L`Hebdo économique

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 12 mai 2017
Table des matières
 Ce que nous surveillons ............. p. 4
 Calendrier économique ............. p. 5
 Annexe – Tableaux économiques .... A1
Revue de la semaine
CANADA : Les mises en chantier résidentielles ont baissé
de 253.7K en mars à 214.1K en rythme annualisé en avril. En
zones urbaines, les mises en chantier de logements collectifs
ont reculé de 27.0K (-16.7%) pour s’établir à 134.3K, tandis
que celles de maisons individuelles se sont contractées de
8.9K (-12.1%), à 65.2K. De même, les mises en chantier en
milieu rural ont baissé de 2.3K (-13.6%) pour totaliser 14.6K.
Par région, les mises en chantier ont baissé dans huit
provinces sur dix, notamment l’Ontario (-17.6K) et le Québec
(-15.9K). La contraction des mises en chantier résidentielles
observée en avril était attendue, car le niveau atteint en mars
était intenable. Cela dit, celles-ci sont restées supérieures au
seuil de 200K un cinquième mois de suite, ce qui est inédit
depuis octobre 2012. Comme la forte demande se heurte à
une offre rare sur le marché de la revente à Toronto et que
le marché reste tendu à Vancouver, il semble peu probable
que les mises en chantier résidentielles reculent
significativement au Canada. En effet, nous prévoyons
qu’elles dépasseront 200K sur l’ensemble de l’année 2017, ce
qui représenterait une quatrième hausse annuelle de suite.
En attendant, à en croire les données d’avril, les mises en
chantier résidentielles devraient peser sur la croissance
économique au T2, alors qu’elles y avaient contribué au T1.
L’Indice composite de prix de maison Teranet-Banque
NationaleMC a monté de 1.2% en avril. Cette progression a été
entraînée par la hausse des prix dans quatre régions
métropolitaines sur les 11 suivies : Toronto (+2.6%), Hamilton
(+2.1%), Victoria (+1.5%) et Halifax (+1.4%). Ailleurs, les prix
ont monté plus modérément ou baissé légèrement, comme à
Vancouver (-0.1%) et Québec (-0.4%). D’une année à l’autre,
l’indice national était en hausse de 13.4%, comparativement à
13.5% en mars. Bien que minime, c’était la première
décélération annuelle enregistrée au cours des 15 derniers
mois. Sur une base de douze mois, les prix étaient en hausse
à Toronto (record de +26.3%), Hamilton (record de +22.9%) et
Victoria (+19.2%). Vancouver (+9.7%) a aussi enregistré une
hausse solide. Les prix ont augmenté de moins de 5.0% sur
tous les autres marchés étudiés, sauf Edmonton (-2.5%) et
Québec (−3.4%), où ils ont battu en retraite. Beaucoup de
marchés ontariens hors indice affichaient des hausses des prix
des maisons de plus de dix pour cent. C’est probablement
pour cela que l’impôt sur la spéculation par les non-résidents,
adopté en avril par le gouvernement de l’Ontario, s’applique
à l’ensemble de la région élargie du « Golden Horseshoe », et
non pas uniquement à la ville de Toronto. L’effet de cet impôt
sur les ventes de maisons et la hausse de leurs prix sera évalué
au cours des prochains mois. Selon nous, même si cette
mesure freine la spéculation, elle ne devrait pas ralentir la
hausse des prix des maisons outre mesure puisque l’Ontario
continuera de bénéficier d’un bon rythme de création
d’emplois, de l’arrivée de Canadiens d’autres provinces et de
faible taux hypothécaires.
La valeur des demandes de permis de construire s’est
contractée de 5.8% sur une base mensuelle en mars, après un
recul de 2.8% en février. Les demandes de permis résidentiels
ont baissé de 8.4% à cause de la catégorie des logements
L’Hebdo économique
collectifs (-20.9%). D’autre part, les permis pour des maisons
individuelles ont augmenté de 3.0%. Les permis non
résidentiels ont, quant à eux, diminué de 0.5%. D’une année
à l’autre, la valeur totale des demandes de permis de
construire a augmenté de 1.5%, le secteur résidentiel
affichant un gain de 4.3%. En revanche, en ColombieBritannique, les permis ont baissé de 11.4% par rapport à leur
niveau de 12 mois plus tôt, entraînés par une chute de 14.1%
du segment résidentiel.
