Psychologi1

publicité
Psychologie
PLAN
I.
Le rapport ORL
1. La sensation et la perception
2. L’attention et le préjugé
3. L’intelligence
4. La mémoire
5. La conscience et l’inconscient
II.
La psychologie comme science
1. Science humaine
2. Courant de la psychologie
3. L’usage de la psychologie
III.
Question spéciale
1. La santé mentale
2. L’apprentissage
3. La personnalité
I. Le rapport ORL
1. La sensation et la perception
Pourquoi la psycho étudie la perception et la sensation ?
C’est pour comprendre les comportements humains et mentaux car il ya une
certaines relation par rapport à la réalité dans laquelle on perçoit qui nous sommes.
Différence entre perception et sensation
o Perception :
La perception se fait au niveau de la connaissance. La perception apparaît lorsque
le cerveau refait les infos via le sens et les traitent.
o Sensation :
De part le cerveau. La sensation c’est la première réaction au stimulus et la
réception se fait par les cellules nerveuses.
Que faut-il pour percevoir ?
Il faut plein de chose.
1) Sélection d’information
Le cerveau prête attention à certaines infos et donc il va les percevoir. C’est une
sélection drastique, le cerveau lui même qui élimine les infos qui ne prendra pas.
2) Organisation de l’information
Le cerveau organise les infos sensorielles.
3) Interpréter l’information
C’est là qu’interviennent les phénomènes culturels, humains,….
Les différentes perceptions que l’ont peut avoir ne sont pas seconde, mais première.
D’abord nous percevons différemment et par après il y a une compréhension, un
accord.
Théorie de La Gestalt (= forme)
Cette théorie explique d’emblé l’organisation des infos (les infos sensorielles qui sont
sélectionnées, vont être directement organisées par le cerveau).
2. L’attention et le préjugé
o L’attention
 Le cerveau traite ± 1/1000 (voir 1/100) des infos. Les infos qu’il ne traite pas ne
sont pas perçues. La psycho physique étudie l’attention. Dans les choses que
nous percevons, il a des choses auxquelles on prête plus attention que
d’autres.
 L’attention : on perçoit telles choses et parmi ces choses on y prête attention.
Qu’est-ce qui fait qu’on va prêter attention ou pas ?
C’est notre cerveau qui va recevoir les infos dont il décide prêter attention ou pas.
C’est ce qu’on appelle saillance d’un stimulus
 Saillance : elle sera traité par le cerveau tandis qu’un non saillant ne sera pas
traité.
 Saillant : C’est une énergie extérieure qui provoquera une réaction de nos
cellules nerveuses et qui envoie des infos au cerveau. Qui ressort, qui attire
l’attention.
Comment faire pour que les stimuli soient saillants ?
Ils peuvent être saillants pour 2 raisons :
1) Raisons externes
C’est le plus saillant. Par exemple, il y a la couleur, la brillance, la taille, le
mouvement, le changement du mouvement, la sonorité, la nouveauté  se sont des
facteurs de saillance car ils cassent le monotone.
2) Raisons internes
Ce qui concerne le sujet lui-même. Selon ce qu’est le sujet, de par son éducation, son
sexe, sa formation, sa culture, son intérêt, son caractère, son attention sera différente.
 Pour pouvoir recevoir une info, il faut qu’elle soie saillante
o Le préjugé
 On ne sait pas vivre sans juger, on doit préjuger des choses sinon on ne peut
pas vivre. C’est un mode de fonctionnement requis pour pouvoir vivre. Par
exemple, pour les relations sociales. On peut avoir des préjugés négatifs car on
voit telle personne appartenant à une telle classe sociale.
 Les préjugés sont des facteurs internes de saillances. On remarquera plus vite
un stimulus qui est contredit.
 Un préjugé est saillant car il se démarquera de ce qu’on projette. Si un
stimulus contredit notre attention, on n’y sera plus attentif.
3. L’intelligence
L’intelligence à différentes formes c-à-d un ensemble de capacité ou habilité
différentes qui forme l’intelligence)
1. La complexité de ce qu’on peut appeler intelligence
2. Dans quelle mesure l’intelligence est liée au réel, à la réalité.
3. Intelligence = réflexion
Réflexion = capacité d’utiliser les connaissances que l’on possède.
Analyser = capacité de distinguer les différents éléments dans la réalité.
