Psychologie PLAN I. Le rapport ORL 1. La sensation et la perception 2. L’attention et le préjugé 3. L’intelligence 4. La mémoire 5. La conscience et l’inconscient II. La psychologie comme science 1. Science humaine 2. Courant de la psychologie 3. L’usage de la psychologie III. Question spéciale 1. La santé mentale 2. L’apprentissage 3. La personnalité I. Le rapport ORL 1. La sensation et la perception Pourquoi la psycho étudie la perception et la sensation ? C’est pour comprendre les comportements humains et mentaux car il ya une certaines relation par rapport à la réalité dans laquelle on perçoit qui nous sommes. Différence entre perception et sensation o Perception : La perception se fait au niveau de la connaissance. La perception apparaît lorsque le cerveau refait les infos via le sens et les traitent. o Sensation : De part le cerveau. La sensation c’est la première réaction au stimulus et la réception se fait par les cellules nerveuses. Que faut-il pour percevoir ? Il faut plein de chose. 1) Sélection d’information Le cerveau prête attention à certaines infos et donc il va les percevoir. C’est une sélection drastique, le cerveau lui même qui élimine les infos qui ne prendra pas. 2) Organisation de l’information Le cerveau organise les infos sensorielles. 3) Interpréter l’information C’est là qu’interviennent les phénomènes culturels, humains,…. Les différentes perceptions que l’ont peut avoir ne sont pas seconde, mais première. D’abord nous percevons différemment et par après il y a une compréhension, un accord. Théorie de La Gestalt (= forme) Cette théorie explique d’emblé l’organisation des infos (les infos sensorielles qui sont sélectionnées, vont être directement organisées par le cerveau). 2. L’attention et le préjugé o L’attention Le cerveau traite ± 1/1000 (voir 1/100) des infos. Les infos qu’il ne traite pas ne sont pas perçues. La psycho physique étudie l’attention. Dans les choses que nous percevons, il a des choses auxquelles on prête plus attention que d’autres. L’attention : on perçoit telles choses et parmi ces choses on y prête attention. Qu’est-ce qui fait qu’on va prêter attention ou pas ? C’est notre cerveau qui va recevoir les infos dont il décide prêter attention ou pas. C’est ce qu’on appelle saillance d’un stimulus Saillance : elle sera traité par le cerveau tandis qu’un non saillant ne sera pas traité. Saillant : C’est une énergie extérieure qui provoquera une réaction de nos cellules nerveuses et qui envoie des infos au cerveau. Qui ressort, qui attire l’attention. Comment faire pour que les stimuli soient saillants ? Ils peuvent être saillants pour 2 raisons : 1) Raisons externes C’est le plus saillant. Par exemple, il y a la couleur, la brillance, la taille, le mouvement, le changement du mouvement, la sonorité, la nouveauté se sont des facteurs de saillance car ils cassent le monotone. 2) Raisons internes Ce qui concerne le sujet lui-même. Selon ce qu’est le sujet, de par son éducation, son sexe, sa formation, sa culture, son intérêt, son caractère, son attention sera différente. Pour pouvoir recevoir une info, il faut qu’elle soie saillante o Le préjugé On ne sait pas vivre sans juger, on doit préjuger des choses sinon on ne peut pas vivre. C’est un mode de fonctionnement requis pour pouvoir vivre. Par exemple, pour les relations sociales. On peut avoir des préjugés négatifs car on voit telle personne appartenant à une telle classe sociale. Les préjugés sont des facteurs internes de saillances. On remarquera plus vite un stimulus qui est contredit. Un préjugé est saillant car il se démarquera de ce qu’on projette. Si un stimulus contredit notre attention, on n’y sera plus attentif. 3. L’intelligence L’intelligence à différentes formes c-à-d un ensemble de capacité ou habilité différentes qui forme l’intelligence) 1. La complexité de ce qu’on peut appeler intelligence 2. Dans quelle mesure l’intelligence est liée au réel, à la réalité. 3. Intelligence = réflexion Réflexion = capacité d’utiliser les connaissances que l’on possède. Analyser = capacité de distinguer les différents éléments dans la réalité. 