Histoire de la pensée économique : Séance 1 : 08/10/2018 •••Le Paradigme : c’est une vision du monde modèle et ça peut être un courant de pensé. Exemple : - Le paradigme de technologie (il a plusieurs machine) - Le paradigme scientifique. L’auteur qui est le premier a utilisé le terme Paradigme : T.KUHN. Le paradigme est un ensemble d’observation de question de métrologie et d’interprétation des acquis de la science, ‹La structure des révolutions scientifique›. Introduction : L’histoire de la pensée économique est construite au cours du temps par des faits économiques, mais comme une histoire se déroule, nous dirons qu’elle déroule. Il existe des phénomènes de mode comme le protectionnisme (18 et 19 siècle), mais aussi des retours en arrière, par exemple dans les années 70 avec la crise du pétrole en 1975, elle apparue un phénomène économique qu’ont appelé ‹La Stagflation›, la Stagflation est l’existence dans une même conjoncture d’un haut niveau de chômage et d’un haut niveau d’inflation, hors cette époque était dominer par la théorie keynésienne. La théorie keynésienne enseigne que dans une même conjoncture il ne peut y avoir aussi bien du chômage que d’inflation, il a ou bien inflation ou bien chômage, et c’est là où sont apparue des courants nouveaux, parmi ses courants, le courant qu’on appelle ‹l’économie de l’offre› qui s’inspire directement d’Adam Smith. Pour résumer, nous dirons qu’il existe 3 pensés économique dominante : • La pensée dominante libérale, qui s’inspire de la fameuse phrase ‹ laissez passer, laissez faire› ; • La pensée d’inspiration Marxiste ; • La pensée keynésienne, la pensée de Keynes et ses prolongements. Le mercantilisme : Le mercantilisme est un fait économique, il y a de richesse que si il y a d’or. Il est appelé Mercantiliste parce que d’abord leur richesse est basé sur le commerce internationale, l’âme du Mercantilisme réside dans la doctrine selon laquelle la balance commerciale favorable et désirable pour un pays, une balance excédentaire où les exportations sont supérieures des importations, car elle dégage ou engendre ou créée la prospérité nationale. La question qui se pose immédiatement est la suivante : - Comment on vient-on à soutenir une telle idée ? (l’idée : une balance commerciale engendre la prospérité nationale) Le terme mercantilisme a été inventé par Adam Smith dans un ouvrage célèbre publier on 1776 et qui s’intitule ‹recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations›. Smith va nous donner la première réponse la plus simple de la question qu’on a posé, le mercantilisme n’est rien d’autre qu’un tissu d’erreur protectionnisme soutenu par le parlement Vénal issue de nos marchand et industriel, et fondé sur l’opinion populaire selon laquelle la richesse consiste en espèce monétaire. L’histoire de la pensée économique appartient à la fois au domaine de l’histoire et à celui de l’économie. Elle s’attache à présenter et à comprendre l’évolution des formes et des contenue de la pensée économique, entant que discipline historique, elle utilise la chrologe, elle exige des références fréquentes à l’histoire générale et surtout à l’histoire des faits économiques. Autant que discipline économique, elle dépend des auteurs euxmêmes qu’on il faut connaitre les doctrines, en fait ses auteurs qu’on appelle les économistes depuis qu’ils ont existé, ils se devisent en école, des écoles qui se dispute qui s’oppose sur les points les plus fondamentaux (Exp : la théorie de la valeur, l’utilité marginale …). Pour résumer en peut dire que la pensée économique a connu 5 grandes phases historiques : 1er phase : la Phase de l’antiquité jusqu’au 16 siècle, jusqu’au mercantilisme. La pensée économique n’est pas formulé autant que t’elle, c’est-à-dire n’est pas formulé autant que science économique, il s’agit généralement d’un prolongement de l’analyse philosophique, historique ou politique. 2ème Phase : elle vat de la fin du 16ème siècle jusqu’au début du 18ème siècle, durant cette phase la pensée économique émerge comme une forme d’analyse spécifique autonome dans le cadre notamment de la doctrine mercantiliste. 3ème Phase : Au 18ème siècle la pensée économique s’affirme comme une discipline autonome indépendante formalisée par Adam Smith, le Paradigme libérale ou classique contribue à détaché la pensée économique définitivement de la pensée politique. 4ème Phase : c’est le 19ème siècle, ce dernier est caractériser par la Révolution Industrielle et la Révolution Financière, ces 2 révolutions remette partiellement en cause le paradigme classique (Karl Marx), donc on va voir apparaitre des théories alternatives comme le Réformisme, le Socialisme ( Sismondi) et le Marxiste, ses théorie alternatives veule un rôle plus grand pour l’état pour régulier les activités économiques. 5ème Phase : La fin du 19ème siècle et le début du 20ème siècle, cette phase c’est la phase où on assiste à la coexistence de plusieurs paradigmes concurrents, qui sont : - Le Néoclassicisme ; Le Keynésianisme ; Le Monétarisme ; L’Institutionnalisme. Séance 2 : 15/10/2018 Partie 1 : l’émergence du libéralisme : Section 1 : le mercantilisme et le libéralisme de l’école classique : • La doctrine de la balance commerciale : Une école de pensée représente un regroupement d’économistes qui partage une même approche de l’économie, ou qui ont un faisceau d’idée commune, toute école ainsi définie peut exister ou coexister a un instant donner avec d’autre écoles qui défend des idées proches ou opposer ou même radicalement opposer. Toute école donne lieu à des évolutions historiques qui vont les faires disparaitre, ce transformer ou même remettre au fil du temps. Donc classer les économistes en école est un exercice très difficile, il est d’autant plus difficile aujourd’hui pour les écoles de pensées contemporaines, parce que le recul du temps monte, mais ce classement reste très utile pour identifier et comprendre les grandes lignes de constitution et de développement de la pensée économique. Un courant de pensée comme se n’on l’indique c’est un groupe d’idée ou groupe d’auteurs qui ont existé de manière éphémère à une époque, ce sont des phénomènes de mode. La doctrine avant tout c’est un concept philosophique, en peut la classer en même rond que le paradigme, c’est une représentation ou une vision de monde ou un modèle de pensé ou un courant de pensé, un model cela veut dire une manière d’utilisé des idées de les structurés à fin de résoudre une problématique. Rappelons-nous que Adam Smith c’est le premier qui à donner un sens au terme mercantilisme en 1776, dans le préambule de son ouvrage, Adam Smith a dit à propos du mercantilisme : ‹ La divergence du progrès dans la richesse à différente époque et dans les différentes nations à donner naissance à 2 systèmes différents d’économies politiques, on ce qui concerne l’enrichissement du peuple›, le premier système est le système du commerce qu’il appelle le système mercantile et le 2ème système c’est le système de l’agriculture. Les caractéristiques principales de la vision mercantiliste sont les suivants : _ Les métaux précieux (or et l’argent) ; _ La thésaurisation. Ces derniers sont décrits comme l’essence (noyau) de la richesse. Pour expliquer la doctrine de la balance commerciale, il faut expliquer l’organisation du commerce extérieure. Cette organisation du commerce extérieure ce résume en 2 mots, produire et protéger une rentrer de métaux précieux dans le pays, ont ouvriront les frontière que pour produire et faire rentrer les métaux précieux, et même si