États-Unis : Les ventes au détail ont augmenté de 0.4% en
avril, après révision à la hausse de celles du mois précédent
à +0.1%. Les ventes d’automobiles ont bondi de 0.7%, ce qui
représente la première hausse de cette catégorie depuis
quatre mois. Sans l’automobile, les ventes ont augmenté de
0.3%, suite à une amélioration révisé à la hausse de 0.3% le
mois précédent. L’augmentation des ventes sans l’automobile
était due aux gains des vendeurs d’essence, d’électronique,
de matériaux de construction, d’articles de sport, de produits
de soins de santé/personnels et les ventes des détaillants sans
magasins, qui ont largement compensé les baisses des
magasins de vêtements, de marchandises générales et
d’aliments et de boissons. Les dépenses discrétionnaires, c.à-d. les ventes au détail hormis l’essence, les produits
d’épicerie et les soins de santé/personnels, ont progressé de
0.5%, soit la plus forte croissance mensuelle depuis trois mois.
Alors que les ventes augmentent plus vite que l’IPC, les
volumes de vente au détail étaient en hausse en avril. Même
sans changement en mai et en juin (hypothèse très prudente
étant donné la solidité du marché du travail), les volumes de
vente au détail sont en passe de croître au rythme de près de
2% en chiffres annualisés au T2, c.-à-d. une meilleure
performance que le trimestre précédent. Une telle
augmentation du rythme de croissance des ventes
corroborerait notre opinion selon laquelle la croissance du PIB
américain accélérera fortement au deuxième trimestre après
un T1 faible.
L’indice des prix à la consommation (IPC) a augmenté de
0.2% en avril. Les prix de l’énergie, en hausse de 1.1% au cours
du mois, ainsi que ceux des aliments, qui ont monté de 0.2%,
ont tous deux contribué à l’augmentation mensuelle de l’IPC.
Sans les aliments et l’énergie, les prix étaient en hausse d’à
peine 0.1% grâce à des augmentations dans les secteurs du
tabac et des services hors énergie qui ont compensé le recul
des loisirs, de l’éducation, des ordinateurs et des vêtements,
entre autres. Malgré leurs augmentations mensuelles
respectives, les taux d’inflation d’ensemble et de base sur
douze mois ont chuté à 2.2% et 1.9% respectivement en raison
des effets de base. Le rapport sur l’inflation était légèrement
plus faible que prévu. Mais cela n’empêchera sans doute pas
une hausse des taux d’intérêt par la Fed qui ne doute pas de
finir par atteindre sa cible d’inflation à mesure que la
croissance économique reprendra.
L’indice de l’optimisme des petites entreprises de la NFIB
a perdu 0.2 point entre mars et avril, pour atteindre 104.5. Il
s’agissait de sa troisième contraction mensuelle de suite (bien
que toutes légères). Néanmoins, l’indice reste nettement
supérieur à sa moyenne mobile sur 12 mois (99.2) et bien audessus de son résultat d’il y a un an (93.6), signe d’un
optimisme certain des petites entreprises américaines. Trois
des dix composantes de l’indice étaient en recul sur un mois.
Fait important, le pourcentage net d'entreprises qui prévoient
une amélioration de l'économie est passé de 46% à 38%, ce qui
ne doit pas donner lieu de s’inquiéter, car ce même indicateur
affiche une moyenne de 4.2% sur les trente dernières années.
D’autre part, le pourcentage net de répondants qui ont
indiqué avoir des difficultés à combler leurs postes a
progressé de 30% à 33%, un record inégalé depuis novembre
2010. Cela dénote un marché du travail tendu. Dans le même
esprit, 16% des entreprises ont déclaré que la piètre qualité
des
travailleurs
disponibles
était
leur
principale
préoccupation, juste après les impôts (21%) et la
réglementation (17%). Enfin, 24% (pourcentage net) des
entreprises considéraient que le temps était propice à une
expansion, contre 22% auparavant.
L’enquête Job Openings and Labor Turnover Survey (JOLTS)
sur les postes à pourvoir et la rotation des effectifs révèle que
le nombre de postes à pourvoir a augmenté de 61K en mars,
pour s’établir à 5743K après correction des effets saisonniers.