4. Capacité d’acquérir différents éléments et d’entrer en interaction avec les autres, avoir de la curiosité pour autre chose. 5. La logique est une capacité d’articuler les concepts, les idées d’une façon cohérente. 6. Capacité à mettre ensemble des éléments qui ne sont pas nécessairement ensemble, faire des liens, réorganisé. 7. Capacité de repérer la chose la plus importante .La compréhension, la relation avec la réalité. 8. Capacité de prendre une décision, à mobiliser ce que l’on a en vue d’une action. La panique empêche l’intelligence, empêche de mobiliser tout le savoir que l’on a. Il ne faut pas simplement reproduire et de s’adapter mais de mobiliser et d’innover (créativité) Capacité verbale, utilisation des mots adéquat sur ce que l’on a compris et le communiquer aux autres. Pour STENNBERG à décrit ce qu’est l’intelligence. D’après son portrait l’intelligence est 3 habilités : 1. Ce sont les habilités verbale c.-à-d. habilité d’avoir un bon vocabulaire, la curiosité, aptitude de voir tout les aspects d’un problème, l’apprentissage rapide et la créativité. 2. Habilité de résoudre des problèmes c.-à-d. l’usage des connaissances pour résoudre un problème. Capacité à prendre des bonnes décisions, objectivité, bonne intuition compréhension immédiate. 3. Être un individu pratique, concret il perçoit ce qu’il l’entour. Capacité d’être en relation avec le réel, le bon jugement, capacité de dégager des buts, des objectifs, avoir de l’intérêt pour le monde en général. L’intelligence est un ensemble d’habilité cognitive indépendante. Cognitif est différent de réflex = une connaissance, des savoirs . L’intelligence = une dynamique différent d’une chose Indépendant = on peut avoir une habilité mais pas d’autres. Les habilités se trouvent une à coté de l’autres. Habilité : capacité à réaliser quelque chose de manière pertinente. Ensemble : on met des habilités ensemble si on en a plusieurs. Habilités qui impliquent des savoirs et des connaissances. On peut avoir une de ces habilités et pas d’autres habilité dépendante. La nature de l’intelligence et qu’est-ce qu’on mesure dans l’intelligence ? Il devient difficile de mesurer l’intelligence. On ne sait pas la mesurer de manière proprement dite, car c’est un ensemble d’habilité, cependant c’est une nécessité ou utilité qui font qu’on veut la mesurer => le QI. On mesure certaines habilités par rapport à ce qu’attend la société (norme sociale). Le QI ne mesure pas l ‘intelligence en tant que telle. C’est un rapport entre son âge mental et son âge chronologique. Cela est calculé par rapport à une norme (AM/AC) * 100 C’est l’âge mental qui est considéré comme souhaitable à la société par rapport à son âge. C’est Mr. Bivet qui a essayé de repérer des enfants qui répondent à des difficultés. C’est seulement une question de conformité. La plupart des gens sont là 70 % Les sous doué 130 % Les surdoué Les sous doués ( > 70 % = déficience mentale) et les surdoués peuvent cependant avoir des difficultés à s’adapter au cadre social. Attention : La norme sociale est liée à la culture et la culture est rattachée à une manière d’organiser l’univers. On peut rejeter comme manque d’intelligence une habilité qui est simplement une autre intelligence. L’intelligence est un processus qui se développe progressivement et on peut reconnaître les différentes étapes de l’intelligence. Jean Piaget étudie le développement de l’intelligence chez les enfants de 0 à 10 ans. 1er stade : sensorimoteur atteint à 2 ans C’est la première intégration. Capacité à intégrer des schémas d’action. Mise en place de structures de coordination pratique des actions. Ce qui applique petit à petit de la perception de capter des objets. Capacité minimal : capacité de faire la distinction et la reconnaissance entre le moi et le non moi. Exemple : Un bébé saisi le sein de sa mère (action avec ses mains, sans réflexion) 2ème stade : opératoire concret de 2 à 12 ans À cet âge capacité de travailler par hypothèse, on sait de ce dont on parle n’existe pas. Capacité à envisager des scénarios, des objets mentaux sans perception concrètes. Et capacité de percevoir le réel et l’irréel. Comme 1 n’existe pas objet mental qui n’existe pas. Il faut petit à petit acquérir la capacité de faire la différence entre les objets qui n’existent pas et le réel. C’est une marque d’intelligence qui se développe petit à petit. 