il existe un début d’industrialisation celle-ci doit être encourager par l’importation de matière première bon marché (pas chère), et il faut que l’état (le prince) utilise des droits pour taxé l’importation du produit manufacturé. Les exportations doit être encourager et stimuler, particulièrement celle des produits finis. En fin il faut encourager la croissance démographique, la natalité, parce que plus il a d’Homme plus les salaires baisses. Il a un auteur mercantiliste bien connu qui s’appelle J. Bodin, il était le seul a chanté différemment en disant il n’y a de richesse que d’Homme. Donc l’âme du mercantilisme réside dans la doctrine selon laquelle une balance commerciale favorable (excédentaire) et désirable parce qu’elle crée la richesse nationale. • Le Mécanisme de la circulation monétaire : (monnaie métallique) La balance des paiements doit toujours être équilibrée, parce que la balance des paiements n’est qu’un relevé comptable des débits et des crédits, donc le passif doit être égale à l’actif, mais la balance commerciale, elle n’est pas nécessairement équilibrée ; et un pays est créditeur vis avis de l’étranger pour au moins 4 raison : - C’est à l’exportation et l’importation des biens matérielles de marchandise (le solde commerciale ou la balance courante). A ce moment-là la balance dégage un excèdent en volume qui ne se traduit pas nécessairement en un excèdent en valeur. - L’exportation immatérielle (service de la main d’œuvre marocaine résident à l’étranger). - L’exportation de métaux précieux (or et argent). - L’importation de capitale (les investissements directs étrangers IDE), soit sous forme d’investissement étranger réalisé dans le pays, de profil tirée de ses propres investissements à l’étranger ou par des prêts accordés par l’étranger. Donc pour revenir au mercantiliste, lorsque ces derniers parle de la balance commercial, ils visent avant tout un excèdent des exportations matérielles ou immatérielles sur les importations matérielle ou immatérielle qui s’accompagne soit d’une entrée d’or, soit de l’ouverture d’un crédit à l’étranger c’est-à-dire d’une exportation du capitale, parce que l’exportation du capitale occasionne la réalisation d’un profil qui rentre dans le pays sous forme d’or. Ainsi donc quel que soit le but poursuivie par les mercantilistes avec leur balance commercial excédentaire, ce but-là ne pouvait être que de courte durée, parce que la balance commercial c’est un compte annuelle. Un mercantiliste célèbre Thomas Mun, il évoque que la pensée économique de l’antiquité jusqu’au milieu des années 60 du siècle dernier était uniquement européenne, soit française ou britannique. _ T.MUN : n’est pas un économiste, c’est un philosophe qui est transformé en un économiste, et les écrits de ce T.MUN datent de 1630 au milieu de 17ème siècle. Alors T.MUN s'était rendu compte que quand il y avait une rentrée de métaux précieux au Royaume Unix, cela occasionné une augmentation des prix de bien de consommation, et que pour lui : ‹Vendre chère et acheté bon marché conduit à inverser le solde de la balance commercial›, vient après lui 2 autres penseurs : J.CONTILLON et D.HUME. Ils vont reprendre l’argument de T.MUN, et ils nous disent : ‹Pendant un siècle ou plus ce mécanisme du flux des métaux précieux fournie une réfutation particulière des principes mercantilistes›. Pour eux la démonstration consiste à dire que des forces purement automatique tante à ‹redistribuer naturellement les métaux précieux›, entre les pays commerçant du monde et a fixé le niveau intérieure des prix des différents pays de façons que les exportations égale les importations, ça c’est ce qu’on appelle aujourd’hui un jeu entre les pays à somme nul. _ J.LOCKE : c’est un philosophe anglais très connu, alors lui c’est la fin du 17ème siècle 1690, il démontrera que les prix varie en relation exacte avec la quantité de monnaie en circulation, plus la monnaie en circulation est importante plus les prix augmente, c’est la naissance de la théorie quantitatif de la monnaie. • Le mercantilisme et la théorie quantitative de la monnaie : Elle est résumé en 1911 le début du 20ème siècle par un certain I.FISHER, par la fameuse identité : M×V=P×T M : Est la quantité de monnaie en circulation, à l’époque c’était la quantité des métaux précieux (or et argent) ; V : Est la vitesse de circulation de la monnaie, le nombre de fois où la monnaie change de mains au cours d’une période donné ; T : Volume des échanges (transaction); P : Prix moyen de toutes les marchandises échangées. (Se sont des données) Au 17ème et au 18ème siècle, cette théorie quantitative était centrée sur le postulat (postulat : c’est une idée communément admise, tout le monde est d’accord sur cette idée) que la monnaie « stimule l’activité économique » : Tout augmentation de l’offre de monnaie est suivie par un accroissement de la demande de monnaie, alors l’offre de monnaie est une variable exogène (c’est une donnée), elle dépend des autorités monétaires (banque centrale et les intermédiaires financiers), la monnaie est créée à partir de la marge qui dit : les dépôts font les crédits. C’est le volume des affaires et non celui des prix qui devrait être directement affecté par un afflux de métaux précieux, ça c’est Cantillon et Blum à la fin du 17ème siècle. • La théorie de l’inflation RAMPANTE : Séance 3 : 22/10/2018 J. Law il a était le premier a créé la monnaie papier, ce qu’on appelle aujourd’hui la monnaie fiduciaire. La monnaie au départ on a l’appelé la monnaie représentative parce que elle est représentative de quantité d’or qui est disponible. Il faut dire qu’à la fin de 16ème siècle et le début du 17ème siècle, ils sont apparus les orfèvres, ces derniers sont ceux qui transforment les métaux précieux on bijoux et que cela peut se présenter pour une menace, ils ont construit de grand coffre-fort où ils ont stocké cet or, c’est à partir de là où les banques sont apparus. J. Law a créé ce qu’on appelle le mercantilisme de papier monnaie, l’ouvrage dans lequel se trouvent les idées de J. Law il s’appelle ‹la monnaie et le commerce reconsidéré› en 1705. J. Law nous dit : ‹une augmentation de la monnaie donnera le travail à ceux qui sont actuellement oisif, du métal supplémentaire ou du papier monnaie seront immédiatement absorbé par des emprunteurs en raison des multiples possibilités de profil tandis que le versement de salaire à ceux qui était jusque-là chômeur doit susciter une nouvelle dynamique de l’économie. Comme l’argent est moins chère les profils réaliser et les ventes augmente mais sans engendré une augmentation des prix›. D’où l’essaie de Cantillon : Son ouvrage s’appelle ‹essaie sur la nature de commerce› en 1720, d’abord Cantillon est le premier à lever le doute sur le faite l’augmentation de V est équivalente à une augmentation de M, en suite il donne un fondement à l’analyse monétaire on montrant que l’effet d’un accroissement dans la quantité de monnaie sur les prix et les revenus dépend de la façon dont la monnaie est injecter dans l’économie. Citation de Cantillon : ‹Le pouvoir et la richesse relative des états consiste toute chose égale par ailleurs dans la plus ou moins grande abondance de la monnaie qui circule et un pays qui a plus de monnaie en circulation que ses voisins possède un avantage sur eux tant qu’il maintient cette abondance de monnaie›. Plus tard vers 1730-1740, l’idée que les taux d’intérêts varis inversement à la quantité de monnaie, plus il a de monnaie moins le taux d’intérêt est important, cette idée n’existe