Révision médecine aigue ANESTHÉSIE RÉANIMATION États de choc Les conséquences physiopathologiques de l’état de choc: A- une augmentation de la perméabilité capillaire B- anoxie cellulaire C- augmentation de la production d’ATP D- Risque d’acidose lactique E- défaillance multi viscérale États de choc Les conséquences physiopathologiques de l’état de choc: A- une augmentation de la perméabilité capillaire B- anoxie cellulaire C- augmentation de la production d’ATP D- Risque d’acidose lactique E- défaillance multi viscérale ABDE États de choc Les signes cliniques en rapport avec la vasoconstriction artérielle sont: A- les marbrures au niveau des genoux B- des extrémités froides et cyanosées C- une hypotension artérielle systolique avec pression différentielle pincée D- une tachycardie supérieure à 100/min E- élargissement de la pression artérielle différentielle États de choc Les signes cliniques en rapport avec la vasoconstriction artérielle sont: A- les marbrures au niveau des genoux B- des extrémités froides et cyanosées C- une hypotension artérielle systolique avec pression différentielle pincée D- une tachycardie supérieure à 100/min E- élargissement de la pression artérielle différentielle ABCD États de choc Posologie Récepteurs Noradrénaline 0,5 – 10 mg/h Dobutamine 5 – 20 ucg/kg/min Adrénaline 0,5 – 10 mg/h Cœur Vaisseaux B1 tonicardique A1 vasoconstricteur B1 vasodilatateur États de choc Posologie Récepteurs Noradrénaline 0,5 – 10 mg/h Dobutamine 5 – 20 ucg/kg/min Adrénaline 0,5 – 10 mg/h Cœur Vaisseaux B1 tonicardique A1 vasoconstricteur B1 vasodilatateur + +++ +++ +++ 0 ++ (muscles, 0 +++ + (cerveau, intestin, reins) cœur) L’arrêt circulatoire Le diagnostic de l’arrêt circulatoire: A- est purement clinique et ne nécessite aucun instrument B- est affirmé par l’absence de pouls palpable au niveau d’un gros vaisseau pendant 5 à 10 secondes C- peut se faire chez un patient conscient D- se fait chez un patient qui ne respire pas ou qui présente des gasps inspiratoires peu efficace E- la constatation d’une mydriase bilatérale et aréflective est un signe d’apparition précoce L’arrêt circulatoire Le diagnostic de l’arrêt circulatoire: A- est purement clinique et ne nécessite aucun instrument B- est affirmé par l’absence de pouls palpable au niveau d’un gros vaisseau pendant 5 à 10 secondes C- peut se faire chez un patient conscient D- se fait chez un patient qui ne respire pas ou qui présente des gasps inspiratoires peu efficace E- la constatation d’une mydriase bilatérale et aréflective est un signe d’apparition précoce AD L’arrêt circulatoire Parmi les médicaments vasoactifs utiles au cours de l’arrêt circulatoire: A- l’adrénaline constitue le médicament essentiel B- la vasopressine peut être utilisée au cours de l’arrêt circulatoire par fibrillation ventriculaire C- l’atropine est indiquée en cas de bradycardie D- l’isoprotérénol (Isuprel*) garde une place très large E- le propanolol est souvent utilisé L’arrêt circulatoire Parmi les médicaments vasoactifs utiles au cours de l’arrêt circulatoire: A- l’adrénaline constitue le médicament essentiel B- la vasopressine peut être utilisée au cours de l’arrêt circulatoire par fibrillation ventriculaire C- l’atropine est indiquée en cas de bradycardie D- l’isoprotérénol (Isuprel*) garde une place très large E- le propanolol est souvent utilisé ABC La nutrition artificielle Concernant la nutrition artificielle en milieu de réanimation: A- il est recommandé d’administrer dans les 24 premières heures un support nutritionnel aux patients dénutris B- les besoins énergétiques de base sont fixés pour avoir un objectif calorique total de 25 à 30 kcal/kg/j C- le pli cutané tricipital est le plus utilisé pour évaluer l’état nutritionnel du patient D- les besoins quotidiens en protides sont de l’ordre de 1,2 à 1,5 g/kg E- elle expose au risque d’intolérance aux hydrates de carbone et au diabète La nutrition artificielle Concernant la nutrition artificielle en milieu de réanimation: A- il est recommandé d’administrer dans les 24 premières heures un support nutritionnel aux patients dénutris