3ème stade : opératoire abstraite ou formelle d’une existence concrète qui s’acquière à l’âge de 12 ans. Étudie l’intelligence, c’est un des aspects d’adaptation de l’animal humain dans son environnement. 4. La mémoire Définition : La mémoire est un système de traitement de l’information, qui permet d’encoder, de stocker et de récupérer cette information. Ce qui détermine 3 sections : - Encodage des infos - Stockage des infos - Récupération des infos Exemple : On ne pouvait pas faire un certain mouvement si on n’avait pas la mémoire. Si on a un accident, si une partie du cerveau est atteint, cela peut toucher une telle mémoire car il y en a plusieurs. La mémoire est une gigantesque bibliothèque. Il y a 3 types de mémoires : 1) Stimulus mémoire sensorielle (1ère réception) Au niveau des cellules nerveuses, il y a une certaine mémoire de l’information reçue. Cette mémoire a une certaine durée qui dure quelque millième de seconde. Elle ne fait que refléter l’information. 2) La mémoire à court terme C’est celle qui est impliquée dans chacune de nos actions et sont utilisées lorsque nous faisons quelque chose. Elle dure 20 secondes. Exemple : Mémoire de travail Qu’est-ce qui décide de ce qui passe par mémoire à court terme à mémoire à long terme ? La mémoire à LT concerne tout ce qui dépasse la mémoire à CT. Remarque : la mémoire à CT => le maintenant La mémoire à court terme persiste 7 éléments. Le vieillissement n’est pas une cause de dégénérance de la mémoire. Plus on fait travailler la mémoire est mieux c’est asymer Amnésie trouble de la mémoire Hypermnésie est aussi un trouble de la mémoire. C’est un tas d’infos superflu L’oubli n’est pas un trouble de la mémoire, c’est une condition de fonctionnement. L’oubli peut être un non stockage mais ce n’est pas une défaillance c’est une condition de fonctionnement et du comportement humain. 3) La mémoire à long terme C’est une mémoire que l’on retrouvera dans quelques années. Elle rassemble touts nos savoir et nos savoir faire. Mémoire que nous avons emmagasiné et que nous sommes capable de se remémoriser à un moment. Comment vais-je faire pour retenir toutes ces informations ? On va les stocker dans la semaine à long terme. Il y a 3 types de mémoires à long terme : - Mémoire épisodique (qui porte sur des choses qui se sont passées dans notre vie des souvenir relatif aux événements de notre vie personnel) - Mémoire sémantique (toute ce qui concerne, ce qui a du sens souvenir que j’ai sur telle réalité mémoire sur la connaissance des objets) - Mémoire procédurale (on connaît les procédures : aller à vélo, conduire, c’est la mémoire du comment on fait) 5. La conscience et l’inconscient o Conscience On distingue 3 sens différents : 1. AWARENESS C’est une conscience primaire => état d’éveille, c’est d’avoir conscience de la réalité, perception des choses qui nous entourent. Si je suis saoul, je n’ai plus cette conscience. Celle-ci est aussi présentent chez les animaux. 2. CONSCIOUSNESS C’est une conscience réflexible. Le sujet peut avoir conscience de ce qu’il perçoit. Conscience des bruits et en même temps qu’il est entrain de voir quelque chose. 3. CONSCIENCE INTROPSECTIVE Conscience de l’humain de savoir qui il est. Nous ne sommes pas aveugle de nous même. C’est une lucidité de savoir ce qu’il est, ou il est et quand on est. o Inconscient 1. INCONSCIENT COGNITIF (qui a trait du savoir) Ensemble des mécanismes mentaux par lequel nous mémorisons, percevons, pensons, dont nous n’avons pas une connaissance primaire, cela se passe à notre insu. 2. INCONSCIENT FREUDIEN C’est à propos des rêves, des lapsus, désigne non pas l’ignorance mentale, mais désigne les forces, les pulsions, libido qui ne sont pas maitrisé par la conscience Ensemble des forces qui ne sont pas maîtrisées par la conscience. Pour Freud, la conscience est un jeu de force et le « je conscience » est un équilibre entre ces forces. 