classées par types. Ainsi les animaux traités sont regroupés en lots de manière à avoir chaque type de lésion par lot. Il a été ensuite procédé au prélèvement des croûtes et à la recherche des parasites. Les plantes entières d'Hyptis suaveolens et de Mitracarpus scarber et les feuilles de Ricinus communis sont récoltées, triées puis traitées et préparées sous forme de digesté et de pommades. Pour les essais de traitement, les animaux sont rasés au niveau des endroits présentant les croûtes visibles ou cachées dans le pelage. Lors des traitements le produit touche correctement d'abord les abords encore sains de la lisière des lésions et ensuite les parties réellement malades. Le digesté est réparti dans des petits récipients à couvercles dont la pression facilite l'aspersion de l'animal. Un peu de pommade est prélevé dans la paume de la main. La durée du traitement varie selon la nature du produit utilisé et selon l'évolution des lésions. Au lieu de 15 jours, les animaux récidivistes ont reçu un traitement de 35 jours au maximum pour ceux traités aux digestés et de 30 jours au maximum pour ceux traités au pommades. L'étude comparative de l'efficacité des 3 plantes a donné 40% des ovins et 33,33% des caprins traités au digesté d'Hyptis suaveolens sont guéris; 44,44% des ovins et 40% des caprins traités au digesté de Mitracarpus scaber sont guéris; 44,44 pour cent des ovins et 40% des caprins traités au digesté de Ricinus communis sont guéris; 60% des ovins et caprins traités à la pommade d'Hyptis suaveolens sont guéris; 100% des ovins et caprins traités à la pommade de Mitracarpus scaber et de Ricinus comminus sont guéris. Toutefois la lutte doit commencer dès l'apparition des premiers signes pour être efficace. Les mesures prophylactiques doivent accompagner les traitements et la notion de posologie doit également être prise en compte. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 82 Les nématodes parasites du tube digestif des petits ruminants dans le département du Borgou: taxonomie et épidémiologie. Auteur:.SEKO N'GOYE Pascaline. Date: 1998 Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 114 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Les recherches se sont déroulées de mars à avril 1997 et août 1998 et ont porté sur 69 caprins et 43 ovins répartis en trois tranches d'âge: animaux de moins d'un an, animaux de 1 à 2 ans et de ceux de plus de deux ans. Les tractus digestifs obtenus ont été doublement ligaturés par portion à savoir l'œsophage, le rumen, réseau-feuillet, la caillette, l'intestin grêle et le gros intestin. Chacune des parties ainsi délimitées est incisée et débarrassée de son contenu sous un mince filet d'eau au-dessus d'une batterie de tamis de mailles différentes. Les nématodes retenus sont soigneusement rincés à l'eau, récupérés et plongés dans de l'éthanol à 70°, immergés ensuite dans du lactophénol pendant 48 heures pour éclaircissement , puis essuyés avec du papier filtre et montés entre lame et lamelle dans du polyvinyle lactophénol et séchés dans l'étuve à 37°C, pour observation par la suite. Les résultats des observations montrent un taux global d'infestation de 88,39%, un spectre parasitaire par ordre d'importance décroissant qui se compose comme suit: Oesophegostomum columbimum; Haemonchus contortus, Trichuris sp., Trichostrongylus colitriformis, Gaigeria perchiescelis et Bunostomum trigonocephalum. Les caprins ont les plus fortes prévalences par rapport aux ovins; toutes les catégories d'âges sont concernées par le parasitisme ; le sexe n'a aucune influence sur le parasitisme ; les prévalences des infestations sont plus élevées pendant la saison pluvieuse que pendant la saison sèche; pendant la saison sèche, Oesophagostomum columbiamum se présente beaucoup plus sous forme nodulaire larvaire. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 83 Essais de traitement de la gale sarcoptiforme des petits ruminants à l'aide de plantes médicinales Lantana camara et Ricinus communis dans quelques localités du Nord-Ouest du Bénin. Auteur: MONDOTE Kassin Koami. Date: 2002. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 42 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque du CPU. Résumé: Les essais de traitement ont eu lieu dans le département de la Donga du 1er juin au 15 juillet 2002 et ont concerné les localités de Djougou, Barei, Kolokondé, Béléfoungou et Kassoua avec un effectif total de 25 petits ruminants (22 caprins et 3 ovins) traités. Les animaux sont classés en trois types selon les lésions observées. Type1 (lésions très récentes couvrant au plus 20% du corps de l'animal), type2 ( lésions couvrant 20 à 70% du corps de l'animal) et type3 (lésions couvrant 70 à 90% du corps de l'animal). Les plantes sont séchées et réduites en poudre qui est tamisée puis mélangée au beurre de karité dans les proportions de 1 pour 6. Le traitement est appliqué une fois tous les deux jours, le suivi de l'évolution des lésions assuré tous les deux jours. Avant le démarrage de l'essai les animaux ont été déparasités au Bolunisole1. Sur les 25 animaux retenus, seulement 17 étaient positifs aux lésions de gale. Pour le type1 des lésions, 5 animaux ont été traités au Lantana camara et 4 au Ricinus communis, pour le type2 un seul animal a été traité au Lantana camara et pour le type3, 4 animaux ont été traités au Lantana camara et 3 au Ricinus communis. Selon le type des lésions et la plante utilisée, les résultats suivants ont été obtenus: Lantana camara (L. camara)100% de guérison pour le type 1 , 100% de guérison également pour le type 2 et 25% de guérison pour le type 3. Le Lantana camara a donné de meilleurs résultats par rapport au Ricinus commnis qui est de surcroît plus irritant. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 84 Insectes et acariens parasites des petits ruminants dans les départements de l'Alibori et du Borgou. Auteur: IBOURAIMA Ibrahim Kinnou Date: 2002. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 42 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque du CPU. Résumé: Les investigations ont couvert la période allant de septembre 2000 à mars 2001, soit 7 mois, et les prélèvements ont été effectués durant au moins 3 jours chaque semaines et dans 11 localités dont 3 dans l'Alibori et 8 dans le Borgou. Les animaux concernés par l'étude ont été classés en 3 catégories dont ceux de moins d'un an, ceux de 1 à 2 ans et ceux de plus de deux ans. Les ectoparasites sont prélevés et conservés dans l'éthanol à 70° alors que les croûtes sont raclées jusqu'à la rosée sanguine et conservées dans des sachets. Les ectoparasites sont éclaircis au lactophénol puis observés au microscope et montés entre lame et lamelle dans le polyvimyl lactophénol puis observés au microscope alors que les croûtes sont triturées sur une lame dans du lactophénol ou bouillies dans du KOH à 10% puis observées au microscope. Au total, 1348 animaux ont été examinés dont 363 dans l'Alibori avec 123 parasites (soit 33,88% de taux d'infestation), 985 dans le Borgou avec 373 parasites (soit 37,86% de taux d'infestation) donc un taux de parasitisme significativement plus élevé dans le Borgou que dans l'Alibori. Par espèce animale, les caprins ont un fort taux de parasitisme par rapport aux ovins; les taux d'infestations sont plus élevés en période humide q'en période sèche; toutes les catégories d'âges sont concernées par le parasitisme aux ectoparasites mais plus chez les animaux de 1 à 2 ans. Le taux global d'infestation des animaux est de 36,79% et les parasites rencontrés sont variés: il s'agit de Damalinia ovis; Damalinia caprae; Linognathus pedalis; Linognathus stenopsis; Etenocephalides felis var; strongylus pour les insectes et de Rhipicephalus sp.; Amblyomma sp.; Sarcoptes scabiei et Psoroptes ovis pour les acariens. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 85 3.3 Alimentation et performances zootechniques: Méthodologie appliquée à l'amélioration des performances de productivité des petits ruminants dans le Borgou- Est: cas de Nikki et de Kalalé. Auteur: AÏTE Félix. Date: 1993 Source: . Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation: Bibliothèque LAMS. Résumé: Les races d'animaux concernées par l'étude sont les ovins et caprins Djallonké puis les métis Sahéliens croisés Djallonbé. Elle a porté sur 78 troupeaux dont 58 d'ovins, 5 de caprins et 15 mixtes et sont encadrés par le projet de 1988 à 1992 a permis de relever les premiers paramètres de productivité dont les plus importants sont: le taux de fécondité, le taux de fertilité apparent, le taux de prolificité et le taux de mortalité. L'effectif des ovins enquêtés est de 3461 têtes, celui des caprins est de 522 têtes. L'amélioration de ces performances de productivité passe par l'alphabétisation des éleveurs ce qui a conduit à leur dispenser des cours en Fulfuldé pour les Peulh et en Baatombu pour les Bariba, la formation des fils d'éleveurs en matière de gestion des troupeaux, de complémentation alimentaire, de santé animale et détenue de documents, la sensibilisation par les moyens audiovisuels, la construction de logements et le contrat de services, la santé et l'amélioration du potentiel génétique qui passe par l'introduction dans l'élevage de géniteurs améliorés. Possibilité d'embouche ovine à partir des fourrages cultivés à Tchaourou. Auteur: AMADOU Moumouni Mama. Date: 1999. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 46 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Des essais d'alimentation ont porté sur trois types de rations consistant d'abord à faire paître un lot d'animaux exclusivement sur parcours naturel, ensuite à offrir à un autre lot des compléments au retour du pâturage et enfin à maintenir les animaux d'un autre lot sur place et leur offrir du fourrage et des compléments. Cette étude permettra de déterminer un type d'embouce ovine peu onéreux dans Tchaourou. Le matériel animal est constitué de douze ovins Djallonké âgés de 6 à 24 mois et les aliments sont constitués de pâturage naturel , de Panicum maximum, de Leucaena leucocephala, des foins de Panicum maximum ,de Rottboellia cochinchinensis , de Oryza barthii et de INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 86 Tephrosia bracteolata et des compléments faits d'épluchures d’igname, de fanes d’arachide, de sons de maïs et de haricot. L’expérience a commencé le 26 octobre 1998 et s’est achevée le 04 janvier 1999 et les animaux sont répartis en 3 lots de 4. Le lot témoin est conduit sur pâturage naturel uniquement (9 heures/jour); le lot 1 est également conduit sur pâturage naturel (9 heures/ jour) et reçoit en complément des épluchures d'igname, des fanes d'arachide et du son de maïs ainsi que du son de haricot; quant au lot 2 qui est nourri à lauge, il reçoit du foin de 8h à 14h, du Leucaena frais et des épluchures d'igname de 14h à 18h, du son de maïs et de haricot à 18h puis les fanes d'arachide sont disponibles de jour comme de nuit. Les résultats ont montré que la ration du lot 2 a donné les meilleurs performances avec un gain moyen quotidien (GMQ) de 38,57g et un coût de production de 460Frcs/kg de gain de poids. Les résultats montrent que dans la zone de Tchaourou un complément alimentaire est nécessaire aux ovins après pâturage. Contribution à l'étude des paramètres zootechniques et de productivité des troupeaux de démonstration de petits ruminants suivis par le Projet de Développement Pastoral Intègre dans le Borgou. Auteur: AMIDOU Nourou. Date: 1990. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 51 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Il s'agit de 9 troupeaux dont 7 de l'espèce ovine et 2 de l'espèce caprine appartenant à des secteurs que sont Kalalé, Nikki et Sègbana. La collecte des données est basée sur le contrôle des performances pondérales des animaux, les mouvements au sein du troupeau, le recueil des évènements démographiques ou pathologiques et l'observation de l'évolution de la table dentaire et a concerné un effectif moyen de 253,5 animaux (dont 61 caprins et 192,5 ovins) sur la période allant de mai 1989 à avril 1990. Les performances de reproduction enregistrées chez les ovins se caractérisent par un âge moyen à la 1ère mise bas de 17,5 mois avec un écart-type de 3,41, un âge moyen à la 1ère saillie fécondante de 12,5 mois, un taux de prolificité de 131,06%, un taux de fécondité de 133%, un taux de fertilité de 103,44%, puis chez les caprins par un âge moyen à la première mise bas de 14,8 mois avec un écart type de 3,2; un âge moyen à la première saillie fécondante de 9,8 mois, un taux de prolificité de 203,03%, un taux de fécondité de 262,74%, un taux de fertilité de 137,25%, un taux d'avortement de 1,97% (O) et 7,84% (C), sex-ratio des ovins 57% mâles et 43% femelles et chez les caprins 53% mâles et 47% femelles, l'intervalle moyen entre mise bas chez ovins est de 225± 55 jours et de 218± 45 jours chez les caprins, le taux de mortalité de 27,76% chez les ovins et de 18,18% chez les caprins, le taux d'exploitation est de 23,89% chez les ovins et 40,98% chez les caprins, le taux de croit brut de 23,83% (O) et 6,77% (C) tandis que le croît net est de 1,16% (O) et 6,77% (C), rendement numérique des troupeaux ovins 25,05% et caprins 34,21%. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 87 Evolution pondérale chez les agneaux Djallonké alimentés de graines de coton et de drèche de bière locale au Centre des Petits Ruminants de Béket (Péhunco). Auteur: COUGBELE Adolphe Apollinaire. Date: 1993. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 33 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les recherches ont duré 95 jours (du 14 juin au 14 septembre 1993) et ont concerné 3 lots de 11 agneaux chacun qui sont pesés dès le premier jour de leur naissance et hebdomadairement pendant toute la durée de l'étude. La pesée a lieu tôt le matin avant toute alimentation. Le premier lot est constitué des agneaux du Centre des Petits Ruminants de Béket qui sont suivis sur le plan sanitaire. Ils sont nourris avec du pâturage naturel et du pâturage artificiel. Ils recçoivent également en complément des feuilles de Cajanus cajan, de la drèche de bière locale séchée à raison de 200 grammes par tête par jour mélangées aux graines de coton ''grandless'' à raison de 300 grammes par tête par jour. Le deuxième lot est constitué des agneaux issus d'un troupeau encadré par le Projet Promotion de l'Elevage dans l'Atacora (PPEA). Ils sont nourris sur pâturage naturel et reçoivent par moment un complément fait de drèche de bière locale fraîche ou séchée, des déchets de cuisine (épluchures de tubercules séchées, son de céréales) et d'herbe fauchée. Le troisième lot est constitué d'agneaux issus d'un troupeau non encadré où les animaux sont en divagation libre. Tous les trois lots d'animaux disposent d'un abri pour la nuit. Les résultats montrent qu'à partir de la cinquième semaine, les agneaux du Centre ont commencé par croître plus rapidement que ceux des deux autres lots. A la quatorzième semaine, les agneaux du Centre doublent presque le poids de ceux du troupeau non encadré et les agneaux du troupeau encadré n'atteignent pas les deux tiers du poids de ceux du Centre. En effet les grains moyens quotidiens (GMQ) enregistrés sont de 78,6 g; 92,9 et 100 g de 0 à 30 jours; de 46,4g; 39,3 et 85,7 g de 30 à 60 jours; de 25 g; 35,7 et 100 g de 60 à 90 jours puis de 10,7 g; 35,7 et 92,8 g de 90 à 120 jours respectivement pour les troupeaux ovins non encadrés, encadré et ceux du Centre des Petits Ruminants (CPR) de Béket. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 88 Contribution à l'étude des possibilités d'amélioration de l'élevage traditionnel des agneaux et des chevreaux dans l'Atacora. Auteur: BOUKO Benjamin Georges. Date: 1989 Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 48 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation: Bibliothèque LAMS. Résumé: Les troupeaux enquêtés ont un effectif moyen de 28,45% d'agneaux et de 33% de chevreaux. Les agneaux et chevreaux élevés selon le système traditionnel sont nourris exclusivement au lait maternel à la naissance; il n'y a pas de période fixe de sevrage mais dans certains élevages enquêtés il a lieu vers 3 à 5 mois pour les agneaux et 3 à 4 mois pour les chevreaux; l'abreuvement se fait dans les mêmes conditions que les adultes et il n'y a pas de logements spécifiques destinés aux agneaux et chevreaux. Ces conditions d'élevage contribuent à augmenter les taux de mortalité qui constituent un handicap à l'accroissement rapide du cheptel. Ces taux de mortalité sont de 34,4% en milieu rural, pour cette tranche d'âge. Mais il existe d'autres causes de mortalité telles les causes nutritionnelles, celles dues aux pathologies, aux prédateurs et aux accidents. Pour l'amélioration de l'élevage des agneaux et chevreaux, l'attention doit être portée sur le logement qui protègera les animaux et intempéries, faciliter les manipulations et un meilleur contrôle de l'effectif; il doit être pourvu de ses équipements (abreuvoirs et mangeoires); ensuite, il faut améliorer la conduite des géniteurs et reproducteurs en pratiquant une sélection et en préparant les animaux à la lutte, améliorer l'utilisation des pâturages naturels, des sous-produits agro-industriels, introduction des cultures fourragères, pratiquer la complémentation minérale, alphabétiser les éleveurs, renforcer l'encadrement technique des agro-éleveurs, procurer des soins aux nouveaux-nés et les alimenter. Si tous ces préalables sont remplis nul doute que l'essor des petits ruminants s'en ressentira. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 89 Essais d'embouche intensive d'ovins (Fulani et Djallonké) à Nikki, au Nord- Est du Bénin. Auteur: DEHOUX J.P., HOUNSOU-VE G., Date: 1992. Source: Rapport d’étude n° 4 Collation: 36 pages. Lieu d'édition: France. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Il s'agit de deux essais d'embouche réalisés de 1991 à 1992. le premier essai préliminaire d'embouche intensive de béliers Fulani et Djallonké est basé sur l'utilisation de céréales (mil et maïs) et de graines de coton. Dix béliers entiers de races Fulani et Djallonké (cinq de chaque race) ont été nourris de céréales (mil et maïs), de graines de coton et de fourrages verts. Les résultats ont donné un gain moyen quotidien réalisé en cinq semaines sur des animaux âgés de 14 à 20 mois , de 105,7 plus ou moins 157,70g pour les Djallonké et de 117,6 plus ou moins 167,0g pour les Fulani, soit 9,5g par kg métabolique pour les premiers et 7,8g par kg métabolique pour les seconds. Les poids au démarrage de l'essai étaient de 23,0 kg pour les Djallonké et 35,2 kg pour les Fulani. Aucune différence n'a été observée pour les deux races quant à leurs performances. Les résultats de croissance et les indices obtenus ont été décevants malgré une teneur énergétique et protéinique de la ration, supérieure aux normes. Une meilleure programmation de l'achat des animaux et des aliments aurait permis d'obtenir des bénéfices plus importants que ceux réalisés soit 570 FCFA pour un Fulani et 910FCFA pour un Djallonké. Le deuxième essai d'embouche intensive a concerné des béliers Djallonké avec deux types de rations (mil ou graines de coton avec du fourrages vert). Dix béliers entiers Djallonké ont été repartis en deux lots de cinq chacun. Un lot nourri à base de mil et le second à base de graines de coton. Les résultats obtenus ont donné un gain moyen quotidien réalisé en 9 semaines sur des animaux âgés de 12 mois significativement différent entre les deux lots : 64,1 plus ou moins 105,3g pour le lot ''mil'' et 39,1 plus ou moins 90,7g pour le ''coton ''. Malgré les performances de croissances et les indices moyens , l'opération a permis de dégager un revenu net par animal appréciable de 3040 FCFA pour un bélier du lot ''mil et de 4040 FCFA pour un bélier du lot ''coton ''. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 90 Essai préliminaire d'embouche intensive de béliers Fulani et Djallonké à base de céréales (mil et maïs) et de graines de coton, au Nord-Est du Bénin. Auteurs: DEHOUX J. P.; HOUNSOU-Vê G. Date: 1991. Source: Tropicultura, 9, 4, 151-154. Collation: 4 pages. Lieu d'édition: Pays-Bas. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Pendant 35 jours, cinq béliers entiers Fulani et cinq béliers entiers Djallonké, ayant des poids vifs initiaux de 35,2 et 23kg respectivement, ont été élevés dans un enclos couvert dans les Nord-Est du Bénin et soumis à une ration composée de graines de mil et de maïs, de graines de coton et de fourrage vert (les consommations journalières 0,75; 0,31; 0,31; et 0,61kg puis 0,51; 0,23; 0,19; et 0,60kg) pour les deux races respectivement. Le gain de poids journalier est 117,6 et 105,7g. La consommation d'unité d'aliment par kg de poids gagné est 13,8 et 13,4. Il n'y a pas de différence sign,ificative entre les performances au sein des deux races qui sont modérées considérant le taux élevé d'énergie et de protéine contenues dans la ration pourrait être utilisée seulement pour une courte période d'embouche. Les béliers Djallonké sont considérés comme étant plus adaptés à une embouche intensive dans les conditions locales. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 91 4 Volaille 4.1 Général Contribution à l'amélioration de l'aviculture traditionnelle dans la circonscription urbaine de Kandi : cas des poulets. Auteurs: BARIZI Bio Mama; CHABI BARANON O. Mohamed Date: 2001. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation :Bibliothèque LAMS. Résumé: L'échantillonnage a été fait selon la méthode du ''choix orienté '' et 116 éleveurs ont été enquêtés ( soit 5 pour cent de l' effectif des éleveurs) dont 14 ont accepté les propositions d'amélioration. Les travaux se sont déroulés de juin à octobre 2001 en 3 étapes. La première consacrée à l'exploration de terrain , la deuxième à la collecte des données et la troisième au dépouillement des données recueillies. Les 14 éleveurs (9 hommes et 5 femmes) ayant accepté de tester les propositions d'amélioration ont été suivis et le suivi a duré 13 semaines. Les paramètres d'amélioration ont concerné l'habitat; une meilleure aération, la protection contre les prédateurs, l'existence d'une porte , la création des compartiments par catégorie d'oiseau , l'existence d'une litière, l'installation de perchoirs, de pondoirs, d'abreuvoirs et de mangeoires. Concernant l'alimentation , les oiseaux seront complémentés et les poussins seront particulièrement suivis. Quant à l'abreuvement , il faudrait mettre de l'eau à la disposition des oiseaux , veiller qu'elle soit propre ainsi que les abreuvoirs , la renouveler tous les matins; au sujet de l'hygiène , il faudrait laver régulièrement les abreuvoirs et mangeoires , désinfecter les poulaillers , isoler les malades et détruire les cadavres , renouveler la litière et pratiquer la quarantaine pour tous nouveaux oiseaux. Le suivi sanitaire est basé sur la prévention (vaccinations, déparasitages et administration de vitamines et d'antibiotiques). A la suite des 26 visites effectuées chez chaque éleveur, il a été constaté que les actions avaient porté leurs fruits sur la reproduction par exemple où la ponte est passée de 0 à 8 oeufs de 10 à 12 oeufs avec une éclosion de 9 à 11 poussins. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 92 Etude préliminaire au développement de l'élevage de la pintade dans la zone de Batia (Atacora). Auteur: HOUNDONOUGBO M. Frédéric. Date: 1996. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 100 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Les recherches ont concerné 1231 éleveurs de pintades dans 8 villages et se sont déroulées sous forme d'entretiens sur les thèmes suivants: composition et activités de l'unité domestique de production, surfaces emblavées par culture et utilisation des récoltes, l'élevage des pintades ( effectif des poules, nombre d'œufs pondus, nombre de jeunes éclos, habitat, alimentation, pratiques sanitaires, difficultés d'élevage et destination des produits) et perspectives d'avenir envisagées. Les résultats obtenus suite aux entretiens se résument comme suit: Batia constitue la zone d'élevage de la pintade pour la vente de ses produits mais elle garde son importance socioculturelle, les pintades sont élevées en liberté et la production est saisonnière, les naissances se font en saison des pluies, le taux d'éclosion moyen est de 66% au cours de la campagne 1995-1996, les pintadeaux sont alimentés en céréales et en termites jusqu'à 2 mois d'âge tandis que les plus âgés ne reçoivent que des céréales, l'existence d'un abri de fortune, l'application de quelques soins sanitaires en cas de maladie. 36% des éleveurs enquêtés appartiennent au type traditionnel (ils utilisent les décoctions ou macérations d'organes de plantes pour traiter les oiseaux malades). Ceux du type moderne représentent 37% des enquêtés (ils associent méthodes modernes et traditionnelles). Les difficultés rencontrées sont: mortalité des pintadeaux et des poules couveuses, alimentation et actions néfastes des prédateurs. Le taux de mortalité des jeunes entre 0 et 2 mois est de 57%. Une étude de marché auprès de deux restaurants à Tanguiéta et ceux de l'hôtel de la Pendjari a montré une consommation de 5552 pintades en une année mais les estimations prévoient 7100 pintades dont 3300 pour l'hôtel de la Pendjari qui achetait auparavant 100% de sa consommation au Burkina Faso. Des propositions faites en vue du développement de l'élevage portent sur le choix du groupe cible (éleveur moderne), l'amélioration de la santé, de l'alimentation et du logement des oiseaux puis la formation des éleveurs et des agents villageois de santé animale. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 93 Contribution à l'étude des causes de mortalité des pintades (Numidae meleagris) de race locale dans le département du Borgou. Auteur: PAYOKOTH Alain Troukou. Date: 2001. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 74 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Le suivi de 21 élevages dans les localités de Bembèrèkè, N'Dali, Parakou et Tchaourou, une enquête épidémio-clinique des pathologies des pintades chez 66 éleveurs, une série d'observations cliniques nécropsiques ainsi que des analyses bactériologiques et parasitaires ont été effectués. Le suivi des élevages a révélé un taux global de mortalité des pintades de 53%. En saison pluvieuse ce taux était largement plus élevé (43%) qu'en saison sèche (15%). Le suivi a permis aussi de savoir qu'en saison pluvieuse les causes de mortalités des pintades étaient les maladies et les dangers naturels alors qu'en saison sèche se sont les accidents et les prédateurs qui déciment les troupeaux. Les examens cliniques ont conduit au classement des symptômes généraux et digestifs au premier rang chez les pintades malades. Les cadavres ayant fait l'objet d'autopsie ont montré des lésions fréquentes de l'intestin, du foie et des organes urinaires chez les pintadeaux. Les germes isolés au niveau des différentes lésions observées sont Staphyloccocus sp., Escherichia coli, Klebsiella sp., Pscutomonas sp. et Salmonella sp.. Quant aux parasites de la peau, le genre Amblyomma a été rencontré, au niveau de la trachée et du tube digestif se sont les nématodes des genres Syngamus, Gongylonema, Capillaria, Ascaridia, Héterakis et Subulura et les cestodes des genres Choanotaenia, Hymenolepis et Raillietina et des Acanthocéphales du genre Mediorknechus. Contribution à l'étude des modes actuels et de l'importance socio-économique de l'élevage des pintades au Nord-Bénin. Auteur: BELCO Boukari K. B. Latifou. Date: 1985. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Université Nationale du Bénin. Collation: 138 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Une étude a été menée dans 11 districts du Nord-Bénin, du début du mois de mars à la mi-mai et dans le Sud-Bénin du début à la fin de mois de juillet. L'objectif était d'étudier les différents modes d'élevage des pintades et l'importance socio-économique de cet élevage dans le Nord-Bénin. Cent vingt sept (127) éleveurs ont été enquêtés au total dont quatre vingt sept (87) au INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 94 Nord et quarante (40) au Sud. Les investigations faites auprès des éleveurs, à travers un questionnaire, ont permis de retenir l'élevage en liberté avec ou sans habitat comme le mode d'élevage prédominant dans cette région. L'analyse des techniques d'élevage a permis de conclure que cet élevage est encore très peu rentable en raison de nombreuse difficultés rencontrées par les éleveurs. Toutefois l'oiseau présente des qualités intéressantes qu'on peut exploiter. L'étude des productions et de la consommation de cet oiseau a montré que sa consommation n'est limitée par aucun tabou; l'élevage de cet oiseau pourrait revêtir un intérêt socio-économique certain. Elevage des dindonneaux dans la commune urbaine de Djougou : contraintes et possibilités d'amélioration. Auteur: OGOUNDELE Noël Awonon. Date: 1992. Source: Mémoire Lycéé Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 78 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: La méthodologie compte trois volets : le choix des éléments qui a conduit à retenir 18 participants, la pesée des animaux et le suivi des troupeaux qui a duré du 1er juillet au 30 septembre 1992 a permis de visiter les éleveurs tous les 15 jours, ce qui permettait d'enregistrer entre , sorties , mortalités , performances de reproduction et pesées puis d'enquêter concernant les pratiques d'élevage des dindons (habitat alimentation, reproduction, l'exploitation du troupeau , hygiène et pathologie); plusieurs races de dindons sont élevées selon le mode traditionnel; la structure des troupeaux est caractérisée par une inégalité entre les différentes catégories d'animaux; l'habitat rudimentaire est caractéristique du mode d'élevage avec une hygiène quasi-nulle; les dindons cherchent eux- mêmes leurs nourriture mais seuls les dindonneaux sont sujets à une attention particulières, ils reçoivent des protéines d'origine animale (termites , asticots et fretins ) . Les contraintes dudit élevage se résument comme suit : mauvaise alimentation, problèmes liés aux maladies , mortalités rapides , complémentation alimentaire inadéquate , faible production, prédateurs et vols, mauvais voire absence d'habitat. Les actions à mener pour l'amélioration de cet élevage portent sur la conduite de l'élevage et la santé des oiseaux. Pour ce faire il faudrait prévoir un habitat dans tout élevage de dindons avec tous les équipements nécessaires. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 95 4.2 Santé et parasitologie Contribution à l’amélioration de la lutte contre la pseudo-peste aviaire dans la souspréfecture de Matéri. Auteur: YAROU Jacques Olivier. Date: 1997. Source: Mémoire Lycée Agricole Médjl de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 44 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les travaux se sont déroulés successivement en saison sèche (décembre 1996-février 1997) puis en saison pluvieuse (mai-octobre1997) sous la forme d'interview (aux aviculteurs et aux vaccinateurs villageois de volailles), d'informations reçues des agents d'élevage, de recherches documentaires et d'observations directes. Les travaux ont concerné les six communes de la souspréfecture que sont : Dassari, Tantéga, Gouandé, Matéri et Tchaourou-Cossi et 4 villages ou communes. Les résultats ont permis de connaître l'importance numérique de la volaille, leur condition de vie ainsi que leur importance socioéconomique. Les foyers de pseudo-peste aviaire causent assez de mortalité en saison pluvieuse. Les poulaillers, pour la plupart ne sont pas entretenus et l'abreuvement reste un problème crucial Diagnostic des verminoses par examens coprologiques et autopsies helminthologiques du tube digestif des pintades dans la zone d'intervention du Projet Appui au Développement de l'Elevage dans le Borgou. Auteur: MORA Kassim M. S. J. Date: 2001. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: L’étude a concerné les sous-préfectures de Bembèrèkè, N’Dali, Tchaourou et la circonscription urbaine de Parakou et a consisté en l’observation des œufs de parasites par le biais des examens coprologiques et en l’identification des divers parasites à l’aide des autopsies helminthologiques en vue de faire apparaître l’incidence de certains facteurs sur le taux d’infestation par les parasites. Les examens coprologiques sont basés sur la méthode de concentration par flottaison chez les poulets et les pintades d’au moins 6 mois et ont concerné 135 prélèvements. Les autopsies helminthologiques du tube digestif et des trachées sur les cadavres des pintadeaux de moins de 6 mois et des pintades de plus de 6 mois. Les résultats obtenus ont montré lors des examens coprologiques des œufs de Capilaria sp. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 96 (23,19%) ; Ascaridia sp. (23,19%) ; Syngamus sp. (21,74%) ; Heterakis sp. (12,72%) ; Echinostoma sp. (4,34%) et d’Ookystes coccidiens (18,84%) Les autopsies helminthologiques ont montré chez les pintades adultes, les nématodes des genres Ascaridia (52%), Heterakis (37,33%), Capillaria (29,33%), Subulura differens (12%), Gongylonema congolensis (6,67%) et Syngamus trachea (4%) ; les cestodes des genres Hymenolepis (48%), Raillietina (26,66%) et Cotugnia digonopora (26,66%). Les ancanhocéphales sont de l’espèce Mediarynchus numidae (6,66% ). Les pintades adultes étaient à 100% infestées alors que les pintadeaux de moins de 6 semaines n’hébergeaient pas de parasites aussi bien dans leurs tubes digestifs que dans leurs trachées. Par rapport aux poulets, les pintades apparaissent moins sensibles mais plus infestées. Il semble apparaître aussi que la prévalence du parasitisme pendant les mois de pluies est supérieure à celle des mois sans pluies. Les modes d’élevage et d’alimentation ainsi que les conditions d’hygiène de l’élevage sont trois facteurs qui contribuent à l’observation des forts taux d’infestation. Faune parasitaire helminthique du tube digestif et de l'appareil respiratoire de la pintade domestique dans les départements de l'Alibori et du Borgou. Auteur: GOUDEGNON J. A. Mireille. Date: 2001. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPUà), Université Nationale du Bénin. Collation: 44 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Une étude réalisée d’août 2000 à mars 2001 sur le parasitisme helminthique du tube digestif et de l’appareil respiratoire de la pintade domestique dans les départements de l’Alibori et du Borgou a concerné les localités de Banikoara, Gogounou, Kandi et Malanville (Alibori) ainsi que celles de N’Dali et Kalalé (Borgou). Les tractus digestifs de 228 pintades ont été prélevés. Pour chacun d’eux il a été procédé à une double ligature des extrémités des différentes parties à savoir œsophage-jabot, proventriculegésier, intestin-grêle et coecum. Chaque partie ainsi délimitée est ouverte sous un mince filet d’eau au-dessus d’une batterie de tamis à mailles différentes. Les vers retenus sont rincés et récupérés au moyen d’une pince et plongés dans l’éthanol à 70° pour les nématodes et dans du formol à 10% pour les cestodes et acanthocéphales. Les résultats montrent un taux d’infestation estimé à 100%; le spectre parasitaire se présente comme suit : les nématodes Ascaridia humidae, Heterakis brevispiculum, Gongylonema, Subulura brumpti et Syngamus trachea ; les cestodes Choanotaenia infundibulum, Cotugnia digonopora, Raillietina cesticillus et Raillietina spp ; les acanthocéphales Mediorhynchus numidae. Les animaux sont parasités dans toutes les localités ciblées quelle que soit la saison. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 97 5 Elevage non conventionnel 5.1 Général Essai d'héliciculture en République Populaire du Bénin : bilan et perspectives. Auteur: ANAGONOU Théodore. Date: 1982 Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 84 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: L'escargot constitue à l'heure actuelle une denrée de plus en plus rare. Du fait de cette situation, sa valeur marchande est trente fois plus élevée qu'il y a dix ans. L'escargot Achatina achatina s'inscrit parfaitement parmi ces sources de protéines et son importance n'est plus à redouter. La consommation d'un escargot se conçoit plus aisément, et constitue ainsi une source de protéines animales. En effet, la Matière Azoté Total ( MAT) rentre à 12- 14,56% dans la composition de la chair de l'escargot alors qu'elle est de 20,50% pour le poulet. Les résultats de notre élevage expérimental indiquent que l'achatiniculture est quelque chose de réalisable mais qu'il convient de l'entreprendre après acquisition des notions zootechniques précises. Certains points sont fondamentaux et doivent requérir une attention particulière ; c'est le cas de l'hygiène et de l'alimentation. Le développement de l'héliciculture ne peut être l’œuvre de quelques curieux ou désœuvrés. C'est d'abord et surtout l'affaire des Responsables du Développement Rural (RDR). Programme d'amélioration de l'apiculture traditionnelle dans l'Atacora : situation actuelle et perspectives. Auteur: MADOUGOU Boukari Boni Moussa. Date: 1995. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 77 pages. Lieu d'édition: Abomey- Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Au Bénin, l'apiculture est traditionnellement pratiquée dans tous les département du territoire national surtout dans la région de l'Atacora. Jusqu'à une date récente, cette activité était seulement d'appoint pour combler quelque peu le déficit alimentaire des apiculteurs pendant la période de soudure et essayer d'accroître leurs revenus annuels. Les recherches menées au Projet de Promotion de l'Elevage dans l'Atacora (P.P.E.A) ont été conduites en deux phases: une étude documentaire avec manipulation dans les ruchers installés INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 98 au sein du projet et dans le secteur élevage de Natitingou et une enquête sur le terrain avec participation aux séances de démonstration sur les techniques introduites par le projet. Cette enquête est basée sur un questionnaire individuel suivi d'une phase de discussions avec des groupes d’apiculteurs. Les interventions du projet portent essentiellement sur le milieu humain. Elle consiste à assurer l’encadrement technique des apiculteurs, leur accorder de crédits, les aider à commercialiser les produits de la ruche. Le programme d’amélioration de l’apiculture traditionnelle a eu le mérite, malgré ses moyens limités, de faire prendre conscience aux apiculteurs traditionnels des insuffisances du mode traditionnel de production et de faire des propositions acceptables, simples et réalistes. Il en résulte une amélioration de la qualité et de la quantité des miels disponibles sur le marché. Il en est de même de l’exploitation de la cire. Etude écoéthologique du cobe de buffon (Adenota Kob-Bovide Reduncine) dans le Parc National de la Pendjari. Auteur: KIDJO Ferdinand Claude Date: 1986. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 75 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Le cobe de Buffon Adernota kob (Bovidé Redunciné) est l'espèce la plus représentative dans le Parc National de Pendjari (PNP créé en 1952) et il est aussi plus ou moins anthropophile, deux raisons intéressantes du point de vue touristique, économique, alimentaire, éducatif. etc.. Les résultats obtenus par observation directe dans le parc ou observation par objectif ou jumelles permettent de dégager de l'organisation sociale, le territorialisme et la hiérarchie, deux facteurs qui règlent le comportement social de cette antilope. Le harem demeure la structure de base de l'organisation chez le cobe de buffon. De l'actogramme, il a été mis en évidence les différentes activités du cobe pendant 24 heures. Les préférences alimentaires ont été également abordées malgré l'influence de la sécheresse sur les végétaux, sans oublier les relations interspécifiques et intra spécifiques qui ont permis d'observer les espèces qui peuvent s'associer avec les cobes et d'apprécier l'impact de l'homme sur leur épanouissement. Le sex-ratio calculé sur un échantillon représentatif montre que chez les populations de cobe il y a environ 70% de femelles pour 30% de mâles.Toute protection et toute exploitation rationnelle de la faune sauvage, véritable richesse potentielle pour notre pays, passe nécessairement par une meilleure connaissance des animaux dans leur milieu naturel. Par conséquent, l'étude écoéthologique du cobe de buffon dans P.N.P. se justifie au vue de ces objectifs. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 99 Enquête sur la cuniculture dans la province de l'Atacora. Auteur: CHABI Paul Date: 1986 Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 55 pages. Lieu d'éditon: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Dans le but de contribuer à la promotion de la cuniculture dans notre pays (Bénin) et en particulier dans l'Atacora, il a été choisi de faire une étude sur cet élevage. Cette étude ayant pour objectif d'identifier les élevages cunicoles existants, de déterminer leur productivité et leurs contraintes, il a été établi des questionnaires sur : l'inventaire du cheptel; la variation d'effectif et la destination des produits; le logement; l'alimentation; la reproduction; la santé et l'hygiène du cheptel. Il est à noter l'absence de statistiques et d'informations préalables sur l'existence et la localisation des élevages au niveau de la DEIA et les différents secteurs. L'enquête s'est déroulée du 3 mars au 24 mai 1986 et a porté sur dix secteurs d'élevage sur treize et où un séjour de deux jours à une semaine est passé dans chaque secteur. Les éleveurs sont prévenus à l'avance des séances dont chacune dure une heure environ. Dans les milieux non lettrés, l'agent d'élevage qui comprend en général la langue du milieu assiste aux séances. Dans l'Atacora, l'élevage du lapin assez répandu dans la province, est une activité secondaire réalisée par certains ruraux dont la plupart sont essentiellement orientés vers les productions végétales et du gros bétail. Il est caractérisé en général par de petites unités d'élevage de type traditionnel, familial, dans des conditions déplorables avec une alimentation souvent rudimentaire ( fourrages, déchets, etc…) qui n'apporte à l'animal qu'une faible partie des besoins en quantité et en qualité. Néanmoins les élevages se maintiennent et les efforts de créations de coopératives cunicoles existent. Les 64 ménages visités possèdent 983 têtes de lapins, ce qui permet de compter sur une douzaine de lapins consommables par an et par femelle reproductrice. C'est une activité qui serait plus rentable si un effort provenait aussi de l'Etat que des éleveurs en vue de son épanouissement. Mais il n'existe aucun circuit de commercialisation. Cependant si les améliorations sont entreprises, les éleveurs peuvent tirer des avantages substantiels qui élèveront leur niveau de vie, le rendement en viande du lapin étant largement supérieur à celui de tous les autres animaux herbivores. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 100 Contribution à l'étude pour le développement de l'apiculture au Bénin. Auteur: PEDRO Francis. Date: 1980. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 48 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: En vue d'une tentative d'amélioration des méthodes pour un développement de l'apiculture, des enquêtes ont été pratiquées sur l'activité apicole traditionnelle et celle moderne de chez nous en République Populaire du Bénin. Ces enquêtes ont surtout eu lieu dans les provinces du Borgou et de l'Atacora, choisies parce qu'elles sont incontestablement les régions les plus productrices du miel. Plusieurs communautés rurales ont été visitées et les méthodes d'élevage apicoles observées sont essentiellement traditionnelles et à productivité faible car basée sur la cueillette. Toutefois dans certaines régions il existe une tentative de production plus accrue de miel. Pour piéger les essaims volages, l'apiculteur place de préférence ses ruches dans les arbres qui sont soit cylindriques couvertes d'herbages afin d'éviter les infiltrations d'eau de pluie, soit des troncs creux ou soit encore des jarres percées de trous. Ces différents habitats sont placés sur les pieds fourchus des arbres. Au niveau de la population actuelle, l'utilisation des caisses recouvertes d'une planche que l'on enlève au moment des récoltes , est de pratique courante. La ruche cylindrique est un abri précaire pour les abeilles, mais elle est indiscutablement favorable au développement des ennemis (fourmis, souris et musaraignes). Le tronçon d'arbre évidé est un abri beaucoup plus intéressant, mais par manque d'aération, l'évaporation est absolument compromise et ceci entraîne la fermentation des aliments de l'abeille un peu comme dans le premier cas, ce qui leur provoque de la dysenterie. De plus la récolte est malaisée. Lors du pillage la reine est bien souvent massacrée et comme les apiculteurs béninois récoltent même le couvain, la ruchée reste orpheline et disparaît. Jamais l'abeille béninoise ne pourra donc améliorer ses rendements. C'est à cause de l'ignorance des méthodes d'une exploitation rationnelle que l'apiculteur béninois réduit ses abeilles à la disette, à la stérilité et même à la mort. Pour donc développer cette activité au Bénin, nous essayerons un peu de la moderniser. Nous avons donc construit un local de 8m de long sur 2,5 m de haut, fermé de trois côtés avec un toit en pente se terminant à 1m du sol, du côté ouvert. La ruche est isolée du sol par un petit fossé de 10cm de largeur et d'autant de profondeur remplis d'eau, ceinturant les piliers en briques qui supportent les traverses portant les ruches. Les ruches traditionnelles de type "bûches" que l'on accrochait dans les arbres représentant le système le plus commode pour protéger les colonies contre les prédateurs. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 101 Enquêtes sur l'élevage du lapin dans la province du Borgou. Auteur: FAROUGOU Souaïbou. Date: 1986. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 78 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation :Bibliothèque CPU. Résumé: Cette étude vise à faire le point des élevages existants, documenter les contraintes et proposer des voies d'amélioration. Ainsi une enquête de terrain a été initiée pour localiser les élevages. Les secteurs visités sont Parakou, N'Dali, Nikki, Kalalé, Bembéréké, Sinendé, Pèrèrè, Gogounou, Kandi, Sègbana, Banikoara, Malanville et Karimama, et le nombre d'élevage par secteur e'st respectivement de 7; 0; 0 ;1; 0; 6; 0; 0; 0; 2; 0; 3; 6 et 0. Au total 25 élevages avec environ 226 sujets. Le secteur de Bembéréké vient en tête avec 26 lapines et celui de Nikki en dernière position avec 1 lapine. Environ 0,015% d'habitant s'adonne à l'élevage du lapin. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 102 6 Pêche et pisciculture 6.1 Général Tentative d'approche pour l'amélioration de la collecte des données statistiques des pêcheries en République Populaire du Bénin. Auteur: AKPALO Aubert Codjo. Date: 1987. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 71 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les pêcheries continentales représentent le secteur le plus accessible à la population au Bénin en raison des équipements pour son exploitation qui reviennent moins chers par rapport à ceux de la pêcherie maritime. Une pêcherie se compose de pêcheurs, de la flotille et du stock ichtyologique qui est une ressource naturelle renouvelable donc destructible; ce qui signifie qu'avec des aménagements et un suivi rationnel elle peut fournir un rendement maximum; mais dans le cas contraire, elle est susceptible d'épuisement. Une organisation en vue d'une gestion rationnelle de nos plans d'eau s'impose. Cette gestion rationnelle suppose la connaissance du stock halieutique, de l'intensité et du mode de pêche et de tous les éléments liés à cette activité. La statistique des pêches est donc la clé de cette noble tâche. La situation alarmante est que le Bénin ne dispose pratiquement pas de données statistiques fiables sur ses pêcheries continentales. Etude préliminaire des performances de croissance de Sarotherodon melanotheron (Cichlidae) nourri en bassins avec des composés de son de maïs, de tourteau de coprah et/ou de tourteau de palmiste. Auteur: CHIKOU Antoine. Date: 1992. Source: Faculté des Sciences Agronomiques (FSA) ,Université Nationale du Bénin. Collation: 117 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque FSA. Résumé: Les essais d'alimentation de Sarotherodon melanotheron effectués à la ferme de la Faculté des Sciences Agronomiques en octobre 1991, ont porté sur quatre traitements. Le premier traitement porte sur la fertilisation organique sans nourrissage. Les trois derniers traitements ont consisté en la fertilisation plus nourrissage respectivement à la provende poudre; au composé de son de INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 103 maïs et de tourteau de coprah; au composé de maïs, de tourteau de coprah et de tourteau de palmiste. Les résultats obtenus en fin de cette expérimentation ont prouvé que l'aliment du traitement 4 est plus rentable dans la mesure où il est moins onéreux que celui du traitement qui a les mêmes effets que lui sur les poissons. Par conséquent il peut être retenu comme ''aliment type-tilapia'' mettant ainsi à la disposition des masses rurales, des protéines animales de bonne qualité et de coût relativement faible. Effet d'une alimentation salée sur la tolérance à la salinité chez les tilapias du genre Oreochromis. Auteur: SOVI Gbènakpon. Date: 1990. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 68 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Cette étude vise àsuivre les effets de l'excès du sel dans l'alimentation des poisons. Ainsi cinq rations de provende ont été préparées avec des taux d'incorporation de 0%, 4%, 8%, 12% et 16%. Les provendes sont distribuées 2 fois par jour (8h et 18h). Les effectifs des poissons étaient respectivement de 16, 32, 32, 32 et 32 au début de l'essai, et de 16, 32, 32, 32 et 29 à la fin de l'essai.Les résultats obtenus montrent que la provende à la dose de 16% de sel a donné le meilleur poids individuel à la fin de l'essai qui est passé de 25,36 gr à 34,12 gr, avec une croissance individuelle par jour de 0,59 gr. Les provendes à 4%, 8% et 12% de sel ont unimpact très voisin sur l'augmentation de poids des poissons. Etat actuel et perspectives d'avenir de la pisciculture dans la province de l'Atacora: étude particulière de la situation de Tanéka-Koko (Djougou). Auteur: GORE Moïna Amadouh W. Date: 1977. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Sur le plan national, la production de poissons et celle des eaux intérieures en particulier était destinée à supporter une exportation appréciable. Le pillage des eaux de la Pendjari par les pêcheurs Ghanéens, Voltaïques, qui emportent avec eux tous les produits, a réduit davantage les chances des consommateurs bien que les possibilités qu’offre la province de l’Atacora sur le plan des ressources halieutiques soient évidentes, la situation en approvisionnement des produits halieutiques de la province est entravée. Il INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 104 existe de nombreux cours d’eau permanents ou semi-permanents naturels dans la province de l’Atacora qui ont permis le démarrage à une échelle beaucoup plus grande de la pisciculture mais son développement nécessite un minimum de moyens humains, matériels et financiers. Problèmes d'approvisionnement du Nord-Bénin en produits de pêche. Auteur: HOUNTIN Assogba Julien. Date: 1978. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 65 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les deux provinces du Nord- Bénin se trouvent baignées par le fleuve Niger, la Pendjari, l’Ouémé supérieur et l’Okpara. Mais malheureusement, les populations du Nord de notre pays ne profitent pas encore de cette richesse de la chair de poisson. Cela s’explique par la simple raison, que les potentialités hydrobiotiques sont encore mal exploitées dans cette région et que la quantité de produits de pêche et surtout de poisson frais, acheminée du Sud est négligeable. Les problèmes liés à la production et à la distribution des produits de la pêche dans le Nord-Bénin sont l'irrégularité des apports, liée au manque de moyens de transport, de stockage et de conservation , l'absence de débouchés intérieurs et extérieurs pour la production locale , la demande stable d’une clientèle réduite concentrée surtout dans les centres urbains, le prix très variable du fait de l’absence d’un réseau régulier de distribution et de l’ignorance des consommateurs , la densité de population moins forte et la désaffection de populations pour la pêche , puis la présence dans certains secteurs d’importants cheptels bovins et puis le mauvais état généralisé des routes existantes. Point sur l'évolution de la pisciculture en République Populaire du Bénin. Auteur: BIAO Sévérin Agué. Date: 1979. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 54 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: La production de poisson d’eau douce était certes élevée dans le passé pour permettre une exportation importante vers les pays limitrophes (Nigéria, Ghana, Togo) sans grand dommage pour la consommation locale. Mais notre pays alors gros exportateur est devenu depuis plusieurs années un pays importateur de poissons congelés. Cette baisse s'est accentuée de 1959 à 1976 où elle est passée respectivement de 38.288 tonnes à 20.550 tonnes. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 105 Pour parer à cette baisse de production et éviter des transports coûteux des poissons, la politique adéquate qui s’offre à nous est sa production sur les lieux mêmes de consommation par l’intermédiaire de la pisciculture. Cette pisciculture s’est présentée ces dernières années comme l’un des moyens les plus valables qui permettent à nos populations de disposer d’une alimentation équilibrée en protéines. La pêche aux crevettes de lagune en République Populaire du Bénin: méthodes, techniques et incidences socio-économiques. Auteur: HODIGUE Julien. Date: 1980. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 53 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: La présente étude a été conduite afin d'identifier les techniques de pêches aux crevettes ainsi que leurs incidences socio-economiques. Ainsi les engins actifs (filet traîné,épuisette associée aux barrages) et les engins passifs (nasses cylindriques et coniques associées aux barrages) ont été identifiés. Sur le plan social, la pêche aux crevettes se fait par toutes les classes d'âge (les vieux et les enfants pratiquent la pêche aux nasses tandis que les jeunes et les adultes utilisent le filet traîné) alors que les femmes s'occupent de la commercialisation. Les analyses montrent que sur le plan économique le filet traîné rapporte 89.825Fcfa par campagne et par pêcheur, l'épuisette associée aux barrages rapporte 24.102,5Fcfa? La nasse cylindrique rapporte 3.345Fcfa alors que chaque pêcheur en possède en moyenne 11, tandis que la nasse conique rapporte 3.600Fcfa et chaque pêcheur en possède en moyenne 4. Les résultats montrent alors que l'utilisation du filet traîné est plus économiquement rentable. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 106 7 Animaux de compagnie Etude de la rage canine en République Populaire du Bénin. Auteur: YESSOUFOU Nassirou. Date: 1980. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 57 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: Une étude réalisée sur les cas de morsures et les précautions d'usage prises dans le département de l'Atlantique a donné les résultats suivants: sur 136 cas, 53 (soit 38,97%) se sont présentés dans les délais réglémentaires; 80 (soit 58,82%) se sont présentés entre 48h et 7 jours puis enfin 3 (soit 2,21%) se sont présentés après 7 jours. Dans les cas suivants, le traitement antirabique des victimes a été recommandé: le chien est fortement suspect, le chien est abattu ou errant ou la morsure siège près des centres nerveux (22,05% de cas dans ce genre). Les cas non suspects sont ceux pour lesquels le tableau clinique n'a présenté aucun signe de rage; ainsi sur 106 cas 86 (soit 63,23%) ont mordu ou griffé car provoqués par les victimes et présentent aussi leur comportement habituel; 20 (soit 14,72%) ont mordu pour des raisons non définies mais le résultat clinique n'a rien révélé. Parmi les 17 cas qui ont nécessité un tratement antirabique des victimes, trois chiens ont été sacrifiés, et ceux reconnus indemnes doivent être tous vaccinés. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 107 Contribution à l'étude de la trypanosomose canine dans la ville de Natitingou. Auteur: KOUAGOU H. Ernest. Date: 1993. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 36 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Elle s'est déroulée en 3 phases dont la 1ère est celle d'une enquête éthologique et socio- économique sur les chiens, la seconde est celle de la détermination de la prévalence de la maladie puis la 3è est consacrée à une sommaire prospection entomologique. La phrase 1 qui s'est déroulée du 19 juillet au 9 août 1993 a consisté en un recensement des chiens, la phase 2 a consisté en des prélèvements de sang sur des chiens de deux lots (un lot des chiens recensés et un lot des chiens présentés à la clinique vétérinaire de Natitingou du 1er juin au 15 septembre 1993 puis la phase 3 qui a consisté en une prospection entomologique au niveau d'une rivière traversant la ville de Natitingou, du 17 au 19 août 1993. La phase 1 a permis de recenser 567 chiens dans 504 ménages , la phase 2 a permis de prélever 150 chiens dont 50 parmis ceux recensés et 100 parmi ceux amenés à la clinique. Les résultats obtenus suite aux différents examens hématologiques sont : pour les chiens recensés aucun cas positifs au Woo mais 30 positifs au frottis sur les 50. Sur les chiens amenés à la clinique, 51 étaient positifs au Woo sur les 100. Quant à la prospection entomologique, elle a révélé la présence d'une seule espèce de glossines, Glossina tachinoïdes, vecteur de deux espèces de trypanosomes rencontrées Trypanosoma brucei et Trypanosoma vivax. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 108 8 Porcins La peste porcine africaine dans les départements de l'Atacora et de la Donga: état des lieux et perspectives d'avenir. Auteur: TCHARO O. YOKOSSI. Date: 2002. Source: Mémoire Collège Polytechnique Universitaire (CPU), Université Nationale du Bénin. Collation: 69 pages. Lieu d'édition: Abomey-Calavi. Localisation : Bibliothèque CPU. Résumé: La peste porcine africaine (PPA) est apparue dans les départements précités en janvier-février 2002 mais une accalmie diversement interprétée est observée. Pour évaluer la situation, une enquête a été menée auprès de 388 éleveurs en juillet 2002 et dans les 10 sous-préfectures sur les 13 où la maladie a été signalée. 925 prélèvements de sang ont été effectués dans 226 élevages et analysés au Laboratoire Vétérinaire de Bohicon. Les résultats obtenus indiquent que la PPA a fait beaucoup de dégâts dans la zone enquêtée. Sur 388 éleveurs, 291 ont enregistré 2524 mortalités, les pertes sont estimées à 34.500 têtes pour les deux départements. La mortalité est liée au type d'élevage: 37 animaux en claustration atteints contre 2487 dans les élevages en divagation. Les mesures de lutte n'ont pas été suivies par la majorité des éleveurs et autres acteurs. Malgré l'accalmie observée le virus circule encore et 52 positifs (5,62%) ont été révélés dans 8 sous-préfectures. Pour éviter que les deux départements ne deviennent endémiques, l'élevage en claustration est rendu obligatoire avec interdiction de divagation des porcs dans Tanguiéta, Matéri, Kandi et Kérou, sous-préfectures frontalières du parc de la Pendjari où existent des suidés sauvages pouvant devenir des porteurs sains de virus et vecteurs de la propagation de la maladie, la résolution des problèmes d'alimentation et de l'habitat, la sélection, la multiplication et la vulgarisation des porcs de productivité améliorée. Il faille avant tout assainir le milieu par l'abattage des porcs résiduels et la désinfection des porcheries et du matériel d'élevage puis lutter contre le repeuplement hâtif et anarchique actuel. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 109 9 Chevaux Elevage et exploitation traditionnel du cheval dans la province de l'Atacora. Auteur: GNANKPE Bani. Date: 1989. Source: Mémoire Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), Allada. Collation: 54 pages. Lieu d'édition: Sékou. Localisation : Bibliothèque LAMS. Résumé: Les recherches se sont basées essentiellement sur revue documentaire, des enquêtes effectuées dans les districts de Cobly, Djougou, Kérou, Kouandé, Matéri et Ouassa-Péhunco, et au cours desquelles des entretiens ont eu lieu avec les éleveurs, les cavaliers, les agents d'encadrement. L'élevage du cheval revêt des buts variés en fonction des ethnies. Les Baatombu et les Dendi le pratiquent pour perpétuer la tradition et célébrer leurs fêtes traditionnelles annuelles et autres manifestations populaires dans ce cas l'éleveur possède un ou deux chevaux au plus; chez les Berba, cet élevage est destiné à la chasse puis au cas où certains de ces animaux seraient inaptes à la chasse, ils sont destinés à la boucherie. Dans certaines familles, la pratique de cet élevage est destinée à protéger l'esprit d'un enfant dès la naissance. L'exploitation de cet élevage ne repose sur aucune base fondamentale. Chez les Berba de Cobly et de Matéri, les seules régions où se pratique l'élevage reproducteur des chevaux, la sélection se fait sur la base des caractéristiques visibles des reproducteurs sans tenir compte des races locales rencontrées que sont le cheval Kotocoli et le cheval de grande taille. Chez les Baatombu les chevaux sont utilisés comme moyen de transport ou lors des cérémonies marquant la mort d'une personne populaire ou pour l'intronisation d'un chef, lors des parades pendant les fêtes de la Gani, lors de la Tabaski. Ils servent d'éléments de troc avec les bovins chez les peulh (un cheval de 2 à 3 ans contre 2 boeufs ou un cheval de plus de 5 ans contre 3 ou 4 boeufs). INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 110 10 Analyse générale de la situation Plusieurs thèmes de recherche ont été exécutés dans les départements du Nord du Bénin et les résultats ont été ou non consignés dans des thèses, mémoires, rapports ou autres publications. Pour faciliter les travaux de recherches documentaires à ceux qui voudraient avoir accès à ces sources d'informations diverses entreposées ça et là, l'idée de mettre tous ces résultats sous la forme d'un document compilé unique est née. Cette situation permettra de faire le point des travaux déjà effectués aussi bien en production animale que dans le domaine de la pisciculture, et permettra aussi d'éviter les doublons. Les départements du nord Bénin à savoir l'Alibori, l'Atacora, le Borgou et la Donga sont des zones à fort potentiel d'élevage abritant les plus gros effectifs de la presque totalité des espèces animales. C'est donc ce qui sucite un grand intérêt pour les nombreux travaux de recherche réalisés en production animale. Les recherches documentaires pour le regroupement des différents résultats se sont faites dans les structures telles que l'Université d'Abomey-Calavi (Faculté des Sciences Agronomiques et Ecole Polytechnique d'Abomey-Calavi), le Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), CARDER Atacora-Donga et CARDER Borgou-Alibori. Suite à une analyse de l'ensemble des publications ayant concouru à la réalisation du présent document, des déséquilibres subsistent entre les différentes spéculations animales élevées dans la partie septentrionale du Bénin. Au total Cent Trente Cinq (135) publications ont été exploitées pour la réalisation de cette œuvre. Les travaux relatifs aux bovins tiennent le haut du pavé. Ceci s'explique par le fait que cette espèce animale est la plus représentative dans la partie septentrionale du Bénin et aussi par le rôle socio-économique qu'elle joue dans la vie des populations concernées. Sur les 135 publications, 79 (soit 58,52%) concernent les bovins et aussi des domaines différents tels que celui des performances zootechniques qui concerne 16 publications (soit 20,25%), de la reproduction qui concerne 9 publications (soit 11,39%), de l'alimentation qui regroupe 2 publications (soit 2,53%), de la parasitologie qui concerne 32 publications (soit 40,50%), de la traction animale qui concerne 4 publications (soit 5,06%), de la transformation-commercialisation qui regroupe 5 publications (soit 6,33%), des systèmes d'élevage qui regroupe 11 documents (soit 13,92%). Les déséquilibres constatés entre les divers domaines de recherche au sein des bovins sont criards, mais force est de constater que beaucoup reste encore à faire en ce qui concerne les domaines de la reproduction, de l'alimentation, de la traction animale, de la transformation, de la commercialisation ainsi