que vers 1730-1740 par Locke et Law, cette idée repose sur le bon sens sur la logique, puisque le taux d’intérêt c’est le prix que l’on paie pour la location de l’argent, l’intérêt baise lorsque la quantité de monnaie augmente de la même manière que le prix d’un bien baise lorsqu’il se fait moins rare. On 1776 A.SMITH accuse Law et Locke de croire que si la quantité de la monnaie augmente et que les prix augmentent, le taux d’intérêt doit baiser puisque selon lui une somme d’argent donné ne représente plus une quantité plus faible de marchandise pour les emprunteurs, en d’autre terme on dira aujourd’hui la demande de monnaie diminuera parce que le pouvoir d’achat de la monnaie à diminuer. Section 2 : La physiocratie : La physiocratie c’est-à-dire tout ce qui est relative à la terre et en particulier à la terre agricole, nous somme on 1750 et un certain médecin de roi qui s’appelle François Quesnay va inventer le terme de physiocratie qui va être le chef de file du courant physiocratique, c’est un courant pas une école parce que il reste dans le temps et dans l’espace, dans le temps parce que le courant physiocratique ne vas durer que jusqu’au 1776 et dans l’espace car ça concerne que la France et un peu le royaume unis. Toute la théorie physiocratique va tourner au tour du terme comment produire un surplus et comment se surplus est répartie entre tous qui ont participé à sa création. Plus tard dans "le capitale", Karl Marx pour décrire le système de François Quesnay, a appelé ce système le mode de production féodale avant le mode de production capitaliste. Un mode de production est un ensemble de forces productives associées à une certaine manière de produit : - propriétaire foncée (seigneur, les noble et le prince ou le roi) K.MARX les appelé les Superstructure : Rapport de production : féodaux, c’est-à-dire ceux qui font rien mais qui possède la grande partie du surplus qui est dégagé l’hors de la mise en culture des terres, ses féodaux ont donné le terme de mode de production féodale "MPF". - La main d’œuvre, les hommes et les femmes qui travail qu’on appelle les SERFS Infrastructure : Force productif : - Bêtes de somme ou cultiver la terre ; - Renouvelé les semences. En superstructure les rapports de production sont les rapports entre les propriétaires et les SERFS, ce sont des rapports de maitre à seigneur. Le premier a utilisé le terme de physiocratie est A.SMITH ; le courant physiocratique repose tout entier sur des dilemmes, des amalgames, des idées contradictoires. - D’abord le 1er dilemme est le suivant : s’agit-il d’une pensée réactionnaire ou d’une pensé moderne ? Si c’est une pensée moderne on peut dire qu’il a un progrès par à port à ce que les mercantilistes avancé, elle est réactionnaire parce qu’elle fait appel à ce qu’on appelle l’ordre naturelle ou l’ordre divin ; - Le 2ème dilemme : C’est une pensée qui se limite seulement à la France, la pensée physiocratique n’a jamais été internationale ; - Le 3ème dilemme : C’est une pensée sociale, parce qu’il a des catégories représentative comme les seigneurs, les SERFS, les artisans ; mais en même temps c’est une pensée qui réfléchit sur l’individu, quand elle est sociale elle est macroéconomique et quand elle raisonne sur l’individu elle est microéconomique. Donc il a un dilemme, est-elle macroéconomique ou microéconomique ? Si on veut mieux comprendre la pensée physiocratique, il faut mieux réfléchir sur les 3 ordres principaux qui constituent cette pensée économique : 1- Ordre naturel ; 2- L’ordre économique ; 3- L’ordre politique. 1- L’ordre naturel : Premièrement on va commencer par l’ordre naturel, c’est le plus important, c’est lui qui va déterminer la nature des autres ordres. Nous somme aux milieux de 18ème siècle, ce siècle était le siècle des lumières, les philosophes comme J.J.ROUSSEAU, Montesquieu, ce dernier a écrit un ouvrage "De l’esprit des lois" qui plus tard sombra la constitution française de 1789 ; Donc il a une certaine conception de la nature de l’Homme et de la société. Ce qu’il faut retenir c’est qu’il a les lois naturelles, tous les Hommes sont égaux c’est une loi de nature, c’est une loi qu’on admet très facilement. A.SMITH : " La législation positive consiste donc dans la déclaration des lois naturelles constitutive de l’Homme évidement le plus avantageux possible au Homme réunis au société" c’est ce qu’on appelle le droit naturel. Certain théoricien ont écrit le droit naturel sous forme de loi et ça devient une droit positive, d’où selon les physiocrates il ne faut pas toucher à ces droits naturels, il ne faut pas que le droit naturel être violé, sinon on va perturber la société, tout le monde cherche son intérêt personnel ce qu’on appelle L’individualisme. La société est régit par le contrat social c’est-à-dire la mise en harmonie des intérêts particulières et intérêt de la société, nous l’appelons aujourd’hui quand chacun cherche son intérêt individuelle que l’intérêt collective est réalisé. L’intérêt personnel c’est le premier lien de la société d’où l’intérêt de la société est dotant plus assurer que l’intérêt particulier "est le plus abri", ça c’est un langage du 17ème siècle d’un révolutionnaire français qui s’appelle Mirabeau. Mirabeau : " les Hommes sont égaux mais l’inégalité est le fruit des différences de milieux et de capacité de travail, donc la liberté implique la liberté de sa personne et de celle des choses acquise par le travail, toute atteinte a liberté du commerce et de l’industrie est une atteinte au droit de l’homme, la liberté permet la concurrence et la diminution des couts, il faut donc condamné les monopoles et les privilège". 2- L’ordre économique : L’ordre économique il va surtout s’intéresser au rapport de production, d’abord seul l’agriculture qui donne une activité productif d’un surplus c’est-à-dire ce qui est dégagé après tous les dépenses ont été effectué, c’est aussi moins qui va aller à la classe stérile. Il a une grande différence entre les mercantilistes et les physiocrates, la première différence c’est que la richesse ne se confronte pas avec l’or ou l’argent, toute la richesse dépend de ce qu’on appelle "La consommation productif", c’est-à-dire c’est ce que l’on peut consommer sans sa couvrir, la richesse elle ne se confronte pas avec la population, parce que selon Mirabeau : "les Hommes se multiplie comme des souris dans un grenier tant qu’ils ont les moyens de subsisté", donc la consommation productif n’est pas celle qui se confort avec la population, c’est celle qui permet de renouveler la reproduction et l’argent, ensuite l’agriculture est la seul activité parmi toute celle de l’homme qui est productrice nette. François Quesnay : "Les travaux de l’agriculture dédommage les frais paie la main d’ouvre de la culture (la main d’ouvre qui travaille la terre) procure des grains en laboureur et de plus elles produisent les revenus des biens fonds (la rente foncière) ceux qui acheté les ouvrages d’industries (produit d’artisanat) paient les frais de main d’ouvre et de gain des marchands mais ces ouvrages ne paient aucun revenu au-delà. L’industrie et le commerce sont stérile et on ferait double emploie si dans le but de calculer la valeur du produit national on additionner la valeur des biens agricoles et celle des biens industrielles". Séance 4 : 29/10/2018 Au milieu du 18ème siècle, les physiocrates insiste qu’il n’y a que l’agriculture qui permet de dégager un surplus elle permet de payer la main-d’œuvre du secteur industrielle, ils disent que seule la liberté permet d’assurer