3. INCONSCIENT DARWINIEN - L’espèce humain, vivant qui évolue et s’adapte - Sélection naturelle Évolution suppose des choses acquises, sans paroles, sans geste, mais par apprentissage => par génétique Dés la naissance, nous avons un comportement (saisir le sein de sa mère) Ensemble des savoirs faire, de ces capacités adaptatives que nous recevons, qu’un individu reçoit de l’espèce à laquelle il appartient. II. La psychologie comme science 1. Science humaine La psychologie est la science qui étudie les comportements humains et les processus mentaux. La psycho essaie d’expliquer les comportements humain à partir de ce qui se passe dans l’esprit des gens. La science vérifiable : une vrai science implique être vérifiable => science exacte : bio, physique La science non vérifiable : sociologie, écologie, psychologie => science qui implique de la description et de l’interprétation. Dans un premier temps, une science est vérifiable si elle est objective. Mais d’un autre coté on a un nombre de discipline et donc elles ne peuvent pas se mouler dans l’objectivité. La psycho comme science est apparue au 19ème siècle ( ce qui était le modèle de la science était la physique) La psycho va décrire les phénomènes par les lois et elle n’est posé que sur des phénomènes objectifs. Le sujet étudie l’objet et le sujet est neutre, il n’intervient pas. L’objet qu’étudie la psycho : sujet objet Le sujet humain est réduit à un objet (= simpliste et une contradiction car l’humain est différent de l’objet) et ne se rend pas très bien compte de ce qu’est l’humain. Le sujet humain étudie un autre humain. C’est l’humain qui s’étudie lui-même. Mais dans le cas des sciences humaines, on parle de description et d’explication. Pour rappel une science humaine ne dit pas ce qu’est une réalité et découpe ce que l’on est. La science interprète. Exemple : la sexualité joue un rôle important dans le psychisme la solidarité entre les sujets dans le cas des sciences humaines. La psycho essaie de comprendre un sujet humain pour un sujet humain. Le sujet intervient dans ce qu’il étudie. La psycho interprète et veut dire des choses vraies. La science humaine est prise dans cette contradiction d’être à la conscience et d’être fonder et de passer par l’interprétation différent défaut de vérité, c’est par que passe la vérité. La psycho doit s’assouplir car sujet = objet et que l’objet n’est pas un « truc » qui réagit que par des lois. La psycho n’est pas objective au sens de la nature mais on peut pas dire qu’elle est subjective car elle cherche le vrai. La psycho dit des choses vraies sur le réel comme il est. La vérité est d’ordre objectif. La vérité pour la science humaine révèle aussi l’interprétation : c’est un jeu entre le sujet qui essaie de comprendre et le sujet étudié. 2. courant de la psychologie Essaie de comprendre le sujet humain sans objectivité Nous avons différents courants dans la psychologie : Objectif explicatif Subjectif comportemental a) Behaviourisme : On ne peut pas étudier l’être humain, mais on peut analyser le comportement ( comme ça on connaît le psychisme humain) On ne sait pas voir la conscience mais on peut voir les différents comportements. Le psychisme ne peut se connaître que sous forme de comportements. C’est comportement, ils vont les décrire et les expliquer. Ils vont les expliquer sous forme de loi. Le comportement est entièrement un ensemble de stimuli => stimuli extérieurs Exemple : on conditionne un chien qui se comporte d’une telle façon dans un environnement donné. Le conditionnement est une mise en place artificiellement. Tout comportement d’être humain sera un effet de cause. Les comportements humains son expliqués comme des effets d’un certains nombre de stimuli. Nous sommes conditionnés par différents contexte comme l’éducation et la société, et nous sommes même conditionnés avant la naissance. Il n’y a pas de différence entre la qualité d’étudier l’homme ou l’animal car ils sont le fruit d’un conditionnement. L’humain comme l’animal est qualitativement le même, ils entrainent des comportements et en conséquence il y a un renforcement positif si il y a une gratification suite à un comportement adéquat. b) Neuropsychologie : Quoi qu’on fasse, quelle que