4. Capacité d’acquérir différents éléments et d’entrer en interaction avec les
autres, avoir de la curiosité pour autre chose.
5. La logique est une capacité d’articuler les concepts, les idées d’une façon
cohérente.
6. Capacité à mettre ensemble des éléments qui ne sont pas nécessairement
ensemble, faire des liens, réorganisé.
7. Capacité de repérer la chose la plus importante .La compréhension, la relation
avec la réalité.
8. Capacité de prendre une décision, à mobiliser ce que l’on a en vue d’une
action.
La panique empêche l’intelligence, empêche de mobiliser tout le savoir que
l’on a.
 Il ne faut pas simplement reproduire et de s’adapter mais de mobiliser et
d’innover (créativité)
Capacité verbale, utilisation des mots adéquat sur ce que l’on a compris et le
communiquer aux autres. Pour STENNBERG à décrit ce qu’est l’intelligence. D’après
son portrait l’intelligence est 3 habilités :
1. Ce sont les habilités verbale c.-à-d. habilité d’avoir un bon vocabulaire, la
curiosité, aptitude de voir tout les aspects d’un problème, l’apprentissage
rapide et la créativité.
2. Habilité de résoudre des problèmes c.-à-d. l’usage des connaissances pour
résoudre un problème. Capacité à prendre des bonnes décisions, objectivité,
bonne intuition  compréhension immédiate.
3. Être un individu pratique, concret  il perçoit ce qu’il l’entour. Capacité
d’être en relation avec le réel, le bon jugement, capacité de dégager des buts,
des objectifs, avoir de l’intérêt pour le monde en général.
 L’intelligence est un ensemble d’habilité cognitive indépendante. Cognitif est
différent de réflex = une connaissance, des savoirs .
L’intelligence = une dynamique différent d’une chose
 Indépendant = on peut avoir une habilité mais pas d’autres. Les habilités se
trouvent une à coté de l’autres.
 Habilité : capacité à réaliser quelque chose de manière pertinente.
 Ensemble : on met des habilités ensemble si on en a plusieurs.
Habilités qui impliquent des savoirs et des connaissances. On peut avoir une de ces
habilités et pas d’autres  habilité dépendante.
La nature de l’intelligence et qu’est-ce qu’on mesure dans l’intelligence ?
Il devient difficile de mesurer l’intelligence. On ne sait pas la mesurer de manière
proprement dite, car c’est un ensemble d’habilité, cependant c’est une nécessité ou
utilité qui font qu’on veut la mesurer => le QI. On mesure certaines habilités par
rapport à ce qu’attend la société (norme sociale). Le QI ne mesure pas l ‘intelligence
en tant que telle. C’est un rapport entre son âge mental et son âge chronologique.
Cela est calculé par rapport à une norme  (AM/AC) * 100
C’est l’âge mental qui est considéré comme souhaitable à la société par rapport à son
âge.
C’est Mr. Bivet qui a essayé de repérer des enfants qui répondent à des difficultés.
C’est seulement une question de conformité.
La plupart des gens sont là
70 %
Les sous doué
130 %
Les surdoué
Les sous doués ( > 70 % = déficience mentale) et les surdoués peuvent cependant
avoir des difficultés à s’adapter au cadre social.
Attention : La norme sociale est liée à la culture et la culture est rattachée à une
manière d’organiser l’univers. On peut rejeter comme manque d’intelligence une
habilité qui est simplement une autre intelligence.
L’intelligence est un processus qui se développe progressivement et on peut
reconnaître les différentes étapes de l’intelligence.
Jean Piaget étudie le développement de l’intelligence chez les enfants de 0 à 10 ans.
1er stade : sensorimoteur atteint à 2 ans
C’est la première intégration. Capacité à intégrer des schémas d’action. Mise en place
de structures de coordination pratique des actions. Ce qui applique petit à petit de la
perception de capter des objets.
Capacité minimal : capacité de faire la distinction et la reconnaissance entre le moi et
le non moi.
Exemple :
Un bébé saisi le sein de sa mère (action avec ses mains, sans réflexion)
2ème stade : opératoire concret de 2 à 12 ans
À cet âge capacité de travailler par hypothèse, on sait de ce dont on parle n’existe
pas.
Capacité à envisager des scénarios, des objets mentaux sans perception concrètes. Et
capacité de percevoir le réel et l’irréel.