un revenu élever à l’agriculture seule la classe productive est concerné par cette liberté car elle réduit les couts et aboulie les monopoles de la terre. François Quesnay nous dit : "abondance et non-valeur n’est points richesse. Disette (rareté) et cherté est misère. Abondance et cherté est opulence (bien-être)". Ici il parle de l’opulence de ceux qui possède la terre et non pas l’opulence de la classe pauvre. L’ordre économique il est plus important que l'ordre naturel et aussi plus important que l’ordre politique parce que selon Quesnay on ne peut changer ni l’ordre naturel ni l’ordre politique, mais par contre dans l’ordre économique on peut changer les choses, F. Quesnay nous dit : "règle les rapports entre les trois classes fondamentales", c’est trois classes sont les suivants : - Classe productif ; - Classe des propriétaires ; - Classe stérile. F. Quesnay dans une citation célèbre nous dit : " Qui conque n'oubliera pas qu'il a les frontières entre les nations ne traitera jamais d’aucune question d'économie politique". • La classe productive : La classe productive il faut d’abords la définie :"C’est celle qui fait connaitre par la culture (travail de la terre) du territoire, les richesses annuelles de la nation", c’est de la comptabilité nationale qui se fait annuellement, le surplus qui est dégagé sur le territoire est comptabilisé chaque année, F. Quesnay c’est le premier à avoir inventé la comptabilité nationale. Nous dirons que cette classe productive se sont les fermiers, ceux qui travaillent la terre ; Cette classe nous dit F. Quesnay fait une avance annuelle, c’est elle qui appuie sur le bouton pour que le moteur démarre, et cette avance annuelle remonte à 2 milliards, qui la première année vont produire 5 milliards, sur les 5 milliards qui sont produit par la classe des fermiers, 2 milliards constitue un produit net ou un revenu national. • La classe des propriétaires : Ce sont ceux qui possèdent la terre le souverain (les rois du 18ème siècle), il a ceux qui possèdent la terre ce sont les seigneurs (propriétaire de la terre) et il a les décimateurs qui ont une petite parcelle de terre. Cette classe subsiste par le revenu ou le produit net, et ce revenu il est payé annuellement par la classe productive, le revenu de cette classe est de 2 milliards, sur ses 2 milliards ils sont dépense un milliard en achat à la classe productive et l'autre milliard qui reste ce sont des achats à la classe stérile, cette classe réalise une distribution élever que François Quesnay l'appel une distribution naturelle, car cette classe elle ne peut faire des achats que à la classe productif et stérile. De part cette distribution naturel, la classe des propriétaires conditionne le développement harmonieux de la nation, c’est pour cela que F. Quesnay nous dit, il est nécessaire de protéger la propriété foncière qui est le prolongement de la liberté individuelle, la liberté est le seul élément qui peut assurer un revenu élever. • La classe stérile : La classe stérile c’est une classe parasite elle ne produit rien, elle comprend tous les autres, on l'appelle classe stérile parce que ses dépenses sont payer par la classe productive d’abord et la classe des propriétaires ensuite. L'avance de cette classe est de 1 milliard qui vont être dépensés par cette classe en achat des matières premières à la classe des producteurs, ainsi la classe productive vend pour 1 milliard de production au propriétaires de revenu et pour 1 milliard à la classe stérile, la classe stérile utilise 1 milliard pour l’achat des matières premières et le milliard que les propriétaires de revenu ont dépensé on achat à la classe stérile est employé par cette classe là pour la subsistance des agents dont elle est composé (généralement ce sont les artisans)on achat de produit à la classe productif, donc si on fait les calculs le total des achats par les propriétaires et par la classe stérile de la classe productive est de 3 milliards. De ses 3 milliards qui sont reçus par la classe productive elle en doit 2 milliards aux propriétaires fonciers pour l'année en cours et elle doit dépenser 1 milliard en achat à la classe stérile, cette dernière retient cette somme pour le remplacement de ses avances qui ont été dépensées d'abord à la classe productive on matière première quelle à utiliser pour ses ouvrages (consommation intermédiaire), donc les avances de la classe stérile ne reproduisent rien, elle les dépense elles lui sont rendues et reste on réserves d'année en année. Les matières premières et le travail pour les ouvrages maintiennent les ventes de la classe stérile à 2 milliards dont 1 milliard est dépenses pour faire la subsistance (faire vivre) des agents de cette classe et l'autre milliard est consacré pour le remplacement des avances de cette classe qui l'année suivante sera employé de nouveau par la classe productive on achat de matières premières pour les ouvrages que la classe stérile fabrique, ainsi les 3 milliards que la classe productive reçoit pour les ventes qu’elle a faite aux propriétaires et à la classe stérile sont employés par la classe productive pour payer le revenu de l'année courante de 2 milliards pour les propriétaires qui sont les producteurs de revenu, et pour acheter des ouvrages à la classe stérile pour un Montan de 1 milliard d’où le tableau économique de François Quesnay, ce tableau donc il est typiquement macroéconomique et il constitue la première ébauche de la comptabilité nationale. 3- L’ordre politique : Il se résume en trois choses très importantes : •Le despotisme légale (roi dictateur=despote), parce que il tire ca légalité de la loi divine. •Il vient de la contradiction entre l’agrarialisme (la société et l’économie toute entière est agricole) et l’impôt sur l’agriculture, autrement dit l’ordre politique c’est le faite que tout le revenu qui est dégagé est dégagé par l’agriculture, mais tous ce revenu doit être dégagé par la classe productif, les propriétaires fonciers quand ils voient que leur revenu démunie, ils demandent au producteur d’augmenté leur avances, et ça a entrainé une sorte de crise économique dans l’agriculture du faite que l’impôt qui est imposé par les propriétaires fonciers, ensuite il a ce qu’on appelle la rente foncière qui va être plus tard combattu par Ricardo qui va dire si on veut voir le prix du blé démunie, il faut ouvrir les frontières au blé étranger, il faut lutter contre les Corn Law, c’est-à-dire les loi sur les blés. • le produit net est seul qui produit la richesse, donc il doit être taxé ; c’est pour cela que le despote (le souverain, le roi) à tout l'intérêt à défendre la propriété privée seule garante d'une agriculture productrice de son revenu (du roi). Donc tous l'ordre politique doit être concentré dans les mêmes mains celle du roi, et il faut que la monarchie soit héréditaire et cette monarchie c’est elle qui proclame les lois naturelles, et comme elle déclare les lois naturelles et qu'elle si conforme ellemême elle ne peut être considéré comme arbitraire. Section 3 : La pensée classique : (La première école de pensée) La pensée de l’école classique a été inventer par l'expression d’école de pensée classique, elle a était utilisé pour la première fois par Karl Marx, donc Marx à inventer l’expression économie politique classique pour désigner ceux qui ont contribué à mettre en évidence la connexion interne des formes de la richesse et à rechercher les lois fondamentales, donc nous avons dans l’école classique des auteurs français et des auteurs anglais, nous avons en