B- les besoins énergétiques de base sont fixés pour avoir un objectif calorique total de 25 à 30 kcal/kg/j C- le pli cutané tricipital est le plus utilisé pour évaluer l’état nutritionnel du patient D- les besoins quotidiens en protides sont de l’ordre de 1,2 à 1,5 g/kg E- elle expose au risque d’intolérance aux hydrates de carbone et au diabète ABDE La nutrition artificielle Mr X admis en réanimation pour traumatisme thoracique grave. Il est alimenté depuis 10 jours par un KTVC. Il pesait 50 kg à l’admission, il pèse 56,5 kg à J+10. L’étude du bilan azoté de ces 10 jours montre que ce bilan est positif de 50g d’azote Que pensez vous de son état nutritionnel? La nutrition artificielle Mr X admis en réanimation pour traumatisme thoracique grave. Il est alimenté depuis 10 jours par un KTVC. Il pesait 50 kg à l’admission, il pèse 56,5 kg à J+10. L’étude du bilan azoté de ces 10 jours montre que ce bilan est positif de 50g d’azote Que pensez vous de son état nutritionnel? 1g d ’azote –> 6,25g protides –> 30g de muscle 50g d’azote 1500g de muscle Donc il aurait dû gagner 1,5 kg de poids donc 5 kg de plus d’oedème La nutrition artificielle Ce patient devient hypoxique à J+10 Quel est votre conduite à tenir? La nutrition artificielle Ce patient devient hypoxique à J+10 Quel est votre conduite à tenir? Administrer du Lasilix ou diminuer les apports La nutrition artificielle Les pertes azotées de Monsieur Y sont évaluées à 20g d’azote le dimanche Comment lui prescrire une alimentation parentérale le lundi? On veut lui assurer un apport calorico azoté de 1g d’azote pour 200 calories Acides aminés: Totamine* Concentrée 12g d’azote/L Vintène: 20g d’azote/L Lipides: Ivélip* 20% Ivélip* 10% La nutrition artificielle 20g d’azote 1 flacon de Vintène à 8h et 1 à 20h 4000 kcal: • Lipides 40% : 1600 Kcal 1g = 9 kcal 100g = 900 kcal Ivélip 10% : 1 flacon à 8h, 1 à 16h, 1 à 24h • Glucides 60% : 2400 kcal 1g = 4 kcal 30g = 120 kcal 300g = 1200 kcal G30% : 1 flacon à 8h, 1 à 14h, 1 à 20h, 1 à 2h La nutrition artificielle L’alimentation entérale peut être déversée soit: A- par voie orale B- par sonde de jéjunostomie C- par sonde de colostomie D- par sonde naso-jéjunale E- par sonde de gastrostomie La nutrition artificielle L’alimentation entérale peut être déversée soit: A- par voie orale B- par sonde de jéjunostomie C- par sonde de colostomie D- par sonde naso-jéjunale E- par sonde de gastrostomie ABDE Dyskaliémies Hypokaliémie Clinique Onde U/ T aplatie Sous décalage ST Extrasystoles A/V/TV T amples/ QRS larges Fourmillements Iléus Étiologies Vomissements Diarrhée Insuffisance rénale Hémolyse Traitement Urgence thérapeutique Hyperkaliémie Dyskaliémies Hypokaliémie Clinique Étiologies Sous décalage ST + + Extrasystoles A/V/TV + Onde U/ T aplatie T amples/ QRS larges + Fourmillements + Iléus + Vomissements + + Diarrhée Traitement Hyperkaliémie Insuffisance rénale + Hémolyse + + Urgence thérapeutique + Le polytraumatisé Dans le cadre de la prise en charge thérapeutique du polytraumatisé, classer par ordre de priorité: A- drainage d’un pneumothorax suffocant B- oxygénation et intubation trachéale C- laparotomie pour plaie colique D- réparation d’une fracture ouverte du fémur E- trépanation d’un hématome extra dural Le polytraumatisé Dans le cadre de la prise en charge thérapeutique du polytraumatisé, classer par ordre de priorité: A- drainage d’un pneumothorax suffocant B- oxygénation et intubation trachéale C- laparotomie pour plaie colique D- réparation d’une fracture ouverte du fémur E- trépanation d’un hématome extra dural BAECD (c: risque de péritonite stercorale) Réanimation d’un donneur vivant pour prélèvement d’organe La confirmation du diagnostic de mort cérébrale fait intervenir: A- la TDM cérébrale B- EEG C- angiographie cérébrale D- ECG E- EMG Réanimation d’un donneur vivant pour prélèvement d’organe La confirmation du diagnostic de mort cérébrale fait intervenir: A- la TDM cérébrale B- EEG C- angiographie cérébrale D- ECG E- EMG BC Réanimation d’un donneur vivant pour prélèvement d’organe La réanimation d’un donneur vivant pour prélèvement