Comme 1 n’existe pas  objet mental qui n’existe pas.
Il faut petit à petit acquérir la capacité de faire la différence entre les objets qui
n’existent pas et le réel. C’est une marque d’intelligence qui se développe petit à
petit.
3ème stade : opératoire abstraite ou formelle d’une existence concrète qui s’acquière
à l’âge de 12 ans.
Étudie l’intelligence, c’est un des aspects d’adaptation de l’animal humain dans son
environnement.
4. La mémoire
Définition :
La mémoire est un système de traitement de l’information, qui permet d’encoder, de
stocker et de récupérer cette information.
Ce qui détermine 3 sections :
-
Encodage des infos
-
Stockage des infos
-
Récupération des infos
Exemple :
On ne pouvait pas faire un certain mouvement si on n’avait pas la mémoire.
Si on a un accident, si une partie du cerveau est atteint, cela peut toucher une telle
mémoire car il y en a plusieurs.
La mémoire est une gigantesque bibliothèque.
Il y a 3 types de mémoires :
1) Stimulus  mémoire sensorielle (1ère réception)
Au niveau des cellules nerveuses, il y a une certaine mémoire de l’information reçue.
Cette mémoire a une certaine durée qui dure quelque millième de seconde. Elle ne
fait que refléter l’information.
2) La mémoire à court terme
C’est celle qui est impliquée dans chacune de nos actions et sont utilisées lorsque
nous faisons quelque chose. Elle dure  20 secondes.
Exemple :
Mémoire de travail
Qu’est-ce qui décide de ce qui passe par mémoire à court terme à mémoire à
long terme ?
La mémoire à LT concerne tout ce qui dépasse la mémoire à CT.
Remarque : la mémoire à CT => le maintenant
La mémoire à court terme persiste 7 éléments.
Le vieillissement n’est pas une cause de dégénérance de la mémoire. Plus on fait
travailler la mémoire est mieux c’est  asymer
Amnésie trouble de la mémoire
Hypermnésie est aussi un trouble de la mémoire. C’est un tas d’infos superflu
L’oubli n’est pas un trouble de la mémoire, c’est une condition de fonctionnement.
L’oubli peut être un non stockage mais ce n’est pas une défaillance c’est une
condition de fonctionnement et du comportement humain.
3) La mémoire à long terme
C’est une mémoire que l’on retrouvera dans quelques années. Elle rassemble touts
nos savoir et nos savoir faire.
Mémoire que nous avons emmagasiné et que nous sommes capable de se
remémoriser à un moment.
Comment vais-je faire pour retenir toutes ces informations ?
On va les stocker dans la semaine à long terme.
Il y a 3 types de mémoires à long terme :
-
Mémoire épisodique (qui porte sur des choses qui se sont passées dans notre
vie  des souvenir relatif aux événements de notre vie personnel)
-
Mémoire sémantique (toute ce qui concerne, ce qui a du sens  souvenir que j’ai
sur telle réalité mémoire sur la connaissance des objets)
-
Mémoire procédurale (on connaît les procédures : aller à vélo, conduire, c’est la
mémoire du comment on fait)
5. La conscience et l’inconscient
o Conscience
On distingue 3 sens différents :
1. AWARENESS
C’est une conscience primaire => état d’éveille, c’est d’avoir conscience de la réalité,
perception des choses qui nous entourent. Si je suis saoul, je n’ai plus cette
conscience. Celle-ci est aussi présentent chez les animaux.
2. CONSCIOUSNESS
C’est une conscience réflexible. Le sujet peut avoir conscience de ce qu’il perçoit.
Conscience des bruits et en même temps qu’il est entrain de voir quelque chose.
3. CONSCIENCE INTROPSECTIVE
Conscience de l’humain de savoir qui il est. Nous ne sommes pas aveugle de nous
même. C’est une lucidité de savoir ce qu’il est, ou il est et quand on est.
o Inconscient
1. INCONSCIENT COGNITIF (qui a trait du savoir)
Ensemble des mécanismes mentaux par lequel nous mémorisons, percevons,
pensons, dont nous n’avons pas une connaissance primaire, cela se passe à notre
insu.
2. INCONSCIENT FREUDIEN
C’est à propos des rêves, des lapsus, désigne non pas l’ignorance mentale, mais
désigne les forces, les pulsions, libido qui ne sont pas maitrisé par la conscience
Ensemble des forces qui ne sont pas maîtrisées par la conscience.