royaume uni des auteurs comme W. Petty et A. Smith et David Ricardo , en France nous avons Bois Gilbert, Sismondi et Jean-Baptiste Say. Selon Karl Marx il y a deux auteurs britanniques "Robert Thomas Malthus " et " John Stuart Mill " qui sont considérer appart de l’école classique parce qu’il marque selon lui la transition de l'économie classique vers l'économie vulgaire (économie marginaliste), mais la délimitation la plus courante de l’école classique privilégie la succession d’auteurs dont les contrebutions théorique s’échelonne entre la richesse des nations de Smith (1776) et les principes de l'économie politique de John Stuart Mill publier en (1848) et ce Stuart Mill est considère comme le dernier des classiques, autrement dit l’école de pensée classique à commencer en 1776 et elle s’est terminer en 1848. Entre ses deux ouvrages, entre l’ouvrage de A. Smith et de Stuart Mill paresse ceux de Malthus qui est plus connu par son ouvrage sur la population, qui s’intitule "essaie sur le principe de la population" en 1798 et il a publié un autre ouvrage "principes de l'économie politique" en 1820, ceux de David Ricardo "principes de l'économie politique et de l'impôt" en 1817 et il a les ouvrages de Jean-Baptiste Say " Traité d’économie politique " 1803. Le fondateur de l’école classique c’est Adam Smith, donc il a publié en 1776 son ouvrage principale " Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations" A. Smith a vécu entre 1723 et 1790, et il a souvent était considère comme le véritable père de l'économie politique parce que son ouvrage représente le socle commun à partir duquel les auteures classiques obsèdent leurs propre conceptions. Comment A. Smith définit-il l’économie politique dans la richesse des nations? •Citation de Smith : "L'économie politique considérée comme une branche des connaissances de législateur et de l'homme d'État se propose dans deux objectifs distincts : le premier de procurer au peuple un revenu ou une subsistance abondante ou pour mieux dire de le mettre (le peuple) en état de se procurer lui-même se revenu de cette subsistance abondante, le deuxième objet c’est de fournir à l'état ou à la communauté un revenu suffisant pour le service public ; elle se propose (l’économie politique) d'enrichir à la fois le peuple et le souverain", cette citation se propose a 2 buts distinctes : - Premier but c’est de procurer à la population un revenu et de quoi vivre d’une manière décente ; - Deuxième but c’est de fournir à l’état ou à la communauté de quoi payer les charges publiques. • Schumpeter : Schumpeter appartient à l'école autrichienne, Il a écrit un ouvrage majeur qui s’intitule "une histoire de l'analyse économique" en 1983, il nous dit : "mais bien que la richesse des nations ne contienne aucune idée véritablement nouvelle et bien qu’elle nous puisse rivaliser avec les principes de Newton ou avec la théorie de l'origine de Darwin c'est tout de même une grande ouvre qui mérite tellement son succès". •Mais l'autre auteur qui ne montre pas d’importance dans l'économie classique c’est David Ricardo (17721823), il est d’origine juif et il a émigré du Portugal vers l’Angleterre avec ses parents, en 1790 il entreprend pour la première fois la lecture de la richesse des nations de Smith. En 1815 David Ricardo a publié "essai sur l’influence d’un bas prix du blé sur les profits" ou ce qui est connu aujourd’hui sous le titre "essai sur les profils", c’est dans cet ouvrage que nous allons trouver sa théorie sur toutes ses idées sur la rente foncière. En 1817 il a publié "principes d’économie politique et des impôts". Séance 5 : 05/11/2018 Premier paragraphe : les théories classique de la valeur : - Adam Smith : Smith nous dit la main invisible règle toute chose, autrement dit pour lui l’Homme est l’un parmi d’autre dans une société soumise à la volonté divine, chacun en expriment sa volonté individuel concourt (participer) a l’harmonie sociale. La main invisible est toujours attachée à l’œuvre de SMITH, bien que dans toute l’œuvre d’Adam Smith l’expression de la main invisible n’a été utilisé qu’une seule fois. La main invisible fait la description de l’échange sur un marché de concurrence spécialisé dans la production d’un seul bien, donc l’homme dont parle SMITH est un individu qui est spécialisé dans la production d'un seul bien, mais c’est un homme qui est libre et indépendant car il échange ce qu’il a produit contre d’autre bien mais suivant ces propres besoins, donc delà on a conclu que le maître mot de SMITH c’est la division du travail, donc dans l’œuvre de Smith il a 3 idées majeurs : la main invisible, la spécialisation et la division du travail : Mais dans l’œuvre de SMITH, il est question de la richesse. La richesse vient de l’accumulation du capital qui est due à l’épargne, mais l’accumulation de la richesse ne vienne pas seulement de l’accumulation du capital, mais aussi du progrès technique et de la spécialisation parce que ces derniers accroissent la productivité du travail. La spécialisation ne concerne pas uniquement un pays, elle concerne également le reste du monde, c’est pour cela que Smith défend ce qu’il appelle le libre-échange dans le commerce international (ouverture des frontières), c’est-à-dire que chaque pays doit se concentrer sur les domaines de production où il est le moins chère c’est-à-dire ceux où il détient un avantage absolu de compétitivité. Donc dès le départ Smith est contre les idées des mercantilistes et contre les droits de douane qui limitent l’entrée des produits étranger en Angleterre, pour défendre son idée sur le libre-échange et les avantages absolus Smith ajoute une idée : tous les produits sont comparables en fonction de leurs valeurs, car la valeur est fonction du travail ou de l’utilité sur tout du travail pour les classiques, et Adam Smith fait la distinction entre la valeur d’usage et la valeur d’échange sans qu’il est de connexion entre les deux, ce qui intéresse de plus pour Smith c’est la valeur d’échange et il pose la question suivante : Qu’elles sont les facteurs qui déterminent la quantité d’un bien à échanger contre un autre ? Pour lui : "c’est du travail d'autrui qu’il lui faut attendre la plus grande partie de toutes ces jouissances (satisfaction); ainsi il sera riche ou pauvre, selon la quantité de travail qu’il pourra commander ou qu’il sera en état d’acheter… Le travail est donc la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise". La valeur de travail : elle est neutre, invariante ; comment Smith explique-t-il cette invariante ? Smith : "Des quantités égale de travail doivent être faite dans tous les temps et dans tous les lieux, d’une valeur égale pour le travailleur, … Ainsi le travail, ne variant jamais dans sa valeur propre, est la seule mesure réelle et définitive qui puisse servir, dans tous les temps et dans tous les lieux, à apprécier (mesurer) et à comparer la valeur de toutes les marchandises. Il est leur prix réel ; L’argent n’est que leur prix nominal". • Apprécier a beaucoup de sens mais dans cette citation est utilisé dans le sens de mesurer. • Cette citation explique l’invariance du travail doit être une hypothèse de base, il ne change pas, il ne varie ni dans le temps ni dans le lieu. - Davide Ricardo : Il a publié en 1817 "Des principes de l’économie politique et de l’impôt", pendant 50 années jusqu’au 1867 l’ouvrage de Ricardo était la référence principale de l’économie politique. Dès le départ Ricardo reprend toutes les idées de Smith, il nous dit : la valeur d’échange d’un produit n’est pas