d’organe a pour objectifs: A- le maintien d’une volémie normale et une pression artérielle moyenne > 60mmHg B- un taux d’hémoglobine > 10g/dL C- une diurèse > 100mL/h D- le recours presque toujours à une amine vasoactive E- l’administration systématique de Gélatines et Dextrans Réanimation d’un donneur vivant pour prélèvement d’organe La réanimation d’un donneur vivant pour prélèvement d’organe a pour objectifs: A- le maintien d’une volémie normale et une pression artérielle moyenne > 60mmHg B- un taux d’hémoglobine > 10g/dL C- une diurèse > 100mL/h D- le recours presque toujours à une amine vasoactive E- l’administration systématique de Gélatines et Dextrans ABCD Traumatismes fermés du thorax Le bilan initial réalisé au lit du patient traumatisé du thorax correspond nécessairement: A- radiographie du thorax B- échographie abdominale C- électrocardiogramme D- bilan biologique (GS+ RAI, NFS, GDS, bilan d’hémostase) E- échographie trans-oesophagienne Traumatismes fermés du thorax Le bilan initial réalisé au lit du patient traumatisé du thorax correspond nécessairement: A- radiographie du thorax B- échographie abdominale C- électrocardiogramme D- bilan biologique (GS+ RAI, NFS, GDS, bilan d’hémostase) E- échographie trans-oesophagienne ABCD Traumatismes fermés du thorax Les lésions viscérales à redouter en cas de traumatisme fermé du thorax: A- les ruptures traumatiques diaphragmatiques B- la rupture du canal artériel C- la contusion pulmonaire D- la rupture de l’isthme de l’aorte E- la contusion myocardique Traumatismes fermés du thorax Les lésions viscérales à redouter en cas de traumatisme fermé du thorax: A- les ruptures traumatiques diaphragmatiques B- la rupture du canal artériel C- la contusion pulmonaire D- la rupture de l’isthme de l’aorte E- la contusion myocardique ACDE Traumatisme crânien Dessine et décrire la courbe de Langfitt Traumatisme crânien Dessine et décrire la courbe de Langfitt Traumatisme crânien Type de lésion Ischémie cérébrale Hémorragie méningée Hématome extradural Engagement cérébral Hématome sous dural Hématome intracérébral Contusion corticale Œdème cérébral Primaire Secondaire Traumatisme crânien Type de lésion Primaire Secondaire X Ischémie cérébrale Hémorragie méningée Hématome extradural X X X Engagement cérébral Hématome intracérébral X X Contusion corticale X Hématome sous dural Œdème cérébral X Traumatisme crânien Parmi les bases de la réanimation des traumatismes crâniens graves: A- maintien d’une osmolarité proche du plasma B- maintien d’une hémoglobine supérieure à 9,5g/dL C- prévention de la comitialité D- antibiothérapie systématique à base d’amoxicilline- acide clavulanique E- mise en place d’un monitorage basé sur l’échographie transoesophagienne Traumatisme crânien Parmi les bases de la réanimation des traumatismes crâniens graves: A- maintien d’une osmolarité proche du plasma B- maintien d’une hémoglobine supérieure à 9,5g/dL C- prévention de la comitialité D- antibiothérapie systématique à base d’amoxicilline- acide clavulanique E- mise en place d’un monitorage basé sur l’échographie transoesophagienne ABC Traumatisme crânien Un piéton heurté violemment par une voiture est amené aux urgences par la protection civile. Il présente: - Une ecchymose à l’œil droit avec une mydriase de ce côté - Une fracture du fémur gauche - Une fracture de l’humérus gauche Il est conscient, Glasgow à 15/15, sans perte de connaissance initiale, exécute les ordres simples. Les orthopédistes optent pour un traitement orthopédique (plâtre cruro-pédieux et plâtre BAB) 1- faut il hospitaliser ce patient pour surveillance? 