soit l’activité mentale ( douleur,…) on le fait avec le corps. Cela passe par un processus biologique. On étudie ce qui se passe « entre les 2 oreilles » du point de vue biologique pas en ouvrant le crâne, mais en observant les processus cérébraux, la manière dont le cerveau fonctionne en observant ce qui se passe dans le cerveau => imagerie cérébrale, on voit comment l’énergie se diffuse dans le cerveau. Elle étudie le psychisme humain en observant les liens entre les processus mentaux et les structures cérébrales. MAPPING (la cartographie) : s’efforce d’élaborer une cartographie aussi complète que possible par des opérations mentales ( processus cérébraux). C’est de recensé toutes les structures cérébrales qui se passe. c) Cognitivisme C’est une perspective qui étudie le psychisme humain comme une machine à traiter des infos ( passion, motivation = manière de traiter l’info, modalités d’infos) tout ce qui se passe dans l’humain ne sont que des manières de traiter l’info, de se faire une présentation du monde, de nous Étudie aussi ce qui se passe dans le cerveau = super ordinateur Exemple : créer une intelligence superficielle = créer des machines qui fonctionnent mieux que le cerveau) Exemple : démotivation pour l’école => la cause est d’une représentation de soi-même trop faible. Stratégies éducatives => modifier la manière de traiter l’info, de se représenter. Exemple : cognitive : construction d’une prothèse intelligente, nues par les infos du cerveau, qui interprètent les messages de notre corps, (du cerveau et les mouvements) Révolution cognitiviste en 1950 ±, on croyait que c’était « le meilleur » modèle de décrire l’être humain. d) Psycho-analyse On s’éloigne d’une étude objective (qui décrit,…) C’est différent de l’observation de l’extérieur et de l’introspection ( personne qui analyse soi-même) C’est égale à « l’entretient parole » (mot clé) => l’analyse parle et l’analyste écoute. BUT => aider, soigner MAIS aussi elle étudie : la psycho humaine ce qui caractérise le sujet humain qui est en réalité toujours en équilibre entre les forces inconscientes. Même quand tout se passe bien, ce n’est qu’une petite barque sur un océan. C’est un jeu de force Forces inconscientes : pulsions profonde inconsciente, dynamiques, des puissance en conflit (puissance = inconscience freudienne) BUT => comprendre la manière dont la force inconscient intervient, comment les forces peuvent nous déterminer Exemple : un lapsus (se tromper de mot) = une interruption de la conscience. L’intervention de l ‘inconscience exprime une erreur pleine de conscience qui contrôle l’inconscience. Exemple : le rêve => conscience (= équilibre provisoire) dont l’inconscience (dynamique) peut se satisfaire ( image associées parfois sans cohérence) La personnalité se développe en résolvant une série de conflit (nœud de complexe) complexe d’Œdipe : moment où les choses contradictoires sont en conflit et qu’ il faut résoudre, traverser pour pouvoir avancer, pour que la personnalité se développe « elle se crée en dehors des conflits » on doit les traverser pour pouvoir s’inscrire dans la vie. e) Humaniste Négativement : touts autres courants sont faux, ils font croire que l’humain est enfermé dans une série de déterminisme, ils réduisent l’humain d’être une conséquence de cause, d’une série d’influence. Mais humain =créativité, nouveauté, liberté,… Positivement : o C’est un courant psychologique qui pose l’humain avant tout. C’est un individu autocréateur c-à-d que chaque individu a une capacité de se créer soi-même, de se développer « comme un arbre intelligent » o Ils insistent sur un environnement non objectif (le contexte) III. Questions spéciale 1. La santé mentale 1) Qu’est-ce qu’on parle de santé mentale ? La santé mentale s’oppose à : o La folie o La dépression o Aliénation mentale Quand voit-on qu’une personne à un problème mentale ? Si la situation mentale est destructive pour elle. La santé mentale est lié à une normalité c-à-d un comportement considéré comme adéquat dc elle est définie au regard de la normalité. Anormalité => Santé Mentale On appelle anormalité tout schème (suite) de comportement inadapté, perturbateur ou nuisible à l’individu ou à la société. Un fou est une personne qui dérange. Dans l’U. Soviétique, ils vont détruire les personnes qui ne sont pas dans la norme et ils risquent de les appeler fou ou aliéné tous ceux qui dérange une société. 