en fonction de son utilité, la preuve c’est qu’il y a des produits très utile comme l’eau ou l’air n’ont aucune valeur d’échange, il ajoute c’est d’avantage la rareté qui détermine la valeur d’échange, si quelques marchandises sont naturellement limité la plupart en leurs volumes en fonction du travail que l’on accepte de consacré à leurs productions, c’est donc bien le travail qui fait la valeur des marchandises. Ricardo précise que la différence de valeur entre deux biens qui ont nécessité même quantité d’horaire de travail, trouve son explication dans l’aspect qualitativement diffère de ses travaux, ça veut dire du point de vue de leur intensité ou du point de vue savoirfaire qu’il demande. Les variations des salaires : le salaire c’est le cout monétaire du travail, ne signifie pas qu’il y a une évolution d’échange, mais elle signifie uniquement une baisse du profit, cette idée est très importante parce que comme les salaires évolue ça ne veut pas dire que la valeur d’échange qui a évolué il veut dire par là qu’il n’y a qu’une seul valeur et dans cette valeur on trouve le salaire, le profil et la rente. D’autre part, la quantité de travail que demande la production comprend aussi celle de la production des biens qu’il nécessite, c’est-à-dire le capital fixe, et dans l’œuvre de Ricardo il y a une différence entre le capital fixe (machine …) et le capital variable (le travail). L’introduction du capital fixe dans le processus de production modifie la règle de la valeur-travail qu’on a trouvée chez Smith, parce que la production de la machine induit un report dans le temps de la vente du produit fini et donc du profit, la valeur de la production qui nécessite d’avantage de capital fixe auras une valeur d’échange supérieur à fin d’assurer pour une même durée une égale de rentabilité. La durée de vie du capital fixe on faisant varier les modalités de son amortissement a aussi un impact sur la valeur d’échange. Dans certains ouvrages nous entendrez parler de la valeur relative, la valeur relative d’un produit vis-à-vis d’un autre produit n’est pas proportionnelle à la quantité de travail qu’ils ont nécessités, elle ne l’est que si la durée de vie du capital fixe et sa part dans la quantité de travail sont identiques pour les deux produits, ce qu’il appelle L’intensité du capitale. La valeur de l’or fluctue comme celle de n’importe quel produit, mais la difficulté de son extraction en font un étalon monétaire judicieux (une bonne monnaie), d’où la distinction entre valeur et richesse : Citation de Ricardo, premièrement selon a. Smith : "un homme est riche ou pauvre en fonction des moyens dont il dispose pour se procurer des biens nécessaires, commodes et agréables de la vie", mais selon Ricardo : "la valeur diffère essentiellement de la richesse car elle ne dépend pas de l’abondance mais de la difficulté ou de la facilité de production". Pour Ricardo donc une meilleure productivité fait varier à la baisse la valeur des biens mais non la richesse qui représente. L’accroissement de la richesse repose donc sur la diminution de la valeur des biens, hors la diminution de la valeur des biens est provoqué par l’amélioration des techniques de production, par la division du travail, ou par la découverte de nouveau marché et d’ailleurs l’apport de la nature peut modifier la richesse et non pas la valeur. - Karl Marx : Il a publié en 1848 un ouvrage "Critique de l’économie politique classique", et il a publié en 1847 "le manifeste du parti communiste" et en 1885 après sa mort est publié "le Capital" son œuvre principale. Dans le Capital il reprend et critique en profondeur la théorie de la valeur de Ricardo, K. Marx nous dit du fait que la production marchande repose sur la division du travail, une marchandise elle est d’abord objet d’utilité mais non pas pour celui qu’il a produit mais pour celui qu’il la désir ceci poser la valeur du travail ou ce que Karl Marx appelle : "la quantité du travail socialement nécessaire à la production d’une marchandise" devient l’étalon de comparaison des valeurs des marchandises entre elles, aucun producteur n’accepte de se séparer de sa marchandise ou de sa production s’il n’est pas convaincu qu’il verra son travail rétribuer à sa juste valeur, autrement dit s’il n’a pas le sentiment que son effort est rétribué en fonction du temps et de la peine qu’il lui aura couté. Un travail qui ne permet pas de subvenir à ses besoins réel, un travail pour lequel on dépense plus d’énergie et de richesse que n’on reconstitue n’est ainsi qu’un travail socialement inutile. Pour K. Marx les travailleurs vendent leurs forces de travail et donc leur salaire correspond au minimum vital (Marx utilise salaire de subsistance) permettant de reconstituer leurs forces de travail (nourriture, vêtement, logement, repo, éducation, culture…) ; ce qu’il faut retenir c’est que pour K. Marx dans le modèle capitaliste la valeur du travail est masqué par une fiction qui refait une marchandise. Pour résumé le résultat de cet échange marchand défavorable au travailleurs c’est "le sur travail" qui est approprié par les capitalistes. En effet, la quantité du travail nécessaire à la reproduction de la force de travail est inférieure au travail imposé par les capitalistes aux travailleurs, la différence entre le travail nécessaire c’est-à-dire entre le travail effectivement accompli et le travail effectivement rémunéré constitue "la plus-value" qui est la source du profil. Séance 6 : 12/11/2018 Section 4 : L’école marginaliste: Cette école contient 3 écoles différentes : - Ecole Autrichienne en Autriche : Ludwig Von Mises, Friedrich Von Hayek, Eugen Von Böhm-Bawerk. - Ecole de Lausanne en Suisse : Léon Walras, Vilfredo Pareto. - Ecole de Cambridge en Angleterre: Alfred Marshall, Arthur Cecil Pigou. Ce qu’il faut savoir c’est que l’école marginaliste est né en réaction à l’école marxiste, Marx avait dit que toute valeur ne peut avoir pour origine que le travail socialement nécessaire à la création de marché, la contribution des marginalistes est fondé sur le remplacement de la théorie de la valeur-travail par celle de l’utilité marginale, Marx avait développé la théorie de l’exploitation du travail par le capital. Le but de l’école marginaliste c’est celui de justifier l’existence du profil, aussi bien que la théorie de la valeur-travail que la théorie marginaliste place leur objectif sur la question de la formation des prix, mais pour les néoclassiques (marginaliste) la formation des prix repose sur le comportement du consommateur avec le concept de valeur à la marge, c’est-à-dire de la valeur de la dernière unité soit à consommer ou à produire (microéconomie). Cette vision basée sur le comportement humain fut par la suite plus largement admise et exploitée que la valeur utilité des classiques, c’est d’ailleurs l’utilisation du marginalisme qui marque la ligne de séparation entre classique et néoclassique. Donc ils ont était qualifier de néoclassique, les auteurs qui comme les classiques voulait montrer les avantages du libéralisme mais en abondant une démarche différente, d’où le terme "néo" les nouveaux classiques. • la théorie de l’école autrichienne : - Qu’est-ce que l’école autrichienne ? Les auteurs autrichiens s’expriment en allemand et ils veulent montrer a Marx que le libéralisme est supérieure au socialisme, le marché selon ses auteurs c’est la rencontre des préférences individuelles, seule les particuliers peuvent fixé la valeur des biens et seule le marché peut coordonner les préférences de chaque individu. Le