2- Ya t’il une indication à une TDM en urgence? Traumatisme crânien 1- oui, on doit hospitaliser le patient car traumatisme violent (piéton heurté violemment par une voiture) 2- non, sauf si altération secondaire de son état de conscience Principes de l’anesthésie L’examen pré anesthésique doit répondre aux objectifs suivants: A- connaissance du patient et de la pathologie chirurgicale qui motive l’intervention B- prescription systématique d’examen complémentaire et de consultations de spécialistes C- prévision d’une stratégie pré, per et post opératoire D- évaluer le patient selon la classification de l’ASA E- constitution d’un dossier médical Principes de l’anesthésie L’examen pré anesthésique doit répondre aux objectifs suivants: A- connaissance du patient et de la pathologie chirurgicale qui motive l’intervention B- prescription systématique d’examen complémentaire et de consultations de spécialistes C- prévision d’une stratégie pré, per et post opératoire D- évaluer le patient selon la classification de l’ASA E- constitution d’un dossier médical ACDE Principes de l’anesthésie Les incidents et accidents à redouter au cours d’une anesthésie générale: A- bronchospasme B- inhalation C- apnée ou hypoventilation D- hypotension, collapsus E- hypothermie maligne Principes de l’anesthésie Les incidents et accidents à redouter au cours d’une anesthésie générale: A- bronchospasme B- inhalation C- apnée ou hypoventilation D- hypotension, collapsus E- hypothermie maligne ABCD Évaluation du risque opératoire Parmi les facteurs de risque intermédiaire liés au patient on note: A- maladie coronarienne stable sous traitement médical B- insuffisance cardiaque compensée C- cardiopathie instable D- insuffisance rénale E- diabète Évaluation du risque opératoire Parmi les facteurs de risque intermédiaire liés au patient on note: A- maladie coronarienne stable sous traitement médical B- insuffisance cardiaque compensée C- cardiopathie instable D- insuffisance rénale E- diabète ABDE Évaluation du risque opératoire Monsieur H. âgé de 37 ans, cycliste, a eu une chute de sa bicyclette lui occasionnant une fracture des 2 os de l’avant bras On ne note pas de notion de tabagisme, ni d’alcoolisme. Pas d’antécédents médicaux notables. Il a eu une appendicectomie à l'âge de 12 ans. Pas d’anomalies à l’examen pulmonaire et cardiovasculaire. L’examen de la bouche: la luette n’est pas visible, seul le palais osseux est visible. 1- la consultation ou visite pré anesthésique est elle indiquée chez ce patient? 2- classer ce patient selon la classification ASA? 3- à combien est évaluée la capacité fonctionnelle de ce patient? Évaluation du risque opératoire 1- Oui La consultation pré anesthésique est médico légale 2- ASA 1 3- > 9 MET Évaluation du risque opératoire Évaluation du risque opératoire Évaluation du risque opératoire Quel bilan biologique est systématiquement demandé pour ce cas: A- GS B- NFS C- glycémie D- créatininémie E- ionogramme sanguin Évaluation du risque opératoire Quel bilan biologique est systématiquement demandé pour ce cas: A- GS B- NFS C- glycémie D- créatininémie E- ionogramme sanguin Aucune réponse Prévention de l’infection P.O La prévention des infections post opératoires peut passer par: A- préparation nutritionnelle B- vitaminothérapie C- restriction du bavardage au bloc opératoire D- antibioprophylaxie E- dépilation pré opératoire Prévention de l’infection P.O La prévention des infections post opératoires peut passer par: A- préparation nutritionnelle B- vitaminothérapie C- restriction du bavardage au bloc opératoire D- antibioprophylaxie E- dépilation pré opératoire ACDE Prévention de l’infection P.O Parmi les règles d’antibioprophylaxie: A- elle est débutée juste avant l’intervention B- sa durée ne dépasse jamais 24 h C- elle est réservée aux interventions associées à une fréquence élevée d’infection du site opératoire D- la voie intraveineuse est la plus utilisée E- la demi vie de l’antibiotique administré doit être courte Prévention de l’infection P.O Parmi les règles d’antibioprophylaxie: A- elle est débutée juste avant l’intervention B- sa durée ne dépasse jamais 24 h C- elle est réservée aux interventions associées à une fréquence élevée d’infection du site opératoire D- la voie intraveineuse est la plus utilisée E- la demi vie de l’antibiotique administré doit être courte ACD Prévention de l’infection P.O Citer 10 facteurs pouvant diminuer les défenses immunitaires de l’organisme et favoriser l’infection post opératoire Prévention de l’infection P.O Citer 10 facteurs pouvant diminuer les défenses immunitaires