Pour Freud, la conscience est un jeu de force et le « je conscience » est un équilibre
entre ces forces.
3. INCONSCIENT DARWINIEN
-
L’espèce humain, vivant qui évolue et s’adapte
-
Sélection naturelle
Évolution suppose des choses acquises, sans paroles, sans geste, mais par
apprentissage => par génétique
Dés la naissance, nous avons un comportement (saisir le sein de sa mère)
Ensemble des savoirs faire, de ces capacités adaptatives que nous recevons, qu’un
individu reçoit de l’espèce à laquelle il appartient.
II. La psychologie comme science
1. Science humaine
 La psychologie est la science qui étudie les comportements humains et les
processus mentaux. La psycho essaie d’expliquer les comportements humain à partir
de ce qui se passe dans l’esprit des gens.
 La science vérifiable : une vrai science implique être vérifiable => science exacte :
bio, physique
 La science non vérifiable : sociologie, écologie, psychologie => science qui
implique de la description et de l’interprétation.
Dans un premier temps, une science est vérifiable si elle est objective. Mais d’un
autre coté on a un nombre de discipline et donc elles ne peuvent pas se mouler dans
l’objectivité.
La psycho comme science est apparue au 19ème siècle ( ce qui était le modèle de la
science était la physique)
La psycho va décrire les phénomènes par les lois et elle n’est posé que sur des
phénomènes objectifs. Le sujet étudie l’objet et le sujet est neutre, il n’intervient pas.
L’objet qu’étudie la psycho : sujet  objet
Le sujet humain est réduit à un objet (= simpliste et une contradiction car l’humain
est différent de l’objet) et ne se rend pas très bien compte de ce qu’est l’humain. Le
sujet humain étudie un autre humain. C’est l’humain qui s’étudie lui-même. Mais
dans le cas des sciences humaines, on parle de description et d’explication. Pour
rappel une science humaine ne dit pas ce qu’est une réalité et découpe ce que l’on est.
La science interprète.
Exemple :
 la sexualité joue un rôle important dans le psychisme
 la solidarité entre les sujets dans le cas des sciences humaines.
La psycho essaie de comprendre un sujet humain pour un sujet humain. Le sujet
intervient dans ce qu’il étudie. La psycho interprète et veut dire des choses vraies.
La science humaine est prise dans cette contradiction d’être à la conscience et d’être
fonder et de passer par l’interprétation différent défaut de vérité, c’est par que passe
la vérité.
La psycho doit s’assouplir car sujet = objet et que l’objet n’est pas un « truc » qui
réagit que par des lois.
La psycho n’est pas objective au sens de la nature mais on peut pas dire qu’elle est
subjective car elle cherche le vrai. La psycho dit des choses vraies sur le réel comme il
est. La vérité est d’ordre objectif. La vérité pour la science humaine révèle aussi
l’interprétation : c’est un jeu entre le sujet qui essaie de comprendre et le sujet étudié.
2. courant de la psychologie
Essaie de comprendre le sujet humain sans objectivité
Nous avons différents courants dans la psychologie :
 Objectif  explicatif
 Subjectif  comportemental
a) Behaviourisme :
On ne peut pas étudier l’être humain, mais on peut analyser le comportement (
comme ça on connaît le psychisme humain) On ne sait pas voir la conscience mais on
peut voir les différents comportements. Le psychisme ne peut se connaître que sous
forme de comportements. C’est comportement, ils vont les décrire et les expliquer. Ils
vont les expliquer sous forme de loi.
 Le comportement est entièrement un ensemble de stimuli => stimuli extérieurs
Exemple : on conditionne un chien qui se comporte d’une telle façon dans un
environnement donné.
 Le conditionnement est une mise en place artificiellement.
Tout comportement d’être humain sera un effet de cause. Les comportements
humains son expliqués comme des effets d’un certains nombre de stimuli. Nous
sommes conditionnés par différents contexte comme l’éducation et la société, et nous
sommes même conditionnés avant la naissance.
