
Investissements et Répartition des Ressources en Eau au Burkina Faso - étude préliminaire sur l’arbitrage urbain-rural 3
Remerciements
Ce rapport d’étude au Burkina Faso est rédigé par Peter Newborne chercheur associé à
l’Overseas
Development Institute
(ODI).
Les chercheurs partenaires d’ODI au Burkina sont Dr Claude Wetta, Professeur d’Economie à l’Université de
Ouagadougou (Chercheur du Centre d’Etudes, de Documentation, de Recherche économiques et sociales
(CEDRES) et Serge Sédogo, sociologue basé à Ouagadougou. L’auteur note également avec reconnaissance
les contributions de Léa Ouedraogo du CEDRES qui a participé aux entretiens avec des acteurs clés et
rassemblé des informations supplémentaires pour cette étude, et Josephine Tucker, chercheuse associée à
l’ODI, qui a fourni tous les éléments sur le Lac de Guiers au Sénégal.
Le directeur de ce projet de recherche est Guy Jobbins, chercheur à ODI.
L’auteur remercie l'Office National de l'Eau et de l'Assainissement (ONEA), qui est la société nationale de
l’approvisionnement des services d’eau en milieu urbain au Burkina, ainsi que les dirigeants locaux pour la visite
du site du barrage de Ziga et de son réservoir près de Nagréongo et Ziniaré dans le bassin du fleuve Nakambé
dans la province d’Oubritenga, région Centrale du pays.
De plus, l’auteur remercie également les autres personnes – fonctionnaires du gouvernement, cadres des
sociétés d’eau et d’électricité et représentants des organisations locales – qui ont accepté de donner leur temps
afin de participer aux entretiens avec les acteurs clés et en fournissant des données et de la documentation.
L’auteur est reconnaissant des commentaires sur les versions précédentes du rapport : Jamie Skinner de
l’International Institute for Environment and Development
(IIED), Marloes Mul de
l’International Water
Management Institute
(IWMI) et Jacob Tumbulto de l’Autorité du Bassin de la Volta (ABV), ainsi que des
collègues d’ODI (Guy Jobbins et Beatrice Mosello) qui ont également participé à l’examen par les pairs.
Rajeshree Sisodia a géré la communication et Ore Kolade et Maria Bernardez ont assuré la gestion
administrative et logistique. Cette version française a été réalisée par Peter Newborne avec l’aide de Marion
Vargaftig.
Cette étude a été soutenue par:
l’International Development Research Centre
(IDRC) du gouvernement Canadien et
le Department for
International Development
(DFID) du gouvernement Britannique dans le cadre du projet ‘Promouvoir la
résilience économique dans les zones semi-arides’ (PRESA) dont l’ODI est le leader. Le projet fait partie du
programme CARIAA
‘Collaborative Adaptation Research Initiative in Asia and Africa’
; et
L’International Climate Initiative
(ICI) du ministère fédéral du gouvernement Allemand, responsable de
l’environnement, de la conservation de la nature et de la sécurité nucléaire (BMUB), dans le cadre du projet
‘WISE-UP to Climate’
(‘Water Infrastructure Solutions from Ecosystem Services Underpinning Climate
Resilient Policies and Programmes’
) dont l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) est
le leader.
Les conclusions de cette étude, élaborées dans ce rapport, sont celles de l’auteur et ne reflètent pas
nécessairement les opinions et les politiques de l’IDRC, DFID ou ICI/BMUB. Pour plus d’informations, veuillez
contacter Peter New
borne (
p.newborne.ra@odi.org) ou Guy Jobbins (g.jo[email protected].uk). PRESA - ‘Promouvoir la résilience économique dans les zones semi-arides’ (en anglais, PRISE) est un projet de
recherche appliquée visant à catalyser un développement inclusif et résilient face aux changements climatiques
dans les terres semi-arides (
semi-arid lands
ou SALs en anglais). La vision de PRISE concernant la résilience
face au climat est celle d’un développement économique et social qui élimine la pauvreté et accroit au maximum
les capacités des populations à s’adapter au changement climatique. Ceci demande d’identifier et de changer
les mécanismes du développement économique, y compris les cadres institutionnels et la réglementation des
marchés, et de trouver des compromis entre les différentes dimensions du développement dans les terres semi-
arides et fragiles.
WISE-UP - Agir pour le climat - (en anglais,
‘WISE-UP to climate’
) est un projet visant à augmenter les
connaissances disponibles sur la manière d’utiliser les portefeuilles d’infrastructures hydrauliques ‘construites’
(barrages, digues, canaux d’irrigation, conduites, et autres structures construites) et d’infrastructures ‘naturelles’
(zones humides, plaines d’inondation, bassins versants, par ex.) pour lutter contre la pauvreté, favoriser la
sécurité alimentaire, énergétique et la sécurité de l’eau, conserver la biodiversité et accroître la résilience
climatique. WISE-UP - Agir pour le climat se déroule sur une période de quatre ans (de 2013 à 2017) et établira
un lien plus direct entre les services éco-systémiques et le développement des infrastructures d’eau dans les
bassins fluviaux de la Volta (Ghana et Burkina Faso) et du Tana (Kenya).