Présentation PowerPoint

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ANTICANCÉREUX ORAUX
À DOMICILE:
ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE
ET MODE D’EMPLOI
Emmanuelle ARFE
Infirmière – Cadre de santé
Chargée de projet
PLAN CANCER 3
Sécuriser la prise en charge des patients
traités par anticancéreux oraux
Mettre à disposition des professionnels des formations continues sur les chimiothérapies
orales.
Soutenir la formation des professionnels en matière de promotion de l’éducation
thérapeutique en chimiothérapie orale
Développer l’éducation thérapeutique en cancérologie dans le cadre d’un
accompagnement des pratiques professionnelles
APPEL À PROJET INCA
A destination des patients de la Région Midi- Pyrénées
Déposé par l’ICR-IUCT-O en partenariat avec :
* Oncomip
* Le département universitaire de Médecine Générale
* les associations de professionnels de santé
* Le soutien de l’ARS
3 axes
Sensibilisation à la chimiothérapie orale
Formation à l’éducation thérapeutique
Construction d’un programme d’éducation thérapeutique
SOIREE D’INFORMATION
AUX ANTICANCEREUX ORAUX
1ère partie:
Apporter une information claire et pratique sur le
bon usage des anticancéreux oraux
Rôle de l’éducation thérapeutique dans la bonne
gestion des anticancéreux oraux
2è partie:
Table ronde: Répondre aux questions, échanger
ANTICANCEREUX ORAUX EN
VILLE
Dr. Cécile COMBIS
Pharmacienne IUCT
ANTICANCEREUX ORAUX EN VILLE
Les anticancéreux oraux
Pendant longtemps:
Traitement cancer = Traitement IV
Obstacles d’ordre pharmacocinétique et galénique
(Mauvaise biodisponibilité, variation intra et interindividuelles)
Depuis une quinzaine d’année:
Traitement initialement par voie parentérale conçus pour voie orale
Aujourd’hui:
10% des anticancéreux sont disponible en voie orale
25% des chimiothérapies en cours d’essai clinique se présentent sous
forme orale. Ranchon and Al. Le pharmacien hospitalier. 2009
ANTICANCEREUX ORAUX EN OFFICINE
Top 6 des ventes d’anticancéreux par
voie orale
Tarceva / Iressa: Thérapies ciblées Prescription
hospitalière
Xeloda / Navelbine: Cytotoxiques
Femara/ Tamoxifène: Hormonothérapie
Délivrance exclusivement en pharmacie
d’officine
Quels moyens mis à disposition des officines
pour délivrance sécurisée ?
Délivrance hospitalière, délivrance de
ville: des différences de moyens ?
A l’officine:
A l’hôpital:

Un patient

Un patient

Prescription papier

Prescription papier

Outils informatiques

Communication directe avec prescripteurs

Spécialisation des pharmaciens hospitaliers (interactions
médicamenteuses, alimentaire, schéma de prise)
Accident
Thèse de Laurent Giulietti soutenue à la faculté de
pharmacie de Grenoble en 2010
Thèse de Laurent Giulietti soutenue à la faculté de
pharmacie de Grenoble en 2010
La voie orale: des avantages mais…
Acteurs
Avantages
Mais…
Patient
•
•
Qualité de vie (domicile, entourage)
Traitement de référence
•
•
Solitude du patient
Responsabilisation du
patient
Soignants de
ville
•
Traitement de référence
•
Position centrale dans
prise en charge
nouvelles avec peu
outils
Partage de
responsabilités
•
Soignants
hospitaliers
•
Traitement de référence
•
Efficacité
thérapeutique soumise
à observance du
patient
Société
•
Economie financière (absence de
séjours hospitaliers, de
déplacements, maintien activité
professionnelle du patient)
•
Gaspillage
ANTICANCEREUX ORAUX:
DE QUOI PARLE-T-ON ?
Pr.Roland BUGAT
Oncologue Médical IUCT
ANTICANCEREUX ORAUX
Hormonothérapie
Chimiothérapie orale
Thérapies ciblées
L’HORMONOTHERAPIE
Bloquer la synthèse des hormones de l'organisme ou les
empêcher d’agir.
Les mécanismes d’action:
•
Blocage de la synthèse de l’hormone stimulante
•
Fixation « compétitive » sur le récepteur hormonal
•
Inhibition de la synthèse des hormones ou du dérivé
actif
EXEMPLE HORMONOTHERAPIE
HORMONOTHÉRAPIE
Cancer du sein
HORMONOTHERAPIE
Cancer de la prostate
Liste non exhaustive
Liste non exhaustive
Arimidex®
Aromasine®
Farlutal®
Femara®
Megace®
Tamoxifène
Anandron®
Androcur®
Casodex®
CHIMIOTHÉRAPIES ORALES
Traitements médicamenteux ayant pour but la
destruction des cellules cancéreuses par des
mécanismes non spécifiques liés à la cinétique
cellulaire
EXEMPLE de CHIMIOTHERAPIE ORALE
AGENTS CYTOTOXIQUES
(liste non exhaustive)
Celltop®
Methotrexate®
Temodal®
Chloraminophène®
Thalidomide
Endoxan®
Navelbine®
Xeloda®
Hydrea®
LES THERAPIES CIBLEES
Traitements dirigés contre des cibles moléculaires qui
peuvent être des récepteurs cellulaires, des gènes,
des enzymes
Spécificité d’action
Identification de la présence de
la cible (Ana-path. Bio. Mol.)
Effets secondaires spécifiques
à chaque molécule
EXEMPLE DE THERAPIE CIBLEE
THÉRAPIES CIBLÉES
(liste non exhaustive)
Iressa®
Glivec®
Nexavar®
Tarceva®
Tyverb®
Sutent®
Votrient®
Tasigna®
Carbo-TXL: 5,4 mois
Gefitinib: 10,8 mois
LES ANTICANCEREUX ORAUX
Arsenal thérapeutique innovant
Efficacité démontrée
Effets indésirables
Interactions médicamenteuses
Absence d’abord veineux
Observance pas garantie
Pas d’hospitalisation
Autonomie
Perception de solitude
Avancée majeure
dans la prise en charge
Risques liés à des
défauts de coordination
 IMPLIQUE DE REPENSER
LES ORGANISATIONS NOTAMMENT
ENTRE LA VILLE ET L’HOPITAL
LES PRINCIPALES
TOXICITES
Pr.Roland BUGAT
Oncologue Médical
Dr.Vincent SIBAUD
Onco-dermatologue IUCT
TOXICITES
DES CHIMIOTHERAPIES ORALES
Alopécie
Muqueuse
Mucite
Cardiaque
Cardiopathie-IVG
Toxicité cutanée
Hyperpigmentation,
Syndrome main-pied
Eruption cutanée
Reproduction
Stérilité
Hypofertilité
Toxicité digestive
Nausées
Vomissements
Gastrite
Diarrhée, constipation
Toxicité générale
Asthénie
Myotoxicité
Douleurs musculaires
Hématologique
Leuco-neutropénie,
Thrombopénie Anémie
Neurotoxicité
Paresthésies
FOCUS SUR LA NEUTROPENIE FEBRILE
•
Fièvre >38.3 C ou >=38 C à 2 reprises à 1 heure
d’intervalle sans prise de paracétamol
•
Moins de 500 neutrophiles ou <1000/mm3 et
attendus <500/mm3 dans les 48h.
EN PRATIQUE
DEVANT UNE FIEVRE
Faire réaliser une NFS + Plaquettes
En fonction de l’état clinique et d’absence de point d’appel
Maintien à domicile si:
Le médecin traitant peut assurer un suivi sur 48h
Une structure d’urgence est proche
Un entourage est présent à domicile
Contact téléphonique possible
Patient compliant
Voie orale possible
TRAITEMENT D’UNE NEUTROPENIE FEBRILE
À DOMICILE
En oncologie médicale
Amoxicilline/acide clavulanique 1g 3 fois par jour
Ciprofloxacine 750mg 2 fois par jour
Si allergie aux bétalactamines:
Clindamycine 600mg 3 fois par jour
Ciprofloxacine 750mg 2 fois par jour
Ne pas prescrire de paracétamol ou d’AINS
EN CAS DE NAUSEES, VOMISSEMENTS
Chercher d’autres étiologies
Traitement classique : Primpéran®, Vogalène®
Sétrons : Zophren®, Kytril® …
Anxiolytiques
Cortisone
Règles hygiéno-diététiques
EN CAS DE SYNDRÔME MAIN-PIED
Soins locaux
+/- avis spécialiste pour évaluation de la
poursuite du traitement
Crème riche en urée
Dermocorticoïdes puissants
Antalgiques
TOXICITES
DES THERAPIES CIBLEES ORALES
Cutanée
Folliculite
Eruption cutanée
Syndrome main-pied
Cardiovasculaire
HTA
Muqueuse
Pulmonaire
Aphtes, mucite
Pneumopathie
interstitielle
Digestive
Diarrhée
Rénale
Protéinurie
Générale
Asthénie
Biologique
Dyslipidémie, hyperglycémie,
dysthyroïdie
TOXICITE CARDIAQUE
OU PULMONAIRE
HTA, insuffisance cardiaque (rare) (Sutent®, Nexavar®)
Consulter un cardiologue si doute
Pneumopathie interstitielle (Tarceva®, Iressa® …)
Avis spécialisé
TOXICITE CUTANEE : fréquente
Eruption Acnéiforme Inflammatoire
Soins locaux avec émollient
Doxycycline ou Lymecycline en cas de surinfection +/- en systématique et
éviter Minocycline)
Toxicité péri-unguéale
Soins locaux
Pédicure ou dermatologue pour
geste local
Syndrome main-pied
Cliché Dr.Sibaud IUCT
SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
En fonction du traitement spécifique
Prescrite dans un premier temps par l’oncologue
Vigilance du médecin traitant  modification posologique des
traitements ciblés
TOXICITE DE L’HORMONOTHERAPIE
ALOPÉCIE
XEROSE
GÉNÉRAL
Asthénie
Bouffées de chaleur
Prise de poids
GYNÉCOMASTIE
DIGESTIF
Nausées
SPHÈRE GÉNITALE
Aménorrhée
Hyperplasie endomètre
Cancer utérin
HYPERCHOLESTÉROLÉMIE
APPAREIL
LOCOMOTEUR
Douleurs articulaires
Ostéoporose
RISQUE THROMBO-EMBOLIQUE
FOCUS SUR…
Prise de poids
Activité physique adaptée, règles hygiéno-diététiques
Douleurs articulaires
Antalgiques palier 1 ou 2
Troubles des fonctions sexuelles
Consultation oncosexologie
Ostéoporose
Densitométrie osseuse, Bilan vitamino-calcique, Biphosphonates
Hypercholestérolémie
Règles hygiéno-diététiques, surveillance biologique, traitement si besoin
DES OUTILS
D’APPROPRIATION
POUR LES
PROFESSIONNELS
Dr.Marie Eve Rougé-Bugat
Médecin généraliste ONCOMIP
LE RÉSEAU RÉGIONAL DE CANCÉROLOGIE
DE MIDI-PYRÉNÉES
Constitution
72 établissements de santé + centres de radiothérapie
dont 33 établissements autorisés
8 réseaux de santé
6 associations de patients
URPS médecins
23 groupes de travail pluridisciplinaires
Près de 500 professionnels de santé
Spécialités : Tous types de cancers adulte + pédiatrie + hématologie
Missions
Amélioration de la qualité des pratiques en cancérologie
Référentiels
Dossier Communicant de Cancérologie
Evaluation
Information
Formation
Missions de coordination des acteurs
41
Dossier Communicant de Cancérologie
Pour accéder au DCC, contacter oncomip : 05 31 15 65 00
Possibilité d’alimenter
le Dossier Médical
Personnel
Programme
Compte rendu de la
Personnalisé
de
Réunion de
soins
Concertation
Pluridisciplinaire
DOSSIER COMMUNICANT
DE CANCEROLOGIE – V3.0
Accès par le dossier patient
de l’établissement
Accès par carte CPS
Ou par compte et mot de passe
Ou par compte et mot de passe
Médecins et Pharmaciens
d’établissement
Infirmières
libérales (1)
Nouvelle version
Fiche RCP conforme au
standard et
personnalisable
Medimail
Pharmacien
d’Officine (1)
LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE DCC
Médecins
libéraux
(1) – Réflexion en cours
47
51
WEB KEE
http://www.iuct-oncopole.fr/education-therapeutique
55
EDUCATION THÉRAPEUTIQUE
Emmanuelle ARFE
Chargée de projet IUCT
Sévérine Lebras
Infirmière IUCT
ANTICANCEREUX ORAUX et les
professionnels de santé
CONSTAT
Peu ou pas d’encadrement à domicile
Connaissance incomplète des nouvelles thérapeutiques de la part
des professionnels
Sous-évaluation du phénomène de la part des oncologues
Limites des carnets d’auto-évaluation
CONSÉQUENCES
Des risques de surdosages ou de sous dosage
LES ANTICANCEREUX ORAUX et
les patients
Perte de repères:
 Des idées reçues / per os vs IV,
 Sentiment de solitude,
 Demande d’information
 Une observance à accompagner
Baisse de l’observance = Baisse de la survie globale sans rechute
LES IMPASSES!!
Pourquoi
vous ne l’avez
pas pris?
J’ai beau lui
dire, c’est
toujours
pareil!
Je dois en
prendre 3 à
chaque repas?
Il me semble
vous l’avoir
déjà dit?
Il est
marrant
mais c’est
pas simple!
Je sais mais
c’est
impossible!
Je
comprends
rien!
Deccache 1989
Pour quelles finalités?
AMÉLIORER OU MAINTENIR
Qualité de vie - Autonomie
GÉRER LA VIE
AVEC UNE MALADIE
CHRONIQUE
À LONG TERME
Adhésion au traitement
ÉVITER OU DIMINUER
Les complications
Les rechutes
EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT
Définition
Processus centré sur le patient,
continu, planifié, régulier, multi-professionnel,
intégré à la démarche de soins
Démarche construite avec et pour le patient
Elle vise à aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences
dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie
avec une maladie chronique [OMS]
PARCOURS DE SOINS
EN CANCÉROLOGIE
Dispositif d’annonce
Le parcours personnalisé des patients
pendant et après le cancer
Le dossier communicant de cancérologie
Les soins de support
Les dispositifs de suivi téléphonique
Etc…
OBJECTIFS POUR LE PATIENT
Acquérir des
connaissances
compétences
sur la maladie
et le traitement
Arriver à faire
une place
acceptable
à cette maladie
dans sa vie
Comprendre
sa maladie
S’approprier
sa maladie
Trouver
une autonomie
Continuer à
se développer
Grandir
Evoluer
DIAGNOSTIC EDUCATIF
PERSONNALISE
Que sait-il?
De sa maladie, du traitement, des recommandations,
de ses représentations, de la manière de chercher de l’aide…
Que fait-il?
Comment gère t-il les incidents, sa vie avec la maladie. Comment apprend-il?
Cherche-t-il à apprendre? Quel rôle a –t-il dans les soins?...
Que pense-t-il, que vit-il?
Quels sont les soutiens, que signifie la maladie pour lui, quel sentiment a-t-il
envers la maladie, comment se projette –t-il?…
Que devient-il?
Quelle stabilisation de son état de santé? Quelle est sa maîtrise des
risques? Quels sont ses projets?...
LES CONDITIONS NECESSAIRES…
Patient partenaire qui veut se soigner
Patient convaincu et motivé par la nécessité des
traitements
Capacité physique, financière
Compétences psychologique et comportementale
Echanges, négociations, décisions avec les professionnels
Conditions d’administration, moments de prise, conditions
alimentaires, effets indésirables, bénéfices, modalités de
conservation
DES SEANCES COLLECTIVES ou
INDIVIDUELLES
Ce n’est pas une succession d’actes ou un moyen de standardisation









Comprendre le comment et non pas le pourquoi
Faire des liens
Former selon les compétences des patients
Faire comprendre l’utilité de…
Tenir compte de l’avis du patient, de l’entourage
Aider à changer un comportement
Utiliser les erreurs pour changer
Rechercher les points positifs
Renforcer les ressources, les succès
DES SEANCES COLLECTIVES PARMI D’AUTRES
ATELIER 1 : Connaître les points clés sur le cancer du sein et le
parcours de soins.
ATELIER 2 : Identifier le rôle des professionnels de santé à
l’hôpital et en ville.
ATELIER 3 : Le prélèvement ganglionnaire : prévenir et gérer les
complications
ATELIER 4 : Les perturbations sexuelles induites par le cancer du
sein
ATELIER 5 : Cancer et équilibre alimentaire
ATELIER 6 : Activité physique adaptée: Apprendre - Faire
ATELIER 7 : Chimiothérapie, Fièvre: les bons réflexes !
ATELIER 8 : Aujourd’hui… c’est quoi le travail pour vous ?
ATELIER 9 : Parler et organiser l’après cancer
L’ETP en CANCEROLOGIE
•
Les facteurs de la récidive, complications Johnson J. Cancer Nursing 1982
•
L’observance chimiothérapie, hormonothérapie
•
La gestion des effets secondaires Grahn and Johnson J. Scandinavian Journal of caring science 1990
•
La gestion des risques inhérents au traitement Grahn G. European Journal of cancer care 1996
•
Le niveau d’anxiété Todd k., Roberts s. Black c. European Journal of Cancer Care 2002; 11: 271–279
•
La connaissance de la maladie, du matériel, du traitement
•
L’habilité à communiquer à propos de la maladie Grahn G European Journal of Cancer Care 1996
•
Retour à l’emploi Taina Taskila-Abrandt and al. European journal of cancer 2004
Diekmann JM. Cancer Nursing 1988
Grahn G., Danielson M. Ulander K. Cancer Nursing 1999; 22: 79-84
SCÈNE DE VIE
« Oh docteur, ce week end c’était terrible: mal au
ventre, mal à la tête, j’ai pris ce que j’avais, c’est
mieux mais…. »
SCÈNE DE VIE
« J’adore ma petite tisane de
millepertuis le soir!! »
SCÈNE DE VIE
« Je ne savais plus si je l’avais pris, vous comprenez
c’était l’anniversaire de mon fils!
Dans le doute en rentrant j’en ai repris un »
SCENE DE VIE
« Quand j’ai vu le prix sur la boîte!
Il m’en reste, je fais quoi des boîtes? »
SCENE DE VIE
Cancérobobo
TRIANGLE PEDAGOGIQUE
Le patient
Les soignants
La maladie
Le traitement
TRANSMETTRE
LIEN ENTRE LA VILLE ET L’HOPITAL
Structurer
Résumer
Reformuler
Découper
Vérifier la compréhension
Répéter
• Utiliser un langage simple, … avec exemples, métaphores
• Faire exprimer les inquiétudes et légitimer les émotions
UNE ÉVOLUTION
DU SYSTÈME DE SANTÉ
Temps dédié en consultation et disponible pour
les professionnels de santé
Rémunération des actions d’information et
d’éducation
Continuité des soins et des interlocuteurs
Partage d’informations entre professionnels
Stratégies de communication avec les patients
POUR EN SAVOIR PLUS…
Formation à l’éducation thérapeutique
40h, Formation inscrite au DPC, Payante
Sur votre territoire (Toulouse, Auch, Foix, Tarbes, Cahors,
Albi, Rodez, Montauban)
En ligne: http://www.iuct-oncopole.fr/education-therapeutique
Par Téléphone: 05 31 15 55 29
Par mail: [email protected]
CO-CONSTRUIRE UN PROGRAMME
d’ETP
UN PROGRAMME D’ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE
« ANTICANCÉREUX ORAUX »
co-construit par des professionnels libéraux, des
patients et des professionnels hospitaliers.
INSCRIPTION:
arfe.emmanuelle @iuct-oncopole.fr
TEL: 05 31 15 51 10
MERCI POUR VOTRE ATTENTION
MERCI
A tous les professionnels
Qui exercent à l’hôpital, en libéral, en HAD, en
réseau…qui ont participé à l’élaboration de cette
présentation et permis sa diffusion
NOS PARTENAIRES
Réseaux territoriaux
Midi Pyrénées
NOS PARTENAIRES
TABLE RONDE
2è partie
Table ronde – Questions / Réponses
Dr.Isabelle ABOUT
Me Brigitte ROLLET
Dr.Stéphane MAS
Dr.Jordan BIREBENT
Oncologue Médicale CHIVA
Infirmière d’annonce CHIVA
Pharmacien d’Officine
Médecin généraliste
Les orateurs de la 1ère partie
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