la conservation de la biodiversité - VALE Nouvelle

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La convention pour la conservation
de la biodiversité
Une Convention pour la conservation de la biodiversité a été signée entre Vale Nouvelle-Calédonie et
la Province Sud, le 7 mai 2009. Cette convention fixe les modalités techniques et financières de mise
en œuvre de la démarche pour la conservation de la biodiversité. Elle comprend deux axes majeurs :
des plans de suivi des milieux et des plans opérationnels d’actions.
1.
Les plans de suivi des milieux naturels
Les dolines sont
L’objectif des plans de suivi des milieux est de surveiller les effets (directs comme indirects) de l’endes
cuvettes plus ou
semble des activités du projet,, sur tous les milieux « récepteurs » situés au sein de la zone d’inmoins profondes, soufluence : les eaux douces des creeks et des dolines, les eaux souterraines, le milieu atmosvent circulaires, telles de
phérique, la flore et la faune terrestres, ainsi que le lagon. Le but est de détecter de façon
petits
entonnoirs
remplis d’eau
très précoce toute modification qui soit significativement supérieure aux changements
douce de façon permanente
saisonniers naturels, afin d’en tirer des actions, notamment correctives, en conséquence.
ou intermittente.
L’outil est basé sur des indicateurs physiques, chimiques et biologiques robustes et fiables.
Les missions de suivis et les analyses des paramètres indicateurs sont confiées à des prestataires indépendants (externalisation maximale par souci de transparence).
Ces plans ont vocation à être validés par les administrations de contrôle suite à l’expertise de groupes
de travail spécialisés chargés d’émettre des recommandations d’amélioration. Ils sont dans l’attente
acceptés en l’état.
Ces plans sont des guides règlementaires pour une surveillance pertinente et stricte. Ils précisent les
obligations méthodologiques des échantillonnages et des analyses, les indicateurs, les fréquences
et les points de surveillance (nombre et localisation des stations surveillées). Ils sont aussi évolutifs
par intégration du retour d’expérience. La Convention pour la conservation de la biodiversité prévoit
la création de groupes de travail chargés d’évaluer les plans de suivi des milieux naturels et les plans
opérationnels d’actions.
1
Prélèvement d’eau douce en
milieu naturel
Les plans de suivis des milieux récepteurs
Installation Classée pour la Protection
de l’Environnement
•
1.1 Plan de suivi de la qualité de l’air, des eaux de pluie et des effets des émissions
atmosphériques
La qualité de l’air ambiant est surveillée afin de garantir :
-
la santé des populations
-
la santé des écosystèmes et de la biodiversité végétale
•
Cinq stations de suivi de la qualité de l’air entourent l’usine et prennent en compte les vents dominants
que sont les Alizés. Les résultats des analyses sont communiqués sur Internet et sont accessibles à
tout moment. C’est l’association Scal’Air qui gère les stations et communique les rapports et les bulletins périodiques, pour assurer la transparence et une information indépendante.
Pour la surveillance des effets des émissions atmosphériques sur la végétation, ce sont des bio-indicateurs qui sont suivis sur des « parcelles forestières permanentes » de surveillance. Les stations sont
situées avec un gradient d’éloignement des sources d’émissions que sont les cheminées de l’usine.
Les suivis des eaux de pluie : Les contrôles sont réalisés quatre fois par an (au minimum), sur 7 stations de contrôle de l’eau de pluie qui entourent l’usine.
Les rapports de ces suivis sont communiqués de façon intégrale aux administrations de contrôles.
Diverses graines du maquis minier
2
Surveillance de l’activité
chlorophyliennne
Station de mesure de la qualité de
l’air
•
•
La réglementation de la province Sud relative aux Installations Classées pour la Protection de l’Environnement
(ICPE) s’applique aux installations, publiques ou privées,
qui peuvent présenter des dangers ou des inconvénients pour la commodité du voisinage, pour la santé, la
sécurité, la salubrité publique, pour l’agriculture, pour la
protection de la nature, de l’environnement et des paysages.