2) Historique Au Moyen Age si quelqu’un avait un comportement anormal, il était possédé donc il faillait se protéger de lui en le brulant. À partir du 16ème siècle, on a commencé à les considéré comme malade => apparition d’hospice. Un regard a été tourné sur eux. Au 19ème siècle, ils ont fait une différenciation entre Maladie Mentale (troubles mentaux) et Aliénation Mentale. o MALADIE MENTALE => répond à la norme sociale. Il y a un élément perturbateur venant de l’extérieur qui vient bouleverser notre esprit. o ALIENATION MENTALE => la personne n’est plus elle-même, elle est dépossédée d’elle-même. DSM : Diagnostic de la Santé Mentale C’est n’est plus une définition de la santé mentale mais un rapport consensuel ou à une reconnaissance des symptômes selon les différentes maladies. Il y a 3 niveaux de la santé mentale : o Norme sociale o Le bien être de la personne, voir si elle a un plaisir ou une souffrance de vivre o Adaptation au réel, avoir la notion du réel Exemple : la psychose c’est de ne plus avoir la notion du réel. Solution maladie : o Maladie mentale => entretien avec des thérapeutes o Aliénation mentale => médicaments Selon les courants qu’à le thérapeute, les attitudes vont être différentes voir contradictoire. Cela dépend des courants ou des personnes sur causes des symptômes. Ça peut aller de l’usage à plein de médicaments à l’accompagnement (thérapeutes) 3) Dépression o Dépression au sens médical du terme dépressif : malade Gens qui n’arrivent plus à travailler, les gens qui non plus les conditions minimum pour avoir un comportement adéquat. o Dépression du mal être d’une personne déprimé : triste Gens qui se sentent mal dans leur tête, mais qui ont toujours un comportement adéquat. Il y a aussi la durée qui joue un rôle Pour voir si une personne est en dépression, il faut attendre 2 semaines et voir si elle possède au moins 5 des 9 symptômes suivant : Changement des fonctions intérieures Diminution du plaisir à faire des activités Perte ou gain de poids Insomnie Pensée de mort récurrente Fatigue (perte d’énergie) Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité Humeur dépressive Agitation (ralentissement psychomoteur) Remarque : il ne faut pas que l’un des 5 symptômes soit lié à une circonstance extérieure. Il y a un risque que l’appréciation soit subjective. Et de confondre la santé mentale à une conformité et qu’on exclut comme fou un malade mentale parce qu’il n’est pas conforme à la société. Autodafé => action de brûler des personnes ou des objets pour sauver son âme et lui rendre la foi. C’était aussi pour se protéger des personnes soi-disant possédé. Aujourd’hui peut-on juger si une personne voit le réel de manière adéquat ? Il y a de grandes difficultés pour avoir un diagnostic mental DSM 4) Névrose et Psychose o Névrose La névrose est moins grave que la psychose parce qu’en général il peut vivre une vie normale et pas besoin de se faire hospitaliser. La personne a toujours une perception du réel et elle à conscience de ses troubles. Exemple : Névrose d’angoisse Il y a des troubles de la personnalité mais pas au point de perdre la notion de la réalité. Contrairement à la psychose o Psychose Perte du contact de la réalité. La personne confond le réel et les hallucinations qu’il a. Exemple : o Paranoïa => il n’a plus de base pour se contrôler, il ne voit plus le réel et a une peur irrationnelle o Schizophrénie : dédoublement de la personnalité Schizophrénie chronique : 1 % de la population son atteint, fréquent mais pas trop grave. Dans le behaviourisme l’apprentissage c-à-d le conditionnement est une notion importante. L’humain est conditionné à répondre à un stimulus. Le film montre que chacun des humains est pris dans la même mécanique que les rats. Le remède de la maladie mentale est une question d’apprentissage pour le behaviourisme. Le behaviourisme est une approche psychologique différente.