Il n’y a pas de différence entre la qualité d’étudier l’homme ou l’animal car ils sont le
fruit d’un conditionnement. L’humain comme l’animal est qualitativement le même,
ils entrainent des comportements et en conséquence il y a un renforcement positif si
il y a une gratification suite à un comportement adéquat.
b) Neuropsychologie :
Quoi qu’on fasse, quelle que soit l’activité mentale ( douleur,…) on le fait avec le
corps. Cela passe par un processus biologique. On étudie ce qui se passe « entre les 2
oreilles » du point de vue biologique pas en ouvrant le crâne, mais en observant les
processus cérébraux, la manière dont le cerveau fonctionne en observant ce qui se
passe dans le cerveau => imagerie cérébrale, on voit comment l’énergie se diffuse
dans le cerveau.
Elle étudie le psychisme humain en observant les liens entre les processus mentaux et
les structures cérébrales.
MAPPING (la cartographie) : s’efforce d’élaborer une cartographie aussi complète
que possible par des opérations mentales ( processus cérébraux). C’est de recensé
toutes les structures cérébrales qui se passe.
c) Cognitivisme
C’est une perspective qui étudie le psychisme humain comme une machine à traiter
des infos ( passion, motivation = manière de traiter l’info, modalités d’infos) tout ce
qui se passe dans l’humain ne sont que des manières de traiter l’info, de se faire une
présentation du monde, de nous
Étudie aussi ce qui se passe dans le cerveau = super ordinateur
Exemple : créer une intelligence superficielle = créer des machines qui fonctionnent
mieux que le cerveau)
Exemple : démotivation pour l’école => la cause est d’une représentation de soi-même
trop faible.
Stratégies éducatives => modifier la manière de traiter l’info, de se représenter.
Exemple : cognitive : construction d’une prothèse intelligente, nues par les infos du
cerveau, qui interprètent les messages de notre corps, (du cerveau et les
mouvements)
Révolution cognitiviste en 1950 ±, on croyait que c’était « le meilleur » modèle de
décrire l’être humain.
d) Psycho-analyse
On s’éloigne d’une étude objective (qui décrit,…)

C’est différent de l’observation de l’extérieur et de l’introspection ( personne qui
analyse soi-même)

C’est égale à « l’entretient parole » (mot clé) => l’analyse parle et l’analyste
écoute.
BUT => aider, soigner
MAIS aussi elle étudie :

la psycho humaine

ce qui caractérise le sujet humain qui est en réalité toujours en
équilibre entre les forces inconscientes.
Même quand tout se passe bien, ce n’est qu’une petite barque sur un océan. C’est un
jeu de force
Forces inconscientes : pulsions profonde inconsciente, dynamiques, des puissance en
conflit (puissance = inconscience freudienne)
BUT => comprendre la manière dont la force inconscient intervient, comment les
forces peuvent nous déterminer
Exemple : un lapsus (se tromper de mot) = une interruption de la conscience.
L’intervention de l ‘inconscience exprime une erreur pleine de conscience qui
contrôle l’inconscience.
Exemple : le rêve => conscience (= équilibre provisoire) dont l’inconscience
(dynamique) peut se satisfaire ( image associées parfois sans cohérence)
La personnalité se développe en résolvant une série de conflit (nœud de complexe)
 complexe d’Œdipe : moment où les choses contradictoires sont en conflit et
qu’ il faut résoudre, traverser pour pouvoir avancer, pour que la personnalité
se développe « elle se crée en dehors des conflits »  on doit les traverser
pour pouvoir s’inscrire dans la vie.
e) Humaniste
 Négativement : touts autres courants sont faux, ils font croire que l’humain est
enfermé dans une série de déterminisme, ils réduisent l’humain d’être une
conséquence de cause, d’une série d’influence.
Mais humain =créativité, nouveauté, liberté,…
 Positivement :
o C’est un courant psychologique qui pose l’humain avant tout. C’est un
individu autocréateur c-à-d que chaque individu a une capacité de se
créer soi-même, de se développer « comme un arbre intelligent »
o Ils insistent sur un environnement non objectif (le contexte)
III. Questions spéciale
1. La santé mentale
1) Qu’est-ce qu’on parle de santé mentale ?
La santé mentale s’oppose à :
o La folie
o La dépression
o Aliénation mentale
Quand voit-on qu’une personne à un problème mentale ?
 Si la situation mentale est destructive pour elle.
 La santé mentale est lié à une normalité c-à-d un comportement considéré
comme adéquat dc elle est définie au regard de la normalité.
Anormalité => Santé Mentale
On appelle anormalité tout schème (suite) de comportement inadapté, perturbateur
ou nuisible à l’individu ou à la société.
Un fou est une personne qui dérange. Dans l’U. Soviétique, ils vont détruire les
personnes qui ne sont pas dans la norme et ils risquent de les appeler fou ou aliéné
tous ceux qui dérange une société.
2) Historique

Au Moyen Age si quelqu’un avait un comportement anormal, il était possédé
donc il faillait se protéger de lui en le brulant.

À partir du 16ème siècle, on a commencé à les considéré comme malade =>
apparition d’hospice. Un regard a été tourné sur eux.

Au 19ème siècle, ils ont fait une différenciation entre Maladie Mentale (troubles
mentaux) et Aliénation Mentale.
o MALADIE MENTALE => répond à la norme sociale. Il y a un élément
perturbateur venant de l’extérieur qui vient bouleverser notre esprit.
o ALIENATION MENTALE => la personne n’est plus elle-même, elle est
dépossédée d’elle-même.

DSM : Diagnostic de la Santé Mentale
C’est n’est plus une définition de la santé mentale mais un rapport consensuel ou
à une reconnaissance des symptômes selon les différentes maladies.
Il y a 3 niveaux de la santé mentale :
o Norme sociale
o Le bien être de la personne, voir si elle a un plaisir ou une souffrance de
vivre
o Adaptation au réel, avoir la notion du réel
 Exemple : la psychose c’est de ne plus avoir la notion du réel.
Solution maladie :
o Maladie mentale => entretien avec des thérapeutes
o Aliénation mentale => médicaments
 Selon les courants qu’à le thérapeute, les attitudes vont être différentes voir
contradictoire.
 Cela dépend des courants ou des personnes sur causes des symptômes. Ça peut
aller de l’usage à plein de médicaments à l’accompagnement (thérapeutes)
3) Dépression
o Dépression au sens médical du terme  dépressif : malade
 Gens qui n’arrivent plus à travailler, les gens qui non plus les
conditions minimum pour avoir un comportement adéquat.
o Dépression du mal être d’une personne  déprimé : triste
 Gens qui se sentent mal dans leur tête, mais qui ont toujours un
comportement adéquat.
Il y a aussi la durée qui joue un rôle
Pour voir si une personne est en dépression, il faut attendre 2 semaines et voir si elle
possède au moins 5 des 9 symptômes suivant :
 Changement des fonctions intérieures
 Diminution du plaisir à faire des activités
 Perte ou gain de poids
 Insomnie
 Pensée de mort récurrente
 Fatigue (perte d’énergie)
 Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité
 Humeur dépressive
 Agitation (ralentissement psychomoteur)
Remarque : il ne faut pas que l’un des 5 symptômes soit lié à une circonstance
extérieure.
Il y a un risque que l’appréciation soit subjective. Et de confondre la santé mentale à
une conformité et qu’on exclut comme fou un malade mentale parce qu’il n’est pas
conforme à la société.
Autodafé => action de brûler des personnes ou des objets pour sauver son âme et lui
rendre la foi. C’était aussi pour se protéger des personnes soi-disant possédé.
Aujourd’hui peut-on juger si une personne voit le réel de manière adéquat ?
Il y a de grandes difficultés pour avoir un diagnostic mental
 DSM
4) Névrose et Psychose
o Névrose
La névrose est moins grave que la psychose parce qu’en général il peut vivre une vie
normale et pas besoin de se faire hospitaliser. La personne a toujours une perception
du réel et elle à conscience de ses troubles.
 Exemple : Névrose d’angoisse
Il y a des troubles de la personnalité mais pas au point de perdre la notion de la
réalité. Contrairement à la psychose
o Psychose
Perte du contact de la réalité. La personne confond le réel et les hallucinations qu’il a.
 Exemple :
o Paranoïa => il n’a plus de base pour se contrôler, il ne voit plus le réel et
a une peur irrationnelle
o Schizophrénie : dédoublement de la personnalité
 Schizophrénie chronique : 1 % de la population son atteint,
fréquent mais pas trop grave.
Dans le behaviourisme l’apprentissage c-à-d le conditionnement est une notion
importante. L’humain est conditionné à répondre à un stimulus. Le film montre que
chacun des humains est pris dans la même mécanique que les rats.
Le remède de la maladie mentale est une question d’apprentissage pour le
behaviourisme. Le behaviourisme est une approche psychologique différente.
Téléchargement