de l’organisme et favoriser l’infection post opératoire Séjour pré opératoire prolongé, obésité, âges extrêmes, alcoolisme, toxicomanie, immunosuppression (VIH..), cancers, chimiothérapie, radiothérapie, traumatisme grave, dénutrition, corticothérapie, tabagisme, diabète.. Prévention de l’infection P.O Citer 5 causes de fièvre post opératoire Prévention de l’infection P.O Citer 5 causes de fièvre post opératoire Infection du site (profonde, superficielle) Pneumopathies Infection urinaire Infection sur cathéter thrombophlébite Traitement de la douleur P.O L’analgésie multimodale: A- consiste à utiliser plusieurs méthodes d’analgésie d’une manière simultanée ou successive B- est peu bénéfique pour le traitement de la douleur post opératoire C- permet d’utiliser des doses moindres de chaque agent D- génère des effets indésirables plus fréquents et plus sévères E- permet de mieux contrôler douleur Traitement de la douleur P.O L’analgésie multimodale: A- consiste à utiliser plusieurs méthodes d’analgésie d’une manière simultanée ou successive B- est peu bénéfique pour le traitement de la douleur post opératoire C- permet d’utiliser des doses moindres de chaque agent D- génère des effets indésirables plus fréquents et plus sévères E- permet de mieux contrôler douleur ACE Traitement de la douleur P.O La douleur post opératoire: A- entraîne une décharge de catécholamines responsables d’une bradycardie et d’une hypotension artérielle B- entraîne une augmentation du réflexe de toux C- peut favoriser l’apparition d’encombrement et de complications respiratoires D- l’agression chirurgicale entraîne une libération de catécholamines, une augmentation de la cortisolémie, de l’aldostérone et des hormones antidiurétiques E- peut entraîner une rétention hydro sodée et une hyperglycémie Traitement de la douleur P.O La douleur post opératoire: A- entraîne une décharge de catécholamines responsables d’une bradycardie et d’une hypotension artérielle B- entraîne une augmentation du réflexe de toux C- peut favoriser l’apparition d’encombrement et de complications respiratoires D- l’agression chirurgicale entraîne une libération de catécholamines, une augmentation de la cortisolémie, de l’aldostérone et des hormones antidiurétiques E- peut entraîner une rétention hydro sodée et une hyperglycémie CDE Traitement de la douleur P.O Citer 3 méthodes d’évaluation de la douleur Traitement de la douleur P.O Citer 3 méthodes d’évaluation de la douleur Traitement de la douleur P.O Palier 1 Palier 2 X Morphine X X Tramadol Codéine Paracétamol X X Fentanyl X Nalbuphine AINS Néfopam Palier 3 X X Prophylaxie de la M.T.E Parmi les facteurs de risque liés au patient: A- le cancer et le traitement du cancer (hormonal, chimiothérapie, radiothérapie) B- antécédents d’évènements thromboemboliques veineux C- contraception orale contenant des œstrogènes D- tabagisme E- alcoolisme Prophylaxie de la M.T.E Parmi les facteurs de risque liés au patient: A- le cancer et le traitement du cancer (hormonal, chimiothérapie, radiothérapie) B- antécédents d’évènements thromboemboliques veineux C- contraception orale contenant des œstrogènes D- tabagisme E- alcoolisme ABCD Prophylaxie de la M.T.E La surveillances des principaux traitements anti thrombotiques fait appel à: A- ratio TCA patient/témoin et/ou héparinémie pour l’HNF B- surveillance quotidienne pour les HBPM C- INR toutes les 48h puis à chaque changement de dose pour les AVK D- numération plaquettaire avant traitement puis 2 fois par semaine pendant 21 jours pour les HBPM E numération plaquettaire avant traitement puis 2 fois par semaine pendant 21 jours pour les AVK Prophylaxie de la M.T.E La surveillances des principaux traitements anti thrombotiques fait appel à: A- ratio TCA patient/témoin et/ou héparinémie pour l’HNF B- surveillance quotidienne pour les HBPM C- INR toutes les 48h puis à chaque changement de dose pour les AVK D- numération plaquettaire avant traitement puis 2 fois par semaine pendant 21 jours pour les HBPM E numération plaquettaire avant traitement puis 2 fois par semaine pendant 21 jours pour les AVK ACD