socialisme (Marx) enlève le calcule rationnel et subjectif que chaque individu fait de la valeur d’un bien, c’est pour cela que le socialisme est inférieur au libéralisme, en effet seuls les individus sont capables de savoir les couts et les bénéfices d’un bien car ils sont subjectifs. Il faut donc introduire la diversité des avis des consommateurs et de les cordonnés dans l’asphère économique à fin de la faire fonctionné, et c’est là interviennent les prix qu’ils jouent un rôle considérable car ils deviennent le miroir de l’économie. Pour l’école autrichienne dans le socialisme l’état fixe les prix, mais comme il ne connaît qu’une partie des préférences des consommateurs et qu’une partie des spécificités des marchés il ne réussit pas au contraire il biaise le marché. - Les auteurs de l’école autrichienne : Avant Mises il y avait Carl Menger, il a écrit en 1871 "principe des économies", c’est le premier qui a dit que la théorie de la valeur au sens stricte fait appelle uniquement au comportement des agents économiques (producteur et consommateur), le marché est primordial, parce qu’il permet de coordonné entre les diverses préférences individuelles. Sur ce marché s’échange avant tout des comportements de consommation ou de production, l'équilibre est atteint lorsque l’égalité des utilités marginales intervient, mais pour des biens qui n'ont pas une utilité directe, Menger à la suite dit qu’on peut déterminer leur prix par rapport à leur utilité dans la production des biens de premier rond. L'homo Economicus c’est le consommateur ou le producteur dont l’unique but est de maximisé son utilité, et quand il a maximisé son utilité il a réalisé la satisfaction maximale, et tout le problème c’est de savoir qu’est-ce que l’on peut se procurer avec cette argent ; c’est là où les Autrichiens ont été les premiers à introduire l’outil "calcul mathématique" dans la résolution de cette équation (comment atteindre le maximum de satisfaction sous la contrainte du budget) ou dans le raisonnement économique. Grâce à cet outil mathématique, la théorie Néoclassique marginaliste va décrire les préférences des consommateurs (un comportement) par une fonction d’utilité qui signifie que le consommateur est capable d’attribuer un degré de préférence à chaque ensemble de bien, donc la théorie marginaliste à commencer par attribuer une valeur absolue (cardinalité) à la préférence purement individuelle. La théorie néoclassique est venue à se limiter un classement relatif des préférences, le fait de dire qu’on peut donner un rond aux préférences cela veut dire que avec l’école autrichienne la théorie néoclassique est parvenue à des résultats en supposant simplement que le consommateur est capable d’ordonner de classer ses biens selon ses préférences sans être capable de mesurer l’utilité. Friedrich Von Wieser a publié en 1889 "Natural Value" et il va écrire un ouvrage critique sur le socialisme en 1914 "Social Economics". • l’école de Lausanne : Avant Walras il y avait un auteur anglais qui va inspirer aussi bien Walras et Pareto ; c’est Stanley Jevons il a était très connu à l’époque parce que s’était le seul anglais qui émerger parmi les Autrichiens, il a écrit un ouvrage majeur en 1871 qui l’a intitulé "théorie de la politique économique". L’école de Lausanne s’inspire des idées de Jevons et cette école est représentée principalement par Walras (1834-1910) et Pareto (1848-1923), on dit que Walras est le père fondateur de l’école de Lausanne bien qu’il est Suisse que Français, il est connu sur tout par "modèle de l’équilibre général", en 1874 Walras s’inspirant de Jevons souligne en reprenant la loi de débouché de John baptiste Say "l’identité comptable entre la somme des offres et la somme des demandes dans l’économie nationale" du faite de la contrainte budgétaire on ne peut acheter des biens et des services que pour une valeur équivalente au budget, généralement lorsqu’on considère la totalité des agents et la totalité des biens et des services "l’offre globale et la demande globale sont nécessairement égales" cette identité-là on l’appelle "la loi da Walras". Ce que veut dire Walras c’est que l’économie est constituée de 4 marchés : Marché des biens est services, Marché du travail, Marché de la monnaie, et le Marché des titres ; ce dernier c’est un marché accessoire, il est lié au marché de la monnaie. Walras veut prouver par sa loi la chose suivante, il nous dit : Si dans une économie nous avons un équilibre sur les 3 premiers marchés, il y a automatiquement aussi l’équilibre sur le dernier marché, et il généralise cette loi en disant si nous avons un équilibre sur N-1 marché l’équilibre sur le Nième marché est réalisé ; c’est "la loi de Walras". La loi de Walras : "La valeur totale des offres est-on identique à la valeur totale des demandes, si l’équilibre entre offre et demande est réalisé sur N-1 marché alors il est réalisé sur le Nième marché". - Cadre de raisonnement de Walras : Le cadre dans lequel se situe Walras est celui de la théorie d’économie pure, cela veut dire qu’il faut déterminer un modèle d’équilibre théorique celui de la concurrence pure et parfaite dans lequel le fonctionnement des mécanismes de l’économie sont les plus efficaces, et ce cadre de l’économie pur il est caractérisé par cinq hypothèses de base : - Atomicité du marché : Un grand nombre de producteurs et d’acheteurs sur le marché, aucun n’ayant un poids suffisant ou une taille suffisante pour influencer les résultats du marché ; - La livre entré : Autrement dit aucun obstacle à l’entrer et à la sortie d’un nouvel agent sur le marché ; - Homogénéité des produits : Tous les entreprises produisent un même produit homogène, parce que selon Walras la concurrence ne peut se faire que sur le prix est non pas sur les produits car ils sont homogène ; - Mobilité des moyens de production : C’est le travail et capital, c’est-à-dire ces derniers peuvent se déplacer librement et sans délai d’une entreprise à une autre ou d’un marché à un autre ; - Information parfaite : Ou ce qu’on appelle la transparence parfaite, tous les participants au marché connaisse en même temps et gratuitement toutes les quantités offertes et demander par tous les agents au prix différent. Donc le cadre dont lequel se situe le model d’équilibre générale de Walras c’est la situation de concurrence pur et parfaite, l’objectif de Walras est de répondre à une question, celle de savoir s’il existe un système de prix qui assure l’équilibre entre l’offre et la demande sur tous les marchés ? Cette question est importante car la réponse à cette question dépend de la capacité du marché a assuré l'allocation maximale des ressources et du travail et du capital. Séance 7 : 19/11/2018 - Walras : (suite) Pour résumer la pensée de Walras concernant l’état de l’équilibre générale, Walras nous dit :"A l'état (situation) d’équilibre général du marché les M*M-1 prix qui règle l'échange de M marchandise deux à deux sont implicitement déterminé par les M-1 prix qui règle l'échange de M-1 quelconques d'entre ses marchandises avec la M-ième. Autrement dit on peut définir complètement la situation du marché en situation d'équilibre général on rapportant les valeurs de toutes les marchandises à la valeur d'une entre elles, cette dernière marchandise s'appelle numéraire". Walras veut dire par cette citation que d’abord le marché est libre et il est transparent c’est-à-dire c’est un marché de concurrence pur et parfait, le deuxième message c’est que les marchandises sont échanger contre elle sans numéraire, il