Les installations dites ICPE soumises à autorisation
doivent obéir à une procédure administrative qui exige
un dossier de demande d’autorisation d’exploiter très
précis et complet (avec une étude d’impact). L’arrêté qui
autorise l’exploitation soumet celle-ci à des règles de
conduites extrêmement strictes et contrôlées, en faveur
d’une protection maximale de l’environnement.
Les ICPE sont sujettes à des contrôles fréquents de la part
des administrations compétentes dédiées à cette tâche.
En Province sud calédonienne il s’agit de la DIMENC(1) et
de la DENV(2).
En cas de non observation d’une prescription, l’exploitant est mis en demeure de satisfaire celle-ci dans un
délai donné. A l’expiration du délai fixé, si l’exploitant
n’a pas obtempéré à cette injonction, des sanctions sont
imposées pouvant aller jusqu’ à la suspension des activités et de l’arrêté.
Vale Nouvelle-Calédonie est une ICPE qui a obtenu :
L’arrêté autorisant l’exploitation du port de Prony en 2007 ;
Les deux arrêtés autorisant l’exploitation de l’usine et du
parc de stockage des résidus en 2008.
1 – Direction de l’Industrie, des Mines et de l’Energie de Nouvelle-Calédonie
2 – Direction de l’Environnement de la Province Sud (DENV)
1.2 Plan de suivi de la flore et de la faune terrestres
Ce plan détaille la méthodologie de surveillance des plantes et des animaux, dans le but d’observer
les évolutions de la biodiversité et d’apprécier, sur la base d’indicateurs biologiques objectifs, le degré
d’intégrité fonctionnelle des divers secteurs de la zone d’influence du site industriel. Ceci en vue de
prendre les mesures correctives nécessaires à la conservation in situ et ex situ de la biodiversité.
Les stations de suivis sont situées dans les forêts les plus proches du site industriel et avec un gradient
d’éloignement vers des zones témoins. Pour les lézards : 7 stations. Pour les oiseaux : 48 points de
suivis. Les rapports annuels sont communiqués de façon intégrale aux administrations de contrôles.
Les bio- indicateurs « Flore » :
Les bio- indicateurs « Faune » :
Etat physiologique de la végétation, diversité et Espèces locales choisies : herpétofaune
abondance, structure, activité chlorophyllienne, (lézards endémiques) et avifaune (oiseaux).
floraison, fructification, composition chimique de
la litière et des sols, prélèvements sur la canopée très sensible.
La canopée : étage supérieur de la forêt en contact direct avec l’atmosphère et les
rayons solaires.
Choix des lézards : A l’exception des chauves souris, il n’y
a pas de mammifère autochtone en Nouvelle-Calédonie,
ils ont tous été introduits au fur
et à mesure de la colonisation
humaine. Le choix s’est porté
sur des lézards endémiques
et les oiseaux après consultations des naturalistes.
La Direction de l’Industrie, des Mines et de l’Energie (DIMENC)
Elle assure pour le compte de l’Etat, de la Nouvelle-Calédonie et des trois provinces, le contrôle de l’industrie en Nouvelle-Calédonie dans une perspective de développement durable.
Les contrôles sont aussi effectués par la Direction de l’environnement (DENV) de la province Sud qui emploie 90 agents affectés notamment à des missions de surveillance de terrain et à l’instruction d’une partie des dossiers d’installations classées (ICPE), et des études d’impact. Depuis 2009 un code de l’environnement de la
province Sud constitutionnalise les exigences de la protection de l’environnent.
La police spéciale des ICPE est confiée à des inspecteurs qui effectuent des visites régulières d’inspection, conformément aux conventions passées entre les Provinces calédoniennes et la DIMENC.
L’examen des rapports semestriels de surveillance des rejets industriels et de la qualité du milieu naturel sont effectuées conjointement par la DIMENC et la DENV
Bassin versant ou bassin hydrographique : une
portion de territoire délimitée par des lignes de crête
de partage des eaux. Sa
surface recueille les eaux
pour les infiltrer en partie
et les concentrer vers les
ruisseaux correspondants
par ruissellement.