que de celui des systèmes d'élevage. Ce qui est encore plus frappant, c'est le domaine de l'alimentation qui a succité très peu d'intérêt pour les chercheurs malgré la place importante qu'il occupe dans le système d'élevage dans cette zone de forte production du gros bétail au Bénin. Nous savons tous qu'un organisme bien nourri supporte bien les pathologies et est aussi de ce fait en mesure de bien extérioriser ses performances zootechniques. Par ailleurs, nous savons tous que l'alimentation du gros bétail pose d'énormes problèmes dans cette INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 111 région, compte tenu du fait qu'elle comporte non seulement deux saisons (une saison des pluies et une saison sèche), mais aussi que la saison sèche est plus longue que la saison des pluies. Face à cette situation, le fourrage vient à manquer pour alimenter le bétail aussi bien en qualité qu'en quantité. Entre autre, le domaine de la traction animale est aussi très peu exploré malgré l'effectif très important en têtes de bovins que compte la partie septentrionale du Bénin. Il faudrait donc penser à accroître les recherches dans ces deux domaines principalement sans oublier ceux qui sont très peu explorés. Concernant les petits ruminants, sur les 135 publications, 21 (soit 15,56%) ont trait aux recherches sur les ovins et caprins. Les domaines des recherches explorés sont ceux concernant les systèmes d'élévage avec 6 publications (soit 28,57%), la parasitologie à travers 8 publications (soit 38,10%) et celui des performances zootechniques avec 7 publications (33,33%). Les domaines tels que la reproduction, la transformation et la commercialisation n'ont pas du tout été explorés. Bien que les domaines explorés ne l'ont pas été suffisamment, tout reste encore à faire dans ceux non explorés. Quant aux autres spéculations telles que la volaille, elle regroupe 8 publications (soit 5,93%), l'élevage non conventionnel 6 publications (soit 4,44%), la pêche et pisciculture 7 publications (soit5,19%), tandis que les animaux de compagnie, les porcs et les chevaux sont respectivement concernés par 2; 1 et 1 publications soit 1,48%; 0,74% et 0,74%. Mis à part les bovins et les petits ruminants, toutes les autres spéculations ont connu très peu d'intérêts. Il existe donc un gap à combler dans tous les domaines concernant ces espèces animales, spécialement la volaille, les espèces non conventionnelles et les espèces aquatiques. La situation au niveau des porcins et des chevaux peut s'expliquer par le fait que la première espèce animale constitue un tabou pour les populations musulmanes, et la zone d'étude est une région fortement islamisée, la seconde espèce quant à elle constitue une espèce de luxe. Son élevage revêt un aspect de prestige. Il faudrait donc disposer de gros moyens financiers pour pouvoir l'élever. Nous pourrions donc dire que ce sont les raisons pour lesquelles il y a très peu de recherches concernant ces deux espèces animales. D'une manière générale, le domaine concernant la santé reste le plus exploré avec la plupart des espèces animales étudiées. L'aspect le plus important constaté au cours de la présente étude, c'est que les recherches se répètent sans trop entrer dans les détails pour déblayer effectivement le terrain afin de donner des pistes de recherches. Nous pouvons dire que la plupart fait le point de la situation. La mise en place d'un programme en Productions Animale et Halieutique permettra d'aller plus en profondeur et de donner à partir de ce point les axes de travail pour une meilleure exploitation du document. Somme toute, nous n'avions pas la prétention d'avoir atteint la perfection au cours de la réalisation du présent document, étant donné qu'elle n'est pas de ce monde. De ce fait, vos critiques, amendements et suggestions qui seront les bievenus contribueront sans nulle doute à son amélioration. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 112 INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 113 11 Références bibliographiques 1- ABIASSI Eric Herman (1993) : Etudes socio-économiques du système d’élevage transhumant dans un contexte du projet de développement : cas des interventions du projet PPEA dans la sous-préfecture de Péhunco (département de l’Atacora). Thèse d’Ingénieur Agronome, Université Nationale du Bénin – Faculté des Sciences Agronomiques (UNB/FSA), Abomey-Calavi, 148 pages. 2- ABISSI Oloukou Félix (1985) : Quelques éléments d’appréciation du sperme de taureau de race borgou. Mémoire de fin d’études (D.E.T.S). 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Mémoire de fin de cycle (D.E.A.T) – Lycée Agricole Mèdji de Sékou (LAMS), 82 pages. 27- BABATOUNDE René (1981) : Elevage traditionnel des bovins dans la province du Borgou : possibilités d’amélioration – Mémoire de fin de cycle. Université Nationale du Bénin – Collège Polytechnique Universitaire (UNB/CPU) ; Abomey-Calavi, 99 pages. INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 116 28- BABIO Ali Zénabou (1992) : Post-partum et reprise de la cyclite chez la femelle trypanotolérante (Borgou). Thèse d’Ingénieur Agronome – Université Nationale du Bénin – Faculté des Sciences Agronomique (UNB/FSA) ; AbomeyCalavi, 118 pages. 29- BAGUIRI Andémi (1996) : Contribution à l’étude de la strongylose bovine dans le département de l’Atacora. Mémoire de fin de cycle (D.E.A.T) – Lycée Agricole Mèdji de Sékou (LAMS), 54 pages. 30- BARIZI Bio Mama et CHABI Baranon O. Mohamed (2001) : Contribution à l’amélioration de l’aviculture traditionnelle dans la circonscription urbain de Kandi : cas des poulets. Mémoire de fin de cycle (D.E.A.T) – Lycée Agricole Mèdji de Sékou (LAMS), 53 pages. 31- BATCHO Robert (1981) : Contribution à l’étude des possibilités de la production laitière en République Populaire du Bénin – Mémoire de fin de cycle – Université Nationale du Bénin – Collège Polytechnique Universitaire (UNB/CPU), Abomey-Calavi, 125 pages. 32- BELCO Boukari K. B. Latifou (1985) : Contribution à l’étude des modes actuels et de l’importance socio-économique de l’élevage des pintades au NordBénin. Thèse d’Ingénieur Agronome – Université Nationale du Bénin – Faculté des Sciences Agronomiques (UNB/FSA), Abomey-Calavi, 143 pages. 33- BELLO BOULAKI Bio Oumarou (1995) : Essais d’introduction de l’insémination artificielle dans les élevages bovins traditionnels : cas du périmètre N’Dali – Nikki – Kalalé (Département du Borgou). 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INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 117 37- BOUKO Benjamin Georges (1989) : Contribution à l’étude des possibilités d’amélioration de l’élevage traditionnel des agneaux et des chevreaux dans l’Atacora. Mémoire de fin de cycle (D.E.A.T) – Lycée Agricole Mèdji de Sékou (LAMS), 48 pages. 38- CHABI Paul (1986) : Enquête sur la cuniculture dans la province de l’Atacora. Mémoire de fin de cycle – Université Nationale du Bénin – Collège Polytechnique Universitaire (UNB/CPU) ; Abomey-Calavi, 55 pages. 39- CHABI Maco Yacoubou (1992) : Etude de quelques paramètres de productivité de la race bovine borgou – Thèse d’Ingénieur Agronome – Université Nationale du Bénin – Faculté des Sciences Agronomiques (UNB/FSA) ; Abomey-Calavi, 137 pages. 40- CHABI TOURI Abdoul Kaler Nasser (1999) : Insectes et acariens parasites des bovins dans les départements de l’Alibori et du Borgou. 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Thèse d’Ingénieur Agronome – Université Nationale du Bénin – Faculté des Sciences Agronomiques (UNB/FSA) ; Abomey-Calavi, 117 pages. 42- COUGBELE Adolphe Apollinaire (1993) : Evolution pondérale chez les agneaux Djallonké alimentés de graines de coton et de drèche de bière locale au Centre des Petits Ruminants (CPR) de Béket (Péhunco) – Mémoire de fin de cycle (D.E.A.T) – Lycée Agricole Mèdji de Sékou (LAMS), 33 pages. 43- DABADE Kassinwin Jacques (1977) : Contribution à l’amélioration de l’élevage bovin traditionnel dans la province du Borgou – Mémoire de fin de cycle (D.E.A.T) – Lycée Agricole Mèdji de Sékou (LAMS), 42 pages. 44- DAGA Lazare (1987) : Etude comparative de deux méthodes de synchronisation et détection des chaleurs chez les vaches et génisses lagunaires et borgou en République Populaire du Bénin – Thèse d’Ingénieur Agronome – Université Nationale du Bénin – Faculté des Sciences Agronomiques (UNB/FSA) ; Abomey-Calavi, 149 pages. 45- DAGBA E. F. 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Mémoire de fin de cycle Université Nationale du Bénin – Collège Polytechnique Universitaire (UNB/CPU) ; Abomey-Calavi, 47 pages. 94- MEGUE Ali Ouenou (1991) : Contribution à l'étude de la pasteurellose bovine dans le département de l'Atacora. Mémoire de fin de cycle Université INRAB/ LRZVH/ CRA- Nord 123 Nationale du Bénin – Collège Polytechnique Universitaire (UNB/CPU) ; AbomeyCalavi, 36 pages. 95- MENAI L., (1989) : Etude comparative de l'efficacité/coût de trois anthelminthiques utilisés en élevage bovin traditionnel dans le Borgou - Mémoire de fin de cycle (DEAT) – Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), 65 pages. 96- MEURER M., (1998) : Etude de la géologie et de l'écologie des pâturages de la savane sub-humide de la zone Nord-Ouest du Bénin – Germany, Karlsruher Schriften zur Geographie und Geookologie Inst. 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