y a autant de marchandise qu’il y a le marché. Donc la doctrine de la Dichotomie c’est le terme utilisé pour illustrer la neutralité de la monnaie, il a un secteur réel et un secteur monétaire et entre les 2 il y a un mur infranchissable, la monnaie n’est qu’un voile du ce qui a déjà exister dans le réel. Le principe du tâtonnement : Toute l’œuvre de Walras est basée sur ce mécanisme du tâtonnement, les personnes moins voyantes on inventer ce terme. Revenant à l’équilibre générale, il a flexibilité des prix quand le prix augmente les quantités offerts baisse et inversement, nous somme en situation de concurrence pur et parfait, le problème qui se pose c’est de savoir comment peut se réalisé concrètement l’ajustement par les prix ? Sachant que l’hypothèse concurrence pur et parfaite implique que chaque agent ajuste son comportement en matière d’offre et de demande en fonction des prix du marché ? Selon Walras par analogie avec les marchés financiers ou le problème est résolu par l'intervention d'un crieur de prix "priseur" qui fixe un premier prix provisoire pour tester les réactions du marché, puis ajuste sa proposition de prix en fonction de l'importance de l'offre et de la demande au premier prix, Walras imagine donc un mécanisme fictif (irréel) similaire qui permet aux différents marchés de s'ajuster, c'est le principe de tâtonnements de Walras. - Pareto : Biographie : Pareto il va succéder Walras, Pareto au départ n’était pas un économiste. Le modèle de Walras est un peu mécanique, le modèle de Pareto ne se contente plus de nous donner un état d’équilibre mais il va aller plus loin et nous dire qualitativement à quoi il sert cet équilibre, pour lui l’économie pur ne peut être étudié indépendamment des autres sciences exactes. Son premier ouvrage s'intitule "Cours d’économie politique" en 1897 dans cet ouvrage on retrouve sa théorie sur la loi de distribution du revenu, c’est un ouvrage incompréhensible parce qu'il utilise beaucoup l’instrument mathématique, pour lui la répartition de la richesse au sein de la société n'est pas un résultat de hasard mais elle se retrouve au contraire tout au long d'histoire et dans toute les sociétés et nous donne des exemples il nous dit : Dans les systèmes socialiste (Sismondi) , il oppose les mythes socialistes agissant sur les sentiments en doctrine libérale qui font appel à la logique et à la raison et comme elles font appel à la raison et la logique, elles sont plus difficiles à faire admettre par la population. En 1906 il écrit un autre ouvrage "Manuel de l'économie politique", dans ce manuel Pareto développe le principe d'homo Economicus qui est un personnage fictif guidé par son seul intérêt égoïste. Puis à partir des travaux de Walras il expose dans ce manuel ses réflexions sur l'équilibre général et les concepts de base de l'économie de bien-être "Welfare State ", et comme il a vu que tous ses mathématiques et ses formalisation ne le plaisiez pas, il va faire un virage à 90 degré vers la sociologie, il va donc publier vers la fin de sa vie un ouvrage très controversé, autant que sociologue il a ouvrit la porte sur ce qu’on appelle la théorie des comportement avec des résidus et des dérivations ; en sociologie résidu ça veut dire éléments psychologiques de base qui donne des fondements non logiques au comportement c-à-d quand l'homme réagi à l’état animal ; les dérivations se sont des manifestations des besoins de raisonner que trouve l'homme pour expliquer son comportement. Vers la fin de sa vie, Pareto adopte des positions en faveur de la monté des fascismes en Italie, en juillet 1923 marque la naissance d'un gouvernement autoritaire et antidémocratique de fascisme. - Pareto : Optimum et Maximum d’Ophélimité: En fait tous viens d'un problème qui s’est posé déjà à l’école de Vienne (l'école autrichienne), le problème est le suivant : est-ce qu'on peut additionner des utilités individuelles et de dire qu’à partir de cette somme qu’on peut mesurer la satisfaction collective ? Pour résumer on ne peut pas additionner des carottes et des choux, cela veut dire tout simplement si on veut additionner des utilités, il faut d’abord commencer par donner à ses utilités des valeurs cardinales. Alors Pareto veut résoudre ce problème de la mesure de l’utilité, il nous dit puisque il est impossible d’additionner les utilités parce que chacun est seul juge de sa satisfaction, et cette dernière dépend de nombreux facteurs, donc il est pratiquement impossible de faire des comparaisons interpersonnelles, malgré tout et en cherchant il va nous dire dans son cours d’économie politique que la solution se trouve dans le principe d’Ophélimité, avant cela il fait une référence à un philosophe français "Voltaire" qui disait "le monde est une horloge et je ne peux imaginer que cette horloge existe sans horloger", il nous dit l'Ophélimité c'est plus ou moins semblable à la valeur d'usage ou plus exactement c'est "le rapport de convenance entre l'homme et l'objet", après ça il nous dit qu'on ne peut que réaliser un classement, une échelle de préférence du meilleur au pire de cette Ophélimité. Tout ça c’est dans le "cours d’économie politique" en 1897, 10 ans plus tard il nous dit : Il faut imaginer des lignes d'indifférence des goûts et des couleurs sont dans la nature "EDG WORTH", à partir de là Pareto propose de réalisé des lignes d’indifférence des goûts qui permettre de résoudre le problème de la mesure de l'utilité. Pour expliquer la courbe d’indifférence des goûts nous allons (1èr hypothèse) nous comporter d’un exemple simple et qu’il n’est on rapport de deux individus A et B. Puis (2ème hypothèse) à partir des utilités ordinales intra personnels, Pareto élabore ce qu’il appelle un concept d'économie pure, dans sa tête cela veut dire l’usage excessif des mathématiques. (3ème hypothèse) Une situation A sera préférée à une situation B si tous les individus sont au moins aussi bien en A comme B même si plusieurs sont mieux en A comme B c'est la situation d’optimum. Et pour généraliser ce modèle, il nous dit : il existe dans une situation de concurrence un optimum commun au consommateur et au producteur, et cet optimum est indépendant de l'organisation de la société et le droit de propriété des moyens de production, pour dire que si on va rechercher l’optimum pour le "WELFARE STATE" on n’a pas besoin de dire qu’il a de l’exploitation. L’optimum c’est une situation dans laquelle on ne peut plus améliorer le sort d’un individu ou d’un groupe d’individu sans porté atteinte au sort d’un autre individu ou d’un autre groupe d’individu, l'ouvrage de Pareto s’appelle "traité de sociologie général". Il faut remarquer que le maximum d’Ophélimité n'est pas unique au contraire sa définition rejette l'idée de l'existence d'un seul optimum, il suggère plutôt qu’il existe une infinité d’optimums qui ne peuvent être comparé, dans le "manuel d'économie politique" en 1906 il dit que l'optimum peut être atteint aussi bien grâce à une planification parfaite que grâce à une concurrence pure et parfaite, et on peut remarquer que même si la concurrence pure et parfaite règne sur les marchés, la satisfaction du critère de l'optimum de Pareto nécessite les conditions supplémentaires comme l'absence des biens collectifs, ces derniers se sont les biens dont la consommation est indivisible, par exemple l’éclairage publique. Donc le libre jeu de la concurrence ne permet pas la réalisation du critère de l’optimum de Pareto car il faut toujours l’intervention du pouvoir public contre le laisser faire librement.