1.3 Plan de suivi des eaux douces superficielles,
Le suivi des eaux superficielles est effectué sur la base d’indices de qualité renseignant sur l’état écologique des creeks situés dans la zone d’influence du projet industriel et minier ; il a pour objectif de
connaître la situation et les tendances d’évolution des eaux superficielles par bassin versant.
Les indicateurs sont :
• physiques (débit, matières en suspension MES …),
• chimiques (qualité de l’eau et des sédiments via 50 paramètres analysés : conductivité, pH,
demande en oxygène, teneurs en métaux, …) sur 29 stations
• biologiques via des « sentinelles » (poissons et invertébrés) et via les indices biotiques des
creeks sur 20 stations.
Les stations sont situées le long des principaux cours d’eau et de leurs affluents en aval des installations industrielles et minières, (+ le long de creeks sur des bassins versants voisins et en amont par
précaution et stations témoins). La fréquence va de suivis continus par appareillage sur les rivières
(débit, conductivité…) à des suivis hebdomadaires, mensuels etc.… selon les paramètres analysés.
Les rapports annuels sont communiqués de façon intégrale aux administrations de contrôles (cf encart).
Suivi de la qulaité des eaux
par des tecniciens
spécialisés.
1.4 Plan de suivi des eaux douces souterraines,
La surveillance des eaux souterraines est effectuée par des analyses régulières des eaux profondes
grâce à l’implantation d’un réseau de plus de 65 piézomètres, permettant d’apprécier les impacts du
projet industriel et minier sur les eaux souterraines et leur effet corrélatif éventuel sur les eaux superficielles.
Une attention particulière est portée aux eaux en aval des installations. Par sécurité les bassins versants voisins sont aussi suivis.
Piézomètre : dispositif servant à mesurer la « hauteur piézométrique » en un point donné d’un système aquifère plus ou moins profond selon le forage. Il donne l’indication d’un niveau d’eau libre ou
d’une pression. Il permet aussi de récolter des eaux profondes pour analyses en laboratoire.
4
Bassin de sédimentation.
Appareils de mesure de la
qualité des eaux.
1.5 Plan de suivi du milieu marin (lagon).
L’objectif de ce plan est d’établir une méthodologie robuste permettant d’évaluer l’état de santé du
lagon et de détecter de façon précoce toute modification du milieu supérieure aux variations saisonnières naturelles afin d’en rechercher les causes et d’agir en conséquences, sur la baie du Prony et le
canal de la Havannah. (Zone Sud Est du lagon calédonien)
Travail d’archives photographique, plus une station écosys-Témique de surveillance
sous-marine
Reptile Tricot Rayé
Le port de Prony se situe dans la baie du Prony et le rejet d’effluent marin traité est situé dans le canal
de la Havannah, ces deux zones sont en zone tampon de la partie du Grand sud du lagon calédonien
qui est une des 6 zones inscrites au patrimoine de l’UNESCO.
Les stations de suivis encadrent le projet Vale NC et ses bassins versants, ainsi que le site portuaire
et la zone de rejet de l’effluent marin traité.
Les rapports annuels de ces suivis sont communiqués de façon intégrale aux administrations de
contrôles (cf encart).
5
Les indicateurs sont des «
Sentinelles » sensibles qui
vont détecter une tendance
évolutive- (Ex : turbidité, salinité, concentration en métaux
Ni, Co, Cr, Mn…, taux de sédimentation, blanchissement
corallien, recouvrement algal,
diversité des poissons, croissance de bivalves et d’algues
en cages…) 50 paramètres
indicateurs sont ainsi suivis,
en milieu marin.
2 .
Des plans opérationnels d’actions de conservation
Les plans opérationnels d’actions sont destinés à prévenir, éviter les impacts de l’ensemble des activités de l’entreprise sur sa zone d’influence, les atténuer et les compenser (mesures compensatoires)
Vale Nouvelle-Calédonie, en concertation avec la province Sud et à travers la convention pour la
conservation de la biodiversité, a identifié 10 plans d’actions :
2.1 Plan opérationnel de restauration écologique
Il détaille le travail du service de restauration (pépinière) : collecte des
graines, stockage, méthodes de
levée de dormance, germination,
élevage, plantation et aussi : bouturages, ensemencements et utilisation de la terre végétale…Il inclut les
études sur les mycorhizes (champignons et microbiologie des sols).
2.2Plan opérationnel de
conservation de la diversité paysagère
Ce plan lie une approche historique (et culturelle) de la zone du grand sud calédonien et son évolution, en tenant compte des transformations résultant de l’interaction des facteurs naturels et humains.
Il comporte un volet consacré à la restauration intégrée du paysage, complémentaire aux mesures
prévues dans le plan de conservation de la diversité paysagère.
6
La stratégie de revégétalisation de Vale NouvelleCalédonie est fondée sur
une restauration multi
spécifique,
c’est-à-dire
accès sur une soixante
d’espèces différentes de
plantes endémiques au
maquis minier. Ces plantes
pionnières
autonomes
favorisent l’implantation
d’autres espèces qui reconstituent un paysage
diversifié.
Les corridors écologiques et le
maintien d’une trame verte et bleue
Engagement phare du Grenelle de l’environnement, la Trame verte et bleue a pour
objectif d’établir sur l’ensemble d’un territoire
“des corridors écologiques” terrestres (verts) et
aquatiques
(bleus). Il s’agit d’une évolution dans la
2.3 Plan opérationnel de conservation de la diversité biologestion des espaces naturels qui doivent être protégés,
gique
elle implique toutes les parties prenantes, urbanistes comme
industrielles. Des couloirs de passages sans contrainte doivent
L’objectif de tous les plans combinés est d’assurer une évoluêtre maintenus pour relier les populations et permettre les
tion pérenne de la biodiversité naturelle, de conserver les réseaux
déplacements vitaux des êtres vivants, ils sont souécologiques fonctionnels et, au-delà, de les enrichir. Une étude sur les
vent appelés : corridors écologiques.
corridors écologiques est menée, la problématique de la fragmentation des
habitats et des populations est prise en compte. Ce plan converge avec les
actions compensatoires de maintien et d’enrichissement d’une trame verte et bleu
de connectivités écologiques.
Espèces exogènes
envahissantes : Aloès
Reconstitution d’une continuité
en Araucarias entre la population de la Baie de Port Boisé et
la population au sud de Forêt
Nord.
Feu de brousse : un fléau
Favoriser la connectivité et les corridors écologiques afin de ne pas isoler des population
2.4 Plan opérationnel de gestion des eaux superficielles
Il détaille la gestion des eaux superficielles de ruissellement pluvial (+ déversement), ainsi que les
installations et équipements destinés à prévenir tous effets négatifs significatifs du projet industriel
sur la biodiversité aquatique dans son ensemble.
7
Bassin de Sédimentation de la Kwé Nord
2.5 Plan opérationnel de maîtrise des espèces exogènes
Il est établi un programme de vigilance et d’alerte, élaboré en concertation avec les autorités locales
et la communauté scientifique, à l’égard de l’introduction d’espèces exotiques éventuellement envahissantes, c’est une priorité en milieu îlien. Des mesures d’éradication et de lutte sont mises en
place pour éliminer ou contenir le développement des espèces exogènes.
2.6 Plan opérationnel de lutte contre les feux de brousse
Les feux de forêt sont la cause majeure de l’érosion de la biodiversité et des sols en Nouvelle-Calédonie. Ce fléau récurrent est souvent vécu comme une anecdote. Tous les départs de feux sont
d’origine anthropique. Ce plan établit une coordination des efforts des autorités compétentes, des
associations et des brigades d’intervention de Vale Nouvelle-Calédonie et des communes voisines,
pour sensibiliser et lutter contre ce fléau.
Des Contrôles fréquents, inopinées et/ou réguliers,
et des obligations de comptes-rendus des émissions
La Direction de l’Industrie, des Mines et de l’Energie (DIMENC) assure pour le compte de l’Etat, de la
Nouvelle-Calédonie et des trois provinces, le contrôle
de l’industrie en Nouvelle-Calédonie dans une perspective de développement durable.
Les contrôles sont aussi effectués par la Direction de
l’environnement (DENV) de la Province Sud qui emploie 90 agents affectés à des missions de surveillance
de terrain et à l’instruction des dossiers d’installations
classées (ICPE), des demandes de forages et de captages et des études d’impact. Depuis 2009 un code de
l’environnement de la Province sud constitutionnalise les exigences de la protection de l’environnent.
La police spéciale des ICPE est confiée à des inspecteurs qui effectuent des visites régulières d’inspection,
conformément aux conventions passées entre les Provinces calédoniennes et la DIMENC.
Les analyses des rapports semestriels de surveillance
des rejets industriels et de la qualité du milieu naturel
sont effectuées conjointement par la DIMENC et la
DENV.
Espèces exogènes
envahissantes : Aloès
2.7 Plan transversal de formation, d’information et de sensibilisation sur la biodiversité
En complément des mesures prises au titre des plans qui précèdent, une stratégie de communication est établie sur les sujets variés relatifs à la biodiversité et aux enjeux de sa conservation. Le
plan inclut un programme de prévention et de sensibilisation du personnel et des sous traitants.
8
Feu de brousse : un fléau
2.8 Plan de réduction de l’empreinte Carbone
Un bilan Carbone est réalisé pour l’ensemble des activités du site. Une tendance à la réduction de ce
bilan, et donc de l’empreinte Carbone, est à maintenir au cours de l’évolution du projet.
2.9 Plan de gestion en cas de crise environnementale
Il s’agit d’un plan décisionnel et opérationnel et en cas d’accident environnemental, en cohérence avec la gestion de crise.
2.10 Plan opérationnel de compensation des effets résiduels (mesures compensatoires)
Les mesures compensatoires sont destinées à compenser les effets résiduels de l’ensemble des
activités du projet Vale Nouvelle-Calédonie. Elles s’inscrivent dans :
-
La stratégie provinciale de développement d’un réseau d’aires protégées dans le Grand Sud
-
La politique de développement durable de Vale Nouvelle-Calédonie
L’entreprise consacre, pour la première période quinquennale (2009-2013) la somme de 600 millions
CFP pour leur mise en œuvre et réalise par ailleurs la restauration écologique de zones dégradées,
en dehors de sa zone d’influence, dans un objectif de 100 hectares.
Exemples de mesures compensatoires:
• Amélioration des connaissances sur la biodiversité calédonienne :
1. Conventions partenariales avec l’IAC*, l’IRD*, l’UNC*, l’ONFI,* la SCO*, etc.
2. Construction d’un centre de recherche sur la biodiversité terrestre à la pépinière.
3. Etudes sur les espèces emblématiques que sont les tortues marines, les baleines, les oiseaux de
la zone IBA (Important Bird Area) et les espèces rares.
• Communication et sensibilisation : édition de livrets pédagogiques sur le maquis minier et les
forêts humides en partenariat avec le Centre d’Initiation à l’Environnement (CIE) et financement
de campagnes télévisées (Dugongs, oiseaux marins, feux de forêts, ….).
• Protection active : financement de l’achat par la province d’un bateau destiné à la surveillance du
lagon.
• Valorisation d’aires protégées : réalisation d’un arboretum au parc de la rivière bleue qui constitue
une collection d’Araucariaceaes (ou pins colonnaires) ; réalisation d’un laboratoire de soins pour
oiseaux marins blessés (au Parc Zoologique et Forestier), aménagements de la réserve naturelle
du Cap N’Dua.
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Page intérieure du livret sur le maquis minier
Lexique
IAC : Institut Agronomique Calédonien.
IRD : Institut de Recherche pour le Développement.
UNC : Université de Nouvelle-Calédonie.
SCO : Société d’Ornithologie Calédonienne.
ONFI : Office National des Forêts International
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