Ce niveau, le plus haut depuis juillet dernier, soutiendra
probablement de nouvelles hausses de l’emploi dans un avenir
rapproché. Les détails du rapport montrent que les
embauches ont augmenté de 5249K à 5260K, alors que les
départs volontaires sont passés de 3036K le mois précédent à
3116K. Ce dernier chiffre laisse penser que les travailleurs
américains ont assez confiance dans leurs perspectives
d’emploi pour quitter volontairement leur poste. Mais cette
confiance semble inégalement répartie entre les secteurs.
Dans la construction, par exemple, le taux de démissions est
le plus élevé depuis avril 2008 (2.5%) tandis que dans les
finances et les assurances, le même indicateur reste à 1.1% à
peine.
2
L’Hebdo économique
Les ventes dans le commerce de gros étaient stationnaires
d’un mois à l’autre en mars, après une augmentation de 0.7%
en février, suite à une révision. Les ventes de biens durables
et non durables ont aussi stagné. Dans le segment des biens
durables, l’augmentation des ventes de matériel (+2.3%) et
de métaux (+2.0%) était compensée par la baisse des ventes
de bois d’œuvre (-3.0%) et d’équipements professionnels (1.8%). Dans le secteur des biens non durables, l’amélioration
des ventes de produits agricoles (+1.7%) a été contrée par le
reflux des ventes de produits chimiques (-2.0%). D’une année
à l’autre, les ventes totales étaient en hausse au rythme sain
de 9.1%. Par ailleurs, les stocks ont augmenté de 0.2% d’un
mois à l’autre, ce qui équivaut à 3.0% d’une année à la
suivante. Enfin, le ratio stocks/ventes est resté inchangé à un
creux inégalé depuis 28 mois de 1.28.
L’indice des prix à la production (IPP) a augmenté de 0.5%
d’un mois à l’autre en avril, gagnant deux dixièmes en
glissement annuel, à 2.5%, son plus haut niveau depuis février
2012. Sans les éléments volatils (aliments, énergie et
commerce international), l’IPP a grimpé à son plus haut
niveau jamais enregistré, soit 2.1% d’une année à l’autre (les
statistiques pour cet indicateur sont disponibles depuis août
2014). Cela représente 0.4% de plus que le mois précédent.
L’indice des prix à l’importation a augmenté de 0.5% d’un
mois à l’autre en avril après une progression 0.1% en mars
(chiffre révisé; initialement présenté comme une baisse de
0.2%). Sur la base de douze mois, les prix à l’importation ont
augmenté de 4.3%, en baisse de deux dixièmes par rapport au
mois précédent. La plupart de ces gains ont été causés par un
bond de 43.8% du prix des importations de pétrole sur 12 mois
(on se rappellera que les prix de l’énergie étaient très bas un
an plus tôt). À l’exclusion du pétrole, les prix à l’importation
ont grimpé de 1.4% d’une année à l’autre.
MONDE : Dans la zone euro, la production industrielle a
enregistré un recul de -0.1% pour un deuxième mois de suite
en mars (le chiffre de février avait initialement été estimé à
-0.3%). Cette performance a été affaiblie par la production
du secteur de l’énergie, qui a reculé de 3.2% et a réduit le
chiffre d’ensemble d’un demi-point de pourcentage. En
revanche, la production de biens non durables a augmenté de
2.1% au cours du mois, ajoutant quatre dixièmes de point de
pourcentage à la production industrielle totale. La production
de biens intermédiaires (+0.3% m/m), de biens d’équipement
(+0.2% m/m) et de biens de consommation durables (+0.9%
m/m) a eu moins d’impact sur la production totale. D’une
année à l’autre, la production était en hausse de 1.9%, 0.5%
de plus que le mois précédent. Une fois de plus, une baisse
de production de 4.8% dans le secteur de l’énergie a affaibli
le chiffre global. Sur un plan national, la France et l’Italie ont
vu la croissance de leur production industrielle s’établir à
2.2% et de 2.8% respectivement. La progression en Allemagne
(+1.4% a/a) et en Espagne (+0.3% a/a) a été plus timide.
3
L’Hebdo économique
Ce que nous surveillons
Au Canada, la semaine sera marquée par la
publication de l’indice des prix à la consommation
d’avril. Des hausses inhabituellement élevées des
prix de l’essence ont fait augmenter l’IPC
d’ensemble dans le mois. Le taux annuel d’inflation
devrait donc gagner deux dixièmes et s’établir à
1.8%. L’IPC composante commune devrait, quant à lui,
progresser d’un dixième et passer de 1.3% en mars (un creux
historique) à 1.4% en avril, en réponse à l’amélioration de la
situation économique au pays. Nous en saurons également
plus sur les ventes au détail, probablement en hausse en
mars si l’on en croit l’augmentation des ventes automobiles.
Cependant, la baisse des recettes des stations-service,
attribuable à des prix à la pompe légèrement inférieurs aux
normales saisonnières en mars, aura sans doute pesé sur les
ventes hors secteur automobile. Résultat, nous nous
attendons à ce que les ventes totales du commerce de détail
(+1.2%) aient augmenté plus vite que les ventes sans
l’automobile (+0.9%). De plus, les livraisons manufacturières
ont dû augmenter de 1.0% en mars, suite à un rebond des
exportations des usines.
Aux États-Unis, une semaine peu chargée
verra la publication des données de la production
industrielle d’avril. À en croire l’indicateur de
production de l’indice ISM de la fabrication, les
usines ont dû contribuer à la production générale.
Le secteur minier a également dû profiter d’une
augmentation du nombre de puits de forage au cours du mois.
Dans l’ensemble, la production industrielle a dû croître de
0.3%, soit à un rythme plus lent qu’en mars. Par ailleurs, les
mises en chantier résidentielles ont probablement rebondi
en avril, à un rythme annualisé de 1,260K, conformément au
solide indice de la confiance des constructeurs et au nombre
élevé de demandes de permis de construire. Enfin, les
premiers indices de l’activité manufacturière de mai seront
disponibles grâce à la publication d’indices régionaux tels que
les indices Empire et Philly.
Production industrielle (avril var. m/m)
Mises en chantier résidentielles (avril, nombre d'unités annualisé)
Précédent
Prévisions FBN
0.5%
0.3%
1215K
1260K
La production industrielle devrait croître à un rythme plus modéré
Production industrielle
IPC (avril var. a/a)
Précédent
Prévisions FBN
1.6%
1.8%
.8
.7
Ventes au détail (mars var.m/m)
-0.6%
1.2%
.6
hormis pièces et véhicules automobiles (mars var. m/m)
-0.1%
0.9%
.5
Livraisons manufacturières (mars var. m/m)
-0.2%
1.0%
Var. m/m (%)
.4
Canada : Les prix de l’essence pourraient soutenir l’inflation d’ensemble
IPC d’ensemble et IPC composante commune
2.4
.3
.2
.1
.0
-.1
-.2
Var. a/a (%)
-.3
2.2
-.4
2.0
-.5
IPC d’ensemble
-.6
-.7
1.8
-.8
Jan 15
1.6
Apr 15
Jul 15
Oct 15
FBN Économie et Stratégie (données de Bloomberg)
1.4
1.2
Jan 16
Apr 16
Jul 16
Oct 16
Jan 17
Apr 17
Prévision
FBN
IPC-comm.
1.0
Ailleurs dans le monde, les statistiques
0.8
0.6
Oct 14
Apr 15
FBN Économie et Stratégie (données de Datastream)
Oct 15
Apr 16
Oct 16
Apr 17
Prévision
FBN
de l’IPC de la zone euro pour le mois d’avril seront
publiées, ainsi que la deuxième estimation du PIB
du T1 selon Eurostat. Les résultats du PIB du Japon
au T1 seront également connus.
4
L’Hebdo économique
Calendrier économique – Canada et É.-U.
5
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A1
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A2
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A3
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A4
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A5
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A6
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A7
L’Hebdo économique
Annexe – Tableaux économiques
A8
L’Hebdo économique
Économie et Stratégie
Bureau Montréal
514 879-2529
Stéfane Marion
Marc Pinsonneault
Kyle Dahms
Économiste et stratège en chef
Économiste principal
Économiste
[email protected]
[email protected]
[email protected]
Paul-André Pinsonnault
Matthieu Arseneau
Économiste principal, Revenu fixe
Économiste principal
[email protected]
[email protected]
Bureau Toronto
416 869-8598
Krishen Rangasamy
Angelo Katsoras
Warren Lovely
Économiste principal
Analyste géopolitique